• Les dessous de Michèle 15

    Vous allez me dire, ce n'est pas glorieux de se retrouver en position de soumission présentant son ventre ou le plus souvent, sa croupe au mâle dominant. Assurément, mais ma destinée est ainsi.

     

    Une foi à Casa, Aziz a des projets pour moi. Au marché, Aziz m'achète une tunique Berbère fendue sur les côtés. Elle est faite d'un tissu léger bleu. Normalement on la porte au dessus d'un pantalon bouffant et d'une chemise, mais moi je suis nue dessous. Je me change dans le fond de l'échoppe sous les yeux d'Aziz, de Henri et du marchand.

    « Comme ça, tu ne ressembles plus à une pute occidentale… ! » Dit Aziz en riant.

     En tout cas, ça lui plait, car dès qu'on est à l'hôtel, il trousse la tunique et me prend en levrette sur le lit. Henri attend son tour, ravi de plonger son sexe dans mon vagin plein du sperme.

    C'est pas mal les tuniques Berbères pour chauffer les mâles.

    « Je vais vous emmener dans un Riad. » dis Aziz.

    Nous sommes accueillis par une femme d'une trentaine d'années. Aziz, Henri et elle se salue en arabe :

    « Salam aleikoum", "Aleikoum salam".

    Moi, je compte pour du beurre. La jeune femme s'appelle Norah. Elle leur propose de s'asseoir et va chercher des bières.

    « Enlève ta tunique ! » Me dit Aziz.

    Norah revient. Je suis nue. Elle dit aux hommes en me détaillant :

    « Mignonne la femelle ! »

    Je lui souris timidement, pas facile de savoir quelle contenance prendre. 

    Ils discutent et boivent les bières. Moi, je suis nue devant eux comme une statue.

    « Tu as soif? », me demande Norah. 

    « Oui, Madame. » 

    Elle me tend sa bouteille. 

    « Demain, on filmera les préliminaires… »

    « Quels préliminaires, Madame?? » 

    « C'est une surprise !Tu verras bien assez tôt! » Dit Norah.

    J'ai les jambes qui tremblent. Aziz et Henri s'en vont et me laissent seule avec Norah en me promettant de venir me rechercher rapidement. Je me demande ce qu'ils trafiquent tous les deux. Le deux chiens de Norah, Rex et Prince. Me renniflent le minou et le cul en remuant de la queue. Norah leur ordonne :

    « Laissez-la! Allez jouer!! »

    Le soir, Norah reçoit des invités et je dois faire le service. Je suis nue sous la tunique berbère que Aziz m'a acheté. Lors du service, je case une bouteille de vin.

    « Maladroite! », hurle Norah.

    Je n'ai pas beaucoup d'espoir d'échapper à une punition.

    « Enléve ta tunique et met les mains sur la tête ! Messieurs cette idiote est à vous ! Faites en ce que vous voulez ! »

    Je suis nue devant cet assemblée qui me regarde avec désir de façon obscène. Je transpire, la sueur coule de mes aisselles sur mes flancs. Je suis palpée, pincée, des claques atterrissent sur mes joues, mes, seins, ma chatte et mes fesses. Je serre les dents pour ne pas leurs le plaisir de mes cris et gémissement.

    « Il suffit messieurs ! Vous allez la faire jouir à se rythme ! Tu feras plus attention? »

    « Oui, Madame. »

     

     

    Le lendemain, toujours nue, Norah m'ordonne d'aller jouer avec les chiens sur la pelouse pendant qu'elle déjeune. Les chien me font la fête. Ils me sautent dessus, me pousse, je suis un peu dépassé, là. Je regarde Norah qui me sourit. Il suffirait d'un mot d'elle pour qu'ils se calment.

    « Ils sont gentils, hein? Ils t'aiment bien ! »Me dit-elle.

    « Un peu trop, Madame, dites leur de se calmer ! »

    Ils me bousculent si bien que je suis déséquilibrée et me retrouve à quatre pattes. Je crie :

    « Noooooon!! Arrêtez!! »

    « T'es vraiment une grosse chienne en chaleur !! » Dit-elle. 

    On frappe alors à la porte. C'est Aziz et Henri. Je suis très contente de les voir.

    « Alors tu t'es bien faite défoncée comme une chienne en chaleur ? »

    Ils n'attendent pas ma réponse et disent à Norah :

    « On vient chercher la chienne ! On part vers le sud. »    « Mais vous êtes chiants ! J'avais des projets avec elle. Ca ne m'arrange pas du tout ! »

    « On te demande pas ton avis Norah ! Sache rester à ta place sinon !!!! » dit Aziz.

    Henri m'attend déjà dans la voiture.

    Norah dit à Aziz ;

    « Où est la caméra? »

    « Henri l'a prise, c'est la sienne. »

    « J'ai fait un film, hier, il me faut une copie ! »

    « Non ! T'es vraiment trop exigeante pour une femelle ! On réglera ça au retour ! »

    Norah, folle de rage, appelle les chiens :

    « Rex! Prince! ATTAQUEZ!! »

    On grimpe et on ferme les portière, juste à temps.

    « Quelle folle ! Elle ne perd rien pour attendre. Sa punition sera sévére, très sévére ! » Dit Aziz.

    Ils ont loué une Toyota 4X4. Aziz m'explique :

    « On va vers le sud… Ce ne sera pas un voyage de tout repos, mais après ça, on se paiera du bon temps. T'as pas peur de l'aventure? »

    Crâneuse, je lui répond :

    « Après ce que je viens de subir,j'ai peur de rien…A part les chiens méchants! »

    « T'as eu des problèmes avec Norah? »

    « A part me faire mettre par ses chiens, non pas trop ! »

    « OK, t'as pas oublié que tu dois être très obéissante avec nous ? »

    « Oui,  j'obéirai au doigt et à l'œil, comme une bonne chienne ! »

    Ils rigolent.

    « Pour l'heure, on va t'acheter des vêtement plus adapté pour le désert et l'aventure ! »

    Nous nous rendons dans un magasin style stock militaire et me voilà transformée en « indiana Jones féminin ». Je me regarde dans un miroir et franchement je me trouve pas mal du tout.

    Aziz dit à la vendeuse :

    « Il lui faudrait peut-être un soutien-gorge car en tout terrain sa poitrine va souffrir ! Montre tes mamelles à la demoiselle, Lasie ! »

    Je soulève mon tee shirt en soupirant. La vendeuse observe mes nichons.

    « j'vais voir ce que je peux faire pour vos énormes trucs ! » dit la vendeuse d'un air dédaigneux.

    Véxée, je referme ma veste en lui lançant :

    « Les miens sont naturels eux au moins ! »

    Elle se retourne en rigolant et en ouvrant sans complexe sont décolleté:

    « Les miens aussi jeune fille ! »

    Ooops! Aziz semble contrarié de ma réflexion mais n'en jette pas moins un regard intéressé sur la poitrine de la vendeuse.

    « Mets les vêtements et file m'attendre dans la voiture salope! »

    Je pousse un gros soupir et rejoint Henri dans le Land Rover.

    Quand il revient, il me dit :

    « C’est quoi cette réflexion à deux balles envers la vendeuse ? »

    « Elle a dit que j'avais des grosses mamelles ! »

    « Et alors, c'est vrai! Tu auras l'occasion de t'excuser plus tard ! On passe la nuit chez elle. »

    Génial, j'en rate pas une moi. J'me fais une ennemie et on passe la nuit chez elle...Super génial !!!  

    L'après-midi, Aziz et Henri sont à mes petits soins. Bon, j'en profite car je sais que je vais être punie de mon insolence ce soir. Nous roulons jusque sur une plage où nous mangeons dans un petit resto.

    « On irait bien se baigner après manger ? » demandais-je.

    va acheter des maillots", me dit-il.

    La plage est déserte. Nous ôtons nos vêtement et nous voilà entrein de nous ébattre dans l'eau. Rapidement, les jeux tournent au jeux de mains et les deux hommes me pelotent copieusement. Je finis évidemment avec une queue dans la bouche et l'autre dans le minou. C'est trop bon d'être baisée ainsi dans la mer. Je joui sans relâche et au bout d'une dixaine de minutes les deux mâles se déverse dans ma bouche. Le sperme à un goût plutôt agréable avec l'eau e mer. J'avale avec un plaisir non caché.

     

    Le soir, on passe prendre Samira, la vendeuse, au magasin. Aziz s'est installé à l'arrière avec Samira. Je jette un coup d'œil dans le rétro. Ils se pelotent et s'embrassent. Nous arrivons rapidement chez la vendeuse.

    Dés arrivé chez elle, Henri ouvre le jean de Samira et lui malaxe la motte. Aziz lui tripote les seins par dessus son top. Elle ondule en gémissant et en me regardant droit dans les yeux. Une sorte d'envie et de jalousie monte en moi. La salope voit bien ma réaction et elle glousse tout en gémissant sous les caresses de mes deux hommes. Je les regardent d'un air furieux.

    « On va s'occuper de toi aprés Lasie ! » Dit Yazid.

    « Merci Maître. »

    « Elle t’appelle Maître ? Comme c'est amusant ! » Dit la vendeuse.

     En m'adressant la parole, elle m'ordonne :

    « Enlève ton pantalon et ta culotte ! Demande moi pardon et combien de claques tu vas recevoir pour ton effronterie ! »

    Je me déshabille et je me mets à genoux devant elle.

    « Pardon, Mademoiselle, ne me punissez pas trop durement s'il vous plaît ! 10 coups par fesse Mademoiselle ? »

    La salope a un rictus malsain. Elle regarde Henri et Aziz comme pour avoir leur approbation. Mais au moment où elle va commencer la fessée, elle est intérompu par Aziz.

    « Au fait Samira, la question déplacée de Lasie reste en suspend. Maintenant, elle a peut-être raison ! As-tu vraiment des seins siliconés ?Il faut vérifier. Montre-moi tes nichons ! »

    « C'est elle qui mérite une fessée. Regarde ça Henri ! Que du faux au contraire de Lasie ! »

    Aziz nous fait mettre face à face et nous tâte comme on palpe une vache au marché. Samira est anxieuse.

    « Alors ? Qu »n penses-tu Henri ? »

    « Sans aucun doute les nibards de Samira sont du pipeaux ! »

    Il les caresse à sont tour.

    « Ils sont super beaux mais super siliconnés ! »

    « Donc tu mérites une fessée à la place de Lasie. »

    J'ai ma revanche et je souris discrètement de peur que les mâles changent d'avis. Elle demande à Aziz :

    « C'est une fessée pour rire ou une vraie punition?? »

    « Tu veux te rendre compte?? Tends tes fesses! »

    Elle présente, complaisamment sa croupe ronde, mais Henri intervient :

    « pourquoi lui donner une fessée alors qu'elle nous trompe avec ses seins ? »

    « T'as raison Henri ! » 

    Aziz lève la main et frappe son sein droit. Le fausses mamelles de Samira balotent sous le coup et surprise elle crie :

    « Aiiiie ! Mais t'es dingue ! Pas sur les seins !  Mais ça fait vraiment mal! »

    « Je n'ai pas frappé fort. » Dit Aziz.

    Elle se frotte le sein en grimaçant. Henri prend le relais avec une claque sur son seins gauche en disant en rigolant :

    « Celui-ci était jaloux ! »

    « Aiiie ! Salops !! C'est Lasie qui devait manger pas moi ! »

    « Ben ça, c'est nous qui décidons ma grande ! »

    Le deux homme se mettent alors à tour de rôle à lui claquer les seins sans écouter les plaintes de la pauvre Samira dont les mamelles rougissent au fur et à mesure des coups.

    Samira se frotte les seins en sanglotant.

    « Lasie! Va t'excuser maintenant avec la langue ! Fait jouir Samira ! »

    Les deux hommes s'amusent avec nous comme avec deux poupées. En fait pour moi la punition est douce et c'est avec bonheur que je léche et suce le clito de la vendeuse. Pour mettre du piment à l'affaire, mes deux salops se mettent à me fouetter les fesses jusqu'à ce que Samira hurle son plaisir et coule dans ma bouche. Ele leurs dit :

    « Lasie a une langue plus douce qu'un gant de toilette. »

    J'ai le visage mouillé de larmes qui se mélange à ses sécrétions. Ses cuisses frémissent son bassin fait un mouvement de haut en bas, comme mes fesses sous la fessée.

    Henri dit à Aziz :

    « Samira a un cul presque aussi tentant que La sie ! Trempée et chaude comme elle est on doit être bien à deux dedans ! »

    Aziz éclate de rire.

    « T'as raison l'ami, ne la laissons pas refroidir ! »

    On me repousse brutalement et les deux mâle se mettent à enfiler la pauvre Samira à peine remise de son orgasme. Ils la baise comme des soudards. Ses seins ballottent dans tout les sens. Et moi qui me baise???

    Je regarde, frustrée la scène en me masturbant. Au bout d'un moment, trois cris de jouissance retentissent. Je les regarde jouir ensemble… Gémissements, soubresauts des corps enlacés.

    Elle dit :

    « Aaaah... oui… Vous m'remplissez biiiien !!! »

    Quelle salope cette Samira! Un dernier coup de reins au plus profond d'elle et Aziz se retire. Henri reste encore un instant au chaud dans sa chatte. Aziz se tourne vers moi et dit :

    « Nettoie ma queue salope! »

    Je vais rapidement me mettre à genoux devant lui et prends, son sexe en bouche, il a le goût de sperme et de cyprine. Une foi propre, c'est au tour de celle d'Henri. Samira qu'en à elle et restée debout chancelante, cuisses écartés. Du sperme s'écoule de sa chatte et de son cul formant un long filé blanchâtre qui s'écoule vers le sol.

    DSC_3113.jpg

    Il y a une bulle qui sort de sa chatte, mélange de sperme et de sécrétions.

    « nettoie Samira maintenant ! »

    Samira se penche pour me regarder faire. Voilà, j'ai tout nettoyé. "Je vais même jouer avec toi, prends une banane et viens ici".

    Samira , une foi nettoyée par mes soins reprend les rênes.

    « Lasie ! À quatre pattes! Qu 'on voit bien tes fesses ! »

    Je me cambre. Elle prend une grosse banane et elle enfonce le fruit dans mon vagin détrempé.

    « C'est bon, petite chienne ? »

    « Oh oui, merci Mademoiselle ! »

    Je m'abandonne à Samira et au fruit. Henri et Aziz applaudissent.

    Épuisée, je demande si je peux prendre une douche.

    « Oui bien sûr et je vais la prendre avec toi ma chérie. » Me dit Samira

    Henrie et Aziz nous regardent en voyeur et admire le spectacle qu'on leur offre sous la douche.

    Après une nuit de sommeil bien mérité, on dit au revoir à Samira et en route pour de nouvelles aventures. J'ai un mauvais pressentiment. Je me doute qu'on transporte des trucs pas très légaux. On roule vers le Sud. On arrive à la frontière du Sahara Occidental. Aziz montre nos papiers aux soldats, tout est en ordre. Après avoir roulé des heures, un barrage de rebels!

    « Oh putain!! » Dit Yazid.

    Il fonce et contourne le barrage. Je me retourne morte de peur et je vois une Jeep qui nous prend en chasse. Il arrive à la semer. En arrivant près d'un marché, il y a des embouteillages. Henri et Aziz saute du 4x4 en criant :

    « Courez!! Dans le marché, on pourra se cacher!! »

    Mais ma ceinture s'est bloquée et je reste coincée dans la voiture. Mais pourquoi ? Quelle conne d'avoir attaché ma ceinture ! Impossible de l'ouvrir ni de m'extraire. La Jeep arrive. Terrorisée, je ne bouge plus. Je lève les mains. Des black armés jusqu'au dents, en treilli, m'entourent en gueulant. Je suis prisonnière de ma ceinture de sécurité comme un animal pris au piège. Les soldats rebels gueulent des trucs que je ne comprends pas. Il y en a un qui brandit un couteau. Il coupe,  la ceinture de sécurité.

    Il me sort de la voiture par les cheveux et me met des menottes dans le dos. Puis ils me balancent par terre à l'arrière de leur jeep. Deux soldats viennent s'asseoir et posent leurs pieds sur moi. Après un long trajet en voiture, on s'arrête, enfin. Les soldats me sortent de la Jeep. J'ai mal partout. Je suis éblouie par la lumière. Un soldat me conduit dans une sorte de fort bati au milieu du désert. On entre dans un baraquement. À l'intérieur, il y a un homme derrière un bureau. Je pense malgré ma peur, à ce que je vais dire..... je suis une auto-stoppeuse en vacances… etc....

    L'homme raccroche le téléphone, fait un signe au soldat. On m'enlève les menottes. Je masse les marques rouges  sur mes poignets endoloris.  L'homme me dit séchement dans un français correct :

    « Déshabille-toi! »

    Je ne demande pas pourquoi, mais je le fais. Quand je suis nue, un de ses collègues lui dit quelque chose en arabe. Il me dit :

    « Tourne-toi. »

    J'ai encore quelques traces de fouet sur les fesses, souvenirs de la punition d'Aziz.

    « T'as été battue? »

    « Oui, Monsieur. »

    « Pourquoi? »

    « J'ai été insolente avec une vendeuse. »

    Il prend mon passeport.

    « Michèle Pouchin. Française. T'es consciente que tu risques gros en faisant du trafic de drogue? »

    « Je..Je l'ignorais Monsieur ! J'étais leur jouet ! Il m'utilisaient mais...Mais je ne savais pas ce qu'ils trafiquaient ! Je vous le jure, je l'ignorais. Je recevais des gifles si je posais des questions… »

    Il écrit tout ce que je dis.

    « Bon, raconte-moi tout, depuis ton arrivée et ne mens pas sinon la punition sera sévère ! »

    J'invente une histoire, j'étais en vacances et je voulais visiter la région, je me suis dit que j'allais faire du stop. J'ai été prise par deux hommes.

    Je ne vais pas balancer, mes amis. Puis avec un peu de courage, je demande :

    « Je voudrais appeler mon consulat, je crois que ce que vous faites n'est pas légal. »

    Omar se met à rire, les autres l'imitent.

    « Idiote ! Où crois-tu être ? Ici c'est moi la loi ! Ici, c'est moi qui ai le droit de vie et de mort ! Ici tu n'es qu'une chienne d’infidèle ! Tu es chez les rebelles !On va devoir être moins gentils avec toi ! »

    Il prend son téléphone et dit :

    « Envoie-moi l'électricien ! »

    J'essaye encore en supliant :

    « Je ne sais rien Monsieur, je vous le jure. »

    « Tu mens! Chienne ! »

    l'homme qui entre traîne un fauteuil, genre chaise électrique. Ils me mettent sur la chaise, attachent mes poignets et mes chevilles à des lanières de cuir. La même chose pour le cou. Je crie :

    « Qu'est-ce que vous allez me faire??? »

    On me bourre la bouche avec un vieux chiffon. Je veux leurs dire que j'ai menti. Que je vais tout dire! Mais la seule chose qui sort de ma bouche, c'est, "mmmuufff… mmmuuufff…"  

    Un des soldat pince le bout de mes seins et tire dessus. Quand ils sont bien dressés, il leur met deux pinces crocodile reliées à une dynamo.

     

    « Prète?? » Me dit-il.

    Je fais non de la tête, mais je peux à peine bouger la bouger. l'électricien tourne une manette et une douleur fulgurante me traverse les seins. Mon corps se tend dans mes liens.

    « Combien, chef? » Demande-t-il.

    « Disons encore six décharges. Alterne faible et moyenne puissance. »

    Le courant me traverse à nouveau les seins, moyen puis fort. Je crie dans mon bâillon, mon corps se cabre et se tord autant que les liens me le permettent. Je suis couverte de sueur et mon visage est plein de larmes.

    Après six décharges, le chef dit :

    « Enlève son bâillon, on va voir si cette chienne est dans de meilleurs disposition ! »

    Dés que ma bouche est libérée, je lui crie :

    « Pitiiéééé, Monsieur, pitiiiiéeeee, j'ai menti, je vais… »

    « Tu ne veux pas essayer les réglages plus? »

    « Noooooooooooooooooooonnnnnn!! »

    « OK, alors parle ! Si tu ne me dis pas la vérité, ça va être moins agréable! »

    Alors, je déballe tout ; Henri, Yazid, Norah, Samira… Tout… même les chiens… Mon auditoire est super attentif. L'officier me dit :

    « On a regardé le film de toi avec les chiens. »

    Putain! C'est vrai, la caméra!!

    « On m'a obligé de faire ça Monsieur. Je vous jure ! »

    « Pour quelqu'un à qui on oblige une telle déchéance, t'as l'air d'aimer ça ! »

    A ce moment là, la seule chose qui compte pour moi c'est de me sortir de ce guêpier là.

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