• « Bonjour Madame ! »

    Elle ne répond pas et me détaille des pieds à la tête. Au-dessus d'elle il y a une peinture qui la représente nue dans une position plutôt suggestive.

     

     

    Prise dans mes pensées à regarder ce tableau, je sursaute quand elle m'adresse la parole sur un ton froid et dominateur :

    « Physiquement, vous me convenez. Je veux avoir quelque chose, d'agréable à regarder en me réveillant le matin. »

    Ces bourges friqués ne sont pas délicats. Je ne suis pas un objet quand même.

    Elle reprend :

    « Oui, physiquement vous me convenez. Mais je veux une bonne obéissante et stylée. Montrez-moi comment vous faites une révérence ! »

    Je me dis qu'elle est tarée. Une révérence??? Je lui demande :

    « Euh…comme Marilyn quand elle rencontre la reine d'Angleterre, Madame? »

    « Par exemple ! Voyons ça ? »

    Alors, je fais une révérence. Je me sens ridicule. Moi la rebelle, me voilà à faire une révérence.

    « Pas trop mal ! Je me moque que vous ayez de l'expérience. Votre physique me suffit. Du moment que votre éducation progresse comme je le souhaite. Un mois d'essai. Nourrie, logée. 1000 francs par mois. C'est un beau salaire, mais je veux que vous soyez absolument Obéissante. »

    Le salaire est inespéré et j'ai envie de lui sauter au coup.

    « Quel est votre prénom jeune gourgandine? »

    Gourgandine ? Décidément ces gens sont bizarres.

    « Michèle, Madame. » 

    Elle fait la grimace.

    « Michèle ? Çà me déplaît ! C'est tellement vulgaire comme prénom ! Ici, vous serez... Voyons...Vous serez...Lucie... Non… Lasie... Oui Lasie c'est bien mieux ! » Dit-elle presque en sautant de joie, tellement heureuse de sa trouvaille.

    Mais dans quelle maison suis-je tombée ???

    « Ah oui, encore une chose, mon époux et moi nous sommes libertins et le weekend, nous organisons des dîners où vous devrez servir très peu vêtue. »

    Les dessous de Michèle 2

    Mouai, Je me doutais bien qu'avec un salaire pareille, il y avait anguille sous roche. De ce côté, j'ai quand même un peu plus d'expérience que dans le ménage. Je voulais des règles stricts, je pense que je vais les avoir ici, mais pas dans le sens que j'imaginais. Les yeux baissés, je lui dis comme soumise :

    « Je ferai comme vous désirerez Madame. »

    « Parfait ! Et bien justement déshabillez vous, que je puisse juger de votre plastique ! »

    « Heu,,,Mais c'est très gênant Madame ! »

    La voix de la Maîtresse de maison se fait plus dure.

    « C'est pour aujourd'hui ou pour demain? »

    Je sursaute presque sur le ton adopté. Je me dénude tremblante et me retrouve juste en chaussures devant elle.

     

     

    Mon employeuse fait la moue.

    « Tournez-vous ! Vous êtes appétissante... A propos, il faudra vous épiler, c'est dégoûtant tous ces poils. »  

    « Bien Madame. »

    Elle appelle son mari. Je me cache tant bien que mal un peu paniquée. Il souri en entrant dans la pièce et apprécie le spectacle que j'offre.

     

     

    Elle lui lance :

    « Elle est pas mal, la nouvelle bonne qu'en dites vous cher ami ? »

    « Oui, elle est … avenante à souhait ma chère. Je pense qu'elle convient! »     

    Elle lui dit :

    « Cher ami, auriez vous l'obligeance de montrer à notre servante sa chambre ? »

    « Avec plaisir ma chère ! »

    En montant l'escalier, Monsieur me prévient.

    « Ma femme aime bien faire marcher son personnel à la baguette au sens litéral du terme. Alors, ne la contrariez pas. »

    3Loin de moi cette idée Monsieur ! J'ai besoin de travailler, Monsieur et aussi d'un peu de discipline dans ma vie. »

    Il rigole à gorge déployé en me répondant :

    « Pour ça, comptez sur elle et sur moi. Vous allez être servie côté discipline !!! »  

    Je sens qu'elle va être spéciale ma nouvelle vie. Ma chambre est petite, avec juste un lit et une armoire, mais avec une salle de bain. Sur le lit, il y a un uniforme. Ma nouvelle tenue de travail.

     

     

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  • Tout a commencé par un chagrin d'amour.   

    Il arrive un moment où il n'y a plus moyen de recoller les morceaux.

    Sa dernière phrase, "Tire toi, dégage!", a été la phrase de trop. J'ai mis tout ce que j'avais dans une petite valise, je me suis tirée et je ne l'ai plus jamais revu.

    Je suis partie dans la nuit, avec ma valise dans une main et mon chagrin comme un boulet à un pied.

    J'ai été retrouver des copains… J'ai bu, j'ai pleuré… Je me suis faite sauté à qui mieux mieux.

    Baisée sur la plage en public

    Un midi, je suis allée boire un verre en ville. Il faisait beau, je buvais une bière-pression. Un jeune guitariste est venu chanter "Hôtel California" et ensuite, il a fait la manche. Quand il est arrivé à moi, je lui ai dit :

    « Je suis fauchée, mais je peux te donner un coup de main pour la manche. »

    Je l'ai vu hésiter, il m'a regardé et ça l'a convaincu. On a été à une autre terrasse, j'ai été de table en table, en disant n'importe quoi.

    « Aidez deux jeunes mariés à partir en voyage de noces. » 

    Les gens, ça les a fait sourire et ça a marché. Au bout d'une heure, on avait un belle somme. Le gars était ravi. Il m'a proposé :

    « Il y a une soirée techno ce soir, on va faire la fête. »

     

    J'ai décliné son offre. Je n'étais pas prête pour une nouvelle liaison. J'ai acheté le courrier de la Saône et j'ai regardé les offres d'emploi. Vendeuse... serveuse... j'avais déjà donné. Me connaissant, je sais que j'allais me faire draguer et me faire baiser par des inconnus ou des clients. Dans la rubrique "gens de maison", il y avait une annonce plus importante que les autres, entourée d'un trait gras. Ça disait ceci : "Cherchons une bonne à tout faire, jolie et stylée. Bon salaire, logée et nourrie". Il me fallait  un boulot qui me prenne la tête et où il y a des règles à respecter. Bonne à tout faire, ça me disciplinerait. J'étais un chatte sauvage, j'allais me transformer en chatte stylée. J'ai téléphoné et j'ai eu un rendez-vous pour le lendemain.

    Nue au téléphone

    Je m'imaginais déjà dans un joli uniforme de soubrette, "lutinée" par un patron séduisant... J'allais être servie!

    Soubrette sexy

    La "résidence" se trouve  isolée en pleine campagne entourée d'un bois. J'arrive devant les grilles d'une énorme propriété entourée de hauts murs. Deux dobermans m’accueillent en aboyant . C'est pas rassurant. Je sonne à l'interphonne.

    « C'C'est pour la place de bonne ! »

    Les grilles s'ouvrent et les chien m'accompagne un manoir. La porte du manoir s'ouvre et un homme d'une cinquantaine d'années m'accueille.

    « Bonjour, jeune fille, ma femme va vous recevoir. »

    Je rentre dans la pièce où ce trouve une femme hautaine, dominatrice, habillée très … baroque... curieux me dis-je sur le coup.

     

     

     

     

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  •  

     

    oPendant qu'Alain faisait la vaisselle, je finissais de faire notre valise et nettoyer l'appartement. Quand tout fût fini mon compagnon me proposa d'aller faire une petite promenade le long de la plage. J'acceptais avec plaisir et main dans la main, nous repensions chacun à tous ces merveilleux moments que nous avons passé ici. Notre rencontre avec nos amis Corine et Jacques, le dépucelage de leur fils David, des voyeurs se masturbant en matant ma chatte, à notre partouze d'hier soir sans toutefois ne rien se dire. Le soleil dardait déjà sur nos fesses. Je proposais à Alain de nous réfugier dans les dunes. Nous nous sommes installés dans un petit creux sur nos draps de bain. Je ne fus pas longue à m'endormir en repensant à tous mes amants et à cette nuit agitée.

    Je fus réveillée par une main qui titillait mon clitoris encore endolori de la veille. Alain me caressait la chatte. On s'enlaça et on s'embrassa.  Je lui caressais son sexe déjà en érection et lui me glissait ses doigts dans mon abricot juteux. Nous étions très excités repensant chacun de son côté à ces sexes inconnus que nous avons caressés et sucés.

    Alain me pénétra en montant sur moi me faisant l'amour comme un dieu. Nus dans ces dunes désertées par l'heure matinale, faisant l'amour au soleil, sans pudeur, ni complexe, nous étions seuls au monde et nous prîmes notre pied.

     Alain se retira et j'essuyais sa semence qui s'écoulait de ma chatte. Nous pensions être seul mais il y avait un voyeur en face de nous qui se tripotait la quéquette et ne devait pas avoir manqué une miette de notre baise en plein air. Je me demandais même si Alain n'avait pas commencé à me chatouiller la minette dès qu'il avait vu notre mateur roder autour de nous. Voyant que je lui faisais de l'effet, Alain lui proposa:

    « Ne reste pas comme ça ! Viens, elle va te sucer et tu pourra la sauter si tu veux. Elle n'attend que ça ! »

    Le salopard, il lui proposait de me baiser, sans me demander mon avis. Le voyeur s'approcha et  s'installa entre mes jambes ouvertes prêtes à le recevoir. Ma chatte était encore grasse du sperme de mon homme. En tout cas, il s'enfonça en moi en me roulant une pelle. D'une main il me pétrissait les seins. Il mît mes jambes sur ses épaules pendant qu'il donnait des coups de reins et me laboura la chatte en profondeur.  

    Alain pendant ce temps se masturbait devant le spectacle que je lui offrais. J'étais offerte à lui par mon compagnon qui prenais du plaisir à me regarder. Le jeune homme était si excité qu'il éjacula dans les cinq minutes qui suivirent. Il retira sa queue de mon abricot et il nous remercia tous les deux.

    « Ta femme est trop bonne. Pourquoi ne viendriez vous pas ce soir chez moi ? »

    « C'est très gentil mais nous partons aujourd'hui et nous avons d'autres amis à qui nous devons dire au revoir ! »

    Il insistait lourdement.

    « Je vous invite au restaurant ce soir. Vous partirez que demain matin si vous voulez. »

    « Vous insistez tant. Bon... ok mais dés demain matin nous dégageons ! »

    C'est bras dessus bras dessous que nous repartons le long de la plage en devisant de ce qu'allait être la soirée. Le soir, nous nous présentons au rendez-vous de cet inconnu.

    « Bonsoir, c'est très gentil de nous avoir invité à passer une dernière nuit chez vous ! » lança Alain.

      « Je vous en prie, votre femme est trop bonne! Après le dîner, j'ai penser qu'il serait intéressant de livrer votre femme en allant chez un de mes amis et partager une autre forme de fantasmes. Si cela vous tente bien entendu. »

    « He bien pourquoi pas ! Nous sommes ouvert à toute nouvelle expérience. »

    Durant le repas, Marc ne se gênait pas pour me tripoter devant Alain qui regardait son manège avec un sourire coquin.

    Après le repas, nous nous sommes rendu chez son ami.  Au bout d'une longue allée se dressait une jolie maison bourgeoise. Nous fument accueillis à bras ouverts par un homme d'un certain âge aux cheveux blancs.

    "Cela fait plaisir de vous revoir!" dit-il  en s'adressant à Marc puis se tournant vers nous, il me prît dans ses bras en disant:

    « Vous êtes les bienvenus, venez nous allons ouvrir une bouteille de champagne pour cette merveilleuse occasion. »

    Marc raconta à son ami qu'il m'avait baisé dans les dune le matin même et que j'étais..." très accueillante".

    « Fait découvrir à Michèle, les installations que tu as réalisé dans ta demeure. Je suis certain qu'elle aimera les essayer ! »

    Me prenant par la taille, il m'emmena pour me faire visiter son antre. Au sous-sol, une pièce était entièrement aménagée d'instruments BDSM (chaînes, menottes, fouets etc..).

    « Vous voyez les hommes qui souhaite dresser ou punir leurs femmes les amènent chez moi car je suis bien équipé! Est-ce que cela vous tente d'essayer? Je peux vous faire bénéficier d'une séance très soft si vous le souhaitez. Je suis expert en la matière." dit-il.

    Je regardais Alain apeurée mais curieuse. Le fait qu'il soit présent, me rassurait et je lui retondis :

    « Je n'ai jamais essayé ce genre de pratique. »

     Maître Jean  revint avec des cordes. Ni une ni deux, les hommes me retournèrent comme une crêpe. Notre ôte n'était déjà plus  l'homme charmant qui nous avait reçu. Le ton de sa voix avait changé. Ils m'attachèrent les pieds et les mains à une croix de St André. Puis, Maître Jean muni d'un fouet, commença à me frapper doucement. Les lanières effleuraient mon postérieur et mon sexe. Je n'étais pas contente après Alain de me laisser me faire ainsi fouetter par cet inconnu. 

     

    Il s’arrêtât pour me fouiller la chatte.

    « Tu mouilles salope, je vais te montrer si tu as le droit de prendre du plaisir. »

    Ses mots me glacèrent le sang. Il reprit son fouet et cingla mes fesses plus violemment cette fois. Les lanières du fouet claquèrent également sur ma foufoune. J'ai laissé échapper un petit cri de douleur en me cabrant. La séance de fouet dura encore un moment. Je devais avoir les fesses toutes rouges et zébrées par les coups de fouet.

    « Arrêtez, je vous en prie ! »

    Il cessa de me frapper en me disant:

    "Appelle moi Maître putain!"

    Sa main glissa entre mes fesses et fouilla ma pépette, son pouce s'enfonça dans mon fion. Je me suis surprise malgré la douleur à l'accompagner de petits coups de reins. 

    « C'est bon pour aujourd'hui ! Pour une première séance ce n'est pas mal. »

    Il retira mes liens en disant:

    "Maintenant, nous allons te donner du plaisir ma belle salope! Tous les trois se sont mis à me caresser et me tripoter de partout en guise de préliminaires mais je n'avais pas besoin de cela. J'étais chaude comme de la braise. Nous nous sommes enlacés dans une multitudes de positions.

    Après avoir bien joui, nous nous sommes retrouvés tous dans le salon autour d'une coupe de champagne. Maître Jean voulait que nous restions.

    « Michèle, tu semble bien apprécier ce genre d'amusement ! Si tu veux  approfondir la pratique du SM, tu es la bienvenue. »

    « Je vous remercie Maître. Je ne dis pas non car j'ai éprouvé de nouvelles sensations et serais prête à être éduquée dans ce sens par un tel expert que vous. »

    « Mais il en tient qu'à vous Michèle et je suis certain qu'Alain aimerait que vous continuiez cette nuit votre....  "apprentissage" ! »

    « Oui ma chérie, tu es si belle quand tu joui dans la douleur ! »

     

    « Bien si c'est pour te faire plaisir...... ! »

    Ma curiosité et l'amour pour Alain m'a poussée à aller plus loin dans le SM.

    Nous sommes retourné dans cette fameuse salle.  Maître Jean s'adressa alors à Alain:

    « Ici, vous ne serez que spectateur et à aucun moment ne devrez intervenir  dans mon travail de dressage!"

    "Oui bien entendu mais j'aimerais prendre quelques photos? »

    « Bien entendu, Il vous faudra des souvenirs ! »

    Le Maître m'installa sur un de ses engins de torture. A quatre pattes pieds et mains liés, les fesses à l'air sur une sorte de chevalet, tout en m'insultant.

    « Petite pute, tu veux être traité comme une chienne devant ton mec et ton amant ? Pour te punir d'être une grosse coche, tu vas subir une sévère correction. »

    Il commença à me fouetter pour rougir mon corps, Je gémissais et me tortillais sous les coups Mais ils restaient supportables. Il savait y faire.

    Alain prenaient des tonnes de photos. Après un quart d'heure de repos, il reprit de plus bel me fouettant le tout le corps de plus en plus fort.

    « Écartes tes cuisses de salope que je regarde si tu mouilles. »

    Il passa sa main entre mes jambes et la plaqua sur ma chatte trempée.

    « Tu mouilles grosses salope! T'es qu'une chienne en chaleur! Je vais te donner une correction que tu te souviendra ! »

    Il me fouetta de nouveau jusqu'à ce que je le supplie d'arrêter. A chaque coup de fouet mon corps se cambrait de douleur. Je vais avoir les traces des lanières pour plusieurs jours. Maître Jean appela un homme que je ne connaissais pas. Les deux hommes se mirent complètement nus. Alain et Marc, se repaissaient du spectacle sans rien dire. Le nouveau venu plaqua sa main sur ma bouche, tandis que mon Maître barbouillait mon abricot et mon cul d'un gel lubrifiant. Je pressentais de ce qui allait venir. L'envie d'être baisée me prenait dans le bas du ventre. Maître Jean m'installa dans un siège de gynécologue en attachant mes pieds et mes mains pour que je ne puisse pas me débattre. La chatte écartelée, Maître Jean invitât les hommes présent à me fourrer la chatte lubrifiée. Ils me baisèrent chacun leur tour.

    Après s'être tous vidé dans ma chatte et mon cul, il me dit:   

    "Est-ce que tu as aimé ton dressage salope? Il faudrait maintenant que ton compagnon te dresse un peu pour que tu deviennes une vraie chienne soumise.  Tu peux toujours venir me voir quand tu le désires, c'est avec plaisir que je t'apprendrais d'autres formes de soumission."

    Offerte à un inconnu dans les dunes

    J'ai remercié ce Maître avant de prendre congé. Sur le chemin du retour, Alain me posa plein de questions.

    "Je ne comprends pas que tu aimes ça. Toi qui aime la douceur et les longs préliminaires avec tes amants et les inconnus de passage qui te baisent."

    "Au début de la séance, je n'ai pas aimé et je regrettais d'être venue, mais ensuite j'ai sentis un plaisir fulgurant monter en moi.

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    Il n'y avait pas vraiment beaucoup de gens sur la plage. C'est la fin de saison.

    Quand nous avons traversé les dunes, nous nous sommes demandé si c'était le bon endroit. Nous nous sommes allongés et avons commencé à nous caresser.

    Une voyeuse nous regardaient, personne d'autre. Mon mari me caressait et je lui touchais la bite. Venant de nul part, en moins d'une minute nous avons eu un groupe de gars qui nous regardaient de derrière les buissons. Je suçais mon mari et un homme c'est approché et a commencé à me caresser et lécher ma chatte.

    Les autres se rapprochèrent à leurs tours pour regarder de plus prés. Ils étaient autour de moi leurs queue bien raides. J'ai pris 2 queues dans mes mains pour les masturber pendant que mon mari se lâchais sur mon visage.

    Ils éjaculèrent sur mes seins. Je pris 2 autres pour continuer. Une expérience très excitante et drôle.

     

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