• http://www.drpornopimp.com/198/soumise-docile-tenue-en-laisse/

    Il y a des femmes comme ça, qui aiment se sentir appartenir totalement à leur partenaire d’un soir, qui prennent du plaisir à s’abandonner corps et âme au bon vouloir d’un homme, quelles que soient ses exigences. Toujours partante pour une séance de soumission / domination cette belle nana, qui n’est autre que la pornstar américaine Delilah Strong, a accepté d’être tenue en laisse par son maître. Les yeux bandés et vêtue d’une tenue sexy de circonstances composée d’un top court en résille noir, de bas assortis, de mitaines longues et d’une culotte en vinyle rouge, la jolie blonde suit l’homme en marchant à quatre pattes derrière lui. Non seulement elle rampe servilement à ses pieds avec le sourire, mais elle baisse également les yeux quand il daigne lui adresser la parole. Quand on a une aussi sexy femme docile à son entière disposition, ce serait un crime de ne pas en user et en abuser.

    Le dominateur s’arrête au pied de l’escalier menant à l’étage de la villa et joue avec le splendide postérieur de son esclave en lui rentrant la culotte vinyl dans le cul à la manière d’un string. A quatre pattes en position de doggy style, la jeune femme nous offre une vue idéale sur son cul de rêve et on aimerait bien pouvoir la prendre dans cette position pour lui défoncer sa petite chatte puis lui démonter le trou de balle. Mais c’est son veinard de maître qui va avoir ce privilège après lui avoir donné sa bite à sucer pour se mettre en condition. La blondinette prend cette queue en fond de gorge, bien évidemment et elle va même jusqu’à mettre d’elle-même les mains dans le dos en signe de totale soumission. Fier d’elle, son maître récompense sa soumise docile en lui retirant son masque et il ne perd rien au change car elle a de très beaux yeux et un regard particulièrement intense.

    Ensuite, le mec lui fait monter les marches de l’escalier à quatre pattes en la suivant par derrière puis, lorsqu’elle arrive à l’étage, il lui retire sa culotte et ses bas résille afin de pouvoir travailler son anus avec acharnement en y enfonçant un doigt recouvert de salive. Une fois l’orifice de sa petite chienne suffisamment ouvert et lubrifié, il lui tend un rosebud pourvu d’une queue de cheval à l’autre extrémité qu’elle s’insère immédiatement entre les fesses. A la demande de son dominateur, l’obéissante jeune femme blonde fait des va-et-vient dans son anus avec le rosebud puis le suce avant de se le remettre dans le derrière pour faire une petite promenade à quatre pattes dans la pièce. Peu après, comme elle a été très obéissante, la soumise réclame son dû : une bonne baise en levrette sous les volées de claques sur les fesses que son mâle dominant lui accorde avant de se finir en giclant au fond de sa gorge. C’est comme ça qu’elle jouit cette nana, il n’y a pas à juger.

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  • Je vais vous raconter une histoire basée sur des faits réel mais très romancée. 

    Alors que j'avais demandé à Élodie de finir la soirée en boite avec moi, je me suis retrouvée seule avec quatre mecs. J'étais saoule et je me suis laissée embringuée par ces gars qui m'ont emmenée dans une boite que je ne connaissais pas. Assise à l’arrière de la voiture entre deux garçons, ils n'ont pas arrêté de me tripoter tout le long du trajet. J'étais rouge de honte et d’excitation. On arrive enfin à la boite. Nous entrons et curieusement, l'établissement est presque vide. Je n’aperçois que trois mecs au fond de la salle. À l'entrée, je suis accueillis par un videur.

    «  Bonsoir mademoiselle ! Bienvenue au Crasy et à notre soirée gangbang ! »

    À ces mots, je fus prise de panique et voulus ressortir. Mais deux des gars me persuadèrent de rester.

    « Reste un peu, on te paye un verre ! »

    Je n'étais pas dans mon état normal et encore toute chose des tripotages dans la voiture.

    « Ok les gars ! Juste un verre et après je rentre ! »

    Je me suis mise à discuter avec plusieurs types que je ne connaissais pas. Dans la discutions, je ne m'apercevais pas que mon verre n'était jamais vide. En me levant avec du mal pour allé faire pipi, un des type m'aida pour aller aux toilettes, sans s'empêcher de me tripoter les seins soit disant pour me soutenir. À l'intérieur, je fus surprise de voir que les toilettes n'avaient pas de porte. J'avais vraiment trop envie de pisser et dans mon état d'ébriété, je me suis assise pour me soulager.

    À ce moment-là un vieux est entré et me dit d'emblé :

    « Petite salope tu vas me sucer ! »

    « Ça va pas vieux con ! »

    Il sortit  une bite énorme. Il essaya de me la mettre dans la bouche. Je le repoussais et sortis rapidement des toilettes.

    « Petite putain, je t'aurais avant la fin de la soirée. Tu perds rien pour attendre ! »

    Je suis retournée prés de mes potes qui s'étaient mis à parler de moi lors de mon absence.

    « Cette petite salope de Michèle est chaude comme la braise. Dans la voiture quand on la tripotait, elle mouillait comme chienne ! »

    Je fis celle qui n'avait rien entendu mais j'étais gêné de leurs propos salaces. On discuta de tout et de rien. Mais la discussion dérapât progressivement sur mes activités sexuelles.

    Sous l'effet de l'alcool, je leurs dis :

    « J'adore sucer, être prise en levrette et faire des 69 mais je n'ai jamais accepté la sodomie. »

    J'étais tellement saoule que je riais sans vrai raison. Sans trop m'en rendre compte j'écartais mes jambes et les mecs avaient une vue sur ma chatte trempée imprenable. De ma fuite des toilettes, j'avais laissé mon string sur place et j'avais donc le minou libre. Tous avait le regard fixé sur moi. Un des garçons en profitât pour mettre sa main sur le haut de ma cuisse en disant :

    « Le proprio va nous faire la visite des lieux qu'en dis tu Michèle ! »

    Le vieux, qui en fait était le propriétaire de l'établissement, nous emmena devant un escalier qui menait au sous-sol. C'était une cave aménagé comme un donjon BDSM.

    Dans mon délire alcoolique, je dis :

    « C'est dommage qu'Elodie ne voit pas ça. Elle aurait adoré ! »

    Je me retourne vers les copains et là, le vieux m'attrape avec un des mecs et me dit :
    «  Je t'avais dis que tu y passerais ce soir ! Maintenant, tu vas nous sucer ! »
    Je les vis tous débarquer à ce moment. Il y avait au moins sept mecs à poils devant moi leurs bites bandées à la main. Bourrée et docile, je n'ai même pas émis une réflexion et je me suis mise à genoux pour les sucer.

    Un par un,  je les ai pompé. Certains me prenaient la tête et m'enfonçaient leurs pieux au fond de la gorge, me baisant la bouche. Puis,  le vieux qui commandait les autres dit:

    « Ce soir tu vas connaître ton premier gang bang salope ! »

    Aussitôt, je me retrouvais avec une bite dans la bouche alors que le vieux me fourrait la chatte.Les queues défilaient dans ma chatte et ma bouche. Puis à un moment je sentis qu'une queue voulait me sodomiser alors que ma chatte était déjà occupée. Je voulais m'insurger mais une grosse bite dans la bouche m'empêchait de parler. Je ne pouvais rien faire pour me débattre.

      Le vieux s'avança et me tripota les seins. Il me mit du gel à l'entrée de ma rondelle.  Le vieux était excité, j'ai cru que j'allais avoir sa grosse bite, mais non. Un mec avec une bite longue et fine me pénétra en premier, me faisant hurler.

    Le vieux dit aux deux mecs qui étaient dans ma chatte :

    « Bougez ensemble défoncez là cette pute ! »

    Je ne pouvais hurler puisque j'avais une queue au fonde la gorge.

    Le vieux était hors de lui et à ce moment-là d'une double vaginale, il me pénétra le cul pour une double anale. C'était ma première fois en gangbang et le vieux avait tout filmé. Au petit matin, je pensais que c'était fini. Je ne sentais plus mes seins, ma chatte et mon cul, Un goût de sperme écœurant me remplissait la bouche.

    Et bien non, de nouveaux clients arrivèrent et m’utilisèrent à leurs guise.

    Épuisée, les « amis » me déposèrent chez moi et je m'endormais immédiatement. Je ne me suis réveillée que le lendemain avec mes orifices très sensible et couverte de sperme séché. Je pris une douche salvatrice et enduit mes trous de crème apaisante.





     

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  • Mère de famille de 48 ans, comme toute femme, j’ai des moments de flottement dans ma vie. Un soir, il m'est arrivée un truc qui vaut le détour, car je me suis bien faite avoir. Je devais aller faire signer un contrat pour l’entreprise de mon mari, chez des clients prés de Caen. J'avoue que devoir me rendre en banlieue de Caen m’enchantait guère, mais bon. il fallait bien que je m’y colle. Connaissant leurs goûts pour les belles femmes, je m’étais habillée sexy, mais pas trop non plus. Une belle robe courte décolletée et des talons hauts, de quoi être belle sans être vulgaire.

    Je pris donc la voiture et j'avais pas mal d’appréhensions sur la signature de ce contrat. J'avais la tête ailleurs. Je conduisais sans vraiment prendre attention à ma vitesse. Et cela n’a pas raté. Une moto de flic me rattrape et me fait signe de me mettre sur le bas côté.

    « Bonjour Madame ! Vous avez été prise à 150 pour 90 ! Vos papier ! »

    Le motard, était autoritaire. Je tremblais comme une feuille en lui présentant mes papiers tout en tentants de me justifier.

    « Excusez moi Monsieur, mais j'avais la tête ailleurs!!"

    « Et alors?!!!! »

    Il ne voulait à priori rien savoir ni comprendre. Il voulait piquer mon permis et avec à la clef une grosse amende. Il ne pouvait décrocher le regard de mon décolleté plongeant. C'est là que l'épouse c'est mutée en salope aguicheuse.

    J'ai minaudé et en me penchant plus pour lui faire profiter d'une vue imprenable sur mes seins. Je suis descendu de la voiture en faisant en sorte de bien ouvrir les cuisses pour laisser entrevoir mon string. Je jouais le grand jeu et je sais être très salope quand je fais ça.

    «  Monsieur, on peut peut-être s'arranger, soyez indulgent s'il vous plait ! »

    Je lui fait cette proposition sans trop d’ambiguïté sur mes intentions. Il me répond sèchement :

    « Pardon Madame ? Qu'insinuez vous par là ? »

    Encore un peu plus aguicheuse, je lui répond :

    « He bien, heu,,,Je peux me montrer très gentille voyez vous ! »

    Il a réfléchi un instant tout en me déshabillant des yeux comme pour juger de la marchandise et de son potentiel.

    « Suivez moi ! »

    Il m’emmena sur un parking isolé en foret. Il a sorti sa queue en me disant séchement:

    "Suces! et on verra!"

    Je me suis accroupi et l'ai sucé comme une vulgaire pute.

    Son collègue nous regardait amusé.  Je l’ai sucé jusqu’au bout avalant son sperme. 

    « Au tour de mon collègue maintenant. Une grosse infraction comme ça, ça mérite deux pipes ! »

    La bouche encore engluée de sperme, je bafouillais :

    « Mais mais c'était pas le dile ! »

    Mais déjà la queue de l'autre me forçait la bouche. Lui aussi c'est vidé dans ma bouche. J'avais l'impression qu'il en avait plus que son collègue car j'avais du mal à déglutir.

    « Merci salope et calme sur l'accélérateur ! Compris ?! »

    Encore abasourdie par ce qui venait de ce passer, je leurs répondis :

    « Oui merci messieurs ! »

    « Bon c'est pas le tous mais nous on a du boulot ! On se reverra salope ! On a ton adresse. Une suceuse comme toi, on ne peut pas passer à côté ! »

    Ils enfourchèrent leurs motos et repartirent ainsi les couilles vides.

    J’ai repris ma route. J’ai fait signer le contrat comme convenu.

    Quelques jours après, je recevais une contravention à la maison accompagné d'un mot. 

    « Tu vois ce qu'il te reste à faire salope ?! On passe cette après midi ! »

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  • Il y a quelques années, ce qui n’est alors que mon amant me dit qu’il souhaite que je devienne sa soumise. Après de longues et excitantes discussions, je me suis laissé prendre en somme dans ses filets.  J’avais confiance en lui.

    Mon Maître a réussi à tisser au fil du temps, des liens très forts. Il  a pris à la base mon éducation en me travaillant psychologiquement et physiquement. Mon Maître m’ordonnait souvent de rester sans culotte, même sur mon lieu de travail. Il savait à quel point cela m’excite. Ce fût le cas pour ce jour.  

    Arrivée chez lui, je sais ce que je devais faire. J’ai reçu les ordres pas SMS.

    « Dés ton arrivée, tu te mettra nue. Tu mettra ton collier de soumise au cou et un bandeau sur les yeux. Tu restera silencieuse. Tu attendra à genoux cuisse écartées. »

    Il vient me chercher au bout de quelques minutes. Je ne vois rien. Il me donne des ordres. J’obéis à quatre pattes, dos bien cambré.

    Il m’introduit des godes dans ma chatte puis dans mon cul. Je gémis de plaisir. J’ai envie de lui. Je reçois quelques coups de fouet sur mes fesses, douleur et plaisir mêlés.

     

     

    Il me sodomise. Pratique que je n'aime pas mais que mon Maître adore. Puis il me fait l’amour plus tendrement et je joui. Cette première séance de soumission est un mélange d’autorité et de tendresse.  Je souhaite aller toujours plus loin, reculer mes limites. A chacune de nos rencontres, nous évoluons vers de nouveaux jeux. 

    « Dis moi tes envie de soumise ! »

    « J’ai envie d’être à vos pieds, comme une chienne obéissante et d'être aussi attachée, fouettée, godée et humiliée Maître. »

    Il est satisfait de voir sa soumise parée de son collier. J’ai droit à une promenade en laisse dans le parc pour faire mes besoins comme une chienne.

    Puis je suis attachée et fouettée. Quel plaisir et douleur mêlés.

    "Je souhaite élargir davantage ton anus." me dit-il.

    La séance gode est pleine de sensations, tous mes orifices sont  remplis.

    Après je le suce comme une chienne. Il m'ordonne de lui montrer son éjaculation dans ma bouche et de garder ainsi son sperme durant 10 minutes tout en recevant le fouet.

    "Avale maintenant!"

    Je suis  fière et heureuse. C’est une sorte d’extase impossible à décrire. Mon dressage pour devenir une bonne soumise s’accélère. Mon Maître m’a mise à la disposition d’un de ses amis  pour me faire progresser.  Un dressage sévère m’attend. Je dois exécuter sans discuter toutes ses consignes.  Mon Maître à un nom pour  ça : « stage de dressage ». Notre première rencontre à lieu dans le bar d’un hôtel très luxueux, mais avant la rencontre, je dois poser par écrit mes motivations et mes compétences. 

    Le jour J,  je me rends au bar habillée en robe sexy très  osée.

    « Écartes bien les cuisses que je vérifie si t'as pas de culotte et sois bien exposée salope ! Vas dans les toilettes hommes. Fous toi à poil, J'arrive dans 5 minutes ! » Heureusement il n'y a personne dans les toilettes. Je me met nue comme il le souhaite. Je suis très angoissée mais aussi très excitée. Dés sont arrivée dans les toilettes, sa queue est déjà sortie de son pantalon, dure et bien raide.  Il  pince fort les bouts de seins et me lance: « Suces moi putain ! »

    J'adore sucer et donc pas besoin de me le dire deux fois. Je suce goulûment sa bite en malaxant ses testicules .  prend beaucoup de plaisir.

    « Haaa ! Tu suce comme une sale chienne salope ! Ha c'est boooon ! Putain ! »

    Je suis  toute mouillée. Ensuite il me prend  en levrette comme une chienne. Il gémit fort et moi aussi. Nos cris ont attiré des voyeurs qui ne ratent rien du spectacle. Il  joui en moi et me ramène au bar quelques minutes plus tard. Je sens le sperme sortir de ma chatte et m'acculer mes cuisses. Lui repart sans un mot. Je reçois un SMS de mon Maître.

    "Fais moi un compte rendu précis putain!"

    Je m'empresse de lui écrire. Il semble satisfait de moi et me répond:

    « Tu es une bonne chienne soumise. Une  vide couilles de bonne qualité. »
    J’ai terminé ma soirée à échanger par SMS avec lui.  Toujours après ces moments, l’envie de mon Maître est intense.

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  • Ce matin, J'ai décidé d’aller ramasser des champignons en forêt. Je raffole des cèpes et des girolles. Je suis donc allé dans la foret de Cerisy à une quinzaine de kilomètres de chez moi. Je m'enfonce dans la foret en me frayant un chemin pour me rendre dans les endroits les moins fréquentés. Perdue au milieu de nul part, dans un endroit très isolé, j'entends des craquements derrière moi. Sans doute un cerf ou un sanglier, je me retourne et aperçois trois chasseurs qui se dirigent vers moi.

    « Bonjour !»

    Je suis un peu surprise car d’habitude je ne rencontre personne dans cet endroit perdu.
    « Bonjour ! Vous vous êtes perdu ? » répond le premier.
    « Non, non, je connais bien le coin. Je ramasse des champignons. Mais, ce n’est pas un coin pour la chasse, ici ?!! »
    « Vous ne devriez pas rester là, c’est dangereux … un coup de fusil c’est vite parti vous savez. »
    Humm, dubitative sur leurs réponse, je n'insiste pas. Ces trois hommes ne m'inspirent pas confiance. Je préfére m'éloigner rapidement, mais un autre relance la conversation.
    « La cueillette a été bonne, on dirait, c’est des cèpes ça ? »
    « Heu... Oui, il y en a pas mal ici. »
    «  Et vous n’avez pas peur d’aller dans les bois toute seule comme ça ? »
    « Non, pourquoi ? J’ai l’habitude, je connais bien cette forêt… »
    Je n'aime pas leurs questions et commence à me sentir mal à l’aise. Ces chasseurs me semblent alcoolisés et me dévisagent en me souriant bêtement.
    « Bon bah, bonne chasse alors, au revoir ! »
    «  Dis donc t'es pressée de nous quitter ? On va pas te manger ! »

    Le deuxième homme reprend :
    «  Pourtant elle est appétissante ! »

    Le troisième ajoute :

    « Regardez ses gros nichons ! »



    C'est vrai que mon top trop serré trahissait la grosseur de mes seins.
    Je panique et lâche mon panier pour m’enfuir. Mais, un premier homme, me retient fermement par le bras :
    « Hop là, où tu vas comme ça ? C’est pas poli de s’en aller en courant. Pour la peine, tu vas bien nous montrer tes grosses mamelles ? »
    «  Lâchez-moi, vous êtes bourrés, laissez-moi partir ! »
    «  Qu’est-ce t’en penses Rémi ? t’as pas envie de te rincer l’œil ? »
    Rémi, le plus gros des chasseurs, fait un signe de la tête pour acquiescer.

    « J'crois qu't’as pas trop le choix, cocotte ! Allez, déballes la marchandise ! » conclut Patrick, en maintenant mon bras derrière le dos.
    « Aïe, vous me faites mal, ordures, lâchez-moi je vous dis ! »
    «  Tu peux crier, salope, personne t’entend ici ! »
    Le troisième chasseur s'approche de moi et arrache des deux mains mon top. Mes seins opulents débordent de mon soutien-gorge et le fumier me l'enléve rapidement pour les libérer à leurs yeux de chasseurs excités.
    « C'est pas des seins ça ! Se sont des mamelles de vaches laitières ! Putain, ils sont carrément énormes, tes nichons espéce de putain ! » s’exclame le fameux Gilles.


    «  Elle m’a excité cette petite garce ! » poursuivit Rémi qui extirpe une grosse verge demie molle de son pantalon.
    Rémi commence à se masturber frénétiquement, et je ne peut m’empêcher de constater que cet homme plutôt laid et bedonnant possède un sexe vraiment monstrueux. A cet instant, je devrais crier de toutes ses forces, pleurer et me débattre violemment pour me libérer. Mais un sentiment d’excitation inhabituel monte brusquement en moi. Ma peur se transforme malgré moi en pulsion inavouable, honteuse. Comment puis-je éprouver du désir dans cette situation.
    Gilles soupèse mes gros seins puis plaque sa bouche sur un de mes mamelons. Patrick me maintient toujours me bloquant les bras dans le dos.
    « Je parie que t’ai une bonne baiseuse et que t'as une chatte de salope ! »

    Il glisse sans ménagement sa grosse main dans ma culotte. Je proteste en criant sans conviction :

    « Ca suffit, laissez-moi partir ! ».

    La main de Gilles de referme sur ma chatte et enfonce deux doigts dans mon intimité déjà humide malgré moi. Je laisse s’échapper un petit cri.
    « Je l'crois pas, elle mouille cette cochonne ! » s’exclama Gilles.
    « T’as envie de te faire baiser, petite pute ! » renchérit Patrick.
    Patrick demande à Gilles :

    « Maintient cette pute à ma place ! »

    Il me fait face, relève ma jupe et saisit ma culotte pour la baisser jusqu’aux genoux. Il sort ensuite un couteau de chasse et sectionna le slip d’un coup.
    « Écarte bien tes cuisses putain ! Montre nous ton garage à bite ! »

    Joignant le geste à la parole, Patrick ouvre fermement mes cuisses et prétrit énergiquement ma chatte qui se met à couler de mouille. Je suis de plus en plus excitée. Un désir brutal m'envahit.
    « On va l’attacher, se sera plus pratique ! » propose Gilles. Il défait sa ceinture puis me ligote les mains dans son dos à un arbre.


    « J'sens qu’on va bien s’amuser, avec une putain comme elle ! Elle t’excite, la bite du gros, pas vrai ? » continua Patrick.

    « J' suis sûr que t’en as jamais vu une aussi grosse salope ! T’as envie de la sucer, je parie ! Réponds grognasse ! »

    Dans un autre univers, je m'entends répondre :
    «  Oui, j'la veux dans ma bouche ! »

    Ma réponse laisse coït les trois chasseurs. Surpris que leur gibier soit si expressif et coopératif.
    «  Rémi, viens lui mettre ton engin dans la bouche puisqu'elle le réclame cette pute ! »
    Le gros homme ne se fait pas prier et approcha, son sexe tendu comme un gourdin. Gilles me met en bonne position et m'ouvre fermement les mâchoires pour que Rémi puisse bien enfourner son gros membre.


    «- Tiens, grosse salope, bouffe moi ça ! » cria Rémi qui n’en peut plus.

    Il lui enfonce sa queue jusqu’au fond de ma gorge au point que j'ai cru me mettre à vomir.
    «  Avale bien, tu vas t’en souvenir de ma grosse queue salope ! »  reprend-il.
    Rémi me tient la tête par les cheveux et me force à engloutir toute sa bite. Il me baise littéralement la bouche. Je manque de m’étouffer à chaque va-et-vient, mais l’idée de m’offrir aussi brutalement à ces individus me procure une sensation bizarre, dégradante mais intensément excitante. Il ne faut qu’une minute ou deux pour que Rémi éjacule bruyamment dans ma bouche déformée.

    « Tu dois être bonne à ramoner, ma cochonne, tu veux que j'te defonce la chatte ?! » s’exclame Patrick.
    «  Oui, fourre moi salopard ! J’ai envie d'me faire baiser ! »

    «  T’aimes te faire éclater la chatte, pas vrai ! T’es une grosse chienne en chaleur ! Hein putain ! »?
    «  Oui, j' suis une grosse salope qui aime se faire défoncer par des bonnes bites ! »
    Patrick ne tient plus en place. Son délire partagé par moi le rend fou d’excitation. Il m'allonge sur le tapis de feuilles et m'écarte les cuisses sans ménagement. Son membre dur comme du bois s'enfonça directement dans mon vagin offert. Je crie de plaisir au moment de la pénétration, excitée par ce dialogue pervers. Patrick repli mes cuisses sur mes seins et entreprend de me bourrer sauvagement. Je râle de bonheur tandis que Patrick me balance les pires obscénités. A la limite de la jouissance, il retire son sexe me balance sa purée sur les seins.

    Seul Gilles n’a pas encore joui. Il se branle en matant le spectacle.
    « Attends un peu ! J'va t'bourrer aussi salope ! Fais voir un peu ton trou de balle, grosse pute ! » En écartant mes deux globes à l’extrême.

    « C’est pas beau ça ?! » demande-t-il à ses copains.

    « Regardez-moi ce trou du cul qui demande qu’à se faire défoncer ! »
    « Non, pas par là ! »
    «  Fais pas ta mijaurée, t’as dû en prendre plus d’une dans ton gros fion ! »
    Gilles m'introduit ses doigts mouillés de ma cyprine dans l’anus. Puis il poussa fort son gland sur mon œillet forçant l’entrée difficilement.
    « Alors cochonne, comme ça, tu veux te faire sodomiser ? Tu vas être servie grosse salope, je vais bien t'éclater l'fion ! »
    Le sexe monstrueux de Gilles s’enfonce de moitié dans mon cul. Je crie de douleur. Surexcité, Gilles continue à me bourrer les fesses sans ménagement. Au bout de quelques minutes, ma souffrance laisse place à une excitation davantage mentale que physique. Gilles termina son travail en giclant une tonne de sperme sur mon anus dilaté.



    Il me laisse ainsi comme si de rien était. Je rentre à la maison les trous dégoulinant de sperme, et mes fringue déchirés. Seule le soir dans mon lit, j'éprouve d’abord un immense dégoût de ce qui m'est arrivé. Honteuse et salie, ses sentiments se transforment en excitation et je dois me caresser longuement avant de trouver le sommeil… 

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