• gangbang dans un bar

    Lors de mes vacances scolaires, je travaillais comme serveuse dans un petit bar restaurant. Alors que ça faisait bientôt un mois que j’y travaillais pour payer mes études. Le patron m’a joué un vilain tour. Heureusement, au bout du compte, je m’en suis plutôt bien sortie et je peux même dire que je lui en suis reconnaissante. En fait, je n’ai jamais autant joui de ma vie. Je vais vous raconter comment c’est arrivé car je suis sûre que ça va vous plaire.

    Il était tard, mon patron, avait fermé la porte du restaurant. Il restait encore quelques clients, juste des jeunes hommes, des collègues qui fêtaient je ne sais quoi entre eux. J’étais la seule fille dans la salle. Tex, le patron, a commencé à jouer avec les gars. Je sais maintenant qu’il avait déjà une idée derrière la tête. Je me suis retrouvée à faire un strip-tease sur le comptoir, en guise de gage. Je ne suis pas coincée et je me suis acquittée de ma pénalité sans rougir. De toue façon, j’aime bien m'exhiber.

    Je crois que les gars ont vu ça comme un feu vert pour aller plus loin. L’un d’entre eux s’est approché de moi et a commencé à me caresser les mollets d’abords, puis il est remonté le long de mes cuisses. Ses doigts sont allés à la rencontre de mon entrejambe et je les ai sentis effleurer ma petite chatte au travers de mon string. C’est là qu’un autre gars est monté sur le comptoir, juste après avoir ôté son tee-shirt. Il ne portait plus qu’un short. J’ai un peu paniqué de voir que la situation dégénérait. Mais ensuite, j’ai été bien trop excitée pour craindre quoi que ce soit. Le jeune homme se trouvait derrière moi. Il a appuyé sur mes épaules pour me faire comprendre que je devais m’asseoir. J’ai posé mes fesses sur le zinc. Je commençais déjà à mouiller. A partir de là, tout s’est enchaîné très vite et c’est une explosion de sexe qui s’est produite dans le restaurant. Rapidement, tous les mecs présents ont retiré leurs vêtements. Tex a prudemment abaissé le rideau de fer.

    Le gars qui se trouvait dans mon dos avait pris mes seins et tirait sur mes tétons qui s’étaient mis à bander . Il les faisait rouler entre ses doigts. L’autre, celui qui s’était lancé le premier n’arrêtait pas de m’asticoter la chatte. Il me frottait la vulve avec le plat de sa main. Puis il m’a ouvert les cuisses et il a collé sa bouche contre mon con. Il m’a léchée la foune. Il me mangeait bien, buvait mon jus de salope qui coulait abondamment. Tout autour de moi, les regards des hommes se faisaient envieux, brillants. L’un d’eux s’est approché et m’a donné sa bite à sucer. Je l’ai enfournée dans ma bouche sans mesurer vraiment la portée de mes actes, sans penser qu’il me faudrait satisfaire chacun des gaillards qui m’entouraient.

    Je me suis retrouvée à quatre pattes sur le comptoir, trois ou quatre mecs plantés devant moi. Pendant que j’en suçais un, les autres se branlaient la verge pour se faire durcir en attendant leur tour. Derrière moi, on me fouillait le con. Je ne savais même pas combien de mains se partageaient mon orifice intime. Je sentais même des doigts qui s’affairaient sur mon derrière. Il faut dire que dans ma position j’offrais un accès total tant à mon trou du cul qu’à ma petite fente dégoulinante de mouille. Je m’entendais gémir et ça m’excitait fort. Je pompais de plus belle les beaux glands rouges qui se présentaient tour à tour devant mes lèvres avides de queues. C’était bon.

    J’ai continué à téter des bites pendant un bon moment, mais j’ai fini par me retrouver allongée sur le dos. Un premier sexe d’homme est venu remplacer les doigts qui m’ouvraient la moule. Je me suis sentie écartelée par le gros manche qui me perforait. Un mec tatoué était en train de me remplir le ventre. Il m’a limée pendant que je tournais la tête de droite et de gauche pour satisfaire les besoins de ses copains avec ma bouche, avec ma langue. J’ai aussi été prise en levrette par un homme bien monté pendant que je suçais ses amis. Je me trouvais de plus en plus chienne. Je n’étais pourtant pas encore au bout de mes surprises.

    Je crois que tous les types me sont passés dessus l’un après l’autre. Il doit même y en avoir un ou deux qui m’a juté dedans. Mais ils en voulaient plus. L’un d’eux, le plus vicieux s’est assis sur un fauteuil et m’a attirée vers lui. Je croyais qu’il en voulait lui aussi à ma chatte, mais c’était un tout autre orifice qu’il convoitait en réalité. Mon trou du cul avait été bien préparé par les caresses qu’il venait de subir. En plus, je dois avouer que j’adore me faire enculer et que mon anus se révèle assez souple pour engloutir des chibres de bonne taille. C’est donc sans grande difficulté que le gars a réussi à entrer son nœud dans mon fondement. J’étais bien.

    Tandis que je remuais du cul sur la pine qui me remplissait, un deuxième mec s’est avancé. Ses copains m’écartaient les cuisses au maximum. Il s’est glissé entre mes jambes et a posé son gros gland luisant sur ma fente. Il a poussé et est entré dans mon ventre, trouvant peu à peu sa place dans l’espace laissé libre par mon enculeur. J’ai cru un moment que j’allais m’ouvrir en dos sous la double pénétration que je subissais. J’avais la chatte en feu et je hurlais presque de plaisir. C’est devenu de plus en plus fort à chaque nouveau gars qui me grimpait dessus. Je crois qu’ils ont été trois à me sodomiser et que chacun des autres m’a prise par devant. Je ne sais plus très bien, je n’étais plus moi-même. Je branlais des queues de tous les côtés, je suçais, je gémissais. Même Tex, m’est passé sur le corps.

    Je me souviens par contre parfaitement du moment où ils ont tous fini par jouir. Brutalement, les bites qui m’entouraient se sont mises à cracher leur trop plein. J’en ai pris partout. L’homme qui était en train de me pilonner la foune m’a craché sur le ventre et les seins. Celui qui m’enculait s’est vidé dans mon cul. Le plus terrible, ça a été de prendre sur mon visage l’excès de foutre des autres. Ca semblait ne plus devoir s’arrêter. Le sperme coulait sur ma gueule, de longues rigoles de jus de couilles s’étalaient sur mes joues et sur mon menton, coulant jusqu’à ma poitrine et maculant mes nichons bandants. Je baignais dans le sperme chaud et je trouvais ça aussi bon que dégradant. Je n’ai pas pu résister à l’envie de tirer ma langue pour laper un peu du sirop qui se trouvait à ma portée. Dire que je ne savais même pas de quelles couilles il sortait !



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