• Bonne chienne pour mon mari

    J'étais à coté de mon mari, à la place passager de son X6 flambant neuf. Je me suis regardée dans le miroir du pare-soleil. Je me trouvais jolie.

    Assise comme je l'étais, ma robe courte remontait haut dessus du bandeau de dentelles de mes bas tel le voulait Alain.



    Alain est
    intelligent, sensible, il s'occupe merveilleusement bien de moi et grâce à lui je n'ai plus besoin de travailler. Je me suis promise de m'offrir totalement à lui. J'accepte tout ce qu'il exige de moi. Je lui suis soumise et docile je ne dis jamais non. C'est ma façon de lui rendre tout ce qu'il m'offre de bonheur et de sécurité. Ce soir-là, Alain voulait que je fasse l'amour avec d'autres hommes devant lui. Il voulait me livrer à eux, que je me prête à toutes leurs exigences, que je sois la plus exquise des salopes. Ces hommes allaient me posséder qu'un instant alors que je resterais éternellement à la disposition de mon mari. Nous entrâmes dans un parking. Nous nous garâmes au premier niveau. Alain ouvrit ma portière, m’embrassa et me dit :

    « Michèle, rends moi fier. Fais tout ce qu'ils te demanderont. »

    Il me fit enlever ma robe. Je ne portais plus que des chaussures à talons et l'ensemble complet de lingerie qu'il avait acheté pour moi la veille. J'avais froid mais je ne voulais ni protester ni désobéir. 

    C
    'est là que je vis tous ces hommes qui n'attendaient que moi. Ils étaient au moins une douzaine. Je laissais Alain m'amener au centre du cercle que formaient ces mâles. Il m’embrassa dans le cou puis il glissa ses mains sous mon soutien-gorge. Je fermais les yeux. Il tira mon soutien-gorge vers le bas pour faire jaillir mes seins et il les empoigna brutalement. Il les malaxa puis il saisit mes pointes pour les serrer et les tirer. Je fronçais les sourcils en poussant un gémissement implorant mais mon mari ne me libéra pas immédiatement. Lorsqu’il lâcha mes lobes, ils eurent comme un mouvement de rebond et je vis dans le regard du type le plus proche de moi une envie bestiale dans ses yeux. Mon mari vint devant moi et il sortit un ciseau de sa poche pour couper ma culotte sur les côtés ainsi que mon soutien-gorge. Il les jeta au sol, je n'avais plus que mes bas et mes porte-jarretelles et en se retournant, il lançât :
    « Messieurs, e
    lle est à vous ! »



    Il recula de plusieurs mètres alors que les hommes autour de moi approchaient telle une meute assoiffée de sex. Je fermais les yeux. Il y eu quelques secondes d’hésitation puis une main se posa sur mon ventre avant d’être imitée par d'autres. On touchait mes seins, mes fesses, mes cuisses. Une langue força mes lèvres pour venir m'embrasser puis on me fit tourner le visage de l'autre côté pour en faire de même. On pinça un de mes tétons, puis les deux en même temps, on tira mes cheveux, on pétrit ma chair mais je me laissais faire. Je ne sais pas combien de temps cela dura. Certains me demandèrent :

    « T'aimes sucer ? »
    Je fis un hochement de tête pour répondre et je m'accroupis. L'un des types me fit tourner le visage vers l'entrejambe de celui qui était à ma droite et il garda sa main agrippée à mon menton pour me faire ouvrir la bouche. Un sexe trapu me forçât la bouche. J'étais en train de sucer un inconnu.



    Je pensais aux recommandations de mon mari et je fis de mon mieux pour satisfaire ce premier partenaire en m'imaginant que c'était Alain. Je le suçais amoureusement. Il semblait ravi mais bientôt ses deux compères voulurent goûter à ce plaisir aussi. Ils me firent me tourner vers une autre queue. Après cela, les trois queues alternèrent les allée et venues entre mes lèvres et je m'abandonnais en ne pensant qu'à mon mari et à la satisfaction qu'il devait ressentir en me voyant aussi obéissante.

    Cette folie n'était pas uniquement un sacrifice, j'avais souvent eu envie de vivre une expérience extrême et Alain était en train de me permettre de réaliser ce fantasme. C'est le moment que choisit l'un des trois hommes pour venir derrière moi. Il plaça ses mains sur mes seins et il se mit à les caresser pendant que les autres baisaient toujours la bouche. Il s’y prenait plutôt bien, mes pointes dardaient et je ne me forçais plus pour soupirer lascivement. Autour de nous, les types se déplaçaient sans cesse, cherchant le meilleur angle pour m'observer et ne rien perdre du spectacle et prendre des photos. Je fus bientôt relevée, un genou me força à écarter les jambes et une main me fit me pencher en avant. Je sentis aussitôt des doigts investir ma chatte trempée. J'étais dans un mélange de peur, d'excitation et de honte. Je tendis ma croupe et me cambrais pour être la salope idéale comme mon mari l'avait demandé. Je ne protestais pas non plus lorsqu'un doigt inquisiteur vint me masser la rosette.



    Alain a
    vait-t-il imaginé que ses hommes s'intéresseraient à mes fesses et cela dès le début ? Il était trop tard pour lui poser la question. Je ne pouvais me raccrocher qu’a ses consignes alors je creusais mes reins encore plus pour m'offrir à cette caresse dégradante.
    « 
    Farid. Je crois qu'on va vraiment s'amuser avec cette pute ! Elle a l'air chaude et ouverte. »

    La caresse continua, je me mis à onduler mes fesses et je me retournais en leurs lançant un regard de traînée en chaleur.
    « T'
    aimes vraiment ça toi. T'as envie qu’on te doigte le cul et qu'on en mette une grosse ? »

    Les mots de mon mari me revinrent encore une fois.

    « Sois le fantasme qu'ils auront pour le reste de leur vie ! »

    Alors je fis oui de la tête en continuant à tendre ma croupe. Le type derrière moi couvrit son index de salive et il vint le placer contre ma rondelle alors que le troisième larron m'écartait les fesses. Je tournais mon visage vers eux et je me mordis les lèvres en miaulant lorsque la première phalange s'enfonça dans mon fondement. Je me mordis les lèvres une nouvelle fois en regardant mes fornicateurs d'un soir et je murmurais une plainte pleine d’encouragements. Les yeux des hommes autour de moi brillaient comme ceux de gamins devant une vitrine d'une confiserie. J'avais l’impression de maitriser ma luxure.



    Mes amants changèrent de place alternant les rôles. L’un d’entre eux tenta de m’enfoncer son gros chibre dans le cul. Je soufflais alors des "oui" malgré la sensation désagréable et je m’offris de mon mieux. Ils voulurent goûter à cette expérience tous les trois, leur ballet autour de moi recommença et l’intensité de leurs attouchements alla crescendo. Je geignais, je criais parfois. Lorsqu’une verge pénétra ma bouche et qu'on me labourait le cul, un troisiéme laron vint me pénétrer la chatte. Le contact du gland contre mes muqueuses me fit frissonner et j'ouvris la bouche en grand pour hurler lorsqu'il fit céder mes muscles intimes. La verge que j'étais en train de sucer plongea dans ma gorge à m'en étouffer. Pour la première fois je fus prise de panique. Les deux types s'activèrent dans ma chatte et mon cul et me firent aussi mal l'un que l'autre. Je ne pouvais plus respirer avec cette queue qui forçait ma gorge. J'avais l'impression que j'allais vomir et que mes chairs se déchiraient. Je voulais me débattre. Je commençais même à trépigner et me cabrer pour m'échapper mais je parvins à me calmer en pensant encore une fois à mon mari.



    Je fis de mon mieux pour supporter ces secondes de folie. Je m'appliquais de nouveau, je soufflais et je poussais mes hanches à la rencontre des queues qui me pénétraient. Les lascars alternèrent les rôles plusieurs fois. Je ne savais plus qui me faisait quoi. Je n'étais plus qu'un trou à bites. Il fallut encore plusieurs rotations pour qu'il me vienne à l'esprit que je suçais des verges qui sortaient tout juste de mon fondement. Cela aurait dû me dégoûter mais je m'en moquais, seul comptais le fait d'être la parfaite chienne qu'Alain désirait voir.



    Notre curieux manège ne cessa pas mais les trois hommes arrêtèrent de venir entre mes lèvres, il se contentaient de me maintenir en position et d'écarter mes fesses pour celui qui me sodomisait. Mon corps avait fini par s'habituer à être pénétré de cette manière. Les hommes autour de nous scrutaient mon visage et mes réactions alors je leur en donnais pour leur argent. Régulièrement je lançais vers ces mâles des regards presque reconnaissants. Je crus croiser le regard d'Alain, cela me donna la force de continuer à jouer les chiennes malgré les coups de boutoir qui me ravageaient. Je glissais ma main jusqu'à mon bouton et je me caressais fébrilement alors que le mieux membré de mes trois amants me brutalisait. J'arrivais à peine à ne pas m'affaler sur le sol et je criais tellement il me faisait mal. Pourtant, le contact sur mon clitoris m'électrisa et poussée par la folie du moment autant que par mes sensations exacerbées, je parvins à jouir. Mon ventre me sembla pris de spasmes irrépressibles qui se mêlèrent aux appels à l'aide de mon pauvre petit cul. Mes yeux se révulsèrent et ma bouche laissa s'échapper autant de salives que de sonorités étranges. C'était divin et j'étais morte de honte.



    « 
    Qu'est-ce qu'elle est bonne cette salope! »

    « Tu m'étonnes. Que de l'anal, elle kiffe et elle en redemande ! »
    « A
    quatre pattes comme une chienne la pute ! »

    J'obéis malgré mes lombaires douloureuses et je vins me placer sur le carton qui avait été jeté au sol. Je m'attendais à être baisée rageusement dans cette nouvelle position mais je compris que les types n'en pouvaient plus.
    « 
    Cambre toi bien salope ! »

    Ils se masturbèrent au-dessus de moi et vinrent éjaculer en se déversant sur mon cul encore ouvert. C'était humiliant mais je jouais le jeu et je les laissais faire en sentant leur sperme couler sur mes fesses et mes cuisses. Lorsqu'ils eurent fini, je me sentais dégoûtante et collante quand Alain vint prendre ma main pour m'aider à me relever. Il me tendit une serviette et m'essuyais tant bien que mal.

    Alain me donna mon manteau puis il me prit par la main pour me ramener à la voiture. Ceux qui discutaient se turent et tous me regardèrent puis fixèrent mon époux. Il posa ses lèvres sur les miennes encore engluées de sperme et caressa mes cheveux puis il souffla.
    « Tu as été une bonne chienne. Je t'aime. V
    iens. On s'en va. »

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