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Piégée et forcée
Par Michelemimi dans Accueil le 13 Mars 2017 à 10:48piégée et forcée
Je savais que je ne devais pas les suivre mais c'était comme si une force particulière m’entraînait. Un couple libertin rencontré en vacances un soir me dirent :
« Tu devrais tenter l'expérience car en toi sommeille une soumise inavouée qui ne demande qu'à se révéler. »
Nous étions dans le grenier d'une vielle maison en cours de restauration. Louis avait pris une bouteille de vodka pour qu'on s'échauffe les sens. L'ambiance de ce grenier semblait leur plaire, ils se caressaient devant moi sans honte. Pour les laisser tranquilles, je me suis éloignée mais les râles de plaisir ont attisé ma curiosité.
Dans l'angle d'un mur derrière une vieille porte de bois, je les observais en me disant qu'ils avaient de la chance de pouvoir vivre leurs passions contrairement à moi qui suis trop timide. Ils ont raison sur une chose quand ils parlent de moi, j'aimerai être bousculée, prise comme une salope et m'éclater, les cordes et bondage comptent aussi de mes fantasmes mais entre mes rêves et la réalité, il y a un pas que je ne pensais pas franchir un jour. Trop occupée à mater Louis et Anna en me caressant discrètement, des ouvriers sont arrivés. Je ne les ai pas entendus mais ils m'ont surpris entrain de me caresser. Je me suis précipitée vers mes amis, et pour mon malheur, les ouvriers ont suivi.
Au lieu de me protéger, cet enfoiré de Louis dit aux ouvriers sans complexe alors qu'Anna avait encorre sa queue dans la bouche :
« Les gars, vous devriez vous occuper d'elle, Cette salope a envie de sexe mais n'ose pas !»
J'étais blême et je l'aurais tué.
« Pas de problème, on va la décoincer vo'te copine !» Répondit un des ouvriers en me poussant vers mes amis.
Il sont devenus rapidement très entreprenants avec moi. Anna avait disparu. Mais était-elle passée ? Les mains baladeuses des ouvriers sans gêne devenaient plus précises. Louis les a rejoint en m'ordonnant :
« A genoux chienne ! »
Comme je n'arrivais pas à m'y résoudre, ils m'ont appuyé sur les épaules pour me faire fléchir. A genoux face à Louis massant son sexe devant mon visage, j'ai alors compris que je n'aurai aucune aide de sa part, bien au contraire.
« Suce-le » criait un des ouvriers en me guidant la tête saur sa queue. J'étais morte de honte mais sous leur insistance j'ai fini par ouvrir ouvrir la bouche et engouffrer sa queue bien dure. Ils me touchaient les seins comme des malades en les malmenant et leurs donnant des claques.
L'un d'eux m'a attrapée par la nuque pour plaquer mon visage sur le sexe de Louis. Contrainte et forcée je l'ai pris en gorge profonde. Ca m'a fait comme un électrochoc. Un des ouvriers me tenait par les cheveux et me faisait faire des mouvements pour que je le « suce bien » pendant qu'un autre passait sa main sous ma jupe. J'avais beau le repousser, ses doigts sont entrés dans ma culotte et là, il a crié à tous le monde :
« Elle mouille la salope ! »
Quelle honte. Si j'avais pu passer entre les tuiles je me serai envolée comme un papillon affolé. Louis forçait ma bouche pendant que les ouvriers me malaxaient les seins ou me tripotaient la chatte. Mon chemiser a été ouvert brutalement. Mon soutien-gorge n'a pas résisté longtemps à leur fougue. Palpée de toute part, je ne savais plus où donner de la tête. Je disais « non » mais en même temps, je faisais tout ce qu'ils me disaient de faire. Quand un autre des ouvriers à sortie son sexe et me l'a présenté, je l'ai sucé lui aussi sans qu'il me le demande.
Pourquoi ai-je fait ça, pourquoi n'ai-je pas crié, pourquoi ne les ais-je pas mordus ? Je n'en sais rien. Au lieu de ça, j'ai accepté de sucer toutes les bites qui se présentaient devant ma bouche. L'un d'eux a attrapé ma culotte et l'a déchirée., ils s'amusaient à dire que je mouillais comme une salope. Pour me prouver que c'était vrai, l'un d'eux m'a carrément fait lécher ses doigts après m'avoir tripoté. Ils m'ont soulevée comme un pantin de chair, cuisses ouvertes, chatte à l'air prête à être baisée. Louis m'a pris. Sa verge dure m'a comblée totalement, si j'étais morte de honte, ses mouvements en moi me troublaient. Entre sa bite et les mains des ouvriers me malaxant les seins et me caressant le clitoris, j'ai rapidement senti monter en moi une onde de plaisir malsain.
Louis s'est retiré, j'ai cru qu'un autre aller prendre sa place et me violer mais au lieu de ça, l'un d'eux m'a enfoncé ses doigts dans la chatte pour me branler de l'intérieur comme un malade. A un moment il s'est passé quelque chose que je n'ai pas compris. J'avais honte, je criais, mon corps semblait décoller, ma vue s'est troublée, j'ai cru perdre connaissance tellement les sensations étaient fortes.
« C'est une vraie fontaine cette pute ! » cria celui qui me branlait comme un malade. J'ai jouis une première fois contre mon gré puis une seconde qui m'a faite hurler tellement c'était fort, puissant. A partir de ce moment là, je ne me souviens plus de grand-chose, j'ai été soulevée plus d'une fois et prise dans tous les sens, j'ai sucé des culs et des bites sans même opposer aucune résistance, je n'étais plus moi-même. J'y éprouvais un plaisir délirant.
Même si aujourd'hui j'ai encore honte j'avoue que j'ai vécu quelque chose de très fort, de si intense que je le revis seule le soir sous ma couette avec mes doigts. Je n'arrive plus à faire fontaine, à connaître cette jouissance qui m'a faite totalement décoller et que je n'avais jamais vécue avant. Louis m'a promis de me faire vivre d'autres choses et que cette fois ce serait dix fois plus fort encore. J'ai honte de le dire mais je n'ai pas dit non.
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