• Je vais vous raconter ma première soirée estudiantine.

    Je sortais beaucoup dans les bars et dans les boites de nuit avec mes copains et copines.

    Un soir, j’ai fait la rencontre d’un prof. Il devait avoir dans les quarante ans et il est venu m’accoster dans la boite de nuit où je passais un moment pour me proposer une petite soirée coquine avec ses amis. Comme j'étais un peu pompette, je lui ai dit pourquoi pas et quelques minutes plus tard j'étais chez lui. Il y avait une autre fille que j’avais déjà vue au bahu. Les mecs ont servi de quoi boire et ont mis de la musique. Au bout de quelques verres, l’ambiance c'est échauffé et des mains traînaient. Pour nous provoquer, les mecs se sont mis à poil et se sont baladés avec la bite à l’air. J’étais très excitée de voir ces hommes à poil. Des filles moins niaises que moi, se sont jetées sur les mecs et ont commencé à se faire peloter. J’ai très vite compris que cela allait finir en partouze. Je me suis surprise à être excitée en regardant les filles sucer les mecs à la chaîne sans se soucier de savoir qui elles avaient en bouche.

    Une d’entre elles est venue me chercher dans mon coin et m’a incitée à faire de même. J’ai posé mon verre et elle m’a mis un bandeau sur les yeux. J’ai senti des mains se balader sur mon corps et me déshabiller. Mes lèvres ont été forcées par une grosse bite que j’ai prise dans ma bouche et que j’ai sucée. Je mouillais abondamment la cyprine me coulait le long des cuisses. Je me suis retrouvée nue sur le canapé en train de sucer des bites et d’en branler d’autres. J’ai senti qu’on m’écartait les cuisses et qu’une langue venait me fouillait la chatte. C’était divin. Tellement divin, que je n’ai pas tardé à jouir. Une fois que j’ai repris mes esprits, on m’a enlevé le bandeau et j’ai vu que je devais mon orgasme à une des filles. C’était non seulement ma première partouze, mais aussi ma première expérience bisexuelle. Très vite, les hommes ont enfilé des préservatifs et sont venus entre nos cuisses pour nous prendre. Nous étions toutes emmêlées les unes sur les autres, une jambe d’un côté, un bras de l’autre, et les mecs passaient d’une chatte à l’autre et d’une bouche à l’autre. Voilà à quoi ressemblait une partouze.

    J’ai un peu craint lorsque les mecs sortaient de la chatte d’une des filles avec leur capote pleine de mouille et qui me la mettait dans la bouche, mais à part ça, c’était merveilleux. Je m’étais fait lécher par une autre fille et j’ai touché la chatte de deux filles en même temps. Les mecs nous ont retournées dans toutes les positions et nous ont fait aligner ensuite sur le canapé afin de venir chacun leur tour éjaculer leur foutre sur nos visages et nos poitrines. Les filles se sont embrassées avec le sperme des mecs et se sont tournées vers moi pour me faire la même chose. Que c’était bon ! Ils m’ont dit qu’ils organisaient cela chaque semaine avec des personnes différentes et que si je voulais en faire partie, il me suffisait de leur laisser mon numéro de téléphone, ce que j’ai fait.

    C’était ma première partouze et j’ai fait cela chaque semaine pendant huit mois. Ensuite, j’ai rencontré quelqu’un et j’ai arrêté. Mais ce n’est pas l’envie de recommencer qui me manque.

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  • 2 salopes dans un gangbang amateur avec double pipe et éjac faciale à gogo ! De vraies chiennes…


    Un bon gros gangbang amateur avec 2 belles salopes qui aiment sucer et se faire baiser par différents mecs en même temps ! Double fellation et éjaculation faciale pour ces superbes cochonnes ! Une vraie baise torride amatrice…
    gangbang amateur
    éjaculation faciale
    double fellation
    partouze amatrice



































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  • J'étais à coté de mon mari, à la place passager de son X6 flambant neuf. Je me suis regardée dans le miroir du pare-soleil. Je me trouvais jolie.

    Assise comme je l'étais, ma robe courte remontait haut dessus du bandeau de dentelles de mes bas tel le voulait Alain.



    Alain est
    intelligent, sensible, il s'occupe merveilleusement bien de moi et grâce à lui je n'ai plus besoin de travailler. Je me suis promise de m'offrir totalement à lui. J'accepte tout ce qu'il exige de moi. Je lui suis soumise et docile je ne dis jamais non. C'est ma façon de lui rendre tout ce qu'il m'offre de bonheur et de sécurité. Ce soir-là, Alain voulait que je fasse l'amour avec d'autres hommes devant lui. Il voulait me livrer à eux, que je me prête à toutes leurs exigences, que je sois la plus exquise des salopes. Ces hommes allaient me posséder qu'un instant alors que je resterais éternellement à la disposition de mon mari. Nous entrâmes dans un parking. Nous nous garâmes au premier niveau. Alain ouvrit ma portière, m’embrassa et me dit :

    « Michèle, rends moi fier. Fais tout ce qu'ils te demanderont. »

    Il me fit enlever ma robe. Je ne portais plus que des chaussures à talons et l'ensemble complet de lingerie qu'il avait acheté pour moi la veille. J'avais froid mais je ne voulais ni protester ni désobéir. 

    C
    'est là que je vis tous ces hommes qui n'attendaient que moi. Ils étaient au moins une douzaine. Je laissais Alain m'amener au centre du cercle que formaient ces mâles. Il m’embrassa dans le cou puis il glissa ses mains sous mon soutien-gorge. Je fermais les yeux. Il tira mon soutien-gorge vers le bas pour faire jaillir mes seins et il les empoigna brutalement. Il les malaxa puis il saisit mes pointes pour les serrer et les tirer. Je fronçais les sourcils en poussant un gémissement implorant mais mon mari ne me libéra pas immédiatement. Lorsqu’il lâcha mes lobes, ils eurent comme un mouvement de rebond et je vis dans le regard du type le plus proche de moi une envie bestiale dans ses yeux. Mon mari vint devant moi et il sortit un ciseau de sa poche pour couper ma culotte sur les côtés ainsi que mon soutien-gorge. Il les jeta au sol, je n'avais plus que mes bas et mes porte-jarretelles et en se retournant, il lançât :
    « Messieurs, e
    lle est à vous ! »



    Il recula de plusieurs mètres alors que les hommes autour de moi approchaient telle une meute assoiffée de sex. Je fermais les yeux. Il y eu quelques secondes d’hésitation puis une main se posa sur mon ventre avant d’être imitée par d'autres. On touchait mes seins, mes fesses, mes cuisses. Une langue força mes lèvres pour venir m'embrasser puis on me fit tourner le visage de l'autre côté pour en faire de même. On pinça un de mes tétons, puis les deux en même temps, on tira mes cheveux, on pétrit ma chair mais je me laissais faire. Je ne sais pas combien de temps cela dura. Certains me demandèrent :

    « T'aimes sucer ? »
    Je fis un hochement de tête pour répondre et je m'accroupis. L'un des types me fit tourner le visage vers l'entrejambe de celui qui était à ma droite et il garda sa main agrippée à mon menton pour me faire ouvrir la bouche. Un sexe trapu me forçât la bouche. J'étais en train de sucer un inconnu.



    Je pensais aux recommandations de mon mari et je fis de mon mieux pour satisfaire ce premier partenaire en m'imaginant que c'était Alain. Je le suçais amoureusement. Il semblait ravi mais bientôt ses deux compères voulurent goûter à ce plaisir aussi. Ils me firent me tourner vers une autre queue. Après cela, les trois queues alternèrent les allée et venues entre mes lèvres et je m'abandonnais en ne pensant qu'à mon mari et à la satisfaction qu'il devait ressentir en me voyant aussi obéissante.

    Cette folie n'était pas uniquement un sacrifice, j'avais souvent eu envie de vivre une expérience extrême et Alain était en train de me permettre de réaliser ce fantasme. C'est le moment que choisit l'un des trois hommes pour venir derrière moi. Il plaça ses mains sur mes seins et il se mit à les caresser pendant que les autres baisaient toujours la bouche. Il s’y prenait plutôt bien, mes pointes dardaient et je ne me forçais plus pour soupirer lascivement. Autour de nous, les types se déplaçaient sans cesse, cherchant le meilleur angle pour m'observer et ne rien perdre du spectacle et prendre des photos. Je fus bientôt relevée, un genou me força à écarter les jambes et une main me fit me pencher en avant. Je sentis aussitôt des doigts investir ma chatte trempée. J'étais dans un mélange de peur, d'excitation et de honte. Je tendis ma croupe et me cambrais pour être la salope idéale comme mon mari l'avait demandé. Je ne protestais pas non plus lorsqu'un doigt inquisiteur vint me masser la rosette.



    Alain a
    vait-t-il imaginé que ses hommes s'intéresseraient à mes fesses et cela dès le début ? Il était trop tard pour lui poser la question. Je ne pouvais me raccrocher qu’a ses consignes alors je creusais mes reins encore plus pour m'offrir à cette caresse dégradante.
    « 
    Farid. Je crois qu'on va vraiment s'amuser avec cette pute ! Elle a l'air chaude et ouverte. »

    La caresse continua, je me mis à onduler mes fesses et je me retournais en leurs lançant un regard de traînée en chaleur.
    « T'
    aimes vraiment ça toi. T'as envie qu’on te doigte le cul et qu'on en mette une grosse ? »

    Les mots de mon mari me revinrent encore une fois.

    « Sois le fantasme qu'ils auront pour le reste de leur vie ! »

    Alors je fis oui de la tête en continuant à tendre ma croupe. Le type derrière moi couvrit son index de salive et il vint le placer contre ma rondelle alors que le troisième larron m'écartait les fesses. Je tournais mon visage vers eux et je me mordis les lèvres en miaulant lorsque la première phalange s'enfonça dans mon fondement. Je me mordis les lèvres une nouvelle fois en regardant mes fornicateurs d'un soir et je murmurais une plainte pleine d’encouragements. Les yeux des hommes autour de moi brillaient comme ceux de gamins devant une vitrine d'une confiserie. J'avais l’impression de maitriser ma luxure.



    Mes amants changèrent de place alternant les rôles. L’un d’entre eux tenta de m’enfoncer son gros chibre dans le cul. Je soufflais alors des "oui" malgré la sensation désagréable et je m’offris de mon mieux. Ils voulurent goûter à cette expérience tous les trois, leur ballet autour de moi recommença et l’intensité de leurs attouchements alla crescendo. Je geignais, je criais parfois. Lorsqu’une verge pénétra ma bouche et qu'on me labourait le cul, un troisiéme laron vint me pénétrer la chatte. Le contact du gland contre mes muqueuses me fit frissonner et j'ouvris la bouche en grand pour hurler lorsqu'il fit céder mes muscles intimes. La verge que j'étais en train de sucer plongea dans ma gorge à m'en étouffer. Pour la première fois je fus prise de panique. Les deux types s'activèrent dans ma chatte et mon cul et me firent aussi mal l'un que l'autre. Je ne pouvais plus respirer avec cette queue qui forçait ma gorge. J'avais l'impression que j'allais vomir et que mes chairs se déchiraient. Je voulais me débattre. Je commençais même à trépigner et me cabrer pour m'échapper mais je parvins à me calmer en pensant encore une fois à mon mari.



    Je fis de mon mieux pour supporter ces secondes de folie. Je m'appliquais de nouveau, je soufflais et je poussais mes hanches à la rencontre des queues qui me pénétraient. Les lascars alternèrent les rôles plusieurs fois. Je ne savais plus qui me faisait quoi. Je n'étais plus qu'un trou à bites. Il fallut encore plusieurs rotations pour qu'il me vienne à l'esprit que je suçais des verges qui sortaient tout juste de mon fondement. Cela aurait dû me dégoûter mais je m'en moquais, seul comptais le fait d'être la parfaite chienne qu'Alain désirait voir.



    Notre curieux manège ne cessa pas mais les trois hommes arrêtèrent de venir entre mes lèvres, il se contentaient de me maintenir en position et d'écarter mes fesses pour celui qui me sodomisait. Mon corps avait fini par s'habituer à être pénétré de cette manière. Les hommes autour de nous scrutaient mon visage et mes réactions alors je leur en donnais pour leur argent. Régulièrement je lançais vers ces mâles des regards presque reconnaissants. Je crus croiser le regard d'Alain, cela me donna la force de continuer à jouer les chiennes malgré les coups de boutoir qui me ravageaient. Je glissais ma main jusqu'à mon bouton et je me caressais fébrilement alors que le mieux membré de mes trois amants me brutalisait. J'arrivais à peine à ne pas m'affaler sur le sol et je criais tellement il me faisait mal. Pourtant, le contact sur mon clitoris m'électrisa et poussée par la folie du moment autant que par mes sensations exacerbées, je parvins à jouir. Mon ventre me sembla pris de spasmes irrépressibles qui se mêlèrent aux appels à l'aide de mon pauvre petit cul. Mes yeux se révulsèrent et ma bouche laissa s'échapper autant de salives que de sonorités étranges. C'était divin et j'étais morte de honte.



    « 
    Qu'est-ce qu'elle est bonne cette salope! »

    « Tu m'étonnes. Que de l'anal, elle kiffe et elle en redemande ! »
    « A
    quatre pattes comme une chienne la pute ! »

    J'obéis malgré mes lombaires douloureuses et je vins me placer sur le carton qui avait été jeté au sol. Je m'attendais à être baisée rageusement dans cette nouvelle position mais je compris que les types n'en pouvaient plus.
    « 
    Cambre toi bien salope ! »

    Ils se masturbèrent au-dessus de moi et vinrent éjaculer en se déversant sur mon cul encore ouvert. C'était humiliant mais je jouais le jeu et je les laissais faire en sentant leur sperme couler sur mes fesses et mes cuisses. Lorsqu'ils eurent fini, je me sentais dégoûtante et collante quand Alain vint prendre ma main pour m'aider à me relever. Il me tendit une serviette et m'essuyais tant bien que mal.

    Alain me donna mon manteau puis il me prit par la main pour me ramener à la voiture. Ceux qui discutaient se turent et tous me regardèrent puis fixèrent mon époux. Il posa ses lèvres sur les miennes encore engluées de sperme et caressa mes cheveux puis il souffla.
    « Tu as été une bonne chienne. Je t'aime. V
    iens. On s'en va. »

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  • Cette histoire remonte à 15 ans. Mariés depuis 5 ans, nous étions totalement complices. Je n'ignorait rien des fantasmes d'Alain, ni lui des miens.  Nous adorions faire l’amour partout. Plusieurs fois, Alain se mettait volontairement en retrait et regardait les hommes me draguer ou tenter de me peloter. Je connaissant bien le fantasme préféré de mon coquin de mari qui était de me voir coucher avec d’autres hommes en même temps.

    Nous imaginions mille scénarios, parfois si réalistes que je me disais prête à les réaliser, mais je reculais toujours. C’est en parole qu’on s’excitait donc. Amoureuse et attentive à ses besoins, j'excellais dans le délire, aimant raconter des débauches imaginaires avec mes collègues de bureau, les blacks de la société de nettoyage, des inconnus ou des voisins. Connaissant l’effet magique de ce mot sur lui, j'aimais l'agacer en lui glissant à l’oreille :

    « J'aimerais te faire cocu  avec des blacks bien montés ou avec ton patron ! »

    Mais quand il m'incitait à passer à l'acte et me faire remplir de sperme d'inconnus, je n’osais pas lui avouant être paralysée à l’idée de devoir moi-même trouver des partenaires.

    « Si tu veux vraiment que je passe à l'acte, c'est toi qui choisira le mâles et organisera ces parties de jambes en l'air. »

    Pris au vif et croyant que pour moi c'était une sorte d'accord, il s’empressât de répondre à mon désir. Il n'eut pas eu à chercher loin, ses deux frères, des jumeaux, bavaient devant moi depuis longtemps. Ils furent bien sûr tout de suite d’accord d'entrer dans notre jeu. Au pied du mur, au grand plaisir de mon homme, dans le lit conjugal, il me vit enfin faire l’amour devant lui. Je m'ouvrais après de longues caresses aux membres impressionnant des jumeaux.

    Le lit grinçait légèrement, je gémissais, respirant fort. Christian me besognait avec vigueur tandis que je suçais son frère avec gourmandise. Ils grognèrent et se tendirent de concert pour se lâcher dans ma chatte et ma bouche. Mes yeux se révulsèrent, un orgasme profond m'envahit, je me crispais, tandis qu’un son rauque étouffé par la queue qui occupait ma bouche, sortit de ma gorge et accompagna l’orgasme qui déferla en moi.

    Le moment tant attendu par mon homme arriva. J'étais rempli de sperme et ses frères lui laissaient la place toute chaude et bien graissée. Je lui donnais le spectacle qu'il souhaitait avec mon ventre luisant de sueur, mes sombres tétons érigés, ma chatte englués de sperme. Il s’allongeât sur moi m’embrassant avec fougue. Dur comme du bois, il glissât à son tour son membre dressé dans mon vagin inondé et me pistonnât avec fougue. J'étais si engluée de sperme et de cyprine que le va et vient puissant de sa bite provoquait un étrange bruit de clapotis. Ces trois rapports à la file m'offrirent un nouvel orgasme violent qui me balaya juste avant qu'Alain éjacule.

    Quand nous reprîmes nos esprits, Christian et Thierry avaient disparu, nous laissant savourer intimement cette première expérience. Nous étions surexcités. Si je me suis sentis au début gênée, un peu crispée même, je doit avouer que j'ai adoré être prise trois fois de suite. Il me taquinât aussitôt en me disant :

    « Désormais tu pourras être prise plusieurs fois de suite et même en sandwich avec trois beaux mâles blacks. Maintenant à toi de trouver tes mecs. Ce premier pas franchi t’aiderât et tu me reviendras le sexe englué de leurs spermes mélangés. »

    « Mais t'es cinglé ! Quand je pense que ma sœur se plaint de la jalousie maladive de son mari, et moi, tu me pousse à partouzer ddevant toi ! » répondis-je en riant.

    Si c’est facile en fantasme, dans la vraie vie il n’est pas évident pour une femme mariée, même libre et poussée par son mari, de se jeter à la tête d’un homme ou d’un groupe d’homme. Nous sortîmes dans des boîtes et des endroits réputés pour être des lieux coquins et de rencontre. Un soir où j'avais trop bu, désinhibée, câlinée, caressée, embrassée par cinq jeunes. J'ai été prise par eux et mon homme sur le parking de la boite. L’éclairage n’était pas génial, mais suffisant pour ne rien rater du spectacle extraordinairement excitant que je donnais à ces inconnus.

    J'ai reçu cette nuit là sans protection le sperme surabondant de 6 mâles en rûtes. Chacun me posséda deux fois, sauf mon homme qui ne me prit qu’une seule fois, se réservant pour notre retour chez nous. Abattue, épuisée mais aussi consciente d’avoir participé à une orgie, j'étais poisseuse et dégoulinante de sperme. Une fois chez nous, Alain m'a aidé à me déshabiller, ce qui fut très rapide car je n'avais qu'une petite robe d'été. Puis, ne tenant pas compte de ma fatigue, il m'a baisé avec fougue, me laissant pantelante. Il m'avouât ensuite ne jamais avoir ressenti une excitation aussi vive que de tenir mon corps englué de sperme d'inconnus contre le sien.

    Deux ou trois fois par mois, désormais, je m'offrait à ses côtés soit à ses frères, soit à des blacks, dans des lieux divers et avec des candidats toujours nombreux. J'étais très excitée par les longues orgies avec les blacks où je subissais parfois durant plusieurs heures l’assaut de ces jeunes mâles en rûtes.

    Le temps passa rapidement à ce rythme. J'eus mes deux filles aussi belles l'une que l'autre. Redevenue plus sage, notre couple ne se priva pas, néanmoins, du renfort de ses frères qui, bien que s’étant mariés, se débrouillèrent toujours pour se libérer et éjaculer sans retenue dans leur jolie belle-sœur. Alain ne se lasse pas de me voir baisée et ensuite souillée de leurs spermes.

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  • Ces deux hommes pervers ont bien de la chance de pouvoir baiser cette toute jeune fille qui aime sentir tous ses orifices occupés. Cette coquine adore le cul et c'est un ravissement de la voir ainsi se faire sauter par ces deux mâles !

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