• Baise au chantier

     

    Baise surprise sur un chantier.

    Le chantier est presque achevé puisque les cellules commerciales et les appartements doivent être livrés aux acheteurs dans une quinzaine de jours. Pour gagner du temps en cette fin de semaine, on ma demandé de donner un coup de main pour le côté commerciale à un des directeurs de projet. En fait, je me suis portée volontaire pour l’accompagner. J'aime m'investir complètement. Je travaille vite et bien au point que le boss a l’intention de m’embaucher définitivement. Il faut dire aussi que je suis plutôt attirante et que je plais bien aux hommes avec ma paire de seins appétissante et toujours bien mis en valeur. Bref, on dit que je suis une jolie femme dans la plénitude de son âge qui sait se faire discrète. Je ne veux pas attiser la jalousie de mes collègues féminines.

    Lorsque je le rejoint à son bureau sur le chantier, Il semble surpris par ma tenue. En effet, Je ne suis plus en robe mais j'ai revêtu un jean et une chemise.

     

    Devant son étonnement je lui dit : «  Je serai plus à l’aise pour travailler ainsi et je ne craindrai pas de me salir ! »
    Nous parlons boutique pendant quelques instants puis nous allons sur le chantier. Il me décrit les travaux des reprises à effectuer et je note les renseignements. Parfois, je prends des photos pour être plus explicite lorsque j’interviendrai auprès des entreprises concernées.



    C’est au moment où nous arrivons dans un des derniers appartements que tout bascule. Je ne sais pas si c’est la chaleur de cette journée de juin mais soudain je m’appuie contre une cloison et m'évente avec mon bloc :
    «  Je n’en peux plus ! Il fait trop chaud ! »
    Pour être plus à l’aise, j'ouvre les boutons de ma chemise, laissant voir mon soutif. Mon collaborateur ne peut détacher ses yeux de mon décolleté. Je ne manque pas de le remarquer.
    «  C’est moi qui te fais cet effet ? »
    Brutalement il me dit :
    « Oui… j’ai envie de te baiser Michèle et je suis certain qu'une salope comme toi n’attend que çà ! »
    Je suis surprise et choquée mais il me prend par le bras pour me coucher sur un meuble de l'appartement témoin. Il fait sauter l’agrafe de mon soutif et mes seins s'épanouissent sous ses yeux ébahis.


    Il agace de sa langue mes tétons avant de les mordiller pour les faire saillir. Je lui presse la tête contre ma poitrine. Il glisse ses mains dans mon dos, griffant doucement le creux de mes reins. Les bretelles de ma salopette étant déjà baissées, lentement il fait glisser le jean sur mes hanche découvrant mon pubis masqué par le minuscule triangle du string.
    Il recule d’un pas pour admirer mes courbes.

    Je remarque que sa bite est dressée et qu'il meurt d'envie de baiser sa collègue. Je m'approche de lui, m'agenouille pour faire descendre le zip de son pantalon et aller chercher ce sexe mâle. Il se dresse fiérement devant mes yeux et je l'embouche, faisant des mouvements alternatifs dans ma bouche Je l'enfonce de plus en plus loin au fond de ma gorge dans une fellation savante où j'alterne les passages dans ma bouche et les agaceries de la pointe de ma langue sur le gland et le frein.

    De par sa position, il a une vue plongeante sur mes seins qui se balancent.
    Je lâche son sexe et me retourne pour m'offrir en levrette. Il ouvre mes fesses et je lui offre ainsi dans une impudeur totale mes orifices. Je lui lance :

    «  Ne me fais plus languir ! Viens ! Baise-moi fort ! »

    « T'inquiète salope! Je vais t’en mettre au point que tu t’en souviendras longtemps ! »
    En disant cela, il place sa bite à l’entrée de ma chatte humide et d’une seule poussée, s’enfonce au plus profond, faisant claquer son pubis contre mon cul.
    « Waouh ! Qu’elle est chaude ta chatte ! »


    Il me lime avec violence, sortant à chaque fois de mon vagin pour y entrer de nouveau plus fort encore que la fois précédente. Je l'encourage :
    «  Oh oui ! Comme çà ! Défonce-moi, plus fort ouiiii !!!! » Chaque fois qu'il arrive au fond de ma chatte, je pousse un petit cri de plaisir.
    « Putain ! T'es une bonne salope toi ! J'suis tombé sur une bonne baiseuse avide de sexe ! Tu cachais bien ton jeux ! »
    Au moment où la jouissance l’emporte, Il sort de ma chatte et me présente sa queue devant mon visage, déversant une abondante rasade de sperme.

    Essoufflés l’un et l’autre par la violence de notre baise et de la jouissance que nous venons d’avoir, le salaud en profite pour glisser un doigt dans mon cul. Je tempère ses ardeurs en disant :
    « Salaud! Tu veux m’enculer aussi? On verra ça plus tard !»
    Nous terminons péniblement notre travail. Ensuite, je l'invite prendre une douche. Il ne se fait pas prier. Sous le jet tiède, nous nous enduisons mutuellement de mousse odorante et nous en profitons pour continuer à nous caresser si bien qu'il bande à nouveau lorsque je presse mes fesses contre sa bite en la faisant rouler dans ma raie.
    «  Tu veux me défoncer le cul ?  Viens ! Je suis prête ! »
    Dès que son gland a passé la collerette du sphincter, c’est comme si il était aspiré dans mon fondement tant la pénétration est facile.
    «  Dis donc, il a du en voir passer ton cul ! On y entre aussi facilement que dans ta chatte ! »
    «  Oh oui ! Il a été ouvert de bonne heure ! »
    Il me sodomise à long traits et nous ne tardons pas à partir dans une jouissance simultanée qui nous arrache des râles de plaisir. Je m'affale dans la douche.
    « Tu est une vrai bonne salope ! J'adore !  T'en veux encore ?  Waouh ! Qu’est ce que t'es bonne ! Tu m’as bien fait jouir ! J’en veux encore mais on va reprendre des forces ! »
    Nus tous les deux, nous revenons dans la pièce principale où nous mangeons rapidement un morceau. Je viens m’agenouiller entre ses cuisses et commence à lui tailler une pipe d’anthologie, léchant alternativement son mat et ses couilles, les aspirant dans ma bouche pour les faire rouler l’une après l’autre, enfonçant sa queue au plus profond de sa bouche goulue. Puis quand sa bite est bien raide, je l’enserre entre mes seins et lui imprime des mouvements de va et vient, donnant des coups de langue sur le gland quand il arrive à ma portée…


    Lorsqu'il lâche sur mon visage quelques belles giclées de sperme, Je me délecte de sa crème onctueuse. Mais je n'en ai pas encore assez. Ne lui laissant aucun répit, je le désarçonne, le fait rouler sur le dos et me précipite sur sa bite pleine pour la toiletter et tenter de la faire rebander. Le sceptre dressé vers le plafond, j'enjambe le garçon et d’un mouvement souple du bassin, je m'empale sur ce pieu bandé. Il a sous ses yeux ma poitrine généreuse, ronde mais bien ferme, aux tétons saillants au milieu des aréoles bistre très marquées qui se balance doucement au rythme de la copulation.
    La tête rejetée en arrière, je ne pense qu’à une chose, prendre un maximum de plaisir. Une nouvelle fois, il inonde mon vagin de belles giclées de sperme. Lorsqu'il me quitte, Il a les couilles complètement essorées tant nous avons baisé. Il me dit en partant :

    «  Ça faisait longtemps qu’en dehors de ma nana, j'étais tombé sur une assoiffée de sexe comme toi ! »

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