• gangbang avec des blacks pour une blanche

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    Il m’a donnée à ses copains

    Un soir où Alain avait invité des potes à lui, j’eus la surprise qu'il me livre en pâture à ces inconnus. Aprés l'apéro, il se leva et dit à ses copains :

    « Allez les gars, prenez-là maintenant, elle est à vous !»

    Puis Alain s'en va et me laisse à ses copains, 3 gaillards de l'immeuble que je ne connais que pour les avoir croisé. Les 3 lascars s’approchent, trop heureux de profiter de l’aubaine. Dans la cité, beaucoup de filles sont inaccessibles et ils sont bien contents d’avoir à leur disposition une nana.

     

    Je suis trop soumise pour me révolter. Alain me répète assez souvent que je suis un sac à foutre et que je ne suis faite que pour être baisée comme une chienne, soumise, humiliée. Ils avancent, entièrement à poil et la queue bien dressée. Leurs glands circoncis sont luisants de liquide séminal, ils sont déjà très chauds. Brandon me touche le cul vicieusement, glisse ses doigts tout au long de mon sillon, du haut de la chatte jusqu’à mon petit trou du cul. Il prend un peu de mouille pour me tartiner l’œillet, c’est divin. Pendant ce temps, Mourad m’a relevé la tête et m’a enfilé son membre dans la bouche. Je le suce avec passion et une excitation décuplée par les vicieuses caresses de Brandon. Mourad a un gros sexe. Il me distend complètement la bouche.

     

    J’excite Brandon en bougeant mon cul, comme pour réclamer qu’il me prenne enfin. Je suis comblée dans tous les sens du terme lorsqu’il introduit sa belle pine rose dans mes fesses. Elle entre sans difficulté tant j’ai été élargie par Alain tout à l’heure. Bonne fille, je contracte mon muscle anal autour de sa queue. Mourad me tient la tête et la fait aller et venir sur sa tige. Il me baise carrément la bouche. De l’autre main, il me caresse tant bien que mal les seins mais je sens bien que ça manque de conviction. Seul son plaisir compte à cet instant et je ne suis que leur jouet. Karim, se place de tel façon à me remplir le vagin. Je suis leur déversoir à foutre. Le pire, c’est que ce rôle me convient. Le fait d’être ainsi avilie m’excite au moins autant que le pilonnage en règle auquel je suis soumise.

    Du coup, les deux lascars sont plus serrés et mon plaisir augmente. Etre prise ainsi en double pénétration m’excite au plus haut point. Je gueule, mes cris emplissent la pièce. Ca me fait jouir et je m’effondre sur Mourad. Les trois amis jouissent aussi et la contraction de leurs deux bites en moi finit de m’anéantir.

    A moitié évanouie, je  ne peux m’empêcher de remercier en pensée Alain qui a si bien su détecter et assouvir mon besoin d’être soumise. Qu’inventera-t-il la prochaine fois pour me satisfaire ?

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  • De temps en temps je sors avec deux amies.Ce soir là, nous fêtions l'anniversaire de l’une d'elle dans un bar branché de la ville et nous nous sommes faites branchées par le patron du bar. La fête battait son plein et l'ambiance était assez chaude.

    Les deux premières coupes de champagne m'avait légèrement mise dans un état euphorique et le patron me draguait ouvertement. Flattée de plaire à un homme plus jeune que moi je jouais le jeu de la séduction et les discussions devenaient litigieuses. Quand je m'éclipsais quelques minutes par me diriger vers les toilettes, il me suivi. Je m'apprêtais à sortir quand il m'attrapa par le bras et me colla à lui. Sa main descendit sur mes fesses qu'il commençait à palper énergiquement. Quand je voulus me dégager, il me retint fermement et me lançât :

    « T'as envie de te faire sauter salope ! J'vais te baiser comme une chienne ! »

    Jamais un homme ne m'avait parlé comme cela auparavant. Choquée et en même temps tarraogante :

    « J'ai des doutes sur vos capacités à faire jouir une femme ! »

    « Ha oui ? Viens par là j'vais montrer moi ! »

    Naïvement je le suivi prenant conscience que ça allé être ma fête. Il sorti une clé de sa poche et ouvrit une porte au fond du couloir.

    « Entre ! » Me lançât-il avec un sourire sournois. Il refermât derrière nous et sortit une queue monstrueuse.

    Conscient de sa supériorité, il me laissa stupéfaite admirer son membre.

    « Alors qu'est ce que tu dis de cela ! Si j'te la met dans'l'cul tu va moins rigoler ! »

    Prise de panique, je restais sans voix me demandant pourquoi je l'avais suivi.

    « Bon maintenant ça suffit laissez moi tranquille ! »

    Il se mit à rire puis se rapprocha de moi. Je me retrouvais collée à lui, sa bouche pris la mienne et je sentais sa monstrueuse contre mon ventre. Ses mains avec agilités dégrafèrent mon soutif. Malgré la situation délicate dans laquelle je me trouvais et l'alcool aidant, je commençais à mouiller et le laissais faire.

    « Allez ! Prends ma belle queue dans la bouche et fais toi plaisir ! »

    Sans hésiter, je me pliais à ses mots et pris son chibre avec difficulté en bouche.

    Je le sentais s'enhardir, ses mains dans mes cheveux se faisaient plus pressantes. Me laissant guider par la pression qu'il exerçait. Je le pris entièrement le plus possible dans la bouche jusqu'à le sentir au fond de ma gorge. L'instant était fort, de la salive coulait sur mon menton quand soudainement tout son corps se crispa. D'une main ferme, il m'empêcha de me retirer pour jouir. Il m'envoya une première vague abondante de semence chaude dans la bouche puis une deuxième.

    « C'est ta récompense, t'es vraiment une bonne suceuse de bite tu sais, tu pourras revenir quand tu veux ! »

    J'étais dans un état pitoyable, paradoxalement je me sentais souillée, humiliée, et pourtant assez fière de ma prestation.

    Il me regardait fixement dans les yeux avec son sperme qui maculait le visage.

    « Attends ici ma petite salope ! J'en ai pas fini avec toi ! »

    Il sortit et me laissât pantelante dans le local.

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    Baise surprise sur un chantier.

    Le chantier est presque achevé puisque les cellules commerciales et les appartements doivent être livrés aux acheteurs dans une quinzaine de jours. Pour gagner du temps en cette fin de semaine, on ma demandé de donner un coup de main pour le côté commerciale à un des directeurs de projet. En fait, je me suis portée volontaire pour l’accompagner. J'aime m'investir complètement. Je travaille vite et bien au point que le boss a l’intention de m’embaucher définitivement. Il faut dire aussi que je suis plutôt attirante et que je plais bien aux hommes avec ma paire de seins appétissante et toujours bien mis en valeur. Bref, on dit que je suis une jolie femme dans la plénitude de son âge qui sait se faire discrète. Je ne veux pas attiser la jalousie de mes collègues féminines.

    Lorsque je le rejoint à son bureau sur le chantier, Il semble surpris par ma tenue. En effet, Je ne suis plus en robe mais j'ai revêtu un jean et une chemise.

     

    Devant son étonnement je lui dit : «  Je serai plus à l’aise pour travailler ainsi et je ne craindrai pas de me salir ! »
    Nous parlons boutique pendant quelques instants puis nous allons sur le chantier. Il me décrit les travaux des reprises à effectuer et je note les renseignements. Parfois, je prends des photos pour être plus explicite lorsque j’interviendrai auprès des entreprises concernées.



    C’est au moment où nous arrivons dans un des derniers appartements que tout bascule. Je ne sais pas si c’est la chaleur de cette journée de juin mais soudain je m’appuie contre une cloison et m'évente avec mon bloc :
    «  Je n’en peux plus ! Il fait trop chaud ! »
    Pour être plus à l’aise, j'ouvre les boutons de ma chemise, laissant voir mon soutif. Mon collaborateur ne peut détacher ses yeux de mon décolleté. Je ne manque pas de le remarquer.
    «  C’est moi qui te fais cet effet ? »
    Brutalement il me dit :
    « Oui… j’ai envie de te baiser Michèle et je suis certain qu'une salope comme toi n’attend que çà ! »
    Je suis surprise et choquée mais il me prend par le bras pour me coucher sur un meuble de l'appartement témoin. Il fait sauter l’agrafe de mon soutif et mes seins s'épanouissent sous ses yeux ébahis.


    Il agace de sa langue mes tétons avant de les mordiller pour les faire saillir. Je lui presse la tête contre ma poitrine. Il glisse ses mains dans mon dos, griffant doucement le creux de mes reins. Les bretelles de ma salopette étant déjà baissées, lentement il fait glisser le jean sur mes hanche découvrant mon pubis masqué par le minuscule triangle du string.
    Il recule d’un pas pour admirer mes courbes.

    Je remarque que sa bite est dressée et qu'il meurt d'envie de baiser sa collègue. Je m'approche de lui, m'agenouille pour faire descendre le zip de son pantalon et aller chercher ce sexe mâle. Il se dresse fiérement devant mes yeux et je l'embouche, faisant des mouvements alternatifs dans ma bouche Je l'enfonce de plus en plus loin au fond de ma gorge dans une fellation savante où j'alterne les passages dans ma bouche et les agaceries de la pointe de ma langue sur le gland et le frein.

    De par sa position, il a une vue plongeante sur mes seins qui se balancent.
    Je lâche son sexe et me retourne pour m'offrir en levrette. Il ouvre mes fesses et je lui offre ainsi dans une impudeur totale mes orifices. Je lui lance :

    «  Ne me fais plus languir ! Viens ! Baise-moi fort ! »

    « T'inquiète salope! Je vais t’en mettre au point que tu t’en souviendras longtemps ! »
    En disant cela, il place sa bite à l’entrée de ma chatte humide et d’une seule poussée, s’enfonce au plus profond, faisant claquer son pubis contre mon cul.
    « Waouh ! Qu’elle est chaude ta chatte ! »


    Il me lime avec violence, sortant à chaque fois de mon vagin pour y entrer de nouveau plus fort encore que la fois précédente. Je l'encourage :
    «  Oh oui ! Comme çà ! Défonce-moi, plus fort ouiiii !!!! » Chaque fois qu'il arrive au fond de ma chatte, je pousse un petit cri de plaisir.
    « Putain ! T'es une bonne salope toi ! J'suis tombé sur une bonne baiseuse avide de sexe ! Tu cachais bien ton jeux ! »
    Au moment où la jouissance l’emporte, Il sort de ma chatte et me présente sa queue devant mon visage, déversant une abondante rasade de sperme.

    Essoufflés l’un et l’autre par la violence de notre baise et de la jouissance que nous venons d’avoir, le salaud en profite pour glisser un doigt dans mon cul. Je tempère ses ardeurs en disant :
    « Salaud! Tu veux m’enculer aussi? On verra ça plus tard !»
    Nous terminons péniblement notre travail. Ensuite, je l'invite prendre une douche. Il ne se fait pas prier. Sous le jet tiède, nous nous enduisons mutuellement de mousse odorante et nous en profitons pour continuer à nous caresser si bien qu'il bande à nouveau lorsque je presse mes fesses contre sa bite en la faisant rouler dans ma raie.
    «  Tu veux me défoncer le cul ?  Viens ! Je suis prête ! »
    Dès que son gland a passé la collerette du sphincter, c’est comme si il était aspiré dans mon fondement tant la pénétration est facile.
    «  Dis donc, il a du en voir passer ton cul ! On y entre aussi facilement que dans ta chatte ! »
    «  Oh oui ! Il a été ouvert de bonne heure ! »
    Il me sodomise à long traits et nous ne tardons pas à partir dans une jouissance simultanée qui nous arrache des râles de plaisir. Je m'affale dans la douche.
    « Tu est une vrai bonne salope ! J'adore !  T'en veux encore ?  Waouh ! Qu’est ce que t'es bonne ! Tu m’as bien fait jouir ! J’en veux encore mais on va reprendre des forces ! »
    Nus tous les deux, nous revenons dans la pièce principale où nous mangeons rapidement un morceau. Je viens m’agenouiller entre ses cuisses et commence à lui tailler une pipe d’anthologie, léchant alternativement son mat et ses couilles, les aspirant dans ma bouche pour les faire rouler l’une après l’autre, enfonçant sa queue au plus profond de sa bouche goulue. Puis quand sa bite est bien raide, je l’enserre entre mes seins et lui imprime des mouvements de va et vient, donnant des coups de langue sur le gland quand il arrive à ma portée…


    Lorsqu'il lâche sur mon visage quelques belles giclées de sperme, Je me délecte de sa crème onctueuse. Mais je n'en ai pas encore assez. Ne lui laissant aucun répit, je le désarçonne, le fait rouler sur le dos et me précipite sur sa bite pleine pour la toiletter et tenter de la faire rebander. Le sceptre dressé vers le plafond, j'enjambe le garçon et d’un mouvement souple du bassin, je m'empale sur ce pieu bandé. Il a sous ses yeux ma poitrine généreuse, ronde mais bien ferme, aux tétons saillants au milieu des aréoles bistre très marquées qui se balance doucement au rythme de la copulation.
    La tête rejetée en arrière, je ne pense qu’à une chose, prendre un maximum de plaisir. Une nouvelle fois, il inonde mon vagin de belles giclées de sperme. Lorsqu'il me quitte, Il a les couilles complètement essorées tant nous avons baisé. Il me dit en partant :

    «  Ça faisait longtemps qu’en dehors de ma nana, j'étais tombé sur une assoiffée de sexe comme toi ! »

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  • Il était plutôt tard quand nous sommes allés vers la chambre. L’ambiance était plutôt chaude et sensuelle. Sans trop attendre, j’enlève son caleçon et prends son pénis dans la bouche. Après l’avoir léché, sucé, pendant quelques minutes, au moment où nous commencions à y prendre énormément de plaisir, nous sommes surpris d’entendre le grincement de la porte d'entrée.

    Un ami rentrait chez sans crier garde. Ou bien voulait-il nous surprendre dans nos ébats ? Qu'importe, nous avions trop envie de terminer ce que nous avions commencé. Je lui lance :

    « Installe toi nous arrivons.On a un truc à terminer ! »

    Je reprends ma place dans le lit et j'attrape sa queue en érection pour le masturber. Il me dit :

    « Ne faisans pas de bruit sinon il va deviner notre activité. »

    La situation nous excitait beaucoup. J’adore ce sentiment de prendre du plaisir tout en sachant que d’autres gens ne sont pas loin de moi. Je le repris en bouche et à force de le sucer, je sentais bien que son plaisir montait de plus en plus, renforcé par l’excitation de savoir notre ami dans le salon. Pour ne pas laisser échapper le moindre gémissement, il s'enfonce ma tête dans un oreiller. Mes lèvres et ma langue sont très efficace sur sa hampe. Nous nous mettons en 69 et notre plaisir est décuplé.

    Humidifiant ses doigts, il glisse l’un d’entre eux dans ma chatte et commence alors à masser mon clitoris, avant de descendre son index vers l’ouverture de mes lèvres. Après un petit moment, je lui demande :

    « Prends moi chéri ! »

    Je me met en levrette, bien cambrée et, excité par la situation, il prend son sexe en main, le glisse entre mes lèvres trempée de plaisir, le fait tapoter mon clitoris à quelques reprises puis décide enfin de me pénétrer doucement, puis un peu plus loin et plus rapidement.Je ne peux réprimer un feulement de plaisir au risque d'attirer l'attention de notre ami.

    Après plusieurs minutes, il s'est retiré et a joui entre mes seins sans faire de bruit, contenant ainsi le plaisir de son éjaculation.

    Oui, j’aime le sexe un peu dangereux, les situations telles que celle-ci m’invite à la débauche tout en devant restreindre sa parole. Mais que c’est bon d’être libre et prisonnier à la fois.

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