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    piégée et forcée

    Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m’entraînait. Un couple libertin rencontré en vacances un soir me dirent :

    « Tu devrais tenter l'expérience car en toi sommeille une soumise inavouée qui ne demande qu'à se révéler. »

    Nous étions dans le grenier d'une vielle maison en cours de restauration. Louis avait pris une bouteille de vodka pour qu'on s'échauffe les sens. L'ambiance de ce grenier semblait leur plaire, ils se caressaient devant moi sans honte. Pour les laisser tranquilles, je me suis éloignée mais les râles de plaisir ont attisé ma curiosité.

    Dans l'angle d'un mur derrière une vieille porte de bois, je les observais en me disant qu'ils avaient de la chance de pouvoir vivre leurs passions contrairement à moi qui suis trop timide. Ils ont raison sur une chose quand ils parlent de moi, j'aimerai être bousculée, prise comme une salope et m'éclater, les cordes et bondage comptent aussi de mes fantasmes mais entre mes rêves et la réalité, il y a un pas que je ne pensais pas franchir un jour. Trop occupée à mater Louis et Anna en me caressant discrètement, des ouvriers sont arrivés. Je ne les ai pas entendus mais ils m'ont surpris entrain de me caresser. Je me suis précipitée vers mes amis, et pour mon malheur, les ouvriers ont suivi.

    Au lieu de me protéger, cet enfoiré de Louis dit aux ouvriers sans complexe alors qu'Anna avait encorre sa queue dans la bouche :

    « Les gars, vous devriez vous occuper d'elle, Cette salope a envie de sexe mais n'ose pas !»

    J'étais blême et je l'aurais tué.

    « Pas de problème, on va la décoincer vo'te copine !» Répondit un des ouvriers en me poussant vers mes amis.

    Il sont devenus rapidement très entreprenants avec moi. Anna avait disparu. Mais était-elle passée ? Les mains baladeuses des ouvriers sans gêne devenaient plus précises. Louis les a rejoint en m'ordonnant :

    « A genoux chienne ! »

    Comme je n'arrivais pas à m'y résoudre, ils m'ont appuyé sur les épaules pour me faire fléchir. A genoux face à Louis massant son sexe devant mon visage, j'ai alors compris que je n'aurai aucune aide de sa part, bien au contraire.

    « Suce-le » criait un des ouvriers en me guidant la tête saur sa queue. J'étais morte de honte mais sous leur insistance j'ai fini par ouvrir ouvrir la bouche et engouffrer sa queue bien dure. Ils me touchaient les seins comme des malades en les malmenant et leurs donnant des claques.

    L'un d'eux m'a attrapée par la nuque pour plaquer mon visage sur le sexe de Louis. Contrainte et forcée je l'ai pris en gorge profonde. Ca m'a fait comme un électrochoc. Un des ouvriers me tenait par les cheveux et me faisait faire des mouvements pour que je le « suce bien » pendant qu'un autre passait sa main sous ma jupe. J'avais beau le repousser, ses doigts sont entrés dans ma culotte et là, il a crié à tous le monde :

    « Elle mouille la salope ! »

    Quelle honte. Si j'avais pu passer entre les tuiles je me serai envolée comme un papillon affolé. Louis forçait ma bouche pendant que les ouvriers me malaxaient les seins ou me tripotaient la chatte. Mon chemiser a été ouvert brutalement. Mon soutien-gorge n'a pas résisté longtemps à leur fougue. Palpée de toute part, je ne savais plus où donner de la tête. Je disais « non » mais en même temps, je faisais tout ce qu'ils me disaient de faire. Quand un autre des ouvriers à sortie son sexe et me l'a présenté, je l'ai sucé lui aussi sans qu'il me le demande.

    Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n'ai-je pas crié, pourquoi ne les ais-je pas mordus ? Je n'en sais rien. Au lieu de ça, j'ai accepté de sucer toutes les bites qui se présentaient devant ma bouche. L'un d'eux a attrapé ma culotte et l'a déchirée., ils s'amusaient à dire que je mouillais comme une salope. Pour me prouver que c'était vrai, l'un d'eux m'a carrément fait lécher ses doigts après m'avoir tripoté. Ils m'ont soulevée comme un pantin de chair, cuisses ouvertes, chatte à l'air prête à être baisée. Louis m'a pris. Sa verge dure m'a comblée totalement, si j'étais morte de honte, ses mouvements en moi me troublaient. Entre sa bite et les mains des ouvriers me malaxant les seins et me caressant le clitoris, j'ai rapidement senti monter en moi une onde de plaisir malsain.

    Louis s'est retiré, j'ai cru qu'un autre aller prendre sa place et me violer mais au lieu de ça, l'un d'eux m'a enfoncé ses doigts dans la chatte pour me branler de l'intérieur comme un malade. A un moment il s'est passé quelque chose que je n'ai pas compris. J'avais honte, je criais, mon corps semblait décoller, ma vue s'est troublée, j'ai cru perdre connaissance tellement les sensations étaient fortes.

    « C'est une vraie fontaine cette pute ! » cria celui qui me branlait comme un malade. J'ai jouis une première fois contre mon gré puis une seconde qui m'a faite hurler tellement c'était fort, puissant. A partir de ce moment là, je ne me souviens plus de grand-chose, j'ai été soulevée plus d'une fois et prise dans tous les sens, j'ai sucé des culs et des bites sans même opposer aucune résistance, je n'étais plus moi-même. J'y éprouvais un plaisir délirant.

    Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non.

     

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  • J'avais à peine 18 ans. J'étais une jeune fille, timide qui n'avait eu que peu d'expérience sexuelles mais qui fantasmais sur des trucs très hard. J'étais plutôt mignonne. Blonde aux yeux bleus avec une jolie poitrine ronde et bien ferme. Pour me faire de l'argent de poche, j'acceptai la proposition de marco de faire un shooting photo glamour. Marco était un belle homme de la quarantaine. Qui me harcelait depuis un certain temps pour que je pose pour lui. Je le prenais pour un obsédé sexuel, assez pervers.

    Marco passa me chercher une aprés-midi et m'amena jusqu'à une vielle grange abandonné. C'est un cadre génial pour les prises de vues me dit-il. Quand j'entrais dans la grange,Je fut mal à l'aise de découvrir qu'il y avait cinq autres garçons. Marco me rassura en me disant :

    « Je suis un pro ma grande et il me faut des assistants pour un travail de qualité. »

    Etre la seule fille au milieu de tant de garçons et me retrouver dans des tenue sexy devant eux m'angoissait.

    Marco pris la parole pour soi disant me détendre.

    « Bienvenu par mis nous Michèle. Ton contrat stipule que tu acceptes tout style de photo. De l'érotique au porno. »

    Je m'insurgeais.

    « Mais non ! Je ne dois poser que pour de la photo de charme ! »

    « Teu teu teu !!! Mes collaborateurs vont être très déçu. Je leurs ai dis que tu serais entiérement à leurs dispositions et que pour les besoins du shooting, ils pourraient te remplir comme ils le souhaiteraient. Tu ne crois tout de même pas que je t'ai payé 1500 € pour de simple photos de charme !? »

    Je restais bouche bée. J'aurais due prendre mes jambes à mon coup mais 1500 €, c'était pas rien.

    J'était toute fois très inquiète à l'idée de me retrouver nue pour la première fois devant des inconnus et d'avoir mes premiers ébats sexuels avec autant de garçons. Marco s'approcha de moi et me dit :

    « Déshabille toi on va commencer ! »

    Hésitante, je retirais mon tee shirt. Je dégrafais mon soutient gorges en le retenant un instant avant de dévoiler mes seins.

    Ce qui eut pour effet d'exciter encore plus les mâles de l'assistance.

    J'avais honte de dévoiler ma jolie poitrine devant tous ces hommes. Sans faire attention à mon désarrois, Marco commença a les photographier et à titiller mes tétons pour qu'ils se dressent et soient plus photogéniques.

    Je frissonnais en l'entendant me dire :

    « Je t'enlève ta culotte ou tu préfère le faire toi même? »

    Me voyant hésiter, il pris les devant et me retire pantalon et culotte.

    J'étais maintenant nue devant ses assistants. Marco reprit son appareil photo et me demandât de prendre des poses suggestives. Il me dirigeait et m'ordonnait des poses de plus en plus vulgaires.

     

    Il s'assit sur une chaise et me priât de venir vers lui. Il confiât son appareil à un assistant et.fit coulisser son pantalon et son slip sur les genoux. Stupéfaite, je voyais découvrais son sexe en érection. Marco posa sa main sur ma nuque et amena ma tête jusque devant sa bite.

    « Stef, continue de prendre des photos. Ca devrait bien donner sur le net et toi Michèle, montre nous comment tu suces  Léche moi les couilles ! »

    Tremblante, après quelques léchouilles, Marco m'ordonna de le sucer. Malgré ma honte, je trouvais très agréable cette sensation de se sexe qui coulissait dans ma bouche, au rythme des mouvement de bassin de Marco.

    Pendant ce temps les autres garçons s'étaient mis tous nus et se branlaient frénétiquement. La respiration de Marco s'accélérait. Il me pistonnait la bouche et allait loin dans ma bouche. Soudain, je sentis un liquide chaud et gluant envahir ma bouche. Je venais de prendre ma première ejac en public, dans la bouche. Il yen avait tellement que le liquide finit par me ressortir par le nez et couler le long de ma gorge. Je due avaler le foutre chaud.

    Un des garçons de l'assistance manqua d'éjaculer en voyant avaler le sperme de leur patron.

    « Bon ! Refile moi mon appareil ! Les gars j'ai envie de prendre ses expression quand vous allez l'enculer ! Alors ne ménagez pas vos efforts ! »

    Ils me mirent à 4 pattes. Les 5 hommes en question possédaient des attributs impressionnant et je n'eus pas besoin de jouer la commédie quand ils me sodomisèrent. Marco voulait des expressions de mon visage et bien il était servi.

    Il éjaculèrent à tour de rôle dans mon cul à un tel point que le sperme des 5 assistants ne tenait pas dans mon petit orifice et coulait le long de mes cuisses.sa jambe. J'avais le cul en feu et le goût persistant du sperme de Marco dans la bouche. Je n'étais pourtant pas aux bouts de mes peines. Ils étaient endurant les salopards. C'est là que j'ai compris la signification d'une tournante. Les six lascars à tour de rôle échangeaient leurs place. Prise en double et un dans la bouche, il s'échangeaient mes trous avec des termes orduriers.

    A ce rythme, Ils ne tardèrent pas lâcher leurs spermes. Sous les regards avides des garçons qui jubilaient d'excitation. J'eu le droit à une douche de leurs semences crémeuses. Soudain mon sexe émit des bruit de gargouillement ce qui provoqua un tonnerre d'éclats de rire. J'avais énormément honte. L'odeur et le goût du sperme trop abondant me rappelait chaque seconde ce que je venais de vivre.

    Marco me déposât chez moi en me remerciant de ma coopération et que je serais du plus bel effet sur le net. Je couru prendre une bonne douche et malgrés cette honte, j'étais heureuse de l'avoir fait.

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    La soumission de Michèle
    J’avais toujours fantasmé sur des images de films dans ma jeunesse où l’on voyait des jeunes femmes attachées à des poteaux et livrée à des hommes.


    Lors d'une réunion tendue pour obtenir un contrat, j’avais en face de moi, un homme, d'une quarantaine d'années avec beaucoup de charisme. Pendant toute la réunion je n’avais cessé d’être perturbé par son regard inquisiteur. A la fin de cette réunion, j'avais perdu le contrat. J'étais agacée mais bonne perdante, j'acceptais l'invitation à sabrer une bouteille de champagne. L'homme qui m'avait tant troublée lors de cette négociation vint vers moi pour me dire comment il avait apprécié la joute engagée avec moi.

    « Nous nous sommes opposés pendant près de 3 heures, acceptez-vous de déjeuner ce soir avec moi pour parler de sujet plus légers que professionnels ? »

    Un peu étourdie par l’alcool et l’ambiance, j’acceptai. Le soir, je m’habillais d’une robe noire assez moulante qui mettait bien en valeur mes seins, de bas noirs, et des dessous en dentelles. Je ne sais pourquoi mais j’avais le sentiment que la soirée n'allait pas ce terminer derrière une tasse de café pour moi. Le rendez-vous avait été pris chez lui. J’avais une certaine appréhension en sonnant, mais l’accueil fut très chaleureux et Gaby me mis tout de suite à l’aise. Je suis tout de suite attirée par des photos de femmes nues dans des poses très belles.

    Le repas chez lui fut très agréable. Je découvris un homme charmant et très cultivé. Je sentais toujours se regard inquisiteur sur mon corps. Au café, je ne pus m'empêcher de lui posai une question sur ces photos. Il me sourit en me répondant et observant mes réactions.

    «Je suis photographe à mes heures. Toutes ces photos sont de moi. J'ai des amies qui acceptent de servir de modèle. Venez, je vais vous en montrer d’autres puisque vous semblez intéressée. »

    Il sort un album où sont regroupés l'ensemble de ses clichés. Parmi elles une me trouble particulièrement. Une femme nue, les yeux bandés, est attachée à une sorte de portique curieux.

    En posant sa ma main fermement sur mon épaule et voyant mon trouble, il me dit :

    « Si vous voulez, je vous fais découvrir mon studio où j'ai notament fais cette photo. »

    Je ne peux résister à la curiosité et au charisme de cet homme. Il m’entraîne dans un escalier qui descend dans sa cave. Nous entrons dans une pièce, aux murs de pierre, à la lumière tamisée, décorée curieusement. L'ambiance est très médiévale. Des rideaux semblent cacher des objets ou des décorations. Des poutres pendent des chaînes et des cordes. Dans un coin trône ce fameux portique de la photo. Je suis surprise, angoissée, comme prise dans un piège. Sous le regard de Gaby, Je me dirige vers l'objet et, sans doute sous l'emprise de l'alcool, je me me met dans la position du modèle sur la photo.

    « C'est bien ainsi qu’elle était. »

    « Oui, mais elle était nue ! » Me répond-il en me regardant fixement.

    Je rougie et ne sais quel comportement adopter et quoi répondre. Comme envoûtée par cet homme que je connais à peine, je me redresse, et, comme hypnotisée, je commence à enlever un à un tous mes vêtements. Une fois nue, je me remets dans la position initiale contre l'engin. Gaby, sans un mot, ouvre alors un placard, prend une chaîne, se dirige vers moi et m'attache à l'instrument. J’étais ainsi devenue sa prisonnière, comme dans la photo et mes fantasmes de jeunesse. Je ressens une excitation extrême.

    Il prend alors une cravache et tout doucement commence à m’en caresser le corps avec le bout. Il joue avec mes seins, puis descend lentement vers mon nombril, et ma chatte. Il joue longuement à m'agacer le clitoris, me faisant gémir légérement. Je sens le plaisir monter en moi. Il se saisit d' un appareil photo, et commence à me prendre sous tous les angles, de loin, de près, en gros plan. Il s'attarde sur ma chatte ouverte et luisante de cyprine. J’avais à la fois honte et une furieuse envie de me laisser faire. Puis il prit un foulard noir, me banda les yeux et continua ses photos car je n’entendais plus que le bruit du déclencheur. Soudain le silence.





































    Je sentis ses mains sur mes seins. Il me les pétrit et pinçât mes tétons puis descendit très progressivement vers mon pubis pour enfin, titiller mon clitoris qui devint un jouet sous ses doigts. Je sens ces derniers me palper, tirer mes lèvres et pénétrer lentement dans mon vagin, puis en ressortir brusquement et recommencer encore et encore. Le plaisir monte inexorablement en moi. Malgré ma position inconfortable, le fait qu’un quasi inconnu domine mon corps et en fasse sa chose comme jamais il n’avait été traité, le plaisir est extrême et je sens que je suis au bord de l’orgasme, j’ai le sexe totalement humide de plaisir.

    Juste au moment où je sens que je vais exploser, il arrête tout, me défais le bandeau des yeux et me libère les mains. Je suis frustrée. Il m’invite à remonter dans le salon, mais sans me permettre de me rhabiller.

    « Tu as de très bonne dispositions pour poser. J'aimerais continuer à faire des photos de toi nue. »

    Trop excitée par l'idée, j'acceptais et je dus prendre toutes les positions qu’il m’ordonnait. Certaines étaient artistiques mais d'autres étaient plus osées sous son objectif implacable qui ne voulait rien ignorer de mon intimité. J’étais totalement soumise à ses ordres et mon corps était devenu un véritable jouet. J’étais dans un état second.

    Puis lors de la dernière pose il me dit de me pencher en avant, jambes écartées, de façon à avoir les fesses ouvertes et offertes. Tout à coup je sentis quelques légers coups de cravache sur mes fesses. Je ne puis m’empêcher de tressaillir.

    « Ne bouges pas ! Reste immobile ! » Me dit-il d'un ton ferme.

    Rythmé par des petits coups, la cravache commença à se promener sur mon corps. Frappant et caressant alternativement ma chatte, mes seins, passant le long de la raie des fesses, glissant sur mes lèvres, pénétrant ensuite mon sexe. Je recommençais petit à petit à jouir.

    Puis ce furent ses mains qui recommencèrent leur manège, me palpant partout, seins et sexe furent tout particulièrement sollicités. Je sentis quelque chose de chaud me pénétrer, s’enfoncer un peu et aller et venir. C’était son sexe, qui allait et venant de plus en plus vite et de plus en plus loin. Ses mains agrippèrent mes seins, à la limite de les arracher. Mon plaisir monta crescendo jusqu’au moment où je ne pus retenir mon orgasme. Je lui criais de continuer.

    Il jouit en même temps que moi. Il se retira, m’ôta le bandeau, m’indiqua où était la salle de bain pour me laver et me redonna ma robe, mais sans les sous-vêtements.

    Je ressortis au bout d’une dizaine de minutes propre, et nue sous ma robe.

    « Tu es une salope extraordinaire ! Félicitation pour une débutante. Je te montrerai le résultat des photos. Si tu souhaites revenir chez moi après cette expérience, tu sera la bienvenue. » Me dit-il.

    Puis nous nous séparâmes, lui avec un grand sourire, moi toute étourdie de cette première soumission à un homme, et pleine de plaisirs nouveaux et étranges. Cet homme m'avait comme envoûte et j'avais découvert des sensations étonnantes. Allais-je à froid le revoir ? Au bout de quelques jours je commençais à oublier mes aventures et à ne garder que le souvenir d’une soirée éphémère. Mais deux semaines plus tard je reçus un appel de Gaby au travail.

    « Bonjour, Michèle, comment vas-tu ? »
    « Bonjour, Monsieur ; bien et vous ? » Répondis-je troublée de nouveau.
    « Es-tu libre demain après-midi vers 17 heures. J’aimerais t'inviter chez moi, et poursuivre notre aventure. Si tu ne veux pas, je comprendrai. Ah, un détail, si tu viens, je te veux dans la même tenue que lorsque tu m'a quitté l'autre soir et nue sous ta robe. A demain j’espère. »

    Et il raccrocha. Le lendemain, comme mue par une attirance magnétique, et malgré ce que m’imposait ma raison, je me préparais comme demandé et me présentais au rendez-vous.

    « Bonsoir Michèle. Merci d'être venue. Avant d'entrer chez moi, je souhaitais te faire un petit cadeau. »

    Je le suivis donc et nous allâmes tout près de là, dans une boutique de vêtement anciens. Gaby dit au vendeur :

    « Je cherche un corset pour mademoiselle. »

    Vous imaginez ma stupeur, c’était donc cela son cadeau ? Le jeune homme lui présenta plusieurs modèles.

    « Entre dans la cabine d’essayage. Enlevez ta robe ! »

    Il me tendit un premier corset. Je me mis donc nue devant ces deux hommes et commençais à essayer ces corsets, écoutant leurs commentaires sur mon anatomie, mon tour de taille et la façon dont ces carcans de cuir mettaient en valeur mes seins et mon sexe. Je ne pouvais vraiment rien soustraire à leurs regards. Ils se mirent enfin d’accord sur un modèle en cuir, qui s’arrêtait juste en dessous de mes seins, les supportant légèrement, mais les laissant bien visibles, et dont le bas faisait comme une pointe vers mon pubis, m’obligeant à garder le ventre bien plat.

    Je remis ma robe par-dessus, et nous sortîmes. J’avais du mal à respirer ainsi comprimée. Arrivé chez lui il me demanda d'enlever ma robe et devant une coupe de champagne, il me proposa de me montrer les photos de la dernière séance. J’avais honte de me voir ainsi exposée, mais j’avouais que le style du photographe donnait un caché artistique aux photos. J’allais ainsi devenir un spectacle pour tous ses visiteurs. Puis à ma surprise, il me montrât des photos d'une femme attachée dans diverses positions, debout, à une croix, sur une table, à genoux....etc.

    «Si tu es d’accord, c’est le prochain épisode pour toi. Mais en plus cette fois-ci, tu t'exhiber devant mes invités.» Me dit-il, en reprenant son appareil et en me photographiant dans ma nouvelle tenue. Je ne dis mot et qui ne dit mot consent. Dans la salle à manger une table était préparée pour six personnes. Je revêtis de nouveau ma robe. Les invités ne tardèrent pas à arriver. Les hommes étaient vêtus de cuir noir, et les femmes de robes noires presque transparentes. Nous passâmes à table, et le dîner se passa très agréablement. Après le dessert Gaby me présenta.

    « Je vous présente Michèle. Je pense qu'elle a une âme de soumise et qu'elle est très prometteuse. Je vais vous la faire découvrir plus en détail ce soir. »

    J'avais un peu de mal à comprendre de quoi il parlait. Puis il se leva et nous demanda de le suivre à la cave. Je commençais à comprendre le lien entre les photos et sa « présentation en détail ».

    Arrivé en bas, la pièce n’était éclairée que par un spot qui dessinait un cercle de lumière par terre.

    «  Mets-toi au milieu Michèle ! »

    Sur un claquement des doigts, les deux autres femmes me prirent chacune un bras et me mirent au poignet des bracelets avec un anneau. On me prend alors les mains et attache les anneaux à un mousqueton. Elles tire sur la corde et me voilà les mains attachées, tirées vers le haut. Je suis toute offerte à leurs regards.

    Je suis nue devant ces inconnus et de mon plein grès. Je suis folle. J’entends quelques compliments sur ma plastique dans des termes crus.on corps. Pendant ce temps les femmes se sont mises dans la même tenue que moi, et me caresse le corps toutes les deux, les seins, les fesses, le sexe…. Elles commencent aussi à me lécher partout et me sucer le bout des seins. Je suis totalement offerte, ouverte, ne pouvant rien cacher. Comme la dernière fois, j’ai à la fois honte et peur, mais je ressentais une formidable excitation dans mon corps. Je m’abandonnais pour le reste de la soirée à leurs mains expertes. Ce fut ensuite au tour des hommes de s’occuper de moi. Leurs mains, moins douces et plus fermes que celles de leurs compagnes, s’emparèrent de mon corps. Très vite ce furent mes seins et mon sexe qui devinrent leur lieu d’exploration favori. Je fus pénétrée sans ménagement, fouillée, devant et derrière. Plutôt que de résister, je les laissais faire en sentant monter en moi un certain plaisir. Puis vint le tour des « supplices ». Mes tétons furent l’objet de divers travaux à la main, tordus tirés, pincés, jusqu’au moment où je ressentis une sorte de morsure. On venait de me poser des pinces sur les tétons reliées par une chaîne et cela permettait à mes bourreaux de tirer dessus et de jouer avec mes seins.

    Puis je ressentis le même pincement sur les lèvres de ma chatte. On venait de m’accrocher deux poids à chacune de mes lèvres. J’avoue que malgré l’excitation de voir mon corps devenir un objet de jeu, j’avais mal. Une des femmes se mis alors à genoux devant moi et me caressa le pubis, descendit un peu plus bas, atteignit le clitoris, et commença tout doucement à le lécher. Ma première réaction fut de recul, puis petit à petit cela me fit oublier la douleur des pinces. On me libéra enfin de celles-ci et je pus me concentrer totalement sur la langue de ma compagne qui allait et venait sur mon clitoris. Je sentais le désir venir en moi, je fermais les yeux et m’abandonnais totalement aux caresses. On me mit un bandeau sur les yeux. Je sentis alors d’autres mains venir me caresser les seins, une autre s’aventura entre mes fesses pour venir jour avec mon anus. Prisonnière je ne pouvais bouger. Un doigt me pénétra par derrière et entama un va-et-vient. L’orgasme montait en moi, et, possédée de toutes parts, je ne pus bientôt me retenir et mon corps se tendit dans uns orgasme fulgurant.

    Je commençais à peine à me calmer, que je ressentis une blulure sur les seins, puis sur le ventre. Je réalisais que les hommes se mettaient à me fouetter. Sous les coups de fouet, je sentis que l’on m’introduisait un objet dans le sexe, qui se mit à vibrer. C'est ainsi que je jouis une deuxième fois.

     

    On me détacha, toujours les yeux bandés, et on m’installa sur un curieux appareil. Cela commença par quelques coups de fouet sur le dos et les fesses, histoire sans doute de me montrer que j’étais devenue une esclave pour eux. Puis des mains, de nombreuses mains s’attardèrent sur mes fesses, mon ventre, mes seins, de doigts me fouillèrent le sexe et l’anus en même temps. Une bouche me suça les seins, une autre le sexe. On m’enfonça un gode dans mon orifice de derrière, puis je me sentis pénétrée par un, puis un deuxième et enfin un troisième sexe qui chacun allèrent et vinrent longuement en moi, pendant que leur possesseur me malaxait les seins. Ils jouirent longuement tous les trois en moi.

    C’est alors que je fus libérée. On m’enleva le bandeau. On me conduisit dans une grande salle de bain pour une séance de massage et de lavage puis épuisée et secouée par toutes mes aventures de la soirée je ne tardais pas à m’endormir dans un lit douillet.

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  • Lors de mes vacances scolaires, je travaillais comme serveuse dans un petit bar restaurant. Alors que ça faisait bientôt un mois que j’y travaillais pour payer mes études. Le patron m’a joué un vilain tour. Heureusement, au bout du compte, je m’en suis plutôt bien sortie et je peux même dire que je lui en suis reconnaissante. En fait, je n’ai jamais autant joui de ma vie. Je vais vous raconter comment c’est arrivé car je suis sûre que ça va vous plaire.

    Il était tard, mon patron, avait fermé la porte du restaurant. Il restait encore quelques clients, juste des jeunes hommes, des collègues qui fêtaient je ne sais quoi entre eux. J’étais la seule fille dans la salle. Tex, le patron, a commencé à jouer avec les gars. Je sais maintenant qu’il avait déjà une idée derrière la tête. Je me suis retrouvée à faire un strip-tease sur le comptoir, en guise de gage. Je ne suis pas coincée et je me suis acquittée de ma pénalité sans rougir. De toue façon, j’aime bien m'exhiber.

    Je crois que les gars ont vu ça comme un feu vert pour aller plus loin. L’un d’entre eux s’est approché de moi et a commencé à me caresser les mollets d’abords, puis il est remonté le long de mes cuisses. Ses doigts sont allés à la rencontre de mon entrejambe et je les ai sentis effleurer ma petite chatte au travers de mon string. C’est là qu’un autre gars est monté sur le comptoir, juste après avoir ôté son tee-shirt. Il ne portait plus qu’un short. J’ai un peu paniqué de voir que la situation dégénérait. Mais ensuite, j’ai été bien trop excitée pour craindre quoi que ce soit. Le jeune homme se trouvait derrière moi. Il a appuyé sur mes épaules pour me faire comprendre que je devais m’asseoir. J’ai posé mes fesses sur le zinc. Je commençais déjà à mouiller. A partir de là, tout s’est enchaîné très vite et c’est une explosion de sexe qui s’est produite dans le restaurant. Rapidement, tous les mecs présents ont retiré leurs vêtements. Tex a prudemment abaissé le rideau de fer.

    Le gars qui se trouvait dans mon dos avait pris mes seins et tirait sur mes tétons qui s’étaient mis à bander . Il les faisait rouler entre ses doigts. L’autre, celui qui s’était lancé le premier n’arrêtait pas de m’asticoter la chatte. Il me frottait la vulve avec le plat de sa main. Puis il m’a ouvert les cuisses et il a collé sa bouche contre mon con. Il m’a léchée la foune. Il me mangeait bien, buvait mon jus de salope qui coulait abondamment. Tout autour de moi, les regards des hommes se faisaient envieux, brillants. L’un d’eux s’est approché et m’a donné sa bite à sucer. Je l’ai enfournée dans ma bouche sans mesurer vraiment la portée de mes actes, sans penser qu’il me faudrait satisfaire chacun des gaillards qui m’entouraient.

    Je me suis retrouvée à quatre pattes sur le comptoir, trois ou quatre mecs plantés devant moi. Pendant que j’en suçais un, les autres se branlaient la verge pour se faire durcir en attendant leur tour. Derrière moi, on me fouillait le con. Je ne savais même pas combien de mains se partageaient mon orifice intime. Je sentais même des doigts qui s’affairaient sur mon derrière. Il faut dire que dans ma position j’offrais un accès total tant à mon trou du cul qu’à ma petite fente dégoulinante de mouille. Je m’entendais gémir et ça m’excitait fort. Je pompais de plus belle les beaux glands rouges qui se présentaient tour à tour devant mes lèvres avides de queues. C’était bon.

    J’ai continué à téter des bites pendant un bon moment, mais j’ai fini par me retrouver allongée sur le dos. Un premier sexe d’homme est venu remplacer les doigts qui m’ouvraient la moule. Je me suis sentie écartelée par le gros manche qui me perforait. Un mec tatoué était en train de me remplir le ventre. Il m’a limée pendant que je tournais la tête de droite et de gauche pour satisfaire les besoins de ses copains avec ma bouche, avec ma langue. J’ai aussi été prise en levrette par un homme bien monté pendant que je suçais ses amis. Je me trouvais de plus en plus chienne. Je n’étais pourtant pas encore au bout de mes surprises.

    Je crois que tous les types me sont passés dessus l’un après l’autre. Il doit même y en avoir un ou deux qui m’a juté dedans. Mais ils en voulaient plus. L’un d’eux, le plus vicieux s’est assis sur un fauteuil et m’a attirée vers lui. Je croyais qu’il en voulait lui aussi à ma chatte, mais c’était un tout autre orifice qu’il convoitait en réalité. Mon trou du cul avait été bien préparé par les caresses qu’il venait de subir. En plus, je dois avouer que j’adore me faire enculer et que mon anus se révèle assez souple pour engloutir des chibres de bonne taille. C’est donc sans grande difficulté que le gars a réussi à entrer son nœud dans mon fondement. J’étais bien.

    Tandis que je remuais du cul sur la pine qui me remplissait, un deuxième mec s’est avancé. Ses copains m’écartaient les cuisses au maximum. Il s’est glissé entre mes jambes et a posé son gros gland luisant sur ma fente. Il a poussé et est entré dans mon ventre, trouvant peu à peu sa place dans l’espace laissé libre par mon enculeur. J’ai cru un moment que j’allais m’ouvrir en dos sous la double pénétration que je subissais. J’avais la chatte en feu et je hurlais presque de plaisir. C’est devenu de plus en plus fort à chaque nouveau gars qui me grimpait dessus. Je crois qu’ils ont été trois à me sodomiser et que chacun des autres m’a prise par devant. Je ne sais plus très bien, je n’étais plus moi-même. Je branlais des queues de tous les côtés, je suçais, je gémissais. Même Tex, m’est passé sur le corps.

    Je me souviens par contre parfaitement du moment où ils ont tous fini par jouir. Brutalement, les bites qui m’entouraient se sont mises à cracher leur trop plein. J’en ai pris partout. L’homme qui était en train de me pilonner la foune m’a craché sur le ventre et les seins. Celui qui m’enculait s’est vidé dans mon cul. Le plus terrible, ça a été de prendre sur mon visage l’excès de foutre des autres. Ca semblait ne plus devoir s’arrêter. Le sperme coulait sur ma gueule, de longues rigoles de jus de couilles s’étalaient sur mes joues et sur mon menton, coulant jusqu’à ma poitrine et maculant mes nichons bandants. Je baignais dans le sperme chaud et je trouvais ça aussi bon que dégradant. Je n’ai pas pu résister à l’envie de tirer ma langue pour laper un peu du sirop qui se trouvait à ma portée. Dire que je ne savais même pas de quelles couilles il sortait !



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    Voilà une vraie grosse cochonne ! Elle aime la bite et elle aime le sperme bien chaud ! Elle va sucer jusqu’à 3 bites en même temps et prendre de grosses éjaculations buccales lors de cette partouze amatrice de haute volée ! On adore…

     


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