•  Le lendemain matin, Tintin nous dépose, Clara et moi, devant un petit resto en retrait de la route. Je prends mon sac et on va vers le resto. La patronne vient vers nous :

    « Bienvenue dans mon palais, les filles. Moi c'est Lili !  Ça va être votre baptême du feu, les filles! Il y a deux mecs qui vous prennent pour 2 h et ils se sont montrés très généreux. »

    Clara dit timidement :

    « Mais moi, je ne suis qu'escorte girl....Je ne fais pas la pute ! »

    Lili la regarde :

    « Eh bien, dis-toi que c'est un rendez-vous d'escorte girl ! »

    Nous contournons le resto et découvrons deux loustiques installés dans des fauteuils.

    « Les gars, voici les poulettes que vous m' commandées ! »

    Ils se lèvent en nous examinant des pieds à la tête et se mettent à palper la marchandise. Ils nous caressent les fesses, les seins. Clara est terrifiée. Elle a affaire généralement à des chefs d'entreprises ou des footballeurs en tant qu'escorte. Lili me prend fermement par un bras :

    « Lasie, je veux que tout se passe bien, commence par leur faire un show avec cette petite pimbêche, je compte sur toi! »

    Lili s'en va. On est là avec les deux mecs qui nous pelotent.

    Je leur dis :

    « On va vous faire un petit show rien que pour vous les gars ! »

    Je prends Clara à part et lui dit :

    « Même si c'est pas le genre de mecs avec lesquels tu travaille d'habitude, tu fais un effort. OK, J'ai pas envie de dérouiller à cause de toi ! »

    Elle me fait oui de la tête. Les gars se sont assis et ont sorti leurs bites. J'embrasse Clara à pleine bouche t nous commençons à nous caresser en se déshabillant. Je me mets à genoux et je la lèche. Elle est toute mouillée et gémie sous ma caresse en ondulant. Les mecs adorent et applaudissent.

    « Génial les filles mais maintenant venez vous occuper de nos queues ! »

    On les prend dans nos bouche et commençons à les sucer. Nous sommes obéissante et soumises. Il sont contents.

    « Vous sucez bien les salopes ! On va vous récompenser ! »

    Mettez vous à 4 pattes et tendez bien vos cul de putes ! Vous allez prendre votre pied, les filles! »

    Je sens le gland d'un des deux sur ma rosette. J'essaye de souffler et de me détendre. Il me titille le clito et je tortille du cul en gémissant. Il pousse et sont gros chibre pénétre sans trop de mal dans mes fesses. Clara quant à elle pousse un cri au moment de la pènètration. Il se mettent à nous bourrer en nous prenant les hanches. Je ne peux résister longtemps aux sollicitation faite à mon clito et je me mets à jouir bruyamment. Impossible de garder fermées les vannes du plaisir. Ma jouissance déclenche celle de Clara. Ils sont endurant les salops. Mais ils ne vont pas tenir longtemps… Ils se mettent à pousser des grognements et des phrases du genre :

    « Vous êtes de bonnes salopes ! On va vous en mettre plein le cul petites putes ! Haaaa !!! J'vais tout lâcher dans ton cul, de chienne ! »

    Je le sens gonfler en moi, puis m'arroser par saccades.

     

    « Maintenant, faut nous nettoyer les queues les filles. » 

    Je lèche la bite de Lino qui a enculé Clara etarla et…"vice" versa. Du sperme, des sécrétions et seulement un petit goût amer, je ne suis pas fan du tout, mais faut bien s'y plier. Quand leurs membres sont roses et luisants, ils nous donnent une claque sur les fesses :

    « Vous êtes de sacrées bonne putes ! C'est bien les filles. On en a eu pour notre argent ! »

    Ils se marrent.

    Je dis à Marco :

    « Vous direz à Lili que c'était bien, Monsieur Marco? »

    « Bien, tu rigoles? T'as vu la tête de ta copine au début? »

    «  Je vous en prie, Monsieur Marco, elle n'a pas l'habitude des vrais hommes. »

    Les deux frères se marrent. Il cherche dans son sac et en sort un appareil photo.

    Marco nous dit :

    « Je dirai à Lili que vous êtes des perles qu'on peut enfiler des deux côtés ! »

    Ils se marrent et nous aussi. De retour dans le resto, Lili demande :

    « Alors tout s'est bien passé? »

    « Très, très bien… Madame. » 

    Une Bentley arrive sur le parking. Un grand Black, genre chauffeur/garde du corps, ouvre la portière arrière. En sort un type d'une cinquantaine d'années, avec une gueule de mafieux. Le suit, une fille blonde, élégante, les yeux rougie comme si elle avait pleuré.

    Il connaît Lili et ils se saluent. La blonde reste dans un coin tête baissée. Le type s'appelle John. Il est évident que la blonde qui a pleuré lui a fait quelque chose qu'il n'a pas apprécié.

    Il nous dit :

    « Vous savez ce qu'elle m'a fait cette salope ?! »

    Je lui réponds :

    « Elle vous a trompé, M'sieur ? »

    « Exactement! T'es une futée toi ! Et je n'aime pas ça du tout ! Elle va me le payercette pute ! »

    S'adressant à la fille, il lui lance :

    « T'avais envie de te faire baiser, hein, salope? Eh bien, tu vas être servie! Lasie ! Corrige-la d'abord !  Tu vas avoir 5 coups de martinet de bienvenue, 5 pour mon plaisir et 5 pour avoir demandé, "pas trop fort", ça te semble juste? »

    « Oui, Monsieur. »

    Et c'est reparti : 15 fois les lanières s'abattent sur ses fesses.

    Elle frotte ses fesses. Le grand type pose sa main sur ses fesses. Elle fait un bond.

    « Reste tranquille ma pouliche! »

    Il me regarde.

    « Tu es une artiste… Je ferais appel à tes talents, pour les films, que je produis et pour d'autres choses. »

    J'en suis ravie. Il passe ses doigts sur les marques rouges que les lanières ont laissées sur ses fesses.

    « Maintenant, tu vas aller sucer des camionneurs, je suis sûr que ça va ta plaire autant que ton aventure avec… ». Il ne continue pas.

    Il sort de sa poche une enveloppe qu'il donne à Lili. A moi, il tend un billet de 50 €.

    « C'est pour avoir travaillé le cul de ma salope ! »

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  •  Le lendemain, Laurence nous conduit à la gare. Dans le train, je demande à Steph ce que l'on va faire.

    « On a rendez vous avec un ami océanologue. Comme il a un nom à rallonge, tout le monde l'appelle Tintin. Tu vas passer la nuit avec lui. Donc je veux qu’il soit satisfait de tes services quoiqu'il te demande. Tu as compris? »

    « Oui, Maîtresse. »

    « Tu iras à l’Orange Bleue, Tintin t'y attendra. Je vous rejoindrais, demain. »  

    J’arrive devant l’hôtel. j'entends, "Lasie?"

    C'est Tintin. Il m’embrasse sur la bouche comme si on se connaissait. Il a l’air cool.

    « Ma pauvre mais t'es sapée comme une souillon ! On va aller t'acheter des fringues plus sexy. »

    « Merci Monsieur ! »

    Je suis si contente que je mets mes bras autour de son cou et je l’embrasse à pleine bouche. 

    Dans la boutique, je le fais venir dans la cabine pour qu’il me donne son avis et je me change devant lui.

    « Tu ne mets jamais de sous vêtements? » me demande t-il.

    « Jamais, Monsieur ! »

    Il sourit et me caresse les fesses en me disant :

    « Appelles-moi Tintin, Lasie. »

    Après les courses, on va pendre l’apéro. Il a une fameuse descente le Tintin. Il ne veut pas boire seul. Alors, je fais ce qu'il veut et je m’enfile trois pastis, à jeun. J’ai la tête qui tourne un peu. Après l’apéro, on va manger sur port. Tintin me raconte ses aventures. C'est passionnant. On rentre l’hôtel où un de ses collègue l'attend. Tintin me présente comme son assistante. L'autre est sympa aussi, il est surnommé le Prof. On monte dans la chambres. Là, Tintin lui dit :

    « Si tu as envie de t'amuser un peu, mon assistante n’est pas farouche. »

    Je sens venir le plan à trois. Mais, bourrée, je suis dans l’ambiance. Tout à coup, l’attitude de Tintin change radicalement. Il me dit :

    « A poil Lasie ! »

    Sa voix n’est plus la même, elle est autoritaire. Il me regarde dans les yeux, son visage tout près du mien.

    « On va faire un jeu où il faudra obéir, tu comprends?? »

    « Oui, Monsieur. »

    On toque à la porte, c’est le prof.

    « Entre ! Je lui explique les règles du jeu. A partir de maintenant, tu es ma chienne, tu n’as plus le droit de parler. Tu ne peux répondre que par des aboiement. Si tu n’obéis pas, tu seras punie ! »

    Prof a sorti son sexe et se branle doucement laissant son ami diriger les événements. Et moi, qui trouvait Tintin si gentil et marrant.

    « Tu as bien compris les règles? »

    « Waf waf ! »

    Il sort de sa valise un "butt plug" avec une queue.

    « Met toi à 4 pattes et léche moi ça ! »

    Il le met contre mon anus et m'empale d’un coup. Je ne peux réprimer un "Aaaiiiiiiii!!!". Mon anus se referme sur la partie étroite du milieu.

    « C'est l'heure de manger, Lasie ! »

    Il ouvre une boite de Canigou et verse le contenu dans une gamelle. Beeuuurrrrkkkk!!! Je plonge le nez dans la gamelle.

    « C’est bien Lasie, t'es une bonne petite chienne. »

    « waf waf waf ! »

    « Ces petites bêtes savent se faire comprendre! »

    Le prof et lui rigolent.

    « Maintenant, marche en remuant la queue. »

    Je marche à 4 pattes en remuant mon derrière. Et, oui, j’ai pleinement conscience d’être très, très ridicule. Puis, il me lance une balle

    « Va chercher ! »

    Je vais la chercher, la prends dans la bouche et lui rapporte. Il me donne un bon coup sur les fesses et me dit :

    « Plus vite!! »

    Je cours à 4 pattes le plus vite possible. Ma clochette tinte sans arrêt. Il lance la balle aux 4 coins de la pièce. Le prof est ravi de me voir courir à 4 pattes les fesses en l'air.

    « T'es champion pour le dressage ! » dit-il.

    Tintin sourit modestement. Le lancer suivant, j'ai un peu de mal à prendre la balle sous un fauteuil. Il se lève et me frappe sur les fesses à plusieurs reprises. Je tire la langue en haletant. Je lèche sa main quand je ramène la balle. Ça a l'air de le satisfaire.

    « Fais la belle ! »

    Je le regarde avec soumission. Il me caresse la joue. Je lèche ses doigts à nouveau.

    « Tu vas aller faire plaisir à mon ami avec ta bouche, tu comprends? »

    « Waf waf ! »

    Je vais à 4 pattes entre les jambes du prof. Pendant que je suce le Prof, Tintin me prend en levrette. Le prof n’y tenant plus, jouit dans ma bouche. J’avale tout. Je suis bien dressée. Tintin est sévère mais attentionné. Tout en me baisant, il me caresse le clito et je joui sous ces assauts.

    Une foi qu'il on bien joui de moi, j’attends, obéissante. Tintin me caresse la joue.

    «  Je dirai à Steph que tu as été une petite chienne très obéissante. »

    « waf waf waf !! »

    Le lendemain matin, je suis réveillée par Tintin :

    « Toc-toc!! », dit-il, en cognant mes fesses avec sa bite.

    « Bonjour, Lasie…Un petit coup de bite dés le matin ça met en forme ! »

    « Oh oui, avec plaisir Tintin ! »

    Je tends mes fesses et il me bourre rapidement pour se lâcher dans ma chatte. Puis nous déjeunons avec le prof. Ils parlent de la sortie en mer. On va au port et on embarque sur un chalutier. A bord, il y a un capitaine et deux hommes d’équipage.

    Il fait très beau, mais à cette heure matinale, le vent est frais. Deux heures plus tard, on arrive sur les lieux de pèche. Après une heure de drague, on remonte les filets et les deux pêcheurs trient les poissons. Ils rejettent à la mer tout ce qui n’est pas exploitable. L'ambiance est cool. Ce qui fait, qu'ils s’arrêtent de temps en temps pour boire un coup. Je les accompagne et on a déjà vidé la bouteille de Ricard. Il commence à faire chaud et je me mets en maillot.

    J’essaye de m'intéresser à ce qu'ils font mais, ça les énerves plus qu'autre chose. Tintin me prend par les cheveux. C'est dingue cette manie, et m'amène chez les 2 pêcheurs qui trient les prises. 

    « Les gars, cette conne nous casse les pieds, faites la travailler ! »

    « On va la faire bosser et on la besognera ensuite ! »

    Je trie les poissons, en rigolant avec eux. Le jeune se met à me lancer des petits poissons. Je riposte, on se marre bien. Le plus jeune prend un concombre de mer et me dit :

    « Presse-le! »

    Au moment où je le fais, un long jet d’eau en sort en m'aspergeant. Rire général ; c’est de l’humour de pêcheurs. Après ça, alors que je me penche pour attraper un poisson, il tire sur ma culotte et me met des petits poissons tous frétillants dedans. Je cris de surprise en rigolant. Je baisse ma culotte pour enlever les poissons. Là, j'ai un franc succès. Quand on a fini de trier le dernier filet, je pue le poisson et suis couverte d’écailles.

    « Attends, Je vais te rincer. » me dit le jeune.

    Il prend un tuyau relié à une pompe qui envoie de l’eau de mer. J'enléve mon maillot qui est tout sale et je tourne sur moi-même, toute nue, sous le jet d’eau froide.

    Le capitaine m’appelle de sa cabine.

    « Tu veux piloter le bateau?? »

    Je m'installe derrière la barre. Il est derrière moi et il met ses mains sur les miennes, pour me montrer comment faire. Je sens le sexe du capitaine dur et dressé contre mes fesses.

     

    Je lui dis :

    « Je sens quelque chose, capitaine. »

    « C’est de ta faute, si j’ai la gaule, salope à trainer à poil sur mon navire ! »

    Oui, ça, c'est un peu vrai. Il en profite pour caresser mes fesses. J’écarte un peu les jambes. Ma chatte toute mouillée me trahit et ses doigts glissent tous seuls en moi.

    On est en hauteur dans la cabine, mais les deux autres pêcheurs nous regardent en rigolant. Le capitaine sort son sexe et me dit en me prenant par les hanches :

    « Allez prends ça dans le cul salope ! »

    C’est quand même le seul maître à bord après Dieu, et je me laisse faire.

    « Haaaaa !!!. Aïe!!!! »

     Je la sens bien passer sa barre. J'm'retrouve avec 20 bon cm de Capitaine en moi. Au lieu d'apprécier ma docilité, il me dit :

    « Allez remue ton cul, petite putain ! »

    Le Capitaine me baise à grands coups de bite, ressortant presque à chaque fois. Après quelques coups de reins encore plus énergiques, il reste enfoncé à fond et jouit en moi. Il reste immobile un moment, puis se retire en me disant :

    « t'es trop bonne toi ! Tu peux lâcher la barre, il y a le pilote automatique. »

    Ah la la!! Les hommes! Ils sont prêts à tout, même à vous mentir, pour vous enfiler.

    Quand je reviens sur le pont, Tintin discute avec les 2 pêcheurs. Il me dit :

    « Salope, pour te faire sauter t'es toujours prête, mais pour bosser c'est autre paire de manches ! »

    « Je dois avouer que j'étais occupée avec le pitaine ! »

    « Mais elle a picolé la pétasse ! » dit le vieux.

    « Elle mérite une bonne fessée !Il y a un volontaire? » répond Tin-tin.

    Les deux marins se regardent en rigolant.

    « Yes on va lui rougir le cul à votre salope ! »

    je pousse un gros soupir. Le vieux m'attrape par un bras et me couche sur ses genoux.

    Il prend un paquet d'algues qui se trouve sur le pont et le frotte sur mes fesses jusqu'à ce qu'elles soient bien mouillées. Puis, il lève sa grosse main qui vient claquer sur mes fesses mouillées.

    « Aaaiiiieeee!!! ouiiiillle!!! »

    Il a une de ces poignes et ses claques me font vraiment mal. Je le crie bien fort :

    « Arrêtez!!!Vous me faite maaaalll !!!! »

    Il me fesse à toute vitesse et en quelques minutes, c'est fini. Je me relève en pleurnichant et je me frotte les fesses. Elles sont brûlantes maintenant.

     

    Je demande au jeune :

    « S'il vous plaît pas trop fort. Je serai… euh… très gentille. »

    Il me répond en rigolant :

    « Tu le seras de toute façon, après ta fessée ! »

    Il me couche à son tour sur ses genoux et il pose sa main sur mes fesses, rentre ses doigts dans mes fesses et ma chatte. Je les relâche avec soumission. Je ne sais pas s'il joue à ça avec sa copine, mais il sait y faire. Il lève la main. PAF!! Sur mes fesses déjà rouges, ça claque et ça fait mal. Mais il a autant de compassion pour moi que pour le poisson qui se tortille sur le pont du bateau. Il espace ses claques de quelques secondes et sdavoure le moment. Les autres comptent en chœur :

    "1". Moi : "Aiiiie".

    "2" "Ouille, aie"

    "3" "ça fait maaal!!!"

    Cette deuxième fessée fait vraiment mal. Je piaille et supplie en vain. Le jeune me fait me relever. Je me frotte les fesses à deux mains en pleurnichant. Il dit :

    « Tu n'as rien à me dire? »

    « Merci, Monsieur de m'avoir donné une fessée ! »

    Les autres se marrent et le félicite. Le jeune pécheur dit aux autres :

    « Elle va me sucer maintenant ! »

    Je m’agenouille et sors son sexe. Je le prends en bouche et le suce avec application.

    Il me pince le bout des seins. Tout aà coup il me dit :

    « Je vais tout lâcherau fond de ta gorge !!! »

    Je sens son sexe gonfler et faire jaillir tout son sperme dans ma bouche. Il pousse des grognements.

     

    Pendant que je dégluti, il  se retire et crie :

    « Paulo, c'est à toi! »

    Il me donne une claque sur les fesses.

    « Pas bouger ! Paulo va s'occuper de toi ! »

    Le vieux arrive, et, sans un mot il s'enfonce dans ma chatte.

    « Fais comme chez toi ! »

    Vlan une claque sur le cul. « Ferme là salope ! Putain de merde! Elle est tellement graissée que j'sens rien ! j'vais lui prendre le cul ! »

    Heureusement, le Capitaine a déjà ouvert... la voie… Ouch!! Je le sens quand même bien passer. Il a un bon coup de rein, le vieux loup de mer. Il m'attrape bien par les hanches et me dit ;

    « T'aimes bien te faire enculer, hein, petite pute ! »

    « Oui, Monsieur. »

    Après quelques soubresauts, et un grognement de victoire, il se retire.

    Les quatre autres qui sont venus assister au spectacle et y vont de leurs commentaires en rigolant.

    « Bravo, Lasie! Ça fait plaisir d'avoir une belle pute comme toi à bord de mon bateau.», dit le Capitaine. plaisir.

    « Quelle salope!! » dit un pêcheur. 

    J'aide à nettoyer le pont avec le jet. Malgré, qu'ils connaissent mon cul intimement, Les hommes à bord sont toujours aussi intéressés par mon corps. C'est vrai qu'ils m'ont tous tirée. En arrivant au port, ils me disent qu’il y aura toujours une place pour moi à bord. Le jeune me donne un papier avec son nom et son téléphone. J'ai remi juste ma petite robe et en débarquant, je fais attention que ma jupe ne vole pas. Ce n'est pas que ça me dérange de montrer mes fesses, mais ça me gêne quand elles sont toutes rouges par les fessées.

     

     

     

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  •  On arrive près des filles, moi courbée en avant toujours tirée par les cheveux en gégniant.

    « Mais voilà la touriste... ! » dit une des fille.

    Le chef me lâche. Une des filles, Laurence, me montre un tige en bambou qui sert de tuteur pour les jeunes vignes.

    « Le contremaître veut qu'on te mène à la baguette, c'est ce que je vais faire. Penche toi en avant et met les mains sur tes genoux ! »

    Je la vois venir et me console en me disant que j'ai un jean assez épais et pas un short.

    Je pousse un soupir alors que je me penche en avant et tend mes fesses.

    « Prête?? »

    « Oui…. mais pas trop fort, s'il vous plait ! »

    Elle lève son bras et abat la tige sur mes fesses.

    « Aiiiie!!!", Je travaillerai, je vous le jure! »

    Elle ne m'écoute pas et les coups se succèdent. Le bruit a couru dans les vignes que je recevais une fessée et tous ceux des environs sont venus assister au spectacle. Dix neuf fois la baguette s'abat sur mes fesses. Je me supplie à chaque coup en gémissant. Elle décale légèrement chaque coup pour bien couvrir tout mon derrière. Les spectateurs sont ravis et .

    Vers la fin, je pleure tout en suppliant d'arrêter. Enfin, le dernier coup est asséné mais je reste en position. Il y a des rires et des applaudissements.

    Laurence me dit :

    « Redresse-toi! Tu as compris la leçon? »

    « Oui, Mademoiselle ! »

    « Ok maintenant, tu bosses avec moi. »

    Steph ayant eu vent de mon spectacle, se pointe en disant à Laurence :

    « C'est une chienne très soumise. Si elle avait une queue, elle l'agiterait en te léchant les pieds. »

    « Comme c'est la fin des vendanges, vous pourriez venir quelque jours chez moi. » Lui répond Laurence.

    « Ce serait cool ! Tu sais, Lasie pourra faire le ménage chez toi. Ce qu'elle fait le mieux c'est récurer le sol à 4 pattes le cul à l'air. »

    Elles se marrent toute les deux.

    « Pas vrai, Lasie ?! »

    « Oui, Mademoiselle. »

    On retourne près des autres.

    Steph me dit :

    « Baisse ton jean et penche toi en avant ! »

    « Nooonnn, Maîtresse, j'ai déjà été punie ! »

    « Pas de panique, idiote ! je vais juste leur montrer tes fesses pour le plaisir. Ca leur fera un souvenir! Ceux qui ont envie de voir les fesses de Lasie et faire une photo, c'est le moment ! »

    Ils arrivent de partout pour voir mes fesses zébrées de marques boursouflées. Ils font des photos. Un garçon passe son doigt sur les marques. Tant qu'on ne me frappe pas, je m'en fous de montrer mes fesses. Ils trouvent ça super marrant.

     

    Le lendemain, il y a des acheteurs Japonais qui viennent au "château". Le propriétaire charge le contremaître de leur faire visiter les vignobles et d'organiser une démonstration de la façon dont on foulait le raisin dans le passé. Le chef nous donne des petites robes, parce qu'on doit fouler le raisin, jambes nues. Avant de commencer, le contremaître nous dit :

    « Pas de culotte mesdemoiselles pour le foulage ! Dans le temps, les filles de la campagne ne portaient pas de culotte! Ça leur plaît beaucoup aux Japonais, que vous montriez vos culs en foulant le raisin ! C'est vendeur ! »

    Lors du foulage, je sens des gouttes de jus de raisin éclabousser mes fesses et ma chatte. Les Japonais font des photos. Mine de rien, c'est fatiguant de fouler le raisin. Ca m'a émoustillée et je vais vers le chef en lui disant :

    « Je suis toute essoufflée, chef, sentez comme mon cœur bat »

    Je prends sa main et la pose sur mon sein droit.

    « C'est de l'autre côté pauvre gourde ! » me dit-il en caressant mon sein gauche.

    « Toi, ne te lave pas et va m'attendre à l'écurie ! »

    Mes jambes couvertes de jus de raisins. Il me rejoint. Il me prend contre lui et m'embrasse. Il me déshabille. Quand je suis nue, je prends sa bite, je me mets à genoux devant lui. Son bout est tout mouillé d'excitation. Je le frotte un peu sur mon visage, puis je le prends en bouche. Ma langue caresse le gland. Ça me plaît de plaire au chef, je le prends complètement en bouche. Il aime…Beaucoup... Trop, même..Il se retire de ma bouche et me dit :

    « J'vais t'baiser dans l'raisin ! »


    Il met sa queue entre mes seins et je lui fais une cravate de notaire. Le chef est très excité et jouit bientôt dans ma bouche et me dit :

    « Alors ce dessert? »

    « Délicieux...Chef !! »

    Le soir, le chef nous dépose chez Laurence. C'est le bordel dans son appart'… Des vêtements traînent un peu partout, des cendriers pleins, des verres à moitié vides, de la vaisselle plein l'évier.

    « Toi, tu vas avoir du boulot demain… ! » Me dit Stéph.

    Il est déjà tard, on mange une pizza, elles discutent un peu et on va se coucher. Elles prennent le lit, moi, je dors des couvertures par terre.

     

     

    Le lendemain je suis réveillée par Laurence, qui me pousse avec son pied.

    « Va faire du café !Ensuite, tu fera la vaisselle et le ménage. »

    Je fais toute la vaisselle et ensuite le ménage toute nue.

    Je suis occupée à faire la lessive quand on sonne.

    « Va ouvrir Lasie ! » me crie Laurence de la pièce d'à côté.

    « Mais Madame, je suis toute nue ! »

    « Et alors petasse, t'as déjà vue une chienne avec des vêtement ? »

    « Non Madame. »

    Résignée et honteuse, je vais ouvrir.

    « Bonjour c'est le facteur! » Dit un gros mec jovial.

    Il me regarde mieux et me dit :

    « Toi t'as du dire quelque chose qui n'a pas plu à Laurence… !! »

    Il me met la main au cul et embrasse Laurence sur la bouche. Steph arrive toute fraîche et toute nue de sa douche et salue le facteur. Laurence lui explique que le facteur est devenu un ami qui l'a souvent aidée.

    « C'est normal, elle sait si bien me remercier. »

    « Justement,si tu veux utiliser Lasie !  La petite salope a le feu au cul, ça va te plaire. »

    Steph intervient :

    « Essayez-la! C'est offert de bon coeur! »

    Le facteur lui sourit.

    « Dans ce cas, volontiers. »

    Le facteur vient derrière moi. Je sens le bout de son sexe qui vient flairer l'entrée de mon vagin. Je me cambre un peu plus.

    « Elle est bien mouillée! » Dit-il.

    « C'est une petite chienne en chaleur, toujours prête à se faire tirer. »

       

    Il m'attrape par les hanches et me pénètre jusqu'aux couilles. Il accélère ses coups de reins.

    « Tape-lui sur les fesses ! Elle adore ça ! » lui dit cette garce de Stéph. 

    Il me donne de bonnes claques. Il jouit au fond de mon con et je crie mon orgasme.

    « Ca fait du bien une pause avec une telle salope ! Mais la tourné m'attend ! »

    Il embrasse Steph et Laurence sur la bouche et me donne une claque brutale sur les fesses.

    Je continue la lessive et range tout l'appartement.

    « On va manger en ville Lasie !  Fais pas de bêtise pendant notre absence ! »

    Il m'attache à un radiateur et s'en vont me laissant seule.

    Quand elles reviennent deux heures plus tard, Laurence me lance :

    « Le facteur t'a bien défoncé tout à l'heure ! Maintenant j'ai envie que tu me léche la chatte !  Viens ici ! »

    Laurence s'est installée dans un fauteuil jambes écartées. Je m'agenouille entre ses cuisses.

    Je prends ses grandes lèvres en bouche, les suce un peu, puis j'introduis la langue dans son vagin. Je reviens rapidement vers le clito. Steph me regarde attentivement. Je lèche le clito, tourne autour avec le bout de ma langue. Laurence est très démonstrative. Ses cuisses tressaillent et son bassin bascule pour mieux présenter sa chatte à ma langue. Elle gémit en me caressant la tête. Après quelques minutes, elle se contracte tout à fait, ses jambes se tendent et elle jouit sur mon visage en refermant les cuisses.

    Steph demande à Laurence :

    « T'es satisfaite? »

    Laurence me caresse le visage, passe deux doigts sur ma bouche. Je les lèche.

    « Oui…c'était pas mal. »

    Vers le soir Steph me dit :

    « Va prendre une douche, repose toi bien car demain on part! »

    Les dessous de Michèle 8

     

     

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  • Les jours passent et se ressemblent. Quand j'entre dans la cuisine. Martine, comme d'habitude, passe la main sous ma jupe pour vérifier que je n'ai pas de culotte et que mes fesses sont à sa disposition.

    « Martine j'ai envie de pisser ! »

    « Ok ! Vas pisser sur la pelouse et reviens vite ! »

    Je cours dans le jardin et je m'accroupis sur la pelouse.

    Pppppffff, ça fait du bien…. J'arrache une touffe d'herbe pour m'essuyer et retourne dans la cuisine. Arrive le facteur, très copain avec Martine. Il dit bonjour à Martine puis à Stéphanie. Il a dû me voir en arrivant car il me dit :

    « Tu pisses dans le jardin, comme les chiennes maintenant? Elles ont de drôles de jeux les patronnes ! »

    Mais bon, il n'est pas trop surpris car Martine lui a déjà parlé des partouzes qui se déroulent dans le manoir.

    « Tu comprends, Madame veut que j'éduque cette petite gourde. Elle veut qu'elle soit au même niveau que les chiens de garde. Alors quand elle est fait une connerie, je lui donne une fessée ou je la laisse pisser comme les chiennes devant tout le monde. Elle doit aussi se laisser faire par quiconque veut d'elle ! »

    Ah ça, ça l'intéresse. Il demande :

    « Sérieux???? Tu la fesses vraiment? Et si je veux, je peux me faire sucer ou la baiser comme je veux ? »

    « Bien sûr et pas qu'un peu ! »

    Stéphanie confirme :

    « Ah ça, pour ce qui est de lui faire passer les fesses au rouge, Martine est championne ! Et la salope a tout les trous ouvert pour tout les hommes. Une vrai vide couilles ! »

    Le facteur a une grosse envie d'assister à une fessée et me baiser. Je le vois réfléchir et afficher un sourire malsain.

    « J'veux voir çà ! Et je peux me faire sucer en même temps ? »

    Martine saute sur l'occasion. Elle adore me fesser et me voir en prendre plein la bouche. Elle crache dans sa main puis la tend au facteur.

    « Tope là! »

    « Viens ici Lasie !  Pipe et fessée de bon matin met la chienne de bon entrain ! »

    Tous rigolent de la blague sauf moi. Je vais encore manger. Vivement que j'ai assez d'argent pour me barrer de cette taule de tarés. Je sais que c'est inutile mais je dis quand même :

    « Mais j'ai rien fait Madame Martine! »

    « Tu obéis immédiatement ou je prends la cuillére en bois!! »

    Résignée, je me couche en vitesse sur ses genoux. Elle relève ma jupe.

    « Vingt d-ju! Le joli p'tit cul ! » dit le facteur.

    Martine lève la main et me fesse à grandes claques retentissantes. Pendant ce temps, le facteur a mis sa queue dans ma bouche et me prenant par les cheveux me baise la bouche. Stéphanie rigole et me dis :

    « Tu vas avoir du mal à t'assoir Lasie. Martine ne va s'arrêter que lorsque le facteur se sera lâché dans ta bouche ! »

    J'espère que c'est un éjaculateur précoce car ça peut durer longtemps cette histoire. Et ça dure, ça dure… A la fin je pleure et je la supplie d'arrêter.Mais la queue étouffe mes plaintes. Ils rigolent tous les trois. Le facteur éjacule enfin dans ma bouche et bien sûr je dois avaler.

    « Merci Monsieur le facteur d'avoir honoré ma bouche et merci Madame Martine pour cette fessée. »

    « Polie avec ça la petiote ! » dit le facteur.  

    Martine me relève, coince ma jupe sous ma ceinture et m'envoie au coin. Elle veut en mettre plein la vue au facteur.

    « J'vais avoir du mal à continuer ma tournée! » dit-il.

    « C'est la faute à Lasie ! » dit Stéphanie en riant.

    A ce moment, une sonnerie retenti.

    « Trois coups, ça veut dire Lasie chez Madame, et rapidementl!! » Explique-t-elle au facteur."  

    Je dis au revoir au facteur. Il en profite pour m'embrasser sur la bouche en me pelotant les fesses encore toutes chaudes de la fessée. Il aura de quoi raconter à ses copains à l'heure de l'apéro.

    « Allez grouille-toi ! » lance Martine.

    Je me dépêche de monter vers la chambre. Mais, quand j'arrive dans la chambre de Madame, elle est occupée à remplir un sac de voyage.

    « Je dois m'absenter d'urgence deux semaines. Je vous confis à Katia ! »

    « Oh, non, Madame, elle est... »

    Elle lève la main et m'envoie une bonne paire de gifles.

    « Pour vous apprendre à discuter ! »

    Ouch!! Je me frotte les joues. Celles là, je les ai bien cherchées. Non seulement, j'ai les fesses toutes rouges mais les joues aussi maintenant.

    «  Soyez bien obéissante avec Katia ! »

     J'arrive dans ma chambre, Katia est déjà là.   

    « Bonjour, Mademoiselle. »

    « A partir de maintenant, vous êtes à mon service. Alors tenez vous à carreau ! »

    Katia sort de son sac un short en jean, un tee-shirt et des baskets.

    « Met ça! » dit-elle.  

    Je me change.  

    « Allez, on y va! »

    J'ose demander :

    « On va où? »

    « Vous le verrez bien assez tôt ! »

    On quitte la maison rapidement. On prend un bus qui nous amène dans le Nord de la ville.

    Katia a l'air tendue, elle ne parle pas. Je ne comprends pas pourquoi on ne prend pas sa voiture. Que ce passe-t-il ? La voilà qui fait du stop. Habillés comme nous sommes, en short et nue dessous, on est super bonne.

    Un camion, s'arrêtent assez rapidement. Il nous fait un grand sourire et dit :

    « Deux jolies fleurs perdues sur le bord de la route ? J'vous monte où ! Nous demande-t-il.

    « Pa s tout de suite quand même ! » lui répond Katia en rigolant.

    On grimpe dans le camion et nous voilà parti. Katia discute avec lui. Moi je somnole. J'ai des raisons de ne pas trop l'aimer, mais je crois qu'elle jouait le rôle que Madame lui avait assigné. Je ne fais pas attention à ce qu'ils disent, sauf quand j'entends :

    « Si tu nous invites à manger ce midi, la petite te suce! »  

    Là, je suis réveillée.

    « Sérieux? » me demande le chauffeur.

    « Oui Monsieur... »

    « C'est d'accord ! » Dit-il d'un ton enjoué.

     Il va se garer non loin des autres camions sur le parking du resto routier. Katia reste sur le siège avant et Amed, le chauffeur, m'invite à passer derrière sur la couchette.

    « Déshabille-toi ! » me dit-il.

    Il me caresse les seins, me met un doigt dans la chatte et constate que je suis prête à accueillir un visiteur. Son sexe se dresse devant moi. Je le prends en bouche.

    Katia nous regarde et lui demande :

    « Elle suce bien? »

    « Comme une vraie pute! », dit-il.

    « Tu sais qu'elle se fait bien enculer aussi ! »

    Amed n'en croit pas ses oreille et moi non au passage.

    « Lasie, mets-toi à 4 pattes et laisse le te prendre le cul ! »

    Pffff... Je me mets à genoux, le front sur mes mains croisées et je tends mes fesses.  

    « Oh, elles sont toutes rouges! », dit-il.

    « Elle n'a pas été sage! » répond Katia.

    Je sens son sexe pousser sur ma rosette. Surtout ne pas me contracte, quand il va me pénétrer.

    « Allez Amed ! Encule cette chienne ! »

    Oooooouuuccchhhhhh!!! Son sexe m'empale et machinalement, je lui demande :

    « Doucement s'il vous plait Maître ! »

    Il me baise à grands coups de reins, ses couilles viennent claquer sur mes fesses. Je reste prudente dans la façon de m'offrir, car son sexe est un gros modèle. Katia s'en aperçoit et me dit :

    « Cambre toi mieux petite conne et participe! »

    Je réponds à ces coups de reins. Katia glisse sa main sous moi et me titille le clito. On monte ensemble, son sexe gonfle dans mon cul, tandis qu'un orgasme fulgurant monte en moi. Je sens son sexe m'inonder et je joui en même temps.

     

    On reste un peu en connexion, puis il se retire. Amed dit :

    « Vous avez des drôles d'amusements, les filles! »

    « Ça t'a plu? » demande Katia.

    « Ba oui forcément deux salopes comme vous ! »

    On se rhabille et on reprend nos places sur le siège avant. Je dis à Katia :

    « J'voudrais aller aux toilettes ! »

    « Pour pisser? » demande t-elle.

    « Non c'est le sperme qui me donne vraiment envie de faire la grosse commission ! »

    « Ben non! Ton Maître te fait l'honneur de jouir dans ton cul et toi tu voudrais l'expulser le plus vite possible? »

    Amed s'y met lui aussi et me dit en riant :

    «T'as qu'à serrer les fesses! »

    On arrive dans le resto routier. Nous ne sommes pas les moins regardé. Je regarde Katia avec des yeux suppliants.

    « Qu'est ce que vous avez à faire cette tête?", demande-t-elle agacée.

    Je mets une main sur mon ventre.

    « Je dois aller aux toilettes, je vous en prie… ! »

    Elle me fait un signe de tête… Ouf! J'y cours. Après avoir mangé, il nous donne son adresse à Paris.

    « Merci on passera sûrement te voir, dans le courant du mois prochain. »

    « Tu fais comment pour vivre ? » demande Amed à Katia.

    « j'ai Lasie. Je la loue et la fais travailler! »

    « Ça te plait de te faire utiliser comme ça ? » me demande Amed.

    Je fais un timide « Oui Maître. »

    Amed veut en savoir plus.

    « Tu lui fais vraiment faire ce que tu veux? »

    « Oui, elle m’obéis sans poser de question. Sinon c'est le fouet ! J'vais la faire travailler, genre, poser pour des photos de cul ou travailler dans un peep show. »

    « Oh putain cette idée me fait rebander, mes salopes ! » dit Amed.  

    Amed nous dépose à une sortie d'autoroute et nous refaisons du stop. Une voiture s'arrête.

    « On va à St Estéphe Monsieur ! »

    On arrive devant un château entouré de vignes.

    « On va faire les vendanges. Ici on ne viendra pas nous chercher! », dit Katia.

    Je comprend d'un coup que c'est elle et Madame qui sont recherchées. Derrière le château, on va se présenter au contremaître. Il prend nos noms, vérifie nos âges, c'est Katia qui a ma carte d'identité. Le contremaître appelle deux jeunes gars pour qu'ils nous fassent visiter. Ils sont sympas. Ce sont des étudiants comme pas mal de jeune qui sont ici. Les dortoirs ne sont pas luxueux mais ça nous convient. Peu de temps après, à 19 h, c'est le repas. Sympa aussi, il y a des jeunes qui viennent de tous les coins de France. Le vin est à volonté et l'ambiance décontractée. Le lendemain à 6 h, un réveil sonne. Toilette sommaire et commune.

    Petit déjeuner rapide et on attaque les vendanges.  

    C'est crevant. Je vois Katia qui discute avec le contremaître qui semble intéressé par ses propos.

    Le soir permet de décompresser, mais je ne pense qu'à une chose ; dormir.

    Elle me dit :

    « J'vais travailler dans les bureaux. Toi, tu fais ton boulot convenablement et je te dirai quand on repart. »

    Le lendemain, alors que je coupe mes grappes de raisin, soudain, je ressens une vive douleur au mamelon. J'ai coincé une guêpe entre mes seins et elle m'a piqué.

    « Saloperie!! j'ai été piqué ! » Un garçon accourt. Je lui montre sans pudeur l'endroit et le voilà qu'Il se met aussitôt à genoux et me suce le sein.

    "Oh! Merci de m'avoir sucée!", je lui dis et je l'embrasse à pleine bouche pour le remercier.

    Sa bouche sur mon téton m'a émue et lui aussi manifestement.  Après ça, il me demande à plusieurs reprises si ça va. On échange des regards chargés de messages. Ben oui, un garçon qui vous suce, ça crée des liens. Le soir, je lui dis :

    « Tu veux me rejoindre… ? »

    Une fois qu'on a éteint, il vient dans mon lit. Il se colle à moi. Sa peau contre la mienne c'est très excitant.

    « Fais ce que tu veux de moi ! »

    Il me fait l'amour tout doucement. Je me laisse faire. Je joui comme dans un rêve humide.

    On passe les deux nuits suivantes, ensemble. La nuit, on fait l'amour sans bruit pour ne pas réveiller nos voisins. Il me pénètre au plus profond. Mmmmm, c'est exquis. On joui, silencieusement, bouche contre bouche, mélangeant nos salives et nos humeurs intimes.

       

    Mon amant doit repartir et reste seule avec mon blues. Je n'ai plus la pêche et le contremaître, vient, lui même, m'engueuler. Le chef me prend fermement par les cheveux et m’emmène jusqu'au groupe de filles, ravies de me voir ainsi malmenée.

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