• Les dessous de Michèle 7

    Les jours passent et se ressemblent. Quand j'entre dans la cuisine. Martine, comme d'habitude, passe la main sous ma jupe pour vérifier que je n'ai pas de culotte et que mes fesses sont à sa disposition.

    « Martine j'ai envie de pisser ! »

    « Ok ! Vas pisser sur la pelouse et reviens vite ! »

    Je cours dans le jardin et je m'accroupis sur la pelouse.

    Pppppffff, ça fait du bien…. J'arrache une touffe d'herbe pour m'essuyer et retourne dans la cuisine. Arrive le facteur, très copain avec Martine. Il dit bonjour à Martine puis à Stéphanie. Il a dû me voir en arrivant car il me dit :

    « Tu pisses dans le jardin, comme les chiennes maintenant? Elles ont de drôles de jeux les patronnes ! »

    Mais bon, il n'est pas trop surpris car Martine lui a déjà parlé des partouzes qui se déroulent dans le manoir.

    « Tu comprends, Madame veut que j'éduque cette petite gourde. Elle veut qu'elle soit au même niveau que les chiens de garde. Alors quand elle est fait une connerie, je lui donne une fessée ou je la laisse pisser comme les chiennes devant tout le monde. Elle doit aussi se laisser faire par quiconque veut d'elle ! »

    Ah ça, ça l'intéresse. Il demande :

    « Sérieux???? Tu la fesses vraiment? Et si je veux, je peux me faire sucer ou la baiser comme je veux ? »

    « Bien sûr et pas qu'un peu ! »

    Stéphanie confirme :

    « Ah ça, pour ce qui est de lui faire passer les fesses au rouge, Martine est championne ! Et la salope a tout les trous ouvert pour tout les hommes. Une vrai vide couilles ! »

    Le facteur a une grosse envie d'assister à une fessée et me baiser. Je le vois réfléchir et afficher un sourire malsain.

    « J'veux voir çà ! Et je peux me faire sucer en même temps ? »

    Martine saute sur l'occasion. Elle adore me fesser et me voir en prendre plein la bouche. Elle crache dans sa main puis la tend au facteur.

    « Tope là! »

    « Viens ici Lasie !  Pipe et fessée de bon matin met la chienne de bon entrain ! »

    Tous rigolent de la blague sauf moi. Je vais encore manger. Vivement que j'ai assez d'argent pour me barrer de cette taule de tarés. Je sais que c'est inutile mais je dis quand même :

    « Mais j'ai rien fait Madame Martine! »

    « Tu obéis immédiatement ou je prends la cuillére en bois!! »

    Résignée, je me couche en vitesse sur ses genoux. Elle relève ma jupe.

    « Vingt d-ju! Le joli p'tit cul ! » dit le facteur.

    Martine lève la main et me fesse à grandes claques retentissantes. Pendant ce temps, le facteur a mis sa queue dans ma bouche et me prenant par les cheveux me baise la bouche. Stéphanie rigole et me dis :

    « Tu vas avoir du mal à t'assoir Lasie. Martine ne va s'arrêter que lorsque le facteur se sera lâché dans ta bouche ! »

    J'espère que c'est un éjaculateur précoce car ça peut durer longtemps cette histoire. Et ça dure, ça dure… A la fin je pleure et je la supplie d'arrêter.Mais la queue étouffe mes plaintes. Ils rigolent tous les trois. Le facteur éjacule enfin dans ma bouche et bien sûr je dois avaler.

    « Merci Monsieur le facteur d'avoir honoré ma bouche et merci Madame Martine pour cette fessée. »

    « Polie avec ça la petiote ! » dit le facteur.  

    Martine me relève, coince ma jupe sous ma ceinture et m'envoie au coin. Elle veut en mettre plein la vue au facteur.

    « J'vais avoir du mal à continuer ma tournée! » dit-il.

    « C'est la faute à Lasie ! » dit Stéphanie en riant.

    A ce moment, une sonnerie retenti.

    « Trois coups, ça veut dire Lasie chez Madame, et rapidementl!! » Explique-t-elle au facteur."  

    Je dis au revoir au facteur. Il en profite pour m'embrasser sur la bouche en me pelotant les fesses encore toutes chaudes de la fessée. Il aura de quoi raconter à ses copains à l'heure de l'apéro.

    « Allez grouille-toi ! » lance Martine.

    Je me dépêche de monter vers la chambre. Mais, quand j'arrive dans la chambre de Madame, elle est occupée à remplir un sac de voyage.

    « Je dois m'absenter d'urgence deux semaines. Je vous confis à Katia ! »

    « Oh, non, Madame, elle est... »

    Elle lève la main et m'envoie une bonne paire de gifles.

    « Pour vous apprendre à discuter ! »

    Ouch!! Je me frotte les joues. Celles là, je les ai bien cherchées. Non seulement, j'ai les fesses toutes rouges mais les joues aussi maintenant.

    «  Soyez bien obéissante avec Katia ! »

     J'arrive dans ma chambre, Katia est déjà là.   

    « Bonjour, Mademoiselle. »

    « A partir de maintenant, vous êtes à mon service. Alors tenez vous à carreau ! »

    Katia sort de son sac un short en jean, un tee-shirt et des baskets.

    « Met ça! » dit-elle.  

    Je me change.  

    « Allez, on y va! »

    J'ose demander :

    « On va où? »

    « Vous le verrez bien assez tôt ! »

    On quitte la maison rapidement. On prend un bus qui nous amène dans le Nord de la ville.

    Katia a l'air tendue, elle ne parle pas. Je ne comprends pas pourquoi on ne prend pas sa voiture. Que ce passe-t-il ? La voilà qui fait du stop. Habillés comme nous sommes, en short et nue dessous, on est super bonne.

    Un camion, s'arrêtent assez rapidement. Il nous fait un grand sourire et dit :

    « Deux jolies fleurs perdues sur le bord de la route ? J'vous monte où ! Nous demande-t-il.

    « Pa s tout de suite quand même ! » lui répond Katia en rigolant.

    On grimpe dans le camion et nous voilà parti. Katia discute avec lui. Moi je somnole. J'ai des raisons de ne pas trop l'aimer, mais je crois qu'elle jouait le rôle que Madame lui avait assigné. Je ne fais pas attention à ce qu'ils disent, sauf quand j'entends :

    « Si tu nous invites à manger ce midi, la petite te suce! »  

    Là, je suis réveillée.

    « Sérieux? » me demande le chauffeur.

    « Oui Monsieur... »

    « C'est d'accord ! » Dit-il d'un ton enjoué.

     Il va se garer non loin des autres camions sur le parking du resto routier. Katia reste sur le siège avant et Amed, le chauffeur, m'invite à passer derrière sur la couchette.

    « Déshabille-toi ! » me dit-il.

    Il me caresse les seins, me met un doigt dans la chatte et constate que je suis prête à accueillir un visiteur. Son sexe se dresse devant moi. Je le prends en bouche.

    Katia nous regarde et lui demande :

    « Elle suce bien? »

    « Comme une vraie pute! », dit-il.

    « Tu sais qu'elle se fait bien enculer aussi ! »

    Amed n'en croit pas ses oreille et moi non au passage.

    « Lasie, mets-toi à 4 pattes et laisse le te prendre le cul ! »

    Pffff... Je me mets à genoux, le front sur mes mains croisées et je tends mes fesses.  

    « Oh, elles sont toutes rouges! », dit-il.

    « Elle n'a pas été sage! » répond Katia.

    Je sens son sexe pousser sur ma rosette. Surtout ne pas me contracte, quand il va me pénétrer.

    « Allez Amed ! Encule cette chienne ! »

    Oooooouuuccchhhhhh!!! Son sexe m'empale et machinalement, je lui demande :

    « Doucement s'il vous plait Maître ! »

    Il me baise à grands coups de reins, ses couilles viennent claquer sur mes fesses. Je reste prudente dans la façon de m'offrir, car son sexe est un gros modèle. Katia s'en aperçoit et me dit :

    « Cambre toi mieux petite conne et participe! »

    Je réponds à ces coups de reins. Katia glisse sa main sous moi et me titille le clito. On monte ensemble, son sexe gonfle dans mon cul, tandis qu'un orgasme fulgurant monte en moi. Je sens son sexe m'inonder et je joui en même temps.

     

    On reste un peu en connexion, puis il se retire. Amed dit :

    « Vous avez des drôles d'amusements, les filles! »

    « Ça t'a plu? » demande Katia.

    « Ba oui forcément deux salopes comme vous ! »

    On se rhabille et on reprend nos places sur le siège avant. Je dis à Katia :

    « J'voudrais aller aux toilettes ! »

    « Pour pisser? » demande t-elle.

    « Non c'est le sperme qui me donne vraiment envie de faire la grosse commission ! »

    « Ben non! Ton Maître te fait l'honneur de jouir dans ton cul et toi tu voudrais l'expulser le plus vite possible? »

    Amed s'y met lui aussi et me dit en riant :

    «T'as qu'à serrer les fesses! »

    On arrive dans le resto routier. Nous ne sommes pas les moins regardé. Je regarde Katia avec des yeux suppliants.

    « Qu'est ce que vous avez à faire cette tête?", demande-t-elle agacée.

    Je mets une main sur mon ventre.

    « Je dois aller aux toilettes, je vous en prie… ! »

    Elle me fait un signe de tête… Ouf! J'y cours. Après avoir mangé, il nous donne son adresse à Paris.

    « Merci on passera sûrement te voir, dans le courant du mois prochain. »

    « Tu fais comment pour vivre ? » demande Amed à Katia.

    « j'ai Lasie. Je la loue et la fais travailler! »

    « Ça te plait de te faire utiliser comme ça ? » me demande Amed.

    Je fais un timide « Oui Maître. »

    Amed veut en savoir plus.

    « Tu lui fais vraiment faire ce que tu veux? »

    « Oui, elle m’obéis sans poser de question. Sinon c'est le fouet ! J'vais la faire travailler, genre, poser pour des photos de cul ou travailler dans un peep show. »

    « Oh putain cette idée me fait rebander, mes salopes ! » dit Amed.  

    Amed nous dépose à une sortie d'autoroute et nous refaisons du stop. Une voiture s'arrête.

    « On va à St Estéphe Monsieur ! »

    On arrive devant un château entouré de vignes.

    « On va faire les vendanges. Ici on ne viendra pas nous chercher! », dit Katia.

    Je comprend d'un coup que c'est elle et Madame qui sont recherchées. Derrière le château, on va se présenter au contremaître. Il prend nos noms, vérifie nos âges, c'est Katia qui a ma carte d'identité. Le contremaître appelle deux jeunes gars pour qu'ils nous fassent visiter. Ils sont sympas. Ce sont des étudiants comme pas mal de jeune qui sont ici. Les dortoirs ne sont pas luxueux mais ça nous convient. Peu de temps après, à 19 h, c'est le repas. Sympa aussi, il y a des jeunes qui viennent de tous les coins de France. Le vin est à volonté et l'ambiance décontractée. Le lendemain à 6 h, un réveil sonne. Toilette sommaire et commune.

    Petit déjeuner rapide et on attaque les vendanges.  

    C'est crevant. Je vois Katia qui discute avec le contremaître qui semble intéressé par ses propos.

    Le soir permet de décompresser, mais je ne pense qu'à une chose ; dormir.

    Elle me dit :

    « J'vais travailler dans les bureaux. Toi, tu fais ton boulot convenablement et je te dirai quand on repart. »

    Le lendemain, alors que je coupe mes grappes de raisin, soudain, je ressens une vive douleur au mamelon. J'ai coincé une guêpe entre mes seins et elle m'a piqué.

    « Saloperie!! j'ai été piqué ! » Un garçon accourt. Je lui montre sans pudeur l'endroit et le voilà qu'Il se met aussitôt à genoux et me suce le sein.

    "Oh! Merci de m'avoir sucée!", je lui dis et je l'embrasse à pleine bouche pour le remercier.

    Sa bouche sur mon téton m'a émue et lui aussi manifestement.  Après ça, il me demande à plusieurs reprises si ça va. On échange des regards chargés de messages. Ben oui, un garçon qui vous suce, ça crée des liens. Le soir, je lui dis :

    « Tu veux me rejoindre… ? »

    Une fois qu'on a éteint, il vient dans mon lit. Il se colle à moi. Sa peau contre la mienne c'est très excitant.

    « Fais ce que tu veux de moi ! »

    Il me fait l'amour tout doucement. Je me laisse faire. Je joui comme dans un rêve humide.

    On passe les deux nuits suivantes, ensemble. La nuit, on fait l'amour sans bruit pour ne pas réveiller nos voisins. Il me pénètre au plus profond. Mmmmm, c'est exquis. On joui, silencieusement, bouche contre bouche, mélangeant nos salives et nos humeurs intimes.

       

    Mon amant doit repartir et reste seule avec mon blues. Je n'ai plus la pêche et le contremaître, vient, lui même, m'engueuler. Le chef me prend fermement par les cheveux et m’emmène jusqu'au groupe de filles, ravies de me voir ainsi malmenée.

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