• Ce matin, Madame est dans son lit occupée à déjeuner. Moi, je suis sous les draps entre ses cuisses à lui bouffer la chatte comme tout les matins. J'entends la porte qui s'ouvre bruyamment. 

    « Oh, Katia, ma chérie quelle bonne surprise ! » dit Madame.

    Elles s'embrassent sur la bouche longuement. Madame me repousse, en disant :

    « Sortez de là, Lasie ! »

    « Bonjour, Mademoiselle. »

    « Tiens qui voilà! ça va les fesses Lasie? »

    « Oui, merci Mademoiselle. »

    « Elle lèche bien? » demande-t-elle.

    « En général, oui… mais je ne sais pas ce qu'elle a ces derniers jours, elle fait ça du bout des lèvres, sans envie. »

    Evidemment Katia en remet une couche.

    « Je crois que tu devrais être plus dure avec cette idiote! »

    Puis, s'adressant à moi :

    « Ce n'est pas votre avis Lasie? »

    « Certainement, Mademoiselle, mais je… »

    Elle me coupe la parole.

    « Vous avez besoin d'un peu de gymnastique et je suis sûre qu'après vous lécherez votre Maîtresse avec beaucoup plus de soin! Déshabillez-vousi!! »

    Les dessous de Michèle 6

    Quand c'est fait, elle me dit :

    «  Mettez vous en position pour faire des pompes. »

    Je me met en position et Katia se déshabille et rejoint sa tante dans le lit pour se faire des câlins. Au bout d'un quart d'heure, je commence à avoir vraiment mal aux épaules. Katia sort du lit et me dit :

    « Ecartez les jambes! »

    Elle vient placer son pied entre mes cuisses et me caresse la chatte avec le dessus de son pied.

    « Est-ce que vous vous masturbez souvent Lasie? »

    « …euh…oui...Mademoiselle. »

     

    Madame vient se mettre sur le bord du lit pour mieux voir. Katia continue à me masturber avec son pied. Je commence à mouiller. Elle enfonce son gros orteil dans mon vagin. J'ai un sursaut. Elle accélère le mouvement. Son orteil va et vient de plus en plus vite dans mon vagin. C'est trop… je jouis sur son pied en couinant.

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    Madame lui dit :

    « Qu'est ce que tu es taquine toi! »

    Taquine, taquine!! Elle a des ces mots.

    « Regardez mon pied Lasie! Vous l'avez souillé avec votre bave vaginale. Nettoyez le avec votre langue comme une petite chienne ! »

    Ouuuuuf!! Mes épaules, mes bras, mon dos et mes reins me font vraiment mal. Je me précipite et lèche son pied mouillé de ma cyprine.

    Madame caresse les seins de Katia, en disant :

    « J'adore tes idées... Mais, on a assez joué avec cette bonniche. Je veux te remercier... »

     

    Katia lui sourit et Madame de file entre les cuisses de Katia. Moi je me rhabille et descends à la cuisine, laissant les deux salopes se gouiner entre elles.

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    Arrivée dans la cuisine, je fais tomber par inadvertance une assiette. Pour mon malheur, je suis assez maladroite et nulle en cuisine. Un motif de plus pour la cuisinière et Stéphanie de me houspiller. Je suis sûre d'être punie à la grande joie du jardinier, de Stéphanie ou des gardes de la propriété qui ne marquent jamais mes punitions. Il y a toujours des spectateurs à ce moment là. Martine, la cuisinière, se sent le centre d'intérêt et elle adore ça. Sa punition préférée est de me donner la fessée. Alors, celle-ci m'empoigne, me couche sur ses genoux, culotte baissée et m'envoie une série de claques sonores sur les fesses du plat de la main. Martine me claque jusqu'à ce que mes fesses soient bien rouges et que je commence à pleurer et à la supplier.

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    Elle me remet sur mes pieds en disant :

    « Tache au moyen de faire plus attention, sinon il y en a une autre qui t'attend ! »

    Ça met tout le monde de bonne humeur d'avoir vu mes fesses danser sous les claques et les spectateurs la félicite.

    « Bravo Martine, tu es la championne de la fessée ! »

     

    Tout est prétexte pour me chauffer les fesses. Les fessées sont rapides et douloureuses, mais après quelques heures les marques de ses doigts ont presque disparues. A tout prendre, j'aime encore mieux être fessée que subir d'autres punitions, plus vicieuse comme Stéphanie a le don de trouver. Comme par exemple quand je l'ai traité de connasse, entre les dents. Avec l'accord de Martine, J'ai été obligée de manger dans la gamelle des chiens.

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  • Le lendemain matin, Madame me dit :

    « Alors sucer le jardinier, ça a dû vous plaire? »

    Vu sa bonne humeur, je réponds la vérité.

    « Oh, non Madame, c'est un gros porc ! »

    Elle rigole et me répond :

    « Ce sont les gens de la campagne, ça! Mais ça ne semblait pas vous déplaire pourtant !»

     Du doigt, elle me désigne sa chatte. Alors je glisse mon visage contre sa chatte et ma langue remonte entre ses lèvres. 

     

     

     

    Pendant que je la lèche, elle dit :

    « J'ai décidé que vous allez donner un coup de main au jardinier. Vous lui plaisez. Je lui demanderai, s'il est content de vous. Tachez que ce soit le cas, sinon je pourrais ne plus être aussi gentille. Compris, Lasie? »

    « Voui M'dame. »

     Les jours suivants, je ne peux m'empêcher de penser à la fessée du samedi. La collaboration avec le jardinier se passe pas trop mal. Il profite de chaque instant pour me peloter les seins, ou me faire sucer son gros sguegue. Je le suce soigneusement et quand il joui, j'avale tout, comme une apprentie bien élevée.

    Je lui demande poliment :

    « Vous direz à Madame que tout s'est bien passé, s'il vous plait? »

    Il fait semblant d'hésiter. Il me caresse la joue en disant :

    « Je dirai à Madame que tu as 7/10 pour les travaux et 8/10 pour la pipe ! »

    « Merci, Monsieur. »

    Le reste de la semaine se passe sans trop de problèmes. Enfin, c'est samedi. Le matin je suis très stressée. La cousine et ses copains arrivent . En guise de bonjour, elle passe une main sous ma jupe pour me palper les fesses en disant :

    « Pas trop d'appréhension, Lasie? »

    Elle a un sourire angélique.

    « Tu as raison, car il y aura une surprise ! »

    Je fais la grimace.

    Une heure se passe. Je sers à boire. Ambiance très détendue, enfin pour eux. Moi j'ai des papillons qui virevolettent dans mon estomac.

    La cousine prend la parole :

    « Chers amis, une petite corvée. J'ai promis à ma tante de fesser cette salope de Lasie ! Je le ferais bien maintenant! »

    «Tous en cœur scandent :

    « Oui Oui La fessée la fessée !! »

    « Jean Luc, tu es prêt pour filmer? »

    QUOI!! On va tout filmer?? Et puis bon, au point où j'en suis... j'm'en fout.

    « Lasie, vous savez ce que vous devez faire, ce n'est pas votre première fessée! »

    Je remonte ma jupe, baisse ma culotte jusqu'aux chevilles. Les filles se marrent en me voyant si docile. Je me couche sur les cuisses de cette salope.

    « Attention, je commence. » dit la vicieuse. Elle m'envoie une bonne claque. Je geins un peu. Les claques se succèdent, je sens que mes fesses rougissent, le gars qui filme aura de belles images.

     

       

    Elle s'arrête, je crois que c'est fini, mais non elle souffle sur sa main.

    « Termine avec ça ! » lui dit une copine en lui tendant sa sandale.

    Elle se saisie de la sandale, lève le bras et "PAF!!" ça claque comme un pétard sur mes fesses.

    « Aaaaiiiie!!! », là, je crie vraiment.

    Cette pute tape plus vite et fort. Je crie à chaque coup et mon visage s'innonde de larmes. 

    Elle pose sa main sur mes fesses en me disant :

    « C'est pour avoir taché ma robe, tu retiendras la leçon? »

    Je geins en disant :

    « Oui, Mademoiselle, je vous le juuuure... ! »

    « Belle couleur de tomate... » dit une fille en me caressant les fesses. Tous les autres viennent me les palper. La cousine perverse me relâche. Je me lève étourdie. Mes jambes tremblent. J'ai les fesses en feu, les joues rouges et mouillées de larmes.

    « Si tu veux éviter que je continue, tu sais ce que tu dois faire ? » me dit-elle.

    Oui, je sais… Je me mets à genoux entre ses jambes et je dis en pleurnichant :

    « Merci pour la fessée, Mademoiselle. »

    « Ce fut un plaisir, Lasie ! A la prochaine maladresse, je serai moins gentille.» répondit-elle

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  • Punition méritée

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  • Je me rappelle des mots de Monsieur  "mon épouse aime mener son personnel à la baguette". Ce n'était pas une image.  En fait, Madame a vraiment tous les droits sur son personnel. Quand j'ai demandé à aller en ville, on m'a répondu :

    « Vous ne vous rappelez donc pas les termes du contrat Lasie ? En aucun cas vous ne devez sortir seule du domaine ! »

    Je voulais une discipline de vie en venant ici mais là, j'ai l'impression d'être prisonnière. Quand j'aurai gagné assez d'argent, je romprais ce contrat pour partir. Obéir, d'accord, mais à la moindre faute, Madame puni et elle n'y va pas de main morte. Hier midi, elle recevait pour l'anniversaire de sa peste de cousine. Nous étions deux pour servir les convives. A un moment, j'ai renversé un peu de sauce sur la robe de la cousine.

    « Espèce d'idiote!! J'ai plein de sauce sur ma robe. »

    Affolée, je lui présente me plates excuses.

    « Je vous demande pardon, Mademoiselle, je vais la nettoyer. »

    J'ai fais de mon mieux mais hélas, il restait une trace. Elle m'a tirée brutalement par les cheveux et en me regardant furieuse dans les yeux elle me lance :

    « Ca tu vas le payer, connasse!! »

     

     

    S'adressant à Madame, elle dit :

    « La tâche ne partira jamais et je me demande si cette gourde ne l'a pas fait exprès ! Elle mérite une punition chère cousine!! »

    « C'est aussi mon avis ma chérie. »

    Se retournant vers les invités, elle leurs demande :

    « Qu'en pensez-vous chers amis ? Que souhaitez-vous infliger à cette idiote !? »

    Morte de trouille, j'ai essayé de les amadouer.

    « Je ne l'ai pas fait exprès, je vous le jure, je laverai votre robe ! »

    C'était peine perdue. De toute façon, la seule chose qu'ils souhaitaient, c'était de s'amuser avec moi à mes dépends.

    Madame a tranché.

    « Lasie allez à la cuisine me chercher une cuillère en bois ! »

    Marthe la cuisinière qui avait tout entendu, m'a tendu la cuillère en disant :

    « Tu vas déguster, ma fille! »

    Madame a pris la cuillère.

    « Penchez-vous et relevez votre jupe Lasie ! »

    J'ai obéit et elle a frappé un premier coup sec en travers de mes fesses.

    « OUCH!! Ça fait très mal Madame ! »

    « Taisez-vous ! »

    Chaque invités est passeé me cingler les fesses. Le coup de semonce fût dpnné par sa salope de cousine qui vicieusement demandat :

    « Ecartez les cuisses que je vous claque la chatte ! »

    Là j'ai hurlé sous le coup mais ça les a fait tous rire.

     

    Mes fesses me brûlaient. Madame a dit :

    « Bon, on a autre chose à faire que punir une bonne maladroite, on va ouvrir les cadeaux ! Reprenez votre service, Lasie et, attention, à la prochaine maladresse, je serais moins gentille. »

    Gentille ? Gentille ?!!!! Elle en a de bonnes celle-là ! Si j'avais pas tant besoin de fric, je me barrerais de suite. Mais je dois tenir bon, le temps de me faire un petit pécule. Le reste de l'après midi c'est passé sans maladresse de ma part. Quand ils invités sont partis. Madame m'a appelée dans le salon. Qu'est ce qu'elle va encore me faire???

    « Lasie, quand je prends la peine de vous punir, c'est pour votre bien. Aussi, la moindre des choses serait de me remercier ! »

    Quoi? La remercier de m'avoir frappée aussi cruellement et devant ses invités ? Elle est folle ou quoi?? Jamais de la vie!

    « J'attends Lasie ! Ne me faite pas perdre mon précieux temps ! »

    Le ton est sec et j'ai tellement peur de recevoir une autre correction que je me plie à sa demande.

    «Je vous remercie de m'avoir punie, Madame, et je vous prie de m'excuser pour ma maladresse! »

    « C'est vraiment le minimum que vous puissiez faire! J'accepte vos excuses, surtout parce ça a amusé tout le monde de vous voir vos fesse rougir et vous voir vous trémousser et grimacer sous les coups. »

    Elle a relevé sa jupe, enlevé sa culotte et m'a dit :

    « Vous savez quoi faire ! »

    Je me suis mise à genoux, elle a caressé ma joue avec son pied. Je l'ai embrassé puis je suis remontée entre ses jambes. J'ai léché, sucé son sexe détrempé de mouille jusqu'à ce qu'elle jouisse.

     

     

    Le lendemain, Madame, arrive dans la cuisine pour discuter des menus de la semaine avec la cuisinière.

    « Pas de problèmes avec les filles? »

    « Stéphanie est très bien. Mais la nouvelle a eu des paroles déplacées avec le jardinier ! »

    Le rouge me monte aux joues et je baisse la tête et veux m'expliquer.

    « Mais…Madame...Il me met la main aux fesses, chaque fois qu'on se croise et quand je lui ai dit d'arrêter, il m'a répondu, "Toi tu vas me sucer la bite dans pas longtemps…" »

    « Et que lui avez vous répondu petite idiote? »

    « ... euh… Et bien... Je lui ai dit : dans tes rêves, bouffon! »

    Madame soupire.

    « César est un excellent jardinier et je lui donne le droit de faire de mes bonnes ce que bon lui semble ! Alors s'il vous mes la main aux fesses, vous le remerciez ! S'il vous demande une fellation, vous le faite et vous le remerciez ! S'il veut vous sauter ou vous sodomiser, vous le remerciez ! Compris Lasie ?! »

    La grosse cuisiniére en remet une couche et je serre les dents pour ne pas l'injurier et lui sauter dessus.

    « Elle est très polie avec vous, Madame, mais avec le jardinier, Stéphanie ou moi-même, elle peut être très désagréable. »

    Madame se retourne vers moi furieuse :

    « Petite chose insignifiante, savez-vous où vous vous situez dans la hiérarchie du personnel? »

    « En bas avec Stéphanie et le jardiner, Madame. »

    « Petite gourde ! Seriez vous idiote ? En dessous de vous, il n'y a plus personne. Même les chien ont plus de droits que vous ! Vous n'êtes rien ici ! Juste une chose qu'on utilise !  Vous vous êtes conduite comme une mal élevée. Je vais donc vous traitez, comme telle !  Stéphanie, allez me chercher le jardinier ! En attendant mettez-vous en position pour recevoir votre correction !»

    Les dessous de Michèle 4

    La cuisinière approuve.

    « Une bonne fessée lui fera du bien d'autant que notre ami a la main lourde! »

    Madame dit avec un rictus bizarre :

    « Et puis non ! Il sera plus plaisant de faire ça samedi après midi, il y aura ma cousine et sa bande de copains ! »

    « Votre cousine...et ses copains ??? Non je vous en supplie Madame !!! Je serais désormais avenante. »

    « Idiote, vous n'avez rien compris ! J'ai décidé, oui ! Samedi, en public et d'ici là, soyez trèèèèès gentille avec qui voudra vous utiliser Comris Lasie ? »

    Tout le monde rit, sauf moi. Elle ajoute :

    « Cet après midi on ira voir le jardinier et vous vous excuserez d'avoir été aussi désagréable. »

    L'après midi, alors que fait des corvées Madame arrive.

     

    « Prête pour les excuses, Lasie? »

    « Oui, Madame. »

    Dans le jardin, Madame et lui parlent plantes, fleurs, engrais, sans se préocuper de moi.

    Enfin, Madame se décide :

    « Lasie n'a pas été polie avec vous je crois. Elle veut vous faire ses excuses ! »

    L'homme se tourne vers moi en souriant et je m'exécute :

    « Je vous prie de m'excuser Monsieur. J'ai été très impolie avec vous. Je vous promet que ça n'arrivera plus. »

    Madame me regarde.

    « Pas très sincères vos excuses, mais bon, ça se réglera samedi ! »

    Mais le jardinier n'en reste pas là.

    « Madame, il me semble que vous lui aviez promis une pipe? Il ne faut pas la décevoir la petite ! »

    Je regarde Madame d'un air suppliant, mais elle dit sèchement :

    « Oui vous avez raison ! A genoux immédiatement! Mains dans le dos ! »

    Il ouvre son pantalon et son gros sexe vient dodeliner sous mon nez. Au secours!!!  Il engouffre sa grosse queue dans ma bouche. A chaque va et vient j'ai le nez dans ses poils et son gland au fond de la gorge. Qu'il jouisse vite… et que ça s'arrête.

     

     

     

    Tout à coup, elle dit :

    « Baisez la s'il vous plaît ! »

    On me met à 4 pattes, jupe retroussée et culotte baissée. Le jardinier s'agenouille derrière moi et se met à me labourer la chatte. Au moins, grâce à ça j'échapperai aux giclées de foutre dans la gorge. Il me baise en force, les mains agrippées à mes fesses. Les coups de reins s'accélèrent et bientôt, il jouit en poussant des grognements de gros goret. Hélas, les choses ne se terminent pas comme prévu pour moi, car il ressort de ma chatte et exige :

    « Nettoie ma queue salope ! »

    « Que devez-vous dire Lasie ? »

    « Merci Madame ! »

    « Pauvre gourde c'est à notre ami que tu dois ces remerciements ! »

    Oups... !

    « Merci Monsieur d'avoir honoré ma bouche et ma chatte de votre sexe. Et je m'excuse de vous avoir mal parlé Monsieur. »

     

     

     

     

     

     

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  • Quand je suis déguisée en soubrette, je descends et je toque à la porte de Madame.

    « Entrez ! » dit-elle d'un ton sec.

    « Voilà Madame, je me suis changée. »

    « Relevez votre jupe ! »

    Elle constate que je suis nue sous la jupe.

    « Vous êtes indécente ainsi ! Pourquoi n'avez-vous pas mis de culotte? »

    « Hum... Je .. Je n'en met jamais Madame. »

    Elle a une moue dégoûtée. Elle se lève, remonte sa jupe et enlève sa culotte et me la tend.

    « Tenez, mettez ça! Il n'est pas question de voir démantibuler les fesses à l'air ! »

    Voilà qui est spécial. L'idée de coller ma chatte là où elle a mis la sienne ??? Je la ds et la mets en la remerciant.

    Elle doit être excitée car la culotte est mouillée de sa cyprine.

    « Allez dans le bureau de mon époux Lasie ! Il a un contrat à vous faire signer. »

    Il faut que je m'habitue à mon nouveau prénom. Arrivée dans le bureau, il fait glisser vers moi le contrat.

    « Remplissez les cases et lisez attentivement ! Une foi signé, vous ne pourrez pas revenir en arrière ! »

    Je remplis les cases vides et le signe sans le lire.

    Madame entre dans le bureau de son mari pour lui dire :

    « Vous savez cher ami que cette gourgandine n'avait pas de culotte et qu'elle a osé m'avouer qu'elle n'en portait jamais !  En plus, elle est poilue comme une chèvre, on finirait par retrouver des poils dans notre assiette ! »

    Je suis rouge de honte et son époux trouve l'intervention amusante.

    « Vous vous ferez certainement un grand plaisir de l'amener en ville pour la déplumer ! Profitez en très chère pour lui acheter des culottes comme j'aime qu'une bonniche porte ! »

    Je fais une moue approbative.

    « Faudra vous y faire, Lasie ! Ce n'est pas un bouge ici ! Certainement pas comme les endroits que les filles de basse condition comme vous avez l'habitude de fréquenter ! »

    L'épilation, je n'aime pas du tout cette idée. Mais je devrais m'y plier si je veux conserver cet emploi. Le lendemain, je suis épilée et ma garde robe fournie en multiple tenues et culottes, plus sexy les unes que les autres.

     

     

    Je suis dans la cuisine avec la chef cuisinière. On sonne, une lumière s'allume sur le tableau au dessus de "chambre Madame".

    « C'est pour vous, dépêchez-vous Lasie ! » me dit la cuisinière.

    Je monte avec le plateau, frappe à la porte de la chambre et entre.

    « Bonjour Madame, vous avez passé une bonne nuit? »

    Elle ne répond pas. Elle est nue, baille et sans pudeur, s'étire. Je reste un instant à admirer son corps parfait. Mais je suis attirée par une toison qui couvre son sexe alors qu'elle exige de moi d'être lisse.

     

    Je lui dépose son plateau et m’apprête à repartir.

    « Restez ! »

    Je me met dans un coin de la pièce à la regarder manger dans son lit, salement. Elle met des miettes partout, renverse du café dans les draps. Elle est toujours nue, impudique. Moi, je reste debout à attendre. Tout en mangeant son croissant, elle écarte les jambes et se caresse le sexe comme si je n'étais pas là. Puis, elle me lance tout en désignant sa chatte:

    « Déshabillez-vous ! Vous allez me servir de sex-toy et appliquez-vous! »

     

    Alors, pendant qu'elle termine son croissant, je m'agenouille entre ses jambes et lui lèche son sexe mouillé. Elle mouille beaucoup. 

    Les dessous de Michèle 3

    Je ne dois pas lécher comme elle le souhaite car elle  me prend par les cheveux en disant :

    « C'est quoi ça?? Espèce de gourde, vous n'avez jamais léché une chatte? »

    Tandis qu'elle pousse sur ma nuque, mon nez disparaît même dans son vagin.Mon visage devient un sex-toy. Tout à coup, elle se cambre et jouit bruyamment. Je reste un moment le visage contre sa chatte ruisselante de cyprine.

    « Nettoyez, maintenant! », me dit-elle.

    Je léche consciencieusement son sexe béant et avale ses sécrétions vaginale. Au bout d'un moment, elle me repousse, me regarde et me dit :

    « Qu'est ce qu'on dit?? »

    « Merci Madame. »

    Elle me pince le sein méchamment, me tirant une grimace.

    « Non, pas deux mots, faites une phrase Lasie ! »

    « ... euh… je vous remercie, Madame, de m'avoir permis de vous lécher la chatte. »

    Elle me donne une petite claque sur le sein en souriant.

    « Hé bien, voilà, vous êtes peut-être moins stupide que vous en avez l'air. Filez maintenant à la cuisine. Vous avez du pain sur la planche.»

     

    Un peu étourdie, je me rhabille et redescends faire les tâches qu'on m'ordonnera, Mais où suis-je tombée ?

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