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  • Une petite coupe?

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  • Enfin Vendredi, je suis au magasin et j'attends le client qui m'a invitée à manger au Négresco. Henri est riche et je lui plais. Il m'a dit que je pouvais acheter ce que je voulais comme vêtements dans le magasin. Il me donne sa carte de crédit. Provocante, je vais voir la gérante.

    « Je suis cliente cette foi ! Alors ayez quelques égares envers moi....Madame ! Ce Monsieur m'offre tout ce que je veux ! »

    « OK, vas-y Lasie ! »

    Henri se pointe outré.

    « C'est ainsi que vous parlez à une cliente ? C'est honteux ! J'en parlerai à la direction ! »

    Toute péteuse, la salope s'excuse. De mon côté je souris et commence à choisir mes vêtements. Pour le « négresco », je choisis une robe noire moulante, qui met mes fesses et mes seins en valeurs. Iréne alias Perra m'apporte de jolis escarpins.Les filles me regardent, jalouses.

    Henri fait tout ce que je veux, exauce mes moindres caprices. Le repas au est très bon. Mais il y a un peu trop de serveurs autour de moi. Henri me fait une cour pressante. À la fin, du repas, je lui dis :

    « Tu n'as pas envie de m'ôter cette robe ? »

    « J'en créve d'envie ma chère ! Je vais réserver une chambre ici. » dit-il.

    La vue sur la baie de Nice est imprenable de la chambre. Henri jusqu'ici très gentleman, me saute dessus et m'arrache la robe. Je rigole comme une folle de le voir si pressant. La baise avec Henri est extraordinaire. Il est inventif et d'une endurance surprenante.

    Henri me dit :

    « Ca te dirais de me suivre dans mes périples à travers le monde ? »

    « Oui, mais je vais perdre mon travail si je pars comme ça… Et puis, tu ne me connais pas ! »

    « Ne t'inquiéte pas ma chèrie. Je te donne argent et carte de crédit. Tu n'aura aucun soucis d'argent ! »

    « En gros je serais une femme entretenue ? »

    « Oui, mais tu devra être entièrement dévouée ! »

    « Où voulez-vous que nous allions? »

    « Je dois me rendre à Djerba, puis à Tozeur pour affaire. Là, on est dans une oasis, en bordure du Sahara. »

    Voilà, je change de vie, Djerba, la mer, le soleil,un homme à mes petits soins, c'est cool. On fait beaucoup de shopping dans les souques. Il m baise quand il veut et où il veut. Comment pourrais-je lui refuser quoi que ce soit.

    On reste une semaine à Djerba puis nous partons pour Tozeur et le Sahara. Autour de la piscine, on a sympathisé avec des Français et on est un petit groupe à boire et à discuter. Vu la taille de mes maillots, je me fais pas mal draguer. Presque personne ne va sur la plage. La mer est assez agitée, mais elle me fait plus envie que la piscine pleine de chlore.

    La plage m'attire et Henri me suggère :

    « Je suis certain que tu aimerais te faire baiser par ces jeunes maghrébins. »

    Je ne lui réponds pas mais mon silence est un aveu. Je fais un signe au jeune gars qui me matte. Il se rapproche. Il est encore mieux de près. Il me jauge et me lance sûre de lui :

    « T'as pas peur de t'aventurer seule sur la plage dans cette tenue avec ton mec? »

    Hautaine, je lui réponds :

    « J'ai peur de rien. »

    « Alors, envie de sensations fortes ? on va se baigner? »

    « Avec plaisir! »

    Il me prend fermement par le bras et m'entraîne dans l'eau.…

    « Tu sais, le mieux ici c'est que tu vire ton maillot ! »Un excés de pudeur me fait dire :

    « T'es fou ! Il y a tes potes et en plus on nous observe de la piscine ! »

    Henri observe avec amusement mon embarrât. Alors, le ton de sa voix change et son regard devient dur.

    « vire ton maillot salope ! »

    Je regarde Henri avec un air de petite fille mais il me fait un signe voulant bien dire d'obeïr. Je l'enlève. Il tend la main, je lui donne et il jete les morceaux de tissus à la mer.

    « t'es pas mieux comme ça ? » »Oui mais mon maillot ??? »

    « T’inquiète, t'en aura pas besoin pour te faire sauter! »

    Il vient se mettre contre moi. Ses potes et Henri forment un cercle autour de nous. Je me colle à lui, son sexe dur contre mon ventre.

    « Qu'est-ce que tu veux salope de Française?? »

    « Ben… euh… je pensais… que… » Dis-je en bredouillant.

    « Allez demande la cochonne ! »

    « Baisez moi Monsieur ! »

    Je prends son sexe en main. Il me dit avec un grand sourire :

    « Les touriste Française sont vraiment trop salope ! Leurs lots ici c'est de rester à poil et de se faire démonter par mes potes ! »

    Voilà, les rôles sont distribués.

    « Avec moi et mes potes, les femmes doivent filer droit, sinon elles font connaissance avec les punitions berbères. »

    Henri semble très intéressé.

    « Qu'elles sont ces punitions ? »

    « Par exemple, on fouette en public la chienne avec une serviette mouillée… Bon c'est pas le tout, suce moi ! Pendant que mes potes te défonces ! »

    Devant ce spectacle, où je me fait baiser par chacun des bérbéres, je vois Henri qui se masturbe doucement. A tour de rôle, ils se déversent dans ma chatte, mon cul et ma bouche. Henri s'occupera de moi dans la chambre d'hôtel ensuite.

     

    Je quitte le monde sauvage de la plage, pour le monde civilisé de la piscine. Quand j'arrive à la piscine, je suis accueillie par quelques plaisanteries genre :

    « Alors Lasie, tu as perdu ton maillot ? Tu t'es faite élargir ??? »

    Henri ne dit rien, mais il sourit.

    « On a trouvé un guide ! »

    Tous en cœur :

    « Tu vas être épuisée à le payer en nature !!! »

    Le lendemain, notre guide et se présente à l'hotel. Au faite, hier nous n'avons pas eu le temps de faire les présentations.

    « Moi c'est Aziz ! »

    « Henri et moi Lasie ! »

    Les autres sont curieux et nous entourent pour connaître la teneur de nos visites. Aziz en profite pour raconter ses aventures dans le désert. Il s't s'amuse à faire peur aux filles avec des histoires de vipères cornues et de scorpions dans les bottes qu'on oublie de bien secouer le matin. Le soir, il nous emmène dans une sorte de night-club.

    Aziz me dit :

    « Tu viens danser ? »

    « Tu permets? », demande-t-il à Henri.

    « Oui, oui, bien sûr et plus si tu veux ! »

    Il me colle et je sens son sexe durci contre mon ventre. Je mouille. Henri nous regarde intéressé. Aziz me pelote sans vergogne.

    « T' es vraiment une chienne d'allumeuse toi ! »

    Aidée par les coupes de champagne, je lui réponds :

    « Tu sais, j'éteins aussi! »  

    On va dans un coin, où on est moins vu.

    « Montres moi alors salope ! »

    « Je suppose que je devrai écarter les cuisses et m'offrir? »

    « commences par me sucer ! »

    Je me met à genoux et entâme une savante fellation sous les yeux d'Henri et des amis qui nous ont accompagnés. Ils applaudissent au rythme de la musique. Il lève les yeux au ciel en secouant la tête et pousse un cri lors sa semence tapisse mes amidales. J'avale tout et on retourne à notre table. Je fais signe à un serveur.

    « Deux bouteilles de champagne ! »

    « Tu bois trop! » Me dit Aziz.

    « C'est les vacances… on s'amuse… et ça fait passer le goût du sperme ! »

    Les autres sont d'accord. Avec le champagne, j'ai une grosse envie de pipi. Je me lève, oulaah!! Je crois que j'ai un peu abusé des bulles. J'arrive aux toilettes… Oooops!! Elles sont toutes occupées. Ah là là…ça va pas le faire. Alors, je me précipite dans les toilettes hommes. Toutes sont occupés aussi. Alors, l'alcool aidant, sans pudeur aucune, je lève ma mini jupe, baisse ma culotte et m'assied sur un urinoir. Aaaaahhh!! Ça fait du bien. Les hommes qui sont là me regardent, très surpris.

     

    Je retourne à la table.

    « Elle a trop bu ta femme. Elle a été pisse dans les urinoirs et a provoqué un scandale cette conne et maintenant elle va être malade ! » Dit Aziz à Henri et nos amis. Henri se lève, les deux couples restent. Eux, ils trouvent ça marrant. Je donne ma culotte mouillé à Henri. Je suis bourrée, mais attentionnée. On rentre à pied. Je vomis en cours de route. Pour finir Aziz me porte sur son épaule comme à sac à patates. Arrivés à l'hôtel, il me remet sur mes pieds.

    « Ne nous fais pas honte dans l'hôtel. »

    « Hips...Ben oui, qu'est-ce qui croit... Hips...J'suis pas ivre morte, non plus...! »

    Il vient avec nous jusqu'à notre chambre. Je m'affale sur le lit. Les deux hommes discutent, du projet au Sahara. J'entends vaguement Aziz qui demande à Henri :

    « Tu veux vraiment que je vous serve de guide? »

    Alcoolisée, je réponds à sa place :

    « C'est moi qui...Hips...euh… je t'engage…Hips ! »

    Les deux homme éclatent de rire.

    « Bien Lasie ! Tu m'engages! Je vous guiderai. Mais je vais aussi apprendre à ta chienne les bonnes manières! »

    Je ne réponds rien à cet insolent. Henri lui, approuve totalement.

    Aziz me dit :

    « Je viens à dix heures demain pour parler du voyage. J'aurais aussi une petite explication avec toi Lasie ! »

    « Hips...Ah bon chouette! On baisera? Hips.... »

    Ils me foutent à poil et dans un demi coma alcoolisé, ils me baisent.

    Le lendemain, j'ai l'impression d'avoir un troupeau de bisons dans la tête. Dans le reste de mes vapeurs d'alcool, tout à coup, je repenses aux explications avec Aziz. Elles seront peut-être musclées. Je crois que j'ai un peu dépassé les bornes, hier. En déjeunant, je dis à Henri :

    « Je crois qu'on devrait prendre un autre guide. Jai un peu peur quand il a parlé "Je vais t'apprendre les bonnes manières" »

    Henri réponds :

    « Moi j'l'aime bien ce gars là. Je suis intrigué de voir comment il va te dresser ! »

    À dix heures, on toque à la porte. Henri fait entrer Aziz alors que je sors toute nue de la salle de bain et prise d'une angoisse, je lui lance :

    « Henri et moi avons décidé de pas faire cette excursion, donc, au revoir Aziz ! »

    Je penses bêtement qu'il n'a plus qu'à partir la queue entre les jambes, le Berbère!! Sauf qu'Henri me dit :

    « Tu te trompes, Lasie. On fait toujours cette excursion! »

    Aziz reprend :

    « Tu t'souviens ce que je t'ai dit, hier femelle? Je vais t'apprendre les bonnes manières! »

    « Vous n'avez pas... »     

    Il me coupe la parole.

    « Tu n'est qu'une chienne et nous les femelles en chaleur on leurs fait goûter à nos spécialités berbère ! Pour l'heure, la serviette mouillée ! »

    « Si t'ose me toucher, je porterai plainte et... »

    Cette fois-ci, c'est Henri qui me coupe :

    « Je ne crois pas vois-tu. Tu vas obeir au doigt et à l’œil ! Sinon, je coupe les vivre OK ! »

    Le salopard d'Henri. Il se dévoile en fait maintenant.

    Aziz dit à Henri :

    « Passe moi quelque chose pour la bâillonner. J'ai pas envie qu'elle ameute tout l'hôtel! »

    Henri lui passe un de mes string qu'Aziz m'enfonce dans la bouche. Il me tient les mains et dit à Henri :

    « On va l'attacher au lit ! »

    Je tente de me débattre mais il sont trop fort pour moi. Je me retrouve, jambes et bras en croix, attachée aux montants du lit. Aziz prend une serviette et va la mouiller dans la salle de bain. En donnant un petit coup de poignet, il fait claquer la serviette dans le vide. Il explique à Henri très studieux :

    « C'est le coup de poignet qui compte. »

    La démonstration commence à mes dépends. "ssshhhhhh", la serviette mouillée vient me frapper les fesses d'une hanche à l'autre. Mes cris sont étouffés par la culotte qui fait office de bâillon. Il me donne 10 coups puis propose à Henri d'essayer pour les 10 suivants. À chaque fois je fais "mmmmmmhhhhh" à travers la culotte. C'est vraiment très douloureux.

    Aziz vient enlever la culotte de ma bouche.

    Je gémis :

    « Assez, je vous en prie. »

    Sans écouter mes plaintes, il dit à Henri :

    « Tu vois c'est comme ça que ça doit être une femelle, les fesses bien rouges. »

    Henri vient me palper les fesses aussi. Le sale traître. Ils me détachent, Je n'ose pas bouger.

     

    « Tu peux t'lever. Maintenant, la partie remerciements et excuses, à genoux! Et sois convaincante, sinon tu en auras 20 de plus. »

    Ils sont assis sur le lit. Je me dépêche de m'agenouiller devant eux.

    « Je vous prie de m'excuser pour ma conduite d'hier et je vous remercie pour la leçon. »

    « A partir de maintenant, femelle, tu vas nous obéir ! »

    « J'obéirai, Monsieur. »

    Il se tourne vers Henri :

    « Voilà, c'est aussi simple que ça. Un bon dressage et on en fait ce qu'on veux ! »

     

    Le lendemain matin, mes fesses sont encore sensibles. La serviette mouillée, je vais essayer d'éviter ça. Tandis que je suis dans mes réflexions, on toque à la porte. C'est sûrement, Aziz. Je ne prends pas la peine d'enfiler un peignoir et je vais ouvrir nue. Ses premiers mots sont :

    «T'ouvres à poils, femelle?? Comment vont tes fesses? »

    « …euh… mieux qu'hier…Merci Monsieur. »

    « Arrête de prendre cet air de chienne battu ! Salut Henri ! Elle a été sage? » 

    « Oh que oui ! Tu sais parler aux femmes! Tu déjeunes avec nous? »

    « Volontiers. »

    Henri prend le téléphone et commande 3 petits déjeuners.

    Je demande à mes hommes :

    « Je peux m'habiller ? »

    Ils rigolent en me répondant :

    « T'as déjà vu une chienne avec des vêtements ! »

    Quand le garçon d'étage arrive avec le petit déjeuner, je suis nue sur le lit. Il nous salue, et parle en arabe avec Aziz. Ils se marrent. Il installe les plateaux sur la terrasse et le garçon d'étage attend.

    « Lasie, tu ne donnes pas de pourboire? » me dit Yazid.

    « …euh…oui… ! »,  je vais chercher mon sac à main.

    « J'préfère une pipe ! » Dit le serveur.

    J'écarquille les yeux et regarde implorante Henri et Aziz.

    Aziz me dit :

    « T'as pas entendu le garçon Lasie ? A moins que tu souhaites la serviette ? »

    Les trois hommes me regardent en souriant. Je me mets à genoux. Il sort son sexe déjà en érection. Tu parles d'un petit déjeuné... Je prends le sexe en bouche et je commence à le sucer. Le serveur pousse des grognements de satisfaction et dit un truc en arabe. Aziz rigole.

    « Il dit qu'il n'a jamais rencontré une pute qui suçait aussi bien que toi. »

    Pendant que je suce, ils parlent du projet de voyage vers la Sahara. Le serveur me caresse la tête. Malgré mes efforts, il est endurant le salopard. Je prends la base de ses couilles dans une main et serre doucement. Je sais que les tous les hommes aime ça. J'accélère le mouvement et enfin, il me lâche tout dans la bouche.

    Aziz me lance :

    « Tu n'oublies rien ? »

    « Merci Monsieur pour votre service ! »

    Il rigole et nous dit :

    « Bonne journée Messieurs et merci pour le pourboire ! »

    Je suis toujours à genoux, la bouche engluée de sperme. Je demande :

    « Puis-je vous rejoindre, j'ai faim ! »

    « Oui… tu peux déjeuner. »

    Je mange un morceau, pour chasser le goût que j'ai dans la bouche.

    La journée se passe agréablement. Aziz nous fait visiter des endroit plus idylliques les uns que les autres. Le soir, de retour dans la chambre, Aziz prend les choses en main.

    « Allez tout le monde à poil ! »

    Henri assis dans un fauteuil regarde Aziz me peloter. J'embrasse Aziz sur son torse, son ventre et commence à le sucer. Il dit à Henri sur le ton de la rigolade :

    « Ça t'dérange pas que j'baise ta femelle? J'vois que ça t'fait bander mon salop ! »

    « Forcément… oui… Défonces la cette pute! »

    On peut toujours compter sur Henri, pour des répliques qui font mouche.

    Aziz se couche sur le dos et je m’empale sur lui. c'est délicieux. Il écarte mes fesses et dit à Henri :

    « Viens l'enculer ! Il y a de la place pour deux dans ce garage à bite ! »

    Si je n'avais pas eu cette leçon avec la serviette mouillée, j'aurais sûrement râlé. Mais là, je la ferme. Henri pose son gland sur ma rosette et s'enfonce en moi jusqu'aux couilles.

    Ouch!! Deux à la fois, je les sens bien, là! Heureusement, j'ai déjà eu des visiteurs qui passaient par la porte de derrière.

    « On est bien dedans ! Merci Aziz ! »

    « De rien… une salope comme Lasie, faut la baiser à deux! »

    Après un bon quart d'heure de ce régime, ils jouissent presque ensembles.

    « Bien ! Ca c'est ce que j'apelle une bonne baise avec une grosse salope ! J'vais me coucher et vous dis à demain ! »

    Et Aziz s'éclipse nous laissant seul. Nous nous endormons rapidement.

    Le lendemain matin Aziz est là à 9 h. Henry commande le petit déjeuner et c'est un autre serveur… Oui bon, j'ai compris, une nouvelle queue à sucer en pourboire. Je m'affaire sur sa queue comme une pro. Mais là je suis surprise quand il jouit par l’abondance de son sperme et un peu de sperme déborde de ma bouche. Il y a une tache sur son pantalon. Aziz l'a vue bien sûr.

    « Excusez- moi Monsieur ! Votre sperme est si abondant. »

    « Ce n'est rien. Tu suces si bien ! » dit le garçon.

    « Je sais ! Oui, mais elle doit tout avaler ! »

    J'ouvre la bouche pour prouver que j'ai bien avalé le flot de sperme du serveur.

    « Henri va te punir, car je n'ai pas aimé que tu taches le pantalon du garçon. Demande à Henri de te claquer les seins ! »

    « Le cul oui mais pas les seins s'il vous plaît ! »

    « J'ne veux rien entendre OK ? »

    Je me mets à genoux :

    « Tu veux bien me donner ma punition sur les seins, Henri, s'il te plaît. »

    La situation semble lui plaire. Je met mes mains sur la tête et attends les première claques.

    « Prête femelle ? »"

    « Oui… mais je t'en prie, ne frappe pas trop fort ! »

    « Je crois que c'est une mauvaise réponse ! Tu préfères peut-être la serviette mouillée? »

    « Nooooon!!! »

    Il lève la main et elle vient claquer mon seins droit puis avec la gauche, le seins gauche. "Aaaiiiiii.....Aiiiieeee..... !!!!".

    « Vas-y, enchaîne… ! » Dit Aziz.

    Alors, il enchaîne. Les claques tombent à toute vitesse sur mes seins.

    Je crie, à chaque coup "Aaaaiiiiiiiiiii!!!"

    Je me mets à genoux.

    « Merci pour cette punition Henri ! »

    Il sort son sexe tout dur. Il est super excité. Je comprend bien sûr et me mets à le sucer. Il est si super excité et ça ne dure pas. Il jouit rapidement sur moi.

     

     

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  •  « Alors, cette phytothérapie, ça t'a fait du bien? » Me demande 6 en se foutant de moi.

    « Pas vraiment Maîtresse ! »

    « Maintenant, on doit parler. John est mort. Je pense que c'est sa femme qui l'a fait descendre. »

    « Par qui? Par un tueur à gages, Maîtresse ? »

    « Je sais pas, mais tu m 'encombre pour dit au revoir au patriarche et on file à la gare. »  

    Je vais faire exactement ce que m'a dit 6 :

    « Ne pas faire la pute, chercher un mec bien et partir en vacances avec lui. »

    J'arrive à Nice, c'est une belle ville. L'hôtel, lui n'est pas terrible, mais je m'en fous… Je sors, je bois des bières, je me fais draguer. Le lendemain, je m'achète un nouveau jean et un chemisier, pour être présentable. Je rentre à l'hôtel, je me maquille, me coiffe et je vais me présenter dans des magasins de vêtements.

     

    Dans le trisiéme magasin, il y a beaucoup de clients. Les vendeuses sont toutes habillées de la même façon, une minijupe et un corsage décolleté. Ca me plaît bien. La gérante est une brune très sexy. Je lui explique que je cherche du travail.

    Elle me dit :

    « Physiquement, vous convenez, mais il faut voir ça avec Madame. »

     

    On va dans un bureau, où il y a blonde type bimbo.

    « Elle cherche du boulot. Je pense que physiquement elle pourrait convenir. »

    La patronne léve les yeux sur moi et d'un air dédaigneux :

    « Mouai pas trop mal ! »

     

    « Alors dis-moi tout sur toi, ma mignonne ! »

    Il va me falloir édulcorer mon parcours. Pute soumise, ça fait… mauvais genre.

    « Je m'appelle Lasie. Je viens de Normandy et j'aimerais rester sur la Côte. J'ai suivi des cours d'esthétique et de massage et j'ai déjà travaillé dans la vente de vêtements.

    « Bien, bien...Déshabille-toi! »

    « Aaah bon ? Vraiment ? »

    « Magnes, je n'ai pas que ça à faire ! »

    J'enlève mon jean et mon tee-shirt.

    « Tu ne mets pas de sous vêtement ? »

    « Euh…non, Madame, mais j'en mettrai si vous voulez. »

    Elle sourit.

    « Oui, ce serait mieux devant la clientèle! »

     

     

    Elle se lève de son fauteuil. Elle me met une main sur un sein. Ouch! Je suis une future vendeuse ou une esclave à vendre et elle une acheteuse vient tâter la marchandise?

    « Jolis seins ! »

    Elle me caresse les fesses…

    « Belle paires de fesses! Je te prends à l'essai ! Essaye une jupe et un top. Je les mets et virevolte devant elle, montrant mes fesses.

    « T'as pas l'air trop farouche, comme fille? C'est bien, les clients aiment ça. Tu commences demain.  ici, je veux que les filles obéissent. »

    Ça ne me changera pas beaucoup.

     

     

    Le lendemain, je suis à l'heure. J'enfile mon uniforme sexy. Je vais me présenter à la gérante et fais la connaissance des autres vendeuses.

    Je vends bien. C'est assez grisant avec les hommes qui me plaisent, d'être à genoux devant eux pour prendre les mesures. Il y a de jolies clientes qui essayent de la lingerie, j'aime bien aussi. Un soir, alors que j'avais flashé sur un chemisier, je décide de le piquer. Au moment où on va se changer dans les vestiaires, je le mets dans mon jean. Je repasse dans le magasin où la gérante discute avec un homme. Ils me regardent. Ooops! Mon estomac se serre. La gérante me dit :

    « Viens par là ! Je vais te montrer quelque chose! »

    « Désolée, Madame, ça pourrait attendre demain? Parce que j'ai… un

    rendez-vous important. »

    Elle me prend par le bras et me dit sèchement :

    « Quand je dis tu viens, tu viens ! »

    Je vais avec eux dans une pièce du fond. La gérante me dit :

    « Il y a une caméra dans les vestiaires. »

    Sur l'écran, je me vois voler le corsage. 

    « Enlève ton jean! » dit la gérante.

    « Appelle la police! », dit-elle, à l'homme.

    « Non Madame, je vous en prie… J'ai eu des ennuis avec la police. Je ferai ce que vous voudrez, mais pas la police! » 

    « Très bien on va chez la patronne, elle décidera! »

    On arrive chez la patronne, elle est déjà informée.

    « Voici, la petite voleuse! » Dit la gérante

    « Pardon, pardon, Madame, je voulais juste mettre ce corsage ce soir pour sortir, je l'aurais remis demain, je vous le jure. »

    « Je suis très déçue. Qu'est-ce que tu en penses? » Dit la patronne à la gérante.

    « Il faut appeler la police ou la punir sévèrement. »

    La gérante sort d'un tiroir un martinet. Qu'est-ce que ça fout dans un bureau, ça? Elle le tend à l'homme en me disant :

    « Ca, c'est pour punir les voleuses ! »

    « Déshabille-toi et montre tes fesses ! »

    Je ferme déjà les yeux et serre les fesses… mais elles me font attendre.

    « Cette cible-là, difficile de la manquer. » Dit l'homme en riant.

    « Je lui en donne combien? »

    « Vas-y, je te dirai ! »

    L'homme lève enfin, le bras et les trois lanières viennent s'aplatir en travers de mes fesses, "claaac!!", je fais un bond et je ne peux pas m'empêcher de crier, "aiiiiiiie". Il frappe vraiment fort!! "claaac" "aiiiiieeee" - "claaaac" aiiiiiee" -"claaac". "aaaiieieiie… assez… je vous en prie…."  

    Il frappe encore plus fort en disant :

    «Je crois que ça va te dégoûter de voler! »

    « Oui, je le juuuuurre"…"...claaaac….aiiiie… »

    20 fois les lanières s'abattent et s'entrecroisent sur mes fesses… Je pleure et je crie à chaque coup. Enfin… la patronne dit :

    « Tu peux arrêter… »

    La gérante rouspète :

    « Déjà? Vous êtes vraiment trop gentille, Madame. »

    La patronne réfléchit un instant et devant l'instance de l'homme et de la gérante, elle plie.

    « Oui, vous avez raison, encore dix! Mais pour le fun sur les seins ! »

    Je gémis :

    « Ooooohh non…pitié pas sur les seins ! J'ai compris la leçon ! »

    « Ben, si! » Dit le vigile.

    Au 30ème, il s'arrête…enfin. Je suis toujours mains sur la tête à sangloter. Mes fesses et mes seins me font terriblement mal.

    Elle range le martinet et il commente :

    « Agréable à punir cette peetite salope ! Tu voleras, encore? »

    « Nooon, je vous jure, Monsieur ! »

    Ils retournent au magasin. La patronne me laisse un peu les mains sur la tête en tournant autours de moi, puis me dit :

    « Il y aura la même punition dans une semaine si la gérante a à se plaindre de toi. Va te mettre à genoux, le nez qui touche le mur et réfléchi à ça! »

    Ooooh oui! Avec plaisir… du moment que c'est fini… Je me mets à genoux face à un mur.

     

     

    Elle me laisse un bon quart d'heure comme ça, puis elle me dit :

    « Viens ici ! »

    Je me relève et me tiens devant elle, la tête baissée les fesses et les seins rougis.

    « Je ne ferai plus de bêtises, Madame. » 

    « J'espère bien! De toute façon, il y a des caméras ici, aussi. La fessée et tes aveux sont filmés. »

    D'un geste de la main, elle me congédie. Évidemment, le lendemain tout le monde est informé de mon vol et aussi de la punition. Il y a des filles qui me snobent, et puis d'autres que ça fait marrer. Le soir, je suis invité par une des vendeuse chez elle.

    3J'ai parlé de toi à mon mari. Je lui ai dis que tu étais très jolie et… je danserai pour toi, si tu viens manger à la maison. Il m'a demandé de t'inviter. »

    Nos corvées finies, on retourne dans le magasin. Je ne suis pas extravertie, mais j'ai quand même un bon contact avec les gens. Le soir, j'accompagne Irène. On est accueilli par son mari, Diego. Présentations, bisous. Il n'est pas mal… On boit l'apéro, des Ricards, normal dans le Midi. Irène nous sert. Ça me rappelle des choses… mais ici, c'est elle qui est soumise, moi je suis invitée. Ca change. Ça me plait de voir la soumission d'Irène, elle obéit au doigt et à l'œil à son maître. Diego met la main sur ma cuisse… Moi, je suis toujours partante pour... un peu flirter avec un mec comme Diego…

    Je lui dis :

    « Je suis un peu gênée par rapport à Irène. »

    Il rigole :

    « On est un couple libre. »

    Je pose alors ma main sur la grosse bosse de son pantalon… Il fait un signe et dit :

    « Qu'est ce que tu attends, pour nous servir, Perra ! »

    « Tu l'appelles Perra? »

    « Oui c'est ma petite chienne ! »

    « Oh, c'est mignon ! »

    Il dit :

    « Fais la belle! »

    Elle se redresse, en position de "fais la belle", les bras un peu repliés, mains tendues, les yeux baissés.

    « Bone chienne, sers-nous, maintenant ! »

    Elle repart vers la cuisine et revient avec des plats

    « Un petit dessert ? »

    « Non merci, je dois maigrir ! »

    « Oh??? Pourquoi veux-tu maigrir? »

    « J'ai de trop grosses fesses… »

    Il me répond :

    « Montre! »

    « C'est gênant, on se connaît à peine! »

    « Allez, fais pas ta mijaurée. Je te donnerai mon avis sur ton cul! »

    Je me lève, descend mon jean et tend mes fesses vers lui.

    « Fais pas attention aux marques, c'était le fouet ou les flics. »

    « Mais, il est magnifique ton cul! »

    On va sur le divan.

    « On va se mettre à l'aise. » Me dit il.

    Perra fait son entrée. Voilée… avec des bracelets aux poignets et aux chevilles, dont certains ont des grelots qui tintent. Elle est nue. Elle vient devant nous, bras levés, et ondule sur la musique… La musique s'accélère, elle roule des hanches… se tourne balance ses fesses blanches en rythme… Ses figures deviennent rapidement très érotiques. Elle se couche, écarte les jambes, écarte son sexe entre deux doigts… Elle se tourne à nouveau, se penche, écarte les fesses avec les mains… les balancent…

    Franchement, elle danse très bien, tout ce qu'elle fait est gracieux et en rythme. Je suis bluffée.

    Avec désinvolture, Diego, joue avec les bouts de mes seins. Il me dit, en me faisant un clin d’œil :

    « Comment tu la trouves? »

    Pour une foi que je ne suis pas la soumise, j'en profite et d'un ton espiégle, je répond :

    « Pas mal. Mais elle a un peu l'air de faire ça comme une corvée, non? »

    Sa voix se fait dure.

    « Viens ici Perra, je vais te réveiller… ! »

    Perra fait de grands yeux au-dessus de son voile. Elle sait ce qui l'attend… Elle vient se coucher en travers du divan, donc sur moi qui suis sur Diego. J'ai ses fesses sous le nez, elles sont belles, je les caresse, elle frémit.

    « Enlève ta main, Lasie ! » Dit Diego. Il lève la sienne et frappe les fesses de Perra, ça fait comme un pétard qui explose. Elle fait un bond et geint. Ooops! Costaud, le mec, sa main et ses doigts s'impriment en rouge sur les fesses blanches. Et ça repart, il lui claque les fesses de haut et rapidement. Elle fait un bond sur moi à chaque fois, mais se remet vite en position, les fesses bien levées. Elles deviennent toutes rouges et elle gémit de plus en plus fort.

    « Danse maintenant et si ce n'est pas mieux… ce ne sera plus avec la main que je te fesserai ! »

    Perra courre remettre la musique au début revient se placer devant nous. La musique s'élève, elle se retourne pour nous montrer ses fesses très rouges.

    Je dis, "C'est beau ce cul rouge au milieu de ce son corps blanc…" 

    « Ouais… c'est mieux comme ça… et j'ai d'autres petits trucs quand elle ne danse pas bien ou qu'on a envie de s'amuser… »

    Perra ondule et balance ses fesses. Ces fesses sont rouges… c'est beau.

    Elle accentue bien tous ses mouvements, tend son sexe vers nous, balance les seins.

    Je dis à Diego :

    « C'est vrai que la fessée, la fait mieux danser! »  

    Cette danse langoureuse, la fessée de ma copine et le sexe de Diego qui grossi dans ma main, je mouille et commence à avoir très envie de sucer son mari. Je me retourne vers lui et je me mets à genoux entre ses cuisses. Il me prend le visage dans les mains et me dit : « Plus tard... d'abord, viens sur moi. » 

    Je me mets à califourchon et l'enfonce en moi… Que c'est bon de se faire pénétrer devant sa femme qui continue sa danse envoûtante. Il fait un signe à Perra, pour qu'elle vienne me lécher la chatte pendant que lui me bourre le coquillage. Cette grosse bite en moi et Perra qui me léche le clito

    « Ooooooh oui... je jouiiiis !!!! »   

    Ils forment un sacré duo tout les deux. Aprés avoir joui dans la bouche de sa femme, Diégo nous laisse pour se rendre au toilettes. Je m'attends toujours à ce qu'il change de ton avec moi. Je suis tellement habituée à être soumise que ça me fait drôle d'être de l'autre côté de la barriére. J'en suis même gênée. Diego me dit :

    « Tu veux dormir ici, ma belle, il est tard. »

    « Euh… oui merci…volontiers. »

    Dans la chambre, il n'y a qu'un lit.

    « …et Perra? »

    « Ben, sur la carpette, comme une chienne ! »

    Perra se couche en rond dans son panier… Oui bon, c'est vrai chacun à sa place.

    Je me couche avec son mari qui bien sûr me baise encore une foi avant de s'endormir la queue encore dans ma chatte. Le matin quand je me réveille, je sens un corps tout chaud contre le mien. Je le caresse, et en ouvrant les yeux, je découvre Perra lovée contre moi. Elle me sourit. Je dis pour rigoler :

    « Hé bien qu'est ce que tu fais dans le lit? »

    Elle pousse un petit gémissement… Je l'embrasse. C'est une gentille bête. Nous faisons divinement l'amour et jouissons ensemble.

     

    Mais nous devons nous rendre au magasin pour travailler. Dans la matinée, un client me fait du gringue. Il est déjà venu plusieurs fois et s'adresse toujours à moi. Manifestement, je lui plais beaucoup. Une chose me plaît chez lui. Il a l'air d'avoir de l'argent. Il m'a invitée à manger samedi soir et je peux choisir les vêtements que je veux dans le magasin. J'ai accepté, bien sûr. Un client arrive, pour un essayage d'un costume sur mesure. Il me veut moi… ben oui, lui aussi, ça fait râler les autres filles. Je suis à genoux à ses pieds, position équivoque s'il en est, pour ajuster son pantalon. Il avance un peu et j'ai le visage contre son bas-ventre. Je lève les yeux et il sort un billet de 50€. Comme ça ne me gêne pas de sucer, je dirais même que j'adore ça, Je baisse sa braguette, sort un sexe et ma langue commence à faire son travail sur le gland. Je le suce comme une vrai pute. Le Monsieur me caresse la joue. Je lui fais une gorge profonde. Ca lui plaît beaucoup et bientôt, il jouit dans ma bouche. J'avale ses jets de sperme et lui nettoie la queue.

     

    « Il y a moyen de se voir en dehors du magasin, jeune fille? » Me demande-t-il.

    « Oui, bien sûr, Monsieur. »

    « Ok et bien Lundi, on conviendra d'un rendez-vous. »

    A la fermeture du magasin, la gérante me fait signe de la suivre. Elle m'entraîne dans la pièce où il y les vidéo de surveillance du magasin.

    « Tu veux te voir sucer un client? »

    Merde ! Il y a même des cameras dans les cabines d'esseyage. Les tordus ! En plus le vigile doit se rincer l’œil l'enfoiré.

    « Je dois reconnaître que tu es douée pour sucer une bite, t'as du déjà faire la pute pour sucer si bien. Tu es vraiment douée pour vendre des vêtements et ton cul! »

    Elle appelle, Raymond, le vigile. En arrivant, il dit :

    « J'arrivais pas à en trouver une ! » Dit-il, en lui montrant une sandale en corde. Raymond s'assied et en tapotant ses cuisse, il me fait comprendre que je dois me mettre en travers de ses cuisses pour recevoir ma punition. L'autre salope sourit de me voir ainsi soumise et assiste au spectacle. Il baisse ma culotte jusqu'au genoux et siffle en disant :

    « Elle a un de ces culs cette petite salope! Je l'enculerais avec plaisir ! ».

    «  Et bien qu'est-ce que tu attends ? Encule là et fesse la en même temps ! »

    « Noooon Madame !!! »

    « Puisque tu fais des pipes si facilement, on va voir si tu te fais enculer de la même manière ! »

    Il bande déjà.

    « Assois-toi dessus ! » Me dit-il.

    Je me mets sur lui. Il pose son gland sur ma rosette etm'empale dessus en appyant sur mes épaule. Je ne peux m'empêcher de pousser un cri.

    « Bouge ton cul putain ! Ah oui !!! Comme ça ! Tu le bouges bien ton cul, salope!! »

    En quelques allées retour et il jouit en moi.

    J'ai pas le temps de récupérer que la gérante veut me fesser avec la sandale.

    « T'es vraiment qu'une pute ! Tu suces des inconnus et te fais enculer par le premier venu sans rien dire ! »

    Elle lève la sandale bien haut et claque mes fesses.

    Elle commence à me fesser tout en me grondant :

    « Non seulement tu voles ! ( Paf! Paf! Paf) mais en plus tu fais des passes dans le magasin! ( Paf! Paf! Paf!) et tu te fais enculer devant moi comme une grosse salope ! (paf paf paf) »

    Je la supplie :

    « Assez Madame, je vous en priiiiiiie !!!! »

    "Et en plus tu arrives presque tous les jours en retard!!" Paf! Paf! Paf! 

    Elle frappe à toute vitesse et ne s'arrête que, lorsque son bras est trop fatigué. Alors, elle remonte ma culotte et me redresse.

    « Tu peux rentrer chez toi maintenant ! »

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