•  Je regarde la belle Carolina. Ses fesses et ses jambes portent les marques de badine. Elle est même plus belle comme ça.

    Le gardien me lance ;

    « Rêveuse Michèle ?! »

    « Oui Chef. Elle me plaît beaucoup ! »

    Il se marre. Il suffit de quelques billets verts pour qu'il soit de bonne humeur. Ils sont très intéressés par la nouvelle, d'autant plus qu'elle est couverte des traces de punition. Il y en a qui demande au chef :

    « On peut  les essayer Chef !? »

    « Oui bien sûr.... Elles sont là pour ça ! Mais les invités d’abord ! »

    Carolina me demandent ce qui va se passer à mon avis maintenant.

    « On va se faire baiser par les soldats et les invités ! »

    « On ne sera plus bâttue??? » demande Caro.

    « …euh… pas forcément… »

    On nous lave au jet pour être plus présentable. Ca fait du bien, même si c'est dans la cour, même si c'est avec un tuyau d'arrosages, même si les soldats et les invités se rincent l'œil!

     

    Quand on est prêtes, on se demande à quelle sauce va-t-on être mangées.

    Il y a du monde aujourd'hui, des hommes bien habillés, accompagnés souvent de jolies filles. Pas leurs épouses, plutôt le genre escorte girl. Des soldats viennent nous attacher la cheville à celle de la fille d'à côté. On est attachées l'une à l'autre, les fesses en l'air et les jambes écartées. C'est à la fois inconfortable et indécent, mais ça, c'est un détail. Quelques Messieurs viennent nous caresser les fesses…mais c'est tout. Bon, ok, ils n'ont manifestement pas l'intention de nous baiser.

    Sans doute, n'ont-ils pas envie de mettre leur précieux engin dans le cul de détenues qui se font baiser par tout le monde? Ils viennent pour le spectacle. On entend le commandant dire :

    « Vous pouvez y aller, les gars! »

    Les soldats se précipitent! Ils sont moins délicats, eux. J'en ai instantanément un devant et un derrière. Je veux dire :

    « Dou… Ouaille!!! »

    Mais, mon "doucement" se termine dans un cri parce qu'on m'a enfoncé une bite dans le cul, d'un coup et à fond. De toute façon comme celui de devant m'a mis son sexe dans la bouche, ça gêne l'élocution.

    C'est la journée portes ouvertes et nous aussi on est portes ouvertes. Je suis complètement investie. Celui de derrière me tient fermement par les hanches, ses couilles claquent sur le haut de mes cuisses, celui de devant me tient par les cheveux! À côté de moi, il y a des filles qui gémissent et crient mais pas de plaisir. Toutes n'ont pas un cul aussi accueillant que le mien. Celui de derrière jouit! Il me donne une bonne claque sur les fesses et dit :

    « Au suivant! »

    Comme si ça lui était adressé, celui qui est dans ma bouche jouit aussi, je recrache tout en douce. Deux autres viennent les remplacer. Puis, il y en a d'autres, puis encore ... Là, ça devient pénible… Heureusement, au bout d'un moment, ils ont tous déchargé une ou deux fois dans nos bouches et nos culs, plus rarement dans la chatte. Des soldats prennent les tuyaux d'arrosages et nous arrosent copieusement. Je me dis, si on nous lave ce n'est pas fini. Effectivement, on entend une clameur et les prisonniers arrivent à leur tour. Je sens de grosses mains qui m'empoignent et puis "ouch!!" un sexe plonge dans mon cul, un autre dans ma bouche. Il y a des filles qui crient, dans le registre aigu!! Ils nous baisent comme des brutes. Les miens font ça à toute vitesse, comme des… chiens, mais en plus brutal. J'ai bien une demi-douzaine de détenus qui se relaient et me pénètrent tous les orifices. Quand ils ont fini, les soldats leur font regagner leurs cellules…On se dit, "ENFIN!"

    Les spectateurs applaudissent.

    Ça plaît ! Après on se fait pisser dessus. Quand leurs couilles et leurs vessies sont vides. Ils repartent en remerciant le commandant au passage. La nuit tombe, tout le monde s'en va. On rentre dans la geôle, épuisées. Je m'endors tout de suite. Au milieu de la nuit, on est réveillées en sursaut! Sans doute, un violent orage. Un garde entre dans la piaule en criant :

    « On est attaqué ! On est attaqué !»  

    Ce n'est pas du tout l'orage qu'on entend mais des coups de feu. Je dis à Caro :

    « C'est le moment où jamais de nous échapper ! »

    On se précipite hors de la géôle dans la porte est restée ouverte. Hélas, il y a déjà des hommes armés partout, genre guérilleros. Ils sont ravis de nous voir. Ils nous coursent et nous attrapent rapidement. Il y a un qui dit :

    « Joli butin! Faites grimper ces putes dans un camion! »

    On est traînées jusqu'aux camions. Ce n'est pas facile d'y monter, mais les guérigueros nous mettent la main au cul avec des doigts pénétrant. Ils s'assoient sur les deux banquettes qui sont de chaque côté et nous restons par terre. À ce moment, on entend plusieurs explosions et des flammes s'échappent du bâtiment principal. Les voyages en camion militaire, c'est pas le pied! Surtout quand on est nue à même le métal. On est serrées les unes contre les autres. Les hommes boivent de l'alcool et ont l'air ravis de leurs prises. Au petit matin on s'arrête enfin, on est pleines de courbatures, on a soif. Les Guérilleros nous font descendre et nous poussent vers un grand hangar. À l'intérieur, il y a des cages. Les hommes nous font mettre en rang devant leur chef assis dans un fauteuil.

    Empalée sur lui, il y a une jeune femme brune qui a l'air de prendre du plaisir à se faire mettre.

    Il nous déclare :

    « Nous sommes des marchands d'esclaves ! Si vous êtes dociles tout ira bien !»

    « Je vais vous classer par catégories. »

    Il pointe le doigt, sur la première de la fille, la fait se retourner et dit :

    « 2e catégorie ! »

    Le garde a un gros marqueur à alcool. Il écrit un grand 2 sur la fesse de la fille. Ensuite c'est au tour des autres qu'il classe dans une des deux catégories. Quand, c'est mon tour, il dit :

    « Tourne-toi… Gros cul, gros seins.... C'est du HC ça ! 1 ère catégorie ! »

    Chouette, je me dis bêtement. Mais ça n'a pas l'air de plaire à la fille qui est sur ses genoux. Elle lui dit :

    « T'as vu ses gros nichons, on dirait des mamelles de vache laitiére ! Et puis j'aime pas les blondes ! »

    « On te demande ton avis maintenant petasse ?! »

    Le garde écrit un grand 1 sur ma fesse.

    Un garde me fait entrer dans une des cages avec une autre fille.

     

     

    La hauteur de la cage est de moins d'1 m 50, on ne peut donc pas se tenir debout. On reste là des heures. La nuit est longue. On dort tant bien que mal, les unes contre les autres. Au matin, on allume dans le hangar. On fait sortir les filles des cages de 1ère catégorie l'une après l'autre. On nous fait entrer dans une grande piéce où c'est marqué "Atelier". Il y a un grand Black. Sur la table près de lui il y a des fers et des chaînes comme en portaient les esclaves. Ça fout vraiment la trouille! Il me dit :

    « Approche! »

    Je reste figée à regarder toutes ces entraves. Il m'attrape par les cheveux et m'envoie une formidable claque sur les fesses. Je pousse un cri aigu, "Aaaaiiiiiiii!"

    Il me met un collier en fer autour du cou, aux poignets et aux chevilles.

    Dans l'anneau du collier, il met un morceau de chaîne qui descend jusqu'entre les seins. Le Black se recule et admire son boulot.

    Il me met la main aux fesses et me les malaxe. De l'autre main il prend son téléphone.

    « C'est la pose, chef, j'ai envie de me taper la petite à qui j'ai mis des fers. »

    On lui répond quelque chose, il dit :

    « Une 1ème catégorie. OK, merci, chef. »

    Il sort un énorme sexe en érection de sa salopette. Pas besoin de me faire un dessin. Je me mets à genoux et je me met à le sucer docilement mais presque avec gourmandise. Dès que je l'ai sucé un peu, il se dégage.

    « Tourne toi et tends ton cul ! »

    Oulah!! Un engin pareil! Stupide comme je suis, je dis :

    « Faites, doucement, s'il vous…p... »"

    J'ai pas le temps de dire la fin de ma phrase.

    «T'es qu'une esclave ! J'te fais beaucoup d'honneur en t'enculant!! »

    Je sens son gland mouillé contre mon anus et il me pénètre d'un coup. Je pousse un cri à nouveau "Aaaaaaaaaaiiiiiiiiii". Ce n'est pas le premier, mais un engin pareil, et surtout avec tant de brutalité, je vois des étoiles. Il me besogne en grognant sauvagement.

    Au bout d'un moment, il se retire et je sent un grand vide dans mon cul.

    « Maintenant, ouvre la bouche ! J'vais tout lâcher ! Suce et avale bien ! »

    Ouf, ça se termine! Je le reprends en bouche et il jouit par saccades. J'avale tout!! J'ai toujours son sexe en bouche quand la porte s'ouvre.

    « Je viens voir celle qui t'as tapé dans l’œil. »

    « C'est une bombasse Chef et suce bien, surtout après une bonne sodomie ! »

    « J'vois ça ! Tu lui as bien soigné l'cul! »

    Ils rigolent tous les deux.

    « Bon ! De la bonne marchandise comme elle, faut la soigner ! Conduis là chez le dentiste ! »

    « QUOI???? Pas le dentistiiiste !!!!» 

    C'est difficile de s'habituer aux anneaux et au collier que j'ai aux poignets, aux chevilles et au cou. Le Black me conduit dans un couloir. La porte s'ouvre. Je reconnais la fille qui se faisait mettre par le patron le premier jour. Aïe! C'est celle qui n'aime pas les blondes. Elle a une blouse blanche et je suppose que c'est l'assistante du dentiste.

    « Mais qui voilà!! Bonjour, Miss gros nichons ! »

    Je ne dis rien et je garde les yeux baissés. Elle me pince les tétons durement en me disant :

    « On n't'a jamais appris à dire bonjour chiennasse??"

    Je dis vite :

    « Bonjour, Madame. »

    Elle me montre le fauteuil de dentiste.

    « Va t'asseoir! »

    L'homme derrière le bureau a l'air de s'amuser de la scène.

    « Mon assistante n'aime pas les blondes. », me, dit-il en souriant.

    Je m'assieds dans le fauteuil. On m'examine de façon très professionnelle. L'homme retourne au bureau et dit au teléphonne :

    « Michèle est une marchandise de très bonne qualité. Tu peux en tirer gros ! »

    L’assistante jalouse me prend par les seins durement pour me faire sortir. Ouf ! Je ne suis plus dans ses pattes. Je me retrouve dans une autre piéce. A la place du fauteuil de dentiste, il y a une table gynéco. Un homme est au téléphone, il me fait un signe de la main vers la table.

    Je me couche sur le dos, les pieds dans les étiers. J'attends. C'est long. Mes seins aussi me font mal. La salope n'y a pas été de main morte avec.

     

    Quelqu'un entre, je tourne la tête, c'est un jeune homme. Il n'a pas l'air surpris de me voir les jambes écartées sur la table. Il vient me regarder.

    Il prend le bout de mon sein entre deux doigts, en souriant.

    « C'est l'assistante du dentiste qui t'a fait ça? »

    « Oui Monsieur. »

    Le jeune homme rit. Il joue un peu avec le bout de mon sein, je geins.

    « Ca fait mal, Monsieur! »

    Il arrête et se désintéresse de moi, car l'homme au bureau a raccroché.

    Ils discutent, je comprends que le plus âgé met le jeune au courant. Ils viennent tous les deux près de moi.

    « Michèle, 1ére catégorie, c'est ça? »

    « Oui, Monsieur. »

    Il attache mes poignets, bras tendus au dessus du fauteuil, puis les anneaux de chevilles aux étriers de la table et les écartent au maximum. Je suis totalement offerte et ouverte. Il enfonce un spéculum dans mon vagin, je fais un petit bond. Il continue, ensuite, il met 2 doigts dans l'anus et les enfonce profondément.

    « Elle est bien ouverte du cul celle-là ! Tu faisais la pute?? »

    « Oui on m'a obligée, mais vous ça fait mal je vous jure! »

    Ils rigolent tous les deux.

    « Elle est tellement ouverte, qu'elle pourrait se faire enculer par un âne! »

     

     

    Heureusement il retire ses doigts de mon cul, mais c'est pour les mettre dans ma chatte. Il me dit :

    « Serre mes doigts ! Ça, je le fais bien! Toi tu as déjà vu le loup des deux côtés! » me dit-il. Ils se marrent! Il appele le gardien :

    « Conduis là au marquage ! »

    Au marquage? Arrivée dans la piéce, je découvre un matériel detatoueur. Ouff me dis-je. Ce n'est que du tatouage.

    « C'est ce que tu vas avoir sur les fesses, c'est joli, non? »

    Le tatoo fait, il me détache et me remet debout. Je tremble sur mes jambes. Il ouvre la porte et appelle un garde :

    « A remettre en cage ! »

    Le garde me tient en laisse jusqu'à la cage où il me fait entrer. Quatre filles sont déjà là couchées sur le côté droit, un pansement sur la fesse gauche comme moi!

    Le lendemain, c'est le marché. J'aime bien les marchés. Mais là, c'est moi la marchandise. Des mains d'inconnus me tripotent pour voir la qualité de la marchandise. Nous sommes ici pour une seule raison : être vendues! Je n'ai plus qu'une idée en tête ; m'évader et quitter l'Afrique.

     

    C'est l'heure de la vente. Il y a une petite estrade et devant, une vingtaine d'acheteurs. Hommes d'affaires Occidentaux. Arabes genres Saoudiens et Chinois ou Asiatiques. Une première fille monte sur l'estrade. C'est une belle rousse à la chevelure flamboyante. C'est le "dentiste" qui dirige la vente et qui fait l'article :

    « Moira McC., Irlandaise, 22 ans, 1 m 72, 90-60-90. Saine, toutes ses dents ! » 

    Les acheteurs discutent. Il y en a qui montent sur l'estrade, pour lui tâter les seins... regarder ses dents, comme s'ils achetaient une pouliche.

    Ils doivent enfiler un gant pour lui mettre un doigt dans le cul ou dans la chatte! Il ne faut surtout pas qu'une précieuse 1ère catégorie attrape une infection. La fille, crispée, ferme les yeux.

     

    On la fait se pencher, on l'examine sous toutes les coutures. Quand tout le monde a bien examiné la belle rousse, les enchères commencent.

    « Mise à prix 5.000 $… »

    Ça me semble beaucoup, pourtant, il y a des enchérisseurs. Elle finit par être adjugée à un Chinois 7.500 $. J'ai l'impression qu'elle va se retrouver dans un bordel de Hong Kong. C'est à nous. Un garde nous fait aller sur l'estrade. Toutes ensembles.

    Le "dentiste" fait l'article :

    « Onze filles saines, polyvalentes, sexe et travail, ferrées et marquées. Mise à prix 10.000 $. »

    Un homme grassouillet dit 15.500 $, un autre 16000, puis encore un autre 17.000. Celui du début surenchérit à 17.500 $.

    « Pas de surenchères? 17.500 $, une fois, deux fois, trois fois ! Adjugé! Elles sont à vous. » dit le vendeur.

     

    On a été achetées.

    « Embarquez les putes! » Dit-il.

    Nous ne sommes qu'une marchandise. Les gardes nous font sortir de l'enclos et nous attachent les mains derrière le dos par les anneaux qu'on a aux poignets. Ils nous dirigent vers un camion, qui n'est pas bâché comme celui dans lequel on est arrivées. Quand on est toutes dans le camion, un gardien crie :

    « Assises! »

    On se serre les unes contre les autres. Je ne sais combien de temps dure le voyage. Trop long à mon goût. Le camion s'arrête. Un garde gueule :

    « Dehors les salopes ! »

    J'ai mal au crâne, ils nous ont fait respirer une saloperie de gaz soporifique! Chaque fille est appelée individuellement. Quand c'est mon tour, on entre dans un bureau. Il y a une jeune femme brune. Elle prend une fiche, la lit, puis me regarde :

    « Bonjour, Michèle ! »

    « Bonjour, Madame. »

    « Tu as été achetée par notre société. Je vois que tu es multitâches ; femme de chambre, serveuse, prostituée… pas très glorieux ton CV! Tu sais taper à la machine? »

    « Euh… oui, Madame. »

    « Bon, t'es louée pour un mois chez une cliente ! »

    Elle appelle le garde qui m'emméne dans le garage jusqu'à un endroit où il y a des cages pour faire voyager les animaux. Il me désigne une cage :

    « Grimpe là-dedans. »

    Je me met à 4 pattes, et je rentre dans la cage.

    Deux autres gardes sont venus le rejoindre. Ils rigolent tous les trois et font des commentaires sur mon arrière-train qui rappelle à un des trois, une pouliche qu'il a souvent montée! J'ai droit à des :

    « C'est excitant sont gros cul qui dépasse de la cage! On a le temps de la tirer? »

    « Ouais, bien sûr. »

    Un des gars s'agenouille, et me caresse les fesses. Il écarte mes fesses et dirige son sexe vers mon anus. Ouulah!! Il est bien monté. Je sens le gland qui me pénètre et me dilate complètement l'anus. Je gémis. Il s'enfonce un peu en disant :

    « T'aimes ça hein, salope?? »

    « Oui, Monsieur. »

    Je lui ment pour ne pas risquer le fouet. En fait, je déteste me faire sodomiser et surtout dans ces conditions là. Il baise vite et fort! Je gémis, il est trop brutal!! Un des gardes dit :

    « Regardez là, cette chienne! Elle va jouir, la salope ! »

    Il est super excité. Je sens son sexe gonfler et il jouit en moi. Dès qu'il s'est retiré, un autre prend sa place.

    Il met un doigt dans ma chatte, en disant :

    « La salope!!! Qu'est-ce qu'elle mouille… ! »

    Il plonge aussitôt son sexe dans mon vagin. C'est vrai que ça entre facilement. Il baise bien! Il fait une petite torsion des reins d'un côté puis de l'autre quand il est au fond, il lâche son jus. Le troisième préfére me baiser la bouche. Multi usage comme ils disent... Il s'active dans ma bouche comme si c'était un vagin et il jouit rapidement! J'avale tout comme un bonne salope docile pour ne pas recevoir le fouet. Il met un grand drap noir sur la cage et on me charge à nouveau dans un camion.

    Le camion roule une heure… ou deux… C'est long en cage. Je sens, enfin, qu'on descend la cage, puis on la charge à nouveau. C'est un avion, je sens qu'on décolle. Après un long et éprouvant voyage, on décharge la cage et on ouvre la porte. Celui qui a ouvert la cage est un grand baraqué, pas mal du tout. Il a aussi des gros biceps, je dirais que c'est un garde du corps.

    Il me dit :

    « Tu vas rencontrer la Princesse. C'est ta Maîtresse, quand tu seras devant elle, mets-toi à genoux. Tu as compris?? »

    Je prends mon air soumise :

    « Oui Monsieur, je ferai tout ce que vous dites. »

    On marche côte à côte, lui debout et moi à 4 pattes en laisse. On arrive près d'une grande piscine. Deux jeune hommes nus sont allongés sur des transats. Une jeune fille brune et mince nue, juste vêtu d'un paréo rouge se prélasse au soleil. Le garde dit :

    « Princesse, la nouvelle esclave. »

     

    C'est elle, la Princesse? Je reste bouche bée. Le garde me pousse et je m'agenouille rapidement, les yeux baissés, comme on me l'a appris.

    « Comment s'apelle cette chose ? »

    Le garde répond à ma place :

    « Michèle Princesse ! »

    « Bonjour Michèle ! »

    « Bonjour… euh…Votre Altesse. »

    « Non ! Je préfère Maîtresse ! » Dit la Princesse.

    « Approche, à 4 pattes Michèle ! »

    Les deux jeunes me regarde avec intérêt dans ma position humiliante.

     

    j'avance maladroitement. Quand je suis tout près, elle me dit :

    « Debout! »

    Elle caresse du doigt mes fers, tâte mes seins. Puis me fait tourner et touche, la marque sur ma fesse.

    «  Ça t'a fait mal quand on t'a fait ça? »

    « Oh, oui Maîtresse, très mal. »

    « Ça me plairait d'avoir une marque comme ça ! »

    « Comme une esclave? » Demande le garçon en riant…

    « Peut-être... Pour rigoler !!! »

    «  Tu vas être mon esclave pour un mois ! Je vais d'abord te montrer ce qui arrive si tu n'obéis pas. »

    Elle ouvre, un grand sac et en sort le même fouet que celui qui est employé au marché des esclaves. Elle joue avec le fouet, promène les cinq lanières plates sur moi.

    « "Tu en as reçu souvent? C'est pour punir, pas pour blesser ! Tu sais, tu devrais l'essayer soeurette! Tu saurais exactement ce que ressentent, les filles fouettées !» Dit le frère.

    « J'y ai déjà  pensé.", répond-elle rêveusement.

    « Eh! Je disais ça pour rigoler! »

    « Moi, pas, je veux vraiment savoir ce que les filles fouettées ressentent, c'est super excitant comme idée. Hassan, fouette-moi, comme si j'étais une esclave paresseuse. »

    « T'es certaine ? Tu vas avoir franchement mal ! »

    « Oui, je suis certaine! »

    Je reste ébahie. Elle ôte sont paréo, léve les bras et Hassan l'attache à une colonnade.

    Celui-ci pousse un gros soupir et dit :

    « Combien, t'en veux ? »

    « Atoi de décider. »

    « Bien puisque tu veux goûter à ça, je vais pas te donner l'envie d'y revenir ! 20 coups ! » Et il lève le fouet et commence le jeux. 

     

     

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  • « Voici ma décision. Pour complicité de trafic de drogue et zoophilie. 50 coups de fouets sur la place publique et 1 an de prison !  Tu seras fouettée en public, demain. »

    Je craque, le fouet et la prison dans les geôles de ce pays ça peut être terrible. Je me mets à pleurer et je crie pitié.

    « Huuum ! Mouai, et bien ok. Pas de prison mais tu feras ta peine au mess, ça plaira aux hommes d'avoir une serveuse comme toi ! »

    Je suis un tout petit peu rassurée.

    « Tu vas commencer de suite par nous servir ! Apporte donc nous des biéres et tu nous sucera pendant qu'on la déguste. »

    Je suis toujours nue et effectue les service pour ne pas les contrarier.

     

    « Voilà, Messieurs, pour la deuxième partie de la commande, je commence par qui? »

    Le chef me dit :

    « Moi… ! » Je me mets à genoux en partie sous la table. Je pose mes mains sur sa braguette et je descends la tirette. Il se soulève et m'aide un peu. J'embrasse ses couilles avec passion, puis je les mordille, pas trop fort. Son sexe est déjà tout congestionné, il fait des petits bonds d’impatience… J’embrasse la… hampe  jusqu'au gland que je couvre de coups de langue, en insistant sur le frein… Je fais frétiller le bout de la langue dans le méat tout mouillé. J’arrive à prendre toute la longueur du sexe jusqu’à ce que le gland vienne me chatouiller la luette. Je m'applique, ma bouche va et vient. Je ralentis par moments… Je dois faire un sans faute. Je sens qu'il va jouire. Ma bouche se remplit de sperme par saccades. J'avale tout. Pas une tache. Je suis une fille très bien élevée, enfin en ce qui concerne suçage d'une bite! Il me caresse la joue.

    « Tu feras une bonne serveuse. »

    J'ai l'impression que le mess doit surtout faire bar à putes à soldats…    

    Je passe à la suite de la commande. Le sergent Garcia sort un gros sexe circoncis. Il caresse ma tête pendant que je le suce en me disant des trucs du genre :

    « Belle pute... Chienne de blanche !!! »

    Des mots gentils quoi. Heureusement, il est rapide. Il jouit et j'avale tout! J'ai quand même mal aux mâchoires, et puis tout ce sperme c'est un peu… écœurant.

    Je passe à un blanc qui ressemble à un Irlandais. Lui veut une sodomie. Je me penche sur une chaise et je lui tends mon cul en écartant mes fesses avec les mains. Il pose son gland contre mon anus… Faut que je me décontracte!! Il me prend par les hanches me pénètre d'un coup. Il meet baise rapidement. Je donne des coups de reins pour qu'il pénètre à fond dans mon cul. Il faut que je leur plaise. Alors, une foi qu'il s'est répendu en moi, je me mets à genoux et je lèche son sexe qui vient de sortir de mon cul.

    J'ai droit à un, "Bravo!!", du chef. Mon Irlandais me gratifie d'un :

    « Quelle salope!!Couche-toi sur la table la chienne ! »

    Il veut me lécher!! J'aime pas bien ça. Les autres me regardent très intéressés. Il sait lécher et, même après avoir reçu des décharges électriques dans les nichons, ben, mon tempérament est toujours là! Sa langue va et vient sur mon clito et le traître me fait en plus la pince de crabe, un doigt dans le cul, deux doigts dans la chatte. Du coup, je me retrouve presque à faire le pont et je cris

    « Oh oui, oh oui oh ouiiiii!! »

    Je me relève péniblement. J'ai mal au cul, un goût… amer en bouche, l'estomac et le cul plein de sperme, mais j'ai fait au mieux.

    Je demande au chef :

    «Je peux avoir un peu à boire, s'il vous plait, Monsieur ? »

    « Prends une bière et des trucs à manger. »

    Chouette! que demander de plus? Enfin dans ces circonstances-là!

    « On va te conduire dans une cellule. Demain, fouet ! »

    Il appelle le soldat qui est dans la pièce à côté :

    « Boucle cette chienne ! Tu peux faire ce que tu veux avec ! »

    Le soldat me conduit dans une cellule. Je suis toujours nue, je n'ai pas pu remettre mes vêtements. Je tente de dormir tant bien que mal en pensant à la punition de demain.

     

    Le lendemain après-midi, le garde vient me chercher.

    « C'est l'heure du spectacle!! » Me dit-il en riant. 

    On va dans une pièce où le garde me dit ;

    « Attend ici, Mohamed va arriver ! »

    Je suis toujours nue et J'attends, une grosse boule dans la gorge, l'estomac serré, envie de gerber le déjeuner pas très copieux que j'ai eu à midi. Enfin, la porte s'ouvre sur un basané, balafré.

    « Tu va être fouettée ! »

    Je suis le gars dans la cour du fort. Il y a des dizaines de soldats qui sont là pour se régaler du spectacle. Ils applaudissent et ils sifflent quand on passe au milieu d'eux. On arrive devant une sorte d'estrade où pend une cordes. Je suisnue, debout devant ces hommes qui n'ont qu'une envie, me sauter. Je remarque les officiers qui sont assis devant. Il y en a qui font des photos ou qui filment. Quand tout le monde semble là, l'officier qui m'a interrogée fait un signe. Mohamed m'attache les poignets au moyen de solides lanières de cuir. Quand c'est fait, Mohamed me donne une bonne claque sur les fesses. Je me balance en geignant, les soldats applaudissent.

    Il va chercher le fouet. Attachée de cette façon, toute la tension est dans les épaules. Elles me font de plus en plus mal, d'autant plus qu'il me balance encore, à la grande joie des spectateurs. Quand il a assez joué, il lève le fouet et l'abat sur mes fesses. "OUCH!!", une violente brûlure me traverse les fesses et une clameur monte de la foule. Je crie "Aaaaaahhhhhh!!". Mon visage se crispe. Mes épaules me font mal, mes fesses encore plus. Il frappe maintenant, mes cuisses, mes mollets, je léve les jambes en les écartant. Il en profite pour nous frapper entre les cuisses et les lanières claquent sur mon sexes, ce qui amène des "hourrahs" et des bravos des spectateurs. Ses coups deviennent moins forts, mais ils sont tout aussi douloureux. Mes seins ne sont pas épargnés. Je suis couvertes de marques.

    Mohamed arrête sous les ordres du chef. Enfin c'est fini. Il fait redescendre la corde. Je me retrouve sur debout, toutes tremblantes, les épaules en feu, le reste aussi.

    Le chef lance :

    « Au mess maintenant ! ! »

    Mohamed me détache et en profite pour m'enfoncer ses doigts dans ma chatte en feu et me dit :

    « Ça va Michèle ? »

    « Salop !Ça va!?! J'vis un enfer!!! »

    Il rigole. Un soldat vient me chercher et m'amène au mess. Je remarque une gravure au mur qui représente une esclave fouettée devant son maître. C'est la spécialité du fort dirait-on!

     

    En fait de mess, c'est un bordel pour les soldats. On se dirige vers la cuisine où 2 filles sont assises avec un soldat et discutent.

    « Pour commencer, tu fais la vaisselle ! »

    Il y a un monceau d'assiettes sales dans l'évier.

    Une arabe entre. Sans mot dire, elle vient me tâter les seins comme si c'était des melons. Elle suit les traces rouges laissées par le fouet. Je me raidis.

    « Je vois que Mohamed ne t'as pas ménagé ! C'est toujours la prison ici, il faut obéir sinon tu seras punie ! »

    « Oui, Madame. »

    « Comment tu t'appelle ? »

    « Michèle Madame. »

     

     

     

    Le repas du midi arrive. Je fais le service dans la tenue d'Eve. Bien évidemment les mains sont baladeuse et même parfois inquisitrices. Je fais tomber un peu de semoule en servant un soldat. Il me dit :

    « Présente tes fesses! »

    Je me tourne et tends les fesses. Il me donne un coup de stick qui se trouve sur la table. Je crie en m'excusant. Les autres rigolent. Il n'a pas frappé fort, mais avec mes fesses couvertes des marques du fouet, elle restent sensibles. Parfois, en faisant le service, certain en profite pour me baiser.

     

    Quand ils on finit de manger, les restes sont mis à ma disposition dans une gamelle par terre. Je n'ai pas de couvert et je dois manger à 4 pattes. Quand j'ai tout mangé, la patronne du mess dit :

    « C'est bien. Va chercher une bouteille de raki et des dattes à la cuisine. »  

    Je me dépêche et reviens. Je sers l'alcool dans les petits verres, en faisant super-gaffe de ne pas renverser. La patronne boit avec quelques soldats en mangeant des dattes. Elle me dit :

    « Viens ici et met toi à genoux ! »

    Je me précipite. J'ai une idée de ce qu'elle va faire. Elle sort une demi datte mâchée et me la tend entre deux doigts. Je la prends avec la bouche et la mange. Ça plaît aux soldats qui font la même chose. Aprés m'avoir bien utilisé et pris encore quelques doses de sperme, on me ramène dans une sorte de geôle commune.

    Plusieurs filles sont là, nues comme moi. On est toutes là pour des affaires de drogues ou de prostitutions. Les quatre autres filles sont jolies, bien sûr, c'est pour ça qu'elles ont été choisies par ces soudards. Il y a deux Anglaises, une Italienne, une Métisse et une Black. La plus jeune a 18 ans et la plus âgée la trentaine. Nos tortionnaires adorent nous humilier et même si on obéit, ils nous punissent. Comme ils disent en rigolant, Si je ne sais pas pourquoi on te punit, toi tu le sais !

     

    Le matin, on se lève. On va à la douche. Ca fait du bien malgré le passage au jet d'eau. J'ai vraiment envie de faire pipi et je ne suis pas la seule à me tortiller. On sort à la queue leu leu vers l'extérieur du fort. C'est là qu'il y a une tranchée. Il y a déjà des soldats pantalons baissés la queue en main qui attendent le spectacle. On se met en rang et on se met à pisser devant les soldats qui rigolent de nous voir ainsi humiliées.

     

     Les spectateurs qui nos entourent sont de plus en plus intéressés. Il y a des sifflements et des bravos. J'en remarque un qui ne me quitte pas des yeux, c'est celui qui m'a fait parler des chiens. C'est très humiliant de faire ses besoins devant tant de spectateurs. À ma grande honte, je dois dire que,  je trouve très agréable de m'exhiber et être humiliée ainsi. Le grand type qui le premier jour m'a fait parler des chiens, vient m'embrasser. Personne ne bronche. Il a l'air de faire peur à tout le monde. Il me dit :

    « On s'verra ce soir ! »

    « Avec plaisir, chef. »

    Toute la journée, on est enchaînée, nues, et devons creuser des trous et en reboucher d'autres sous le soleil. Le tout sous les coups de fouet des gardes. Leurs grand plaisir est de nous humilier. Ils aiment nous fesser, nous baiser ou se faire sucer.

     

    A la pause seulement, on peut se soulager dans la cour, toujours devant des spectateurs qui nous encouragent. Je m'en fous, moi des voyeurs.

    Le midi, après le service au mess, la patronne nous fait une annonce laconique et surprenante.

    « Demain, Michèle ne sera pas fouettée ! »

    J'attends la suite avant de me réjouir. Elle continue :

    « Il va y avoir, journée porte ouverte ! Il y aura des invités et des attractions. Il a été décidé que les invités et les détenus mâles pourront se vider les couilles ! » Elle rigole comme une bossue de voir nos têtes.

    On se regarde en faisant la grimace. On va avoir une indigestion de sperme. Le soir, comme prévu, je passe la nuit à me faire sauter et a sucé le grand black qui a jeté son dévolu sur moi. Heureusement que j'ai l'habitude de prendre des grosses queues car la sienne est monstrueuse.

    Le lendemain matin, je suis explosée et anéantie par cette nuit de défonce. Mais on doit tout nettoyer pour les visites de l'après midi. À quatre pattes, on nettoie et si nous n'allons pas assez vite, on reçoit des coups de badines sur les fesses. Des visiteurs sont déjà là et s'amusent de nos positions et nos petits cris sous les coups. Le chef alors nous explique :

    « Nous allons montrer à nos invités que nous soignons bien nos détenus. Mesdemoiselles, voyez vous, les détenus dangereux qui sont derrière les barreaux ont les mains attachées. Alors mettez-vous à genoux devant eux et leurs des pipes ! »

    Il y a des cellules de chaque côté du couloir, des barreaux et des bites qui dépassent. On est saluées par des cris d'enthousiasme. Il ajoute :

    « Vous savez ce qui vous attend si vous ne faites pas ça bien. »

    Je m'agenouille devant un gros homme en uniforme orange et j'embrasse mollement son sexe. Un garde m'envoie un coup de badine à la base des fesses. Je crie,"Aiiiie!!",  et m'empresse de sucer la grosse queue qui m'est présentée.

    « Voilà ! Vous n'comprenez que les coups sur vos gros culs de putes ! »

     

    Il grogne des trucs en arabe. Rapidement, il m'inonde la bouche de saccades de sperme tiède. Sarah et Carolina doivent sucer moins bien que moi, parce que régulièrement, elles se font fustiger les fesses. Carolina est menacée d'une bonne dérouillée, si elle n'avale pas tout le sperme que son prisonnier est sur le point de lui déverser dans la bouche. Il y a des spectateurs qui arrivent. Le chef leur explique, qu'on est des putes prisonnières et que sucer, être baisée, c'est la seule chose qu'on sache faire. Il y a une trentaine de prisonniers dangereux à satisfaire et ça fait beaucoup. Sarah et moi, on n'est pas des oies blanches mais pour Carolina, c'est l'horreur. Elle se plaint et reçoit pas mal de coups de badine. On passe aux suivants. Carolina continue à sucer et à avaler tant bien que mal. Elle est zébrée de coups de badine. Moi, je prends un peu d'avance sur Sarah et j'arrive presque au bout de ma rangée. Les autres prisonniers m'encouragent :

    « Vas y la blonde, t'es la meilleure suceuse ! La plus salope ! T'aimes ça, la bite et le sperme sale chienne ! »

    Non! J'aime pas ça du tout!! Avaler une fois, c'est pas un soucis mais neuf décharges de sperme à avaler, je crois que je vais vomir!! J'arrive au dernier… Ouf! Je vais finir par déborder! Mon dernier est un grand type, l'air pas commode, genre tueur à gage. Je suis contente qu'il soit menotté. Le gardien ramasse un cylindre de billets de banque, américain, avec un mot.

    « Pas de problème. » Dit-il.

    « Présente ton cul Michèle ! Il veut t'enculer ! »

    Mais, pourquoi moi??? Bon, je plaque mes fesses contre les barreaux, les écartes et me cambre pour recevoir le gros chibre du tueur.

    « Bonjour Michèle, je vais t'éclater l'cul ! » Me dit-il dans un grand éclat de rire tout en poussant son nœud sur ma rondelle.

    Je grimace sous la poussée et son membre s'enfonce inexorablement dans mes entrailles.

    « Michèle t'as un cul d'enfer ! »

    Je suis une star chez les prisonniers dangereux!! Il me bourre avec force et dans un cris de bête, il se lâche dans mes fesses.

    Je me relève. J'ai mal au cul et j'ai un sale goût en bouche. J'ai du mal à digérer autant de sperme. Je regarde Carolina. Elle, c'est pire! Ses fesses et ses cuisses sont pleines de marques rouges. C'est sûrement la première fois qu'elle se retrouve aussi sale, marquée, souillée, humiliée.

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  • Vous allez me dire, ce n'est pas glorieux de se retrouver en position de soumission présentant son ventre ou le plus souvent, sa croupe au mâle dominant. Assurément, mais ma destinée est ainsi.

     

    Une foi à Casa, Aziz a des projets pour moi. Au marché, Aziz m'achète une tunique Berbère fendue sur les côtés. Elle est faite d'un tissu léger bleu. Normalement on la porte au dessus d'un pantalon bouffant et d'une chemise, mais moi je suis nue dessous. Je me change dans le fond de l'échoppe sous les yeux d'Aziz, de Henri et du marchand.

    « Comme ça, tu ne ressembles plus à une pute occidentale… ! » Dit Aziz en riant.

     En tout cas, ça lui plait, car dès qu'on est à l'hôtel, il trousse la tunique et me prend en levrette sur le lit. Henri attend son tour, ravi de plonger son sexe dans mon vagin plein du sperme.

    C'est pas mal les tuniques Berbères pour chauffer les mâles.

    « Je vais vous emmener dans un Riad. » dis Aziz.

    Nous sommes accueillis par une femme d'une trentaine d'années. Aziz, Henri et elle se salue en arabe :

    « Salam aleikoum", "Aleikoum salam".

    Moi, je compte pour du beurre. La jeune femme s'appelle Norah. Elle leur propose de s'asseoir et va chercher des bières.

    « Enlève ta tunique ! » Me dit Aziz.

    Norah revient. Je suis nue. Elle dit aux hommes en me détaillant :

    « Mignonne la femelle ! »

    Je lui souris timidement, pas facile de savoir quelle contenance prendre. 

    Ils discutent et boivent les bières. Moi, je suis nue devant eux comme une statue.

    « Tu as soif? », me demande Norah. 

    « Oui, Madame. » 

    Elle me tend sa bouteille. 

    « Demain, on filmera les préliminaires… »

    « Quels préliminaires, Madame?? » 

    « C'est une surprise !Tu verras bien assez tôt! » Dit Norah.

    J'ai les jambes qui tremblent. Aziz et Henri s'en vont et me laissent seule avec Norah en me promettant de venir me rechercher rapidement. Je me demande ce qu'ils trafiquent tous les deux. Le deux chiens de Norah, Rex et Prince. Me renniflent le minou et le cul en remuant de la queue. Norah leur ordonne :

    « Laissez-la! Allez jouer!! »

    Le soir, Norah reçoit des invités et je dois faire le service. Je suis nue sous la tunique berbère que Aziz m'a acheté. Lors du service, je case une bouteille de vin.

    « Maladroite! », hurle Norah.

    Je n'ai pas beaucoup d'espoir d'échapper à une punition.

    « Enléve ta tunique et met les mains sur la tête ! Messieurs cette idiote est à vous ! Faites en ce que vous voulez ! »

    Je suis nue devant cet assemblée qui me regarde avec désir de façon obscène. Je transpire, la sueur coule de mes aisselles sur mes flancs. Je suis palpée, pincée, des claques atterrissent sur mes joues, mes, seins, ma chatte et mes fesses. Je serre les dents pour ne pas leurs le plaisir de mes cris et gémissement.

    « Il suffit messieurs ! Vous allez la faire jouir à se rythme ! Tu feras plus attention? »

    « Oui, Madame. »

     

     

    Le lendemain, toujours nue, Norah m'ordonne d'aller jouer avec les chiens sur la pelouse pendant qu'elle déjeune. Les chien me font la fête. Ils me sautent dessus, me pousse, je suis un peu dépassé, là. Je regarde Norah qui me sourit. Il suffirait d'un mot d'elle pour qu'ils se calment.

    « Ils sont gentils, hein? Ils t'aiment bien ! »Me dit-elle.

    « Un peu trop, Madame, dites leur de se calmer ! »

    Ils me bousculent si bien que je suis déséquilibrée et me retrouve à quatre pattes. Je crie :

    « Noooooon!! Arrêtez!! »

    « T'es vraiment une grosse chienne en chaleur !! » Dit-elle. 

    On frappe alors à la porte. C'est Aziz et Henri. Je suis très contente de les voir.

    « Alors tu t'es bien faite défoncée comme une chienne en chaleur ? »

    Ils n'attendent pas ma réponse et disent à Norah :

    « On vient chercher la chienne ! On part vers le sud. »    « Mais vous êtes chiants ! J'avais des projets avec elle. Ca ne m'arrange pas du tout ! »

    « On te demande pas ton avis Norah ! Sache rester à ta place sinon !!!! » dit Aziz.

    Henri m'attend déjà dans la voiture.

    Norah dit à Aziz ;

    « Où est la caméra? »

    « Henri l'a prise, c'est la sienne. »

    « J'ai fait un film, hier, il me faut une copie ! »

    « Non ! T'es vraiment trop exigeante pour une femelle ! On réglera ça au retour ! »

    Norah, folle de rage, appelle les chiens :

    « Rex! Prince! ATTAQUEZ!! »

    On grimpe et on ferme les portière, juste à temps.

    « Quelle folle ! Elle ne perd rien pour attendre. Sa punition sera sévére, très sévére ! » Dit Aziz.

    Ils ont loué une Toyota 4X4. Aziz m'explique :

    « On va vers le sud… Ce ne sera pas un voyage de tout repos, mais après ça, on se paiera du bon temps. T'as pas peur de l'aventure? »

    Crâneuse, je lui répond :

    « Après ce que je viens de subir,j'ai peur de rien…A part les chiens méchants! »

    « T'as eu des problèmes avec Norah? »

    « A part me faire mettre par ses chiens, non pas trop ! »

    « OK, t'as pas oublié que tu dois être très obéissante avec nous ? »

    « Oui,  j'obéirai au doigt et à l'œil, comme une bonne chienne ! »

    Ils rigolent.

    « Pour l'heure, on va t'acheter des vêtement plus adapté pour le désert et l'aventure ! »

    Nous nous rendons dans un magasin style stock militaire et me voilà transformée en « indiana Jones féminin ». Je me regarde dans un miroir et franchement je me trouve pas mal du tout.

    Aziz dit à la vendeuse :

    « Il lui faudrait peut-être un soutien-gorge car en tout terrain sa poitrine va souffrir ! Montre tes mamelles à la demoiselle, Lasie ! »

    Je soulève mon tee shirt en soupirant. La vendeuse observe mes nichons.

    « j'vais voir ce que je peux faire pour vos énormes trucs ! » dit la vendeuse d'un air dédaigneux.

    Véxée, je referme ma veste en lui lançant :

    « Les miens sont naturels eux au moins ! »

    Elle se retourne en rigolant et en ouvrant sans complexe sont décolleté:

    « Les miens aussi jeune fille ! »

    Ooops! Aziz semble contrarié de ma réflexion mais n'en jette pas moins un regard intéressé sur la poitrine de la vendeuse.

    « Mets les vêtements et file m'attendre dans la voiture salope! »

    Je pousse un gros soupir et rejoint Henri dans le Land Rover.

    Quand il revient, il me dit :

    « C’est quoi cette réflexion à deux balles envers la vendeuse ? »

    « Elle a dit que j'avais des grosses mamelles ! »

    « Et alors, c'est vrai! Tu auras l'occasion de t'excuser plus tard ! On passe la nuit chez elle. »

    Génial, j'en rate pas une moi. J'me fais une ennemie et on passe la nuit chez elle...Super génial !!!  

    L'après-midi, Aziz et Henri sont à mes petits soins. Bon, j'en profite car je sais que je vais être punie de mon insolence ce soir. Nous roulons jusque sur une plage où nous mangeons dans un petit resto.

    « On irait bien se baigner après manger ? » demandais-je.

    va acheter des maillots", me dit-il.

    La plage est déserte. Nous ôtons nos vêtement et nous voilà entrein de nous ébattre dans l'eau. Rapidement, les jeux tournent au jeux de mains et les deux hommes me pelotent copieusement. Je finis évidemment avec une queue dans la bouche et l'autre dans le minou. C'est trop bon d'être baisée ainsi dans la mer. Je joui sans relâche et au bout d'une dixaine de minutes les deux mâles se déverse dans ma bouche. Le sperme à un goût plutôt agréable avec l'eau e mer. J'avale avec un plaisir non caché.

     

    Le soir, on passe prendre Samira, la vendeuse, au magasin. Aziz s'est installé à l'arrière avec Samira. Je jette un coup d'œil dans le rétro. Ils se pelotent et s'embrassent. Nous arrivons rapidement chez la vendeuse.

    Dés arrivé chez elle, Henri ouvre le jean de Samira et lui malaxe la motte. Aziz lui tripote les seins par dessus son top. Elle ondule en gémissant et en me regardant droit dans les yeux. Une sorte d'envie et de jalousie monte en moi. La salope voit bien ma réaction et elle glousse tout en gémissant sous les caresses de mes deux hommes. Je les regardent d'un air furieux.

    « On va s'occuper de toi aprés Lasie ! » Dit Yazid.

    « Merci Maître. »

    « Elle t’appelle Maître ? Comme c'est amusant ! » Dit la vendeuse.

     En m'adressant la parole, elle m'ordonne :

    « Enlève ton pantalon et ta culotte ! Demande moi pardon et combien de claques tu vas recevoir pour ton effronterie ! »

    Je me déshabille et je me mets à genoux devant elle.

    « Pardon, Mademoiselle, ne me punissez pas trop durement s'il vous plaît ! 10 coups par fesse Mademoiselle ? »

    La salope a un rictus malsain. Elle regarde Henri et Aziz comme pour avoir leur approbation. Mais au moment où elle va commencer la fessée, elle est intérompu par Aziz.

    « Au fait Samira, la question déplacée de Lasie reste en suspend. Maintenant, elle a peut-être raison ! As-tu vraiment des seins siliconés ?Il faut vérifier. Montre-moi tes nichons ! »

    « C'est elle qui mérite une fessée. Regarde ça Henri ! Que du faux au contraire de Lasie ! »

    Aziz nous fait mettre face à face et nous tâte comme on palpe une vache au marché. Samira est anxieuse.

    « Alors ? Qu »n penses-tu Henri ? »

    « Sans aucun doute les nibards de Samira sont du pipeaux ! »

    Il les caresse à sont tour.

    « Ils sont super beaux mais super siliconnés ! »

    « Donc tu mérites une fessée à la place de Lasie. »

    J'ai ma revanche et je souris discrètement de peur que les mâles changent d'avis. Elle demande à Aziz :

    « C'est une fessée pour rire ou une vraie punition?? »

    « Tu veux te rendre compte?? Tends tes fesses! »

    Elle présente, complaisamment sa croupe ronde, mais Henri intervient :

    « pourquoi lui donner une fessée alors qu'elle nous trompe avec ses seins ? »

    « T'as raison Henri ! » 

    Aziz lève la main et frappe son sein droit. Le fausses mamelles de Samira balotent sous le coup et surprise elle crie :

    « Aiiiie ! Mais t'es dingue ! Pas sur les seins !  Mais ça fait vraiment mal! »

    « Je n'ai pas frappé fort. » Dit Aziz.

    Elle se frotte le sein en grimaçant. Henri prend le relais avec une claque sur son seins gauche en disant en rigolant :

    « Celui-ci était jaloux ! »

    « Aiiie ! Salops !! C'est Lasie qui devait manger pas moi ! »

    « Ben ça, c'est nous qui décidons ma grande ! »

    Le deux homme se mettent alors à tour de rôle à lui claquer les seins sans écouter les plaintes de la pauvre Samira dont les mamelles rougissent au fur et à mesure des coups.

    Samira se frotte les seins en sanglotant.

    « Lasie! Va t'excuser maintenant avec la langue ! Fait jouir Samira ! »

    Les deux hommes s'amusent avec nous comme avec deux poupées. En fait pour moi la punition est douce et c'est avec bonheur que je léche et suce le clito de la vendeuse. Pour mettre du piment à l'affaire, mes deux salops se mettent à me fouetter les fesses jusqu'à ce que Samira hurle son plaisir et coule dans ma bouche. Ele leurs dit :

    « Lasie a une langue plus douce qu'un gant de toilette. »

    J'ai le visage mouillé de larmes qui se mélange à ses sécrétions. Ses cuisses frémissent son bassin fait un mouvement de haut en bas, comme mes fesses sous la fessée.

    Henri dit à Aziz :

    « Samira a un cul presque aussi tentant que La sie ! Trempée et chaude comme elle est on doit être bien à deux dedans ! »

    Aziz éclate de rire.

    « T'as raison l'ami, ne la laissons pas refroidir ! »

    On me repousse brutalement et les deux mâle se mettent à enfiler la pauvre Samira à peine remise de son orgasme. Ils la baise comme des soudards. Ses seins ballottent dans tout les sens. Et moi qui me baise???

    Je regarde, frustrée la scène en me masturbant. Au bout d'un moment, trois cris de jouissance retentissent. Je les regarde jouir ensemble… Gémissements, soubresauts des corps enlacés.

    Elle dit :

    « Aaaah... oui… Vous m'remplissez biiiien !!! »

    Quelle salope cette Samira! Un dernier coup de reins au plus profond d'elle et Aziz se retire. Henri reste encore un instant au chaud dans sa chatte. Aziz se tourne vers moi et dit :

    « Nettoie ma queue salope! »

    Je vais rapidement me mettre à genoux devant lui et prends, son sexe en bouche, il a le goût de sperme et de cyprine. Une foi propre, c'est au tour de celle d'Henri. Samira qu'en à elle et restée debout chancelante, cuisses écartés. Du sperme s'écoule de sa chatte et de son cul formant un long filé blanchâtre qui s'écoule vers le sol.

    DSC_3113.jpg

    Il y a une bulle qui sort de sa chatte, mélange de sperme et de sécrétions.

    « nettoie Samira maintenant ! »

    Samira se penche pour me regarder faire. Voilà, j'ai tout nettoyé. "Je vais même jouer avec toi, prends une banane et viens ici".

    Samira , une foi nettoyée par mes soins reprend les rênes.

    « Lasie ! À quatre pattes! Qu 'on voit bien tes fesses ! »

    Je me cambre. Elle prend une grosse banane et elle enfonce le fruit dans mon vagin détrempé.

    « C'est bon, petite chienne ? »

    « Oh oui, merci Mademoiselle ! »

    Je m'abandonne à Samira et au fruit. Henri et Aziz applaudissent.

    Épuisée, je demande si je peux prendre une douche.

    « Oui bien sûr et je vais la prendre avec toi ma chérie. » Me dit Samira

    Henrie et Aziz nous regardent en voyeur et admire le spectacle qu'on leur offre sous la douche.

    Après une nuit de sommeil bien mérité, on dit au revoir à Samira et en route pour de nouvelles aventures. J'ai un mauvais pressentiment. Je me doute qu'on transporte des trucs pas très légaux. On roule vers le Sud. On arrive à la frontière du Sahara Occidental. Aziz montre nos papiers aux soldats, tout est en ordre. Après avoir roulé des heures, un barrage de rebels!

    « Oh putain!! » Dit Yazid.

    Il fonce et contourne le barrage. Je me retourne morte de peur et je vois une Jeep qui nous prend en chasse. Il arrive à la semer. En arrivant près d'un marché, il y a des embouteillages. Henri et Aziz saute du 4x4 en criant :

    « Courez!! Dans le marché, on pourra se cacher!! »

    Mais ma ceinture s'est bloquée et je reste coincée dans la voiture. Mais pourquoi ? Quelle conne d'avoir attaché ma ceinture ! Impossible de l'ouvrir ni de m'extraire. La Jeep arrive. Terrorisée, je ne bouge plus. Je lève les mains. Des black armés jusqu'au dents, en treilli, m'entourent en gueulant. Je suis prisonnière de ma ceinture de sécurité comme un animal pris au piège. Les soldats rebels gueulent des trucs que je ne comprends pas. Il y en a un qui brandit un couteau. Il coupe,  la ceinture de sécurité.

    Il me sort de la voiture par les cheveux et me met des menottes dans le dos. Puis ils me balancent par terre à l'arrière de leur jeep. Deux soldats viennent s'asseoir et posent leurs pieds sur moi. Après un long trajet en voiture, on s'arrête, enfin. Les soldats me sortent de la Jeep. J'ai mal partout. Je suis éblouie par la lumière. Un soldat me conduit dans une sorte de fort bati au milieu du désert. On entre dans un baraquement. À l'intérieur, il y a un homme derrière un bureau. Je pense malgré ma peur, à ce que je vais dire..... je suis une auto-stoppeuse en vacances… etc....

    L'homme raccroche le téléphone, fait un signe au soldat. On m'enlève les menottes. Je masse les marques rouges  sur mes poignets endoloris.  L'homme me dit séchement dans un français correct :

    « Déshabille-toi! »

    Je ne demande pas pourquoi, mais je le fais. Quand je suis nue, un de ses collègues lui dit quelque chose en arabe. Il me dit :

    « Tourne-toi. »

    J'ai encore quelques traces de fouet sur les fesses, souvenirs de la punition d'Aziz.

    « T'as été battue? »

    « Oui, Monsieur. »

    « Pourquoi? »

    « J'ai été insolente avec une vendeuse. »

    Il prend mon passeport.

    « Michèle Pouchin. Française. T'es consciente que tu risques gros en faisant du trafic de drogue? »

    « Je..Je l'ignorais Monsieur ! J'étais leur jouet ! Il m'utilisaient mais...Mais je ne savais pas ce qu'ils trafiquaient ! Je vous le jure, je l'ignorais. Je recevais des gifles si je posais des questions… »

    Il écrit tout ce que je dis.

    « Bon, raconte-moi tout, depuis ton arrivée et ne mens pas sinon la punition sera sévère ! »

    J'invente une histoire, j'étais en vacances et je voulais visiter la région, je me suis dit que j'allais faire du stop. J'ai été prise par deux hommes.

    Je ne vais pas balancer, mes amis. Puis avec un peu de courage, je demande :

    « Je voudrais appeler mon consulat, je crois que ce que vous faites n'est pas légal. »

    Omar se met à rire, les autres l'imitent.

    « Idiote ! Où crois-tu être ? Ici c'est moi la loi ! Ici, c'est moi qui ai le droit de vie et de mort ! Ici tu n'es qu'une chienne d’infidèle ! Tu es chez les rebelles !On va devoir être moins gentils avec toi ! »

    Il prend son téléphone et dit :

    « Envoie-moi l'électricien ! »

    J'essaye encore en supliant :

    « Je ne sais rien Monsieur, je vous le jure. »

    « Tu mens! Chienne ! »

    l'homme qui entre traîne un fauteuil, genre chaise électrique. Ils me mettent sur la chaise, attachent mes poignets et mes chevilles à des lanières de cuir. La même chose pour le cou. Je crie :

    « Qu'est-ce que vous allez me faire??? »

    On me bourre la bouche avec un vieux chiffon. Je veux leurs dire que j'ai menti. Que je vais tout dire! Mais la seule chose qui sort de ma bouche, c'est, "mmmuufff… mmmuuufff…"  

    Un des soldat pince le bout de mes seins et tire dessus. Quand ils sont bien dressés, il leur met deux pinces crocodile reliées à une dynamo.

     

    « Prète?? » Me dit-il.

    Je fais non de la tête, mais je peux à peine bouger la bouger. l'électricien tourne une manette et une douleur fulgurante me traverse les seins. Mon corps se tend dans mes liens.

    « Combien, chef? » Demande-t-il.

    « Disons encore six décharges. Alterne faible et moyenne puissance. »

    Le courant me traverse à nouveau les seins, moyen puis fort. Je crie dans mon bâillon, mon corps se cabre et se tord autant que les liens me le permettent. Je suis couverte de sueur et mon visage est plein de larmes.

    Après six décharges, le chef dit :

    « Enlève son bâillon, on va voir si cette chienne est dans de meilleurs disposition ! »

    Dés que ma bouche est libérée, je lui crie :

    « Pitiiéééé, Monsieur, pitiiiiéeeee, j'ai menti, je vais… »

    « Tu ne veux pas essayer les réglages plus? »

    « Noooooooooooooooooooonnnnnn!! »

    « OK, alors parle ! Si tu ne me dis pas la vérité, ça va être moins agréable! »

    Alors, je déballe tout ; Henri, Yazid, Norah, Samira… Tout… même les chiens… Mon auditoire est super attentif. L'officier me dit :

    « On a regardé le film de toi avec les chiens. »

    Putain! C'est vrai, la caméra!!

    « On m'a obligé de faire ça Monsieur. Je vous jure ! »

    « Pour quelqu'un à qui on oblige une telle déchéance, t'as l'air d'aimer ça ! »

    A ce moment là, la seule chose qui compte pour moi c'est de me sortir de ce guêpier là.

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