• Les dessous de Michèle 13

     « Alors, cette phytothérapie, ça t'a fait du bien? » Me demande 6 en se foutant de moi.

    « Pas vraiment Maîtresse ! »

    « Maintenant, on doit parler. John est mort. Je pense que c'est sa femme qui l'a fait descendre. »

    « Par qui? Par un tueur à gages, Maîtresse ? »

    « Je sais pas, mais tu m 'encombre pour dit au revoir au patriarche et on file à la gare. »  

    Je vais faire exactement ce que m'a dit 6 :

    « Ne pas faire la pute, chercher un mec bien et partir en vacances avec lui. »

    J'arrive à Nice, c'est une belle ville. L'hôtel, lui n'est pas terrible, mais je m'en fous… Je sors, je bois des bières, je me fais draguer. Le lendemain, je m'achète un nouveau jean et un chemisier, pour être présentable. Je rentre à l'hôtel, je me maquille, me coiffe et je vais me présenter dans des magasins de vêtements.

     

    Dans le trisiéme magasin, il y a beaucoup de clients. Les vendeuses sont toutes habillées de la même façon, une minijupe et un corsage décolleté. Ca me plaît bien. La gérante est une brune très sexy. Je lui explique que je cherche du travail.

    Elle me dit :

    « Physiquement, vous convenez, mais il faut voir ça avec Madame. »

     

    On va dans un bureau, où il y a blonde type bimbo.

    « Elle cherche du boulot. Je pense que physiquement elle pourrait convenir. »

    La patronne léve les yeux sur moi et d'un air dédaigneux :

    « Mouai pas trop mal ! »

     

    « Alors dis-moi tout sur toi, ma mignonne ! »

    Il va me falloir édulcorer mon parcours. Pute soumise, ça fait… mauvais genre.

    « Je m'appelle Lasie. Je viens de Normandy et j'aimerais rester sur la Côte. J'ai suivi des cours d'esthétique et de massage et j'ai déjà travaillé dans la vente de vêtements.

    « Bien, bien...Déshabille-toi! »

    « Aaah bon ? Vraiment ? »

    « Magnes, je n'ai pas que ça à faire ! »

    J'enlève mon jean et mon tee-shirt.

    « Tu ne mets pas de sous vêtement ? »

    « Euh…non, Madame, mais j'en mettrai si vous voulez. »

    Elle sourit.

    « Oui, ce serait mieux devant la clientèle! »

     

     

    Elle se lève de son fauteuil. Elle me met une main sur un sein. Ouch! Je suis une future vendeuse ou une esclave à vendre et elle une acheteuse vient tâter la marchandise?

    « Jolis seins ! »

    Elle me caresse les fesses…

    « Belle paires de fesses! Je te prends à l'essai ! Essaye une jupe et un top. Je les mets et virevolte devant elle, montrant mes fesses.

    « T'as pas l'air trop farouche, comme fille? C'est bien, les clients aiment ça. Tu commences demain.  ici, je veux que les filles obéissent. »

    Ça ne me changera pas beaucoup.

     

     

    Le lendemain, je suis à l'heure. J'enfile mon uniforme sexy. Je vais me présenter à la gérante et fais la connaissance des autres vendeuses.

    Je vends bien. C'est assez grisant avec les hommes qui me plaisent, d'être à genoux devant eux pour prendre les mesures. Il y a de jolies clientes qui essayent de la lingerie, j'aime bien aussi. Un soir, alors que j'avais flashé sur un chemisier, je décide de le piquer. Au moment où on va se changer dans les vestiaires, je le mets dans mon jean. Je repasse dans le magasin où la gérante discute avec un homme. Ils me regardent. Ooops! Mon estomac se serre. La gérante me dit :

    « Viens par là ! Je vais te montrer quelque chose! »

    « Désolée, Madame, ça pourrait attendre demain? Parce que j'ai… un

    rendez-vous important. »

    Elle me prend par le bras et me dit sèchement :

    « Quand je dis tu viens, tu viens ! »

    Je vais avec eux dans une pièce du fond. La gérante me dit :

    « Il y a une caméra dans les vestiaires. »

    Sur l'écran, je me vois voler le corsage. 

    « Enlève ton jean! » dit la gérante.

    « Appelle la police! », dit-elle, à l'homme.

    « Non Madame, je vous en prie… J'ai eu des ennuis avec la police. Je ferai ce que vous voudrez, mais pas la police! » 

    « Très bien on va chez la patronne, elle décidera! »

    On arrive chez la patronne, elle est déjà informée.

    « Voici, la petite voleuse! » Dit la gérante

    « Pardon, pardon, Madame, je voulais juste mettre ce corsage ce soir pour sortir, je l'aurais remis demain, je vous le jure. »

    « Je suis très déçue. Qu'est-ce que tu en penses? » Dit la patronne à la gérante.

    « Il faut appeler la police ou la punir sévèrement. »

    La gérante sort d'un tiroir un martinet. Qu'est-ce que ça fout dans un bureau, ça? Elle le tend à l'homme en me disant :

    « Ca, c'est pour punir les voleuses ! »

    « Déshabille-toi et montre tes fesses ! »

    Je ferme déjà les yeux et serre les fesses… mais elles me font attendre.

    « Cette cible-là, difficile de la manquer. » Dit l'homme en riant.

    « Je lui en donne combien? »

    « Vas-y, je te dirai ! »

    L'homme lève enfin, le bras et les trois lanières viennent s'aplatir en travers de mes fesses, "claaac!!", je fais un bond et je ne peux pas m'empêcher de crier, "aiiiiiiie". Il frappe vraiment fort!! "claaac" "aiiiiieeee" - "claaaac" aiiiiiee" -"claaac". "aaaiieieiie… assez… je vous en prie…."  

    Il frappe encore plus fort en disant :

    «Je crois que ça va te dégoûter de voler! »

    « Oui, je le juuuuurre"…"...claaaac….aiiiie… »

    20 fois les lanières s'abattent et s'entrecroisent sur mes fesses… Je pleure et je crie à chaque coup. Enfin… la patronne dit :

    « Tu peux arrêter… »

    La gérante rouspète :

    « Déjà? Vous êtes vraiment trop gentille, Madame. »

    La patronne réfléchit un instant et devant l'instance de l'homme et de la gérante, elle plie.

    « Oui, vous avez raison, encore dix! Mais pour le fun sur les seins ! »

    Je gémis :

    « Ooooohh non…pitié pas sur les seins ! J'ai compris la leçon ! »

    « Ben, si! » Dit le vigile.

    Au 30ème, il s'arrête…enfin. Je suis toujours mains sur la tête à sangloter. Mes fesses et mes seins me font terriblement mal.

    Elle range le martinet et il commente :

    « Agréable à punir cette peetite salope ! Tu voleras, encore? »

    « Nooon, je vous jure, Monsieur ! »

    Ils retournent au magasin. La patronne me laisse un peu les mains sur la tête en tournant autours de moi, puis me dit :

    « Il y aura la même punition dans une semaine si la gérante a à se plaindre de toi. Va te mettre à genoux, le nez qui touche le mur et réfléchi à ça! »

    Ooooh oui! Avec plaisir… du moment que c'est fini… Je me mets à genoux face à un mur.

     

     

    Elle me laisse un bon quart d'heure comme ça, puis elle me dit :

    « Viens ici ! »

    Je me relève et me tiens devant elle, la tête baissée les fesses et les seins rougis.

    « Je ne ferai plus de bêtises, Madame. » 

    « J'espère bien! De toute façon, il y a des caméras ici, aussi. La fessée et tes aveux sont filmés. »

    D'un geste de la main, elle me congédie. Évidemment, le lendemain tout le monde est informé de mon vol et aussi de la punition. Il y a des filles qui me snobent, et puis d'autres que ça fait marrer. Le soir, je suis invité par une des vendeuse chez elle.

    3J'ai parlé de toi à mon mari. Je lui ai dis que tu étais très jolie et… je danserai pour toi, si tu viens manger à la maison. Il m'a demandé de t'inviter. »

    Nos corvées finies, on retourne dans le magasin. Je ne suis pas extravertie, mais j'ai quand même un bon contact avec les gens. Le soir, j'accompagne Irène. On est accueilli par son mari, Diego. Présentations, bisous. Il n'est pas mal… On boit l'apéro, des Ricards, normal dans le Midi. Irène nous sert. Ça me rappelle des choses… mais ici, c'est elle qui est soumise, moi je suis invitée. Ca change. Ça me plait de voir la soumission d'Irène, elle obéit au doigt et à l'œil à son maître. Diego met la main sur ma cuisse… Moi, je suis toujours partante pour... un peu flirter avec un mec comme Diego…

    Je lui dis :

    « Je suis un peu gênée par rapport à Irène. »

    Il rigole :

    « On est un couple libre. »

    Je pose alors ma main sur la grosse bosse de son pantalon… Il fait un signe et dit :

    « Qu'est ce que tu attends, pour nous servir, Perra ! »

    « Tu l'appelles Perra? »

    « Oui c'est ma petite chienne ! »

    « Oh, c'est mignon ! »

    Il dit :

    « Fais la belle! »

    Elle se redresse, en position de "fais la belle", les bras un peu repliés, mains tendues, les yeux baissés.

    « Bone chienne, sers-nous, maintenant ! »

    Elle repart vers la cuisine et revient avec des plats

    « Un petit dessert ? »

    « Non merci, je dois maigrir ! »

    « Oh??? Pourquoi veux-tu maigrir? »

    « J'ai de trop grosses fesses… »

    Il me répond :

    « Montre! »

    « C'est gênant, on se connaît à peine! »

    « Allez, fais pas ta mijaurée. Je te donnerai mon avis sur ton cul! »

    Je me lève, descend mon jean et tend mes fesses vers lui.

    « Fais pas attention aux marques, c'était le fouet ou les flics. »

    « Mais, il est magnifique ton cul! »

    On va sur le divan.

    « On va se mettre à l'aise. » Me dit il.

    Perra fait son entrée. Voilée… avec des bracelets aux poignets et aux chevilles, dont certains ont des grelots qui tintent. Elle est nue. Elle vient devant nous, bras levés, et ondule sur la musique… La musique s'accélère, elle roule des hanches… se tourne balance ses fesses blanches en rythme… Ses figures deviennent rapidement très érotiques. Elle se couche, écarte les jambes, écarte son sexe entre deux doigts… Elle se tourne à nouveau, se penche, écarte les fesses avec les mains… les balancent…

    Franchement, elle danse très bien, tout ce qu'elle fait est gracieux et en rythme. Je suis bluffée.

    Avec désinvolture, Diego, joue avec les bouts de mes seins. Il me dit, en me faisant un clin d’œil :

    « Comment tu la trouves? »

    Pour une foi que je ne suis pas la soumise, j'en profite et d'un ton espiégle, je répond :

    « Pas mal. Mais elle a un peu l'air de faire ça comme une corvée, non? »

    Sa voix se fait dure.

    « Viens ici Perra, je vais te réveiller… ! »

    Perra fait de grands yeux au-dessus de son voile. Elle sait ce qui l'attend… Elle vient se coucher en travers du divan, donc sur moi qui suis sur Diego. J'ai ses fesses sous le nez, elles sont belles, je les caresse, elle frémit.

    « Enlève ta main, Lasie ! » Dit Diego. Il lève la sienne et frappe les fesses de Perra, ça fait comme un pétard qui explose. Elle fait un bond et geint. Ooops! Costaud, le mec, sa main et ses doigts s'impriment en rouge sur les fesses blanches. Et ça repart, il lui claque les fesses de haut et rapidement. Elle fait un bond sur moi à chaque fois, mais se remet vite en position, les fesses bien levées. Elles deviennent toutes rouges et elle gémit de plus en plus fort.

    « Danse maintenant et si ce n'est pas mieux… ce ne sera plus avec la main que je te fesserai ! »

    Perra courre remettre la musique au début revient se placer devant nous. La musique s'élève, elle se retourne pour nous montrer ses fesses très rouges.

    Je dis, "C'est beau ce cul rouge au milieu de ce son corps blanc…" 

    « Ouais… c'est mieux comme ça… et j'ai d'autres petits trucs quand elle ne danse pas bien ou qu'on a envie de s'amuser… »

    Perra ondule et balance ses fesses. Ces fesses sont rouges… c'est beau.

    Elle accentue bien tous ses mouvements, tend son sexe vers nous, balance les seins.

    Je dis à Diego :

    « C'est vrai que la fessée, la fait mieux danser! »  

    Cette danse langoureuse, la fessée de ma copine et le sexe de Diego qui grossi dans ma main, je mouille et commence à avoir très envie de sucer son mari. Je me retourne vers lui et je me mets à genoux entre ses cuisses. Il me prend le visage dans les mains et me dit : « Plus tard... d'abord, viens sur moi. » 

    Je me mets à califourchon et l'enfonce en moi… Que c'est bon de se faire pénétrer devant sa femme qui continue sa danse envoûtante. Il fait un signe à Perra, pour qu'elle vienne me lécher la chatte pendant que lui me bourre le coquillage. Cette grosse bite en moi et Perra qui me léche le clito

    « Ooooooh oui... je jouiiiis !!!! »   

    Ils forment un sacré duo tout les deux. Aprés avoir joui dans la bouche de sa femme, Diégo nous laisse pour se rendre au toilettes. Je m'attends toujours à ce qu'il change de ton avec moi. Je suis tellement habituée à être soumise que ça me fait drôle d'être de l'autre côté de la barriére. J'en suis même gênée. Diego me dit :

    « Tu veux dormir ici, ma belle, il est tard. »

    « Euh… oui merci…volontiers. »

    Dans la chambre, il n'y a qu'un lit.

    « …et Perra? »

    « Ben, sur la carpette, comme une chienne ! »

    Perra se couche en rond dans son panier… Oui bon, c'est vrai chacun à sa place.

    Je me couche avec son mari qui bien sûr me baise encore une foi avant de s'endormir la queue encore dans ma chatte. Le matin quand je me réveille, je sens un corps tout chaud contre le mien. Je le caresse, et en ouvrant les yeux, je découvre Perra lovée contre moi. Elle me sourit. Je dis pour rigoler :

    « Hé bien qu'est ce que tu fais dans le lit? »

    Elle pousse un petit gémissement… Je l'embrasse. C'est une gentille bête. Nous faisons divinement l'amour et jouissons ensemble.

     

    Mais nous devons nous rendre au magasin pour travailler. Dans la matinée, un client me fait du gringue. Il est déjà venu plusieurs fois et s'adresse toujours à moi. Manifestement, je lui plais beaucoup. Une chose me plaît chez lui. Il a l'air d'avoir de l'argent. Il m'a invitée à manger samedi soir et je peux choisir les vêtements que je veux dans le magasin. J'ai accepté, bien sûr. Un client arrive, pour un essayage d'un costume sur mesure. Il me veut moi… ben oui, lui aussi, ça fait râler les autres filles. Je suis à genoux à ses pieds, position équivoque s'il en est, pour ajuster son pantalon. Il avance un peu et j'ai le visage contre son bas-ventre. Je lève les yeux et il sort un billet de 50€. Comme ça ne me gêne pas de sucer, je dirais même que j'adore ça, Je baisse sa braguette, sort un sexe et ma langue commence à faire son travail sur le gland. Je le suce comme une vrai pute. Le Monsieur me caresse la joue. Je lui fais une gorge profonde. Ca lui plaît beaucoup et bientôt, il jouit dans ma bouche. J'avale ses jets de sperme et lui nettoie la queue.

     

    « Il y a moyen de se voir en dehors du magasin, jeune fille? » Me demande-t-il.

    « Oui, bien sûr, Monsieur. »

    « Ok et bien Lundi, on conviendra d'un rendez-vous. »

    A la fermeture du magasin, la gérante me fait signe de la suivre. Elle m'entraîne dans la pièce où il y les vidéo de surveillance du magasin.

    « Tu veux te voir sucer un client? »

    Merde ! Il y a même des cameras dans les cabines d'esseyage. Les tordus ! En plus le vigile doit se rincer l’œil l'enfoiré.

    « Je dois reconnaître que tu es douée pour sucer une bite, t'as du déjà faire la pute pour sucer si bien. Tu es vraiment douée pour vendre des vêtements et ton cul! »

    Elle appelle, Raymond, le vigile. En arrivant, il dit :

    « J'arrivais pas à en trouver une ! » Dit-il, en lui montrant une sandale en corde. Raymond s'assied et en tapotant ses cuisse, il me fait comprendre que je dois me mettre en travers de ses cuisses pour recevoir ma punition. L'autre salope sourit de me voir ainsi soumise et assiste au spectacle. Il baisse ma culotte jusqu'au genoux et siffle en disant :

    « Elle a un de ces culs cette petite salope! Je l'enculerais avec plaisir ! ».

    «  Et bien qu'est-ce que tu attends ? Encule là et fesse la en même temps ! »

    « Noooon Madame !!! »

    « Puisque tu fais des pipes si facilement, on va voir si tu te fais enculer de la même manière ! »

    Il bande déjà.

    « Assois-toi dessus ! » Me dit-il.

    Je me mets sur lui. Il pose son gland sur ma rosette etm'empale dessus en appyant sur mes épaule. Je ne peux m'empêcher de pousser un cri.

    « Bouge ton cul putain ! Ah oui !!! Comme ça ! Tu le bouges bien ton cul, salope!! »

    En quelques allées retour et il jouit en moi.

    J'ai pas le temps de récupérer que la gérante veut me fesser avec la sandale.

    « T'es vraiment qu'une pute ! Tu suces des inconnus et te fais enculer par le premier venu sans rien dire ! »

    Elle lève la sandale bien haut et claque mes fesses.

    Elle commence à me fesser tout en me grondant :

    « Non seulement tu voles ! ( Paf! Paf! Paf) mais en plus tu fais des passes dans le magasin! ( Paf! Paf! Paf!) et tu te fais enculer devant moi comme une grosse salope ! (paf paf paf) »

    Je la supplie :

    « Assez Madame, je vous en priiiiiiie !!!! »

    "Et en plus tu arrives presque tous les jours en retard!!" Paf! Paf! Paf! 

    Elle frappe à toute vitesse et ne s'arrête que, lorsque son bras est trop fatigué. Alors, elle remonte ma culotte et me redresse.

    « Tu peux rentrer chez toi maintenant ! »

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