• Mon mari aime me voir avec des inconnus

    Cette histoire remonte à 15 ans. Mariés depuis 5 ans, nous étions totalement complices. Je n'ignorait rien des fantasmes d'Alain, ni lui des miens.  Nous adorions faire l’amour partout. Plusieurs fois, Alain se mettait volontairement en retrait et regardait les hommes me draguer ou tenter de me peloter. Je connaissant bien le fantasme préféré de mon coquin de mari qui était de me voir coucher avec d’autres hommes en même temps.

    Nous imaginions mille scénarios, parfois si réalistes que je me disais prête à les réaliser, mais je reculais toujours. C’est en parole qu’on s’excitait donc. Amoureuse et attentive à ses besoins, j'excellais dans le délire, aimant raconter des débauches imaginaires avec mes collègues de bureau, les blacks de la société de nettoyage, des inconnus ou des voisins. Connaissant l’effet magique de ce mot sur lui, j'aimais l'agacer en lui glissant à l’oreille :

    « J'aimerais te faire cocu  avec des blacks bien montés ou avec ton patron ! »

    Mais quand il m'incitait à passer à l'acte et me faire remplir de sperme d'inconnus, je n’osais pas lui avouant être paralysée à l’idée de devoir moi-même trouver des partenaires.

    « Si tu veux vraiment que je passe à l'acte, c'est toi qui choisira le mâles et organisera ces parties de jambes en l'air. »

    Pris au vif et croyant que pour moi c'était une sorte d'accord, il s’empressât de répondre à mon désir. Il n'eut pas eu à chercher loin, ses deux frères, des jumeaux, bavaient devant moi depuis longtemps. Ils furent bien sûr tout de suite d’accord d'entrer dans notre jeu. Au pied du mur, au grand plaisir de mon homme, dans le lit conjugal, il me vit enfin faire l’amour devant lui. Je m'ouvrais après de longues caresses aux membres impressionnant des jumeaux.

    Le lit grinçait légèrement, je gémissais, respirant fort. Christian me besognait avec vigueur tandis que je suçais son frère avec gourmandise. Ils grognèrent et se tendirent de concert pour se lâcher dans ma chatte et ma bouche. Mes yeux se révulsèrent, un orgasme profond m'envahit, je me crispais, tandis qu’un son rauque étouffé par la queue qui occupait ma bouche, sortit de ma gorge et accompagna l’orgasme qui déferla en moi.

    Le moment tant attendu par mon homme arriva. J'étais rempli de sperme et ses frères lui laissaient la place toute chaude et bien graissée. Je lui donnais le spectacle qu'il souhaitait avec mon ventre luisant de sueur, mes sombres tétons érigés, ma chatte englués de sperme. Il s’allongeât sur moi m’embrassant avec fougue. Dur comme du bois, il glissât à son tour son membre dressé dans mon vagin inondé et me pistonnât avec fougue. J'étais si engluée de sperme et de cyprine que le va et vient puissant de sa bite provoquait un étrange bruit de clapotis. Ces trois rapports à la file m'offrirent un nouvel orgasme violent qui me balaya juste avant qu'Alain éjacule.

    Quand nous reprîmes nos esprits, Christian et Thierry avaient disparu, nous laissant savourer intimement cette première expérience. Nous étions surexcités. Si je me suis sentis au début gênée, un peu crispée même, je doit avouer que j'ai adoré être prise trois fois de suite. Il me taquinât aussitôt en me disant :

    « Désormais tu pourras être prise plusieurs fois de suite et même en sandwich avec trois beaux mâles blacks. Maintenant à toi de trouver tes mecs. Ce premier pas franchi t’aiderât et tu me reviendras le sexe englué de leurs spermes mélangés. »

    « Mais t'es cinglé ! Quand je pense que ma sœur se plaint de la jalousie maladive de son mari, et moi, tu me pousse à partouzer ddevant toi ! » répondis-je en riant.

    Si c’est facile en fantasme, dans la vraie vie il n’est pas évident pour une femme mariée, même libre et poussée par son mari, de se jeter à la tête d’un homme ou d’un groupe d’homme. Nous sortîmes dans des boîtes et des endroits réputés pour être des lieux coquins et de rencontre. Un soir où j'avais trop bu, désinhibée, câlinée, caressée, embrassée par cinq jeunes. J'ai été prise par eux et mon homme sur le parking de la boite. L’éclairage n’était pas génial, mais suffisant pour ne rien rater du spectacle extraordinairement excitant que je donnais à ces inconnus.

    J'ai reçu cette nuit là sans protection le sperme surabondant de 6 mâles en rûtes. Chacun me posséda deux fois, sauf mon homme qui ne me prit qu’une seule fois, se réservant pour notre retour chez nous. Abattue, épuisée mais aussi consciente d’avoir participé à une orgie, j'étais poisseuse et dégoulinante de sperme. Une fois chez nous, Alain m'a aidé à me déshabiller, ce qui fut très rapide car je n'avais qu'une petite robe d'été. Puis, ne tenant pas compte de ma fatigue, il m'a baisé avec fougue, me laissant pantelante. Il m'avouât ensuite ne jamais avoir ressenti une excitation aussi vive que de tenir mon corps englué de sperme d'inconnus contre le sien.

    Deux ou trois fois par mois, désormais, je m'offrait à ses côtés soit à ses frères, soit à des blacks, dans des lieux divers et avec des candidats toujours nombreux. J'étais très excitée par les longues orgies avec les blacks où je subissais parfois durant plusieurs heures l’assaut de ces jeunes mâles en rûtes.

    Le temps passa rapidement à ce rythme. J'eus mes deux filles aussi belles l'une que l'autre. Redevenue plus sage, notre couple ne se priva pas, néanmoins, du renfort de ses frères qui, bien que s’étant mariés, se débrouillèrent toujours pour se libérer et éjaculer sans retenue dans leur jolie belle-sœur. Alain ne se lasse pas de me voir baisée et ensuite souillée de leurs spermes.

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