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    Ce soir, en rentrant chez moi, je n’en mène pas large. J’ai honte de ce que j’ai fait au travail aujourd’hui et je n’ai qu’une seule crainte, c'est que mon homme s'en aperçoive. Quelques heures plus tôt, en début d’après-midi, j’ai sucé le nouveau DRH où je travaille.

    Oh, il n’a pas eu à me forcer beaucoup. J’ai craqué. Quand il m’a fait entrer dans son bureau, j’ai vite compris où il voulait en venir. Il était affalé dans son fauteuil de direction et m'a fait une proposition.

    « Michèle, fermez la porte et approchez ! »

    Il a saisi ma main qu’il a posée sur son entrejambe. C’est là que j’aurais dû réagir, tant que c’était encore possible, en retirant mes doigts de sa braguette. Mais je suis restée scotchée, impressionnée par la taille de son sexe qui enflait sous ma main.

    « Voilà, comme ça, doucement ! Maintenant… »

    Mes gestes précédaient ses paroles. J’avais déjà sorti la queue du patron de son slip et je faisais aller et venir mes doigts dessus. Je n’étais plus moi-même et je ne me rendais pas vraiment compte de ce que j’étais en train de faire, ni des risques que je prenais. Après l’avoir masturbé quelques instants, je me suis laissé tomber au sol et j’ai posé mes lèvres sur son bout. Il n’avait même pas eu besoin de demander que je le suce. Je me soumettais à ses désirs de mon plein gré, je les devançais et j’étais bien décidée à les combler.

    J’ai pris le gros membre entre mes lèvres après lui avoir donné quelques coups de langue sur la pointe et lapé avec délice les gouttes qui perlaient au bout. Vicieuse, j’ai regardé mon chef dans les yeux en enfournant son vit dans ma bouche. Il me souriait d’un air satisfait mais légèrement supérieur. Cela ajoutait encore à mon excitation.

     

    Pendant que je pompais le dard, ma main gauche s’est aventurée entre mes cuisses et je me suis touchée le minou. Je dégoulinais tellement j’étais troublée, ma mouille coulait sur mes cuisses.

    Le gland de mon patron me déformait les joues à chaque fois qu’il venait buter au fond de ma bouche. Je suffoquais presque, tellement je le prenais profondément. J’avais envie de lui faire plaisir. Ma main demeurée libre lui flattait les couilles. Elles semblaient serrées et dures comme de l’acier. Quand, sous l’effet de mes caresses buccales elles commencèrent à se vider, je les sentis exploser sous mes doigts.

    Je fus trop surprise par le jaillissement de foutre pour avoir le temps de me retirer. J’étais en train de boire littéralement le jus que la bite de mon patron. Celui-ci, renversé en arrière sur son siège de cuir savourait l’instant à sa juste valeur en étouffant ses gémissements dans son bras pour ne pas risquer d’alerter mes collègues qui se trouvaient seulement à quelques mètres de nous.

    Il eut la correction de me laisser me finir dans son bureau. Peu à peu la honte envahissait mon cerveau, mais je ne pouvais pas m’empêcher de me faire jouir jusqu’au bout. Je suis restée une petite minute affalée sur la moquette alors que mes doigts ressortaient de ma fente après l’orgasme.

     

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    Dans mes recherches à vouloir être offerte à des hommes dans des lieux publics, j’avais eu quelques contacts.

    Je mettais en ligne des histoires qui correspondaient à mes envies du moment, comme par exemple:

    MON MAÎTRE M’EMMÈNE AU SEX-SHOP

    Histoire d'un Maître et de moi faisant des achats au sex-shop, mon Maître m’obligeant de à sucer et à être prise par les clients.

    J'essayais de sélectionner des hommes avec suffisamment d’expériences pour me faire vivre un tel fantasme. La première personne était un homme qui possédait une soumise sous contrat, et avait déjà fait des plans dans lieux public comme des jardins publics, des aires d’autoroute, des cinémas pornos. Il avait envie de me dresser et de m'offrir à des hommes vicieux dans un donjon.Ensuite, il souhaitais me livrer à des groupes d’hommes pour que je sois une vraie chienne à bites.

    Le deuxième homme, offrait sa femme régulièrement dans des soirées privées et des clubs de la région. Celui-ci aimait les soumises de mon genre, et voulait me tester pour m’offrir directement dans un club bdsm. J’avoue que ces deux personnes m’avaient attiré par leurs projets et ce qu’ils voulaient faire de moi.  RDV fût pris avec l'un d'eux. Il voulait me faire une surprise. 

    « C’est là ! Nous allons au cinéma ! ça te plaît ? »

    « Euh oui... » lui répondis-je quelque peu stressée, j’avalais ma salive. Quand nous rentrons dans cette salle sombre, le film projetée sur la toile montre une femme se faisait baiser en levrette par un homme tout en en suçant un autre. 

    Les images de ce film étaient de qualité médiocre et le son un peu fort. Dans cette petite salle, il y avait un couple et quatre hommes seuls. Je m’assis rapidement et je mis une main sur le genou de mon Maître. Il sorti de sa poche une laisse et un collier qu'il accrocha à mon cou.

     

    Il n’était pas très discret, je pense que toute la salle nous regardait. Très rapidement, un homme vint s’asseoir à côté de nous. Mon Maître tira sur la laisse. Je compris le message. Je me mis  à quatre pattes et m’approche de l'inconnu. Je marchais tel une chienne domestique. L’homme était en train de déboutonner son pantalon. Je me glissais entre ses jambes. Il ne bandait pas encore. Je le pris dans les mains et le branlais. Je mis le sexe de cet inconnu dans ma bouche et j'ai commencé à le sucer. 



     

    Je faisais la parfaite salope. Je suçais l’homme avec gourmandise. Je sentis la présence d’un autre homme derrière moi. Il me caressait les fesses. Je gémissais de plaisir telle une véritable chienne en chaleur avec l’envie de me faire mettre. Je ne pû m’empêcher de me retourner et de prendre cette nouvelle bite dans ma bouche. 

    Quel beau sexe, très agréable à sucer. Pendant ce temps le premier que j’avais sucé, me prit d’un seul coup en me tenant les hanches. J’avais la chatte bien humide et bien chaude. Je gémissais de plaisir.

     

    Mon Maître m’observait et je sentais que cela lui faisait plaisir que je me fasse prendre par deux mecs devant lui. Bientôt le premier finit par jouir dans ma chatte. Un autre homme s’était approché et me présentait aussi son sexe. Je ne sais plus combien de fois je fis cette manœuvre mais je n’avais pas le temps de souffler. J’avais le cul bien chaud par les claques qu'ils me donnaient et la bouche bien remplie de foutre. 

    Je commençais à fatiguer, quand mon Maître se leva. Je le remerciais pour toutes ces queues. Je rassemblais mes affaires et il m'emmena aux toilettes afin de me rafraîchir le visage. Je commençais à souffler un peu. Arrivés aux toilettes, nous croisons un homme en train de se laver les mains.

     

    « Suces cet homme, chienne ! »

    L’homme se retourna face à moi à peine surpris. Il défit rapidement son pantalon. Je le suçais dans ces toilettes. Ca ne me faisait pas trop envie, mais, en bonne chienne soumise, je devais satisfaire mon Maître. Je suçais et j’étais là pour ça.  Encore une fois, un homme joui dans ma bouche et je dus avaler sa semence. Quelle pute je faisais.

    Ciné sex

     

    Nous sortons enfin du ciné. Mon Maître regarda son portable.

    « Voilà deux heures que nous sommes là ! Le temps a passé super vite... Tu as sucé sept mecs, ma salope ! »

    C’était la première fois que je me faisais autant de mecs à la foi. Je n’aurai jamais cru y arriver !  

    « Je suis fier de toi ! »

     

    J’étais contente de l’avoir satisfait, mais j’avais bien pris mon pied aussi.

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  • Alain voulait que j'aille chez une de ses connaissances pour me prostituer. Après quelques jours de réflexion, je l'apellais pour lui donner ma réponse.

    « C'est bon j'accepte!»

    « Tu accepte quoi ? »

    Un peut désarçonnée, je répète :

    « J'accepte ta proposition de ce matin ! »

    « Quelle proposition ? »

    « Et bien celle où je dois me rendre chez ton ami!! »

    « Je veux que tu me dise, oui j'accepte de me faire payer pour être baisée comme une pute et obéir sans la moindre objection de ma part ! »

    « hum....Oui oui j'accepte de me faire payer pour être baisée comme une pute et obéir sans la moindre objection de ma part !  »

     

    « Très bien ma jolie. Tu va mettre  la mini jupe noir  que je t'ai offerte pour qu'on voit bien ton cul quand tu marchera dans la rue. Juste tes bas résilles et sans culotte. Tu mettra un haut bien décolletée sans soutif. Cela sera d'un bel effet avec tes gros seins. Quand tu arrivera devant sa porte, tu te mettras à quatre pattes avant de frapper. Tu te présentera comme étant sa chienne pour ce soir. »

    Mon premier client

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