• Les dessous de Michèle 16

    « Voici ma décision. Pour complicité de trafic de drogue et zoophilie. 50 coups de fouets sur la place publique et 1 an de prison !  Tu seras fouettée en public, demain. »

    Je craque, le fouet et la prison dans les geôles de ce pays ça peut être terrible. Je me mets à pleurer et je crie pitié.

    « Huuum ! Mouai, et bien ok. Pas de prison mais tu feras ta peine au mess, ça plaira aux hommes d'avoir une serveuse comme toi ! »

    Je suis un tout petit peu rassurée.

    « Tu vas commencer de suite par nous servir ! Apporte donc nous des biéres et tu nous sucera pendant qu'on la déguste. »

    Je suis toujours nue et effectue les service pour ne pas les contrarier.

     

    « Voilà, Messieurs, pour la deuxième partie de la commande, je commence par qui? »

    Le chef me dit :

    « Moi… ! » Je me mets à genoux en partie sous la table. Je pose mes mains sur sa braguette et je descends la tirette. Il se soulève et m'aide un peu. J'embrasse ses couilles avec passion, puis je les mordille, pas trop fort. Son sexe est déjà tout congestionné, il fait des petits bonds d’impatience… J’embrasse la… hampe  jusqu'au gland que je couvre de coups de langue, en insistant sur le frein… Je fais frétiller le bout de la langue dans le méat tout mouillé. J’arrive à prendre toute la longueur du sexe jusqu’à ce que le gland vienne me chatouiller la luette. Je m'applique, ma bouche va et vient. Je ralentis par moments… Je dois faire un sans faute. Je sens qu'il va jouire. Ma bouche se remplit de sperme par saccades. J'avale tout. Pas une tache. Je suis une fille très bien élevée, enfin en ce qui concerne suçage d'une bite! Il me caresse la joue.

    « Tu feras une bonne serveuse. »

    J'ai l'impression que le mess doit surtout faire bar à putes à soldats…    

    Je passe à la suite de la commande. Le sergent Garcia sort un gros sexe circoncis. Il caresse ma tête pendant que je le suce en me disant des trucs du genre :

    « Belle pute... Chienne de blanche !!! »

    Des mots gentils quoi. Heureusement, il est rapide. Il jouit et j'avale tout! J'ai quand même mal aux mâchoires, et puis tout ce sperme c'est un peu… écœurant.

    Je passe à un blanc qui ressemble à un Irlandais. Lui veut une sodomie. Je me penche sur une chaise et je lui tends mon cul en écartant mes fesses avec les mains. Il pose son gland contre mon anus… Faut que je me décontracte!! Il me prend par les hanches me pénètre d'un coup. Il meet baise rapidement. Je donne des coups de reins pour qu'il pénètre à fond dans mon cul. Il faut que je leur plaise. Alors, une foi qu'il s'est répendu en moi, je me mets à genoux et je lèche son sexe qui vient de sortir de mon cul.

    J'ai droit à un, "Bravo!!", du chef. Mon Irlandais me gratifie d'un :

    « Quelle salope!!Couche-toi sur la table la chienne ! »

    Il veut me lécher!! J'aime pas bien ça. Les autres me regardent très intéressés. Il sait lécher et, même après avoir reçu des décharges électriques dans les nichons, ben, mon tempérament est toujours là! Sa langue va et vient sur mon clito et le traître me fait en plus la pince de crabe, un doigt dans le cul, deux doigts dans la chatte. Du coup, je me retrouve presque à faire le pont et je cris

    « Oh oui, oh oui oh ouiiiii!! »

    Je me relève péniblement. J'ai mal au cul, un goût… amer en bouche, l'estomac et le cul plein de sperme, mais j'ai fait au mieux.

    Je demande au chef :

    «Je peux avoir un peu à boire, s'il vous plait, Monsieur ? »

    « Prends une bière et des trucs à manger. »

    Chouette! que demander de plus? Enfin dans ces circonstances-là!

    « On va te conduire dans une cellule. Demain, fouet ! »

    Il appelle le soldat qui est dans la pièce à côté :

    « Boucle cette chienne ! Tu peux faire ce que tu veux avec ! »

    Le soldat me conduit dans une cellule. Je suis toujours nue, je n'ai pas pu remettre mes vêtements. Je tente de dormir tant bien que mal en pensant à la punition de demain.

     

    Le lendemain après-midi, le garde vient me chercher.

    « C'est l'heure du spectacle!! » Me dit-il en riant. 

    On va dans une pièce où le garde me dit ;

    « Attend ici, Mohamed va arriver ! »

    Je suis toujours nue et J'attends, une grosse boule dans la gorge, l'estomac serré, envie de gerber le déjeuner pas très copieux que j'ai eu à midi. Enfin, la porte s'ouvre sur un basané, balafré.

    « Tu va être fouettée ! »

    Je suis le gars dans la cour du fort. Il y a des dizaines de soldats qui sont là pour se régaler du spectacle. Ils applaudissent et ils sifflent quand on passe au milieu d'eux. On arrive devant une sorte d'estrade où pend une cordes. Je suisnue, debout devant ces hommes qui n'ont qu'une envie, me sauter. Je remarque les officiers qui sont assis devant. Il y en a qui font des photos ou qui filment. Quand tout le monde semble là, l'officier qui m'a interrogée fait un signe. Mohamed m'attache les poignets au moyen de solides lanières de cuir. Quand c'est fait, Mohamed me donne une bonne claque sur les fesses. Je me balance en geignant, les soldats applaudissent.

    Il va chercher le fouet. Attachée de cette façon, toute la tension est dans les épaules. Elles me font de plus en plus mal, d'autant plus qu'il me balance encore, à la grande joie des spectateurs. Quand il a assez joué, il lève le fouet et l'abat sur mes fesses. "OUCH!!", une violente brûlure me traverse les fesses et une clameur monte de la foule. Je crie "Aaaaaahhhhhh!!". Mon visage se crispe. Mes épaules me font mal, mes fesses encore plus. Il frappe maintenant, mes cuisses, mes mollets, je léve les jambes en les écartant. Il en profite pour nous frapper entre les cuisses et les lanières claquent sur mon sexes, ce qui amène des "hourrahs" et des bravos des spectateurs. Ses coups deviennent moins forts, mais ils sont tout aussi douloureux. Mes seins ne sont pas épargnés. Je suis couvertes de marques.

    Mohamed arrête sous les ordres du chef. Enfin c'est fini. Il fait redescendre la corde. Je me retrouve sur debout, toutes tremblantes, les épaules en feu, le reste aussi.

    Le chef lance :

    « Au mess maintenant ! ! »

    Mohamed me détache et en profite pour m'enfoncer ses doigts dans ma chatte en feu et me dit :

    « Ça va Michèle ? »

    « Salop !Ça va!?! J'vis un enfer!!! »

    Il rigole. Un soldat vient me chercher et m'amène au mess. Je remarque une gravure au mur qui représente une esclave fouettée devant son maître. C'est la spécialité du fort dirait-on!

     

    En fait de mess, c'est un bordel pour les soldats. On se dirige vers la cuisine où 2 filles sont assises avec un soldat et discutent.

    « Pour commencer, tu fais la vaisselle ! »

    Il y a un monceau d'assiettes sales dans l'évier.

    Une arabe entre. Sans mot dire, elle vient me tâter les seins comme si c'était des melons. Elle suit les traces rouges laissées par le fouet. Je me raidis.

    « Je vois que Mohamed ne t'as pas ménagé ! C'est toujours la prison ici, il faut obéir sinon tu seras punie ! »

    « Oui, Madame. »

    « Comment tu t'appelle ? »

    « Michèle Madame. »

     

     

     

    Le repas du midi arrive. Je fais le service dans la tenue d'Eve. Bien évidemment les mains sont baladeuse et même parfois inquisitrices. Je fais tomber un peu de semoule en servant un soldat. Il me dit :

    « Présente tes fesses! »

    Je me tourne et tends les fesses. Il me donne un coup de stick qui se trouve sur la table. Je crie en m'excusant. Les autres rigolent. Il n'a pas frappé fort, mais avec mes fesses couvertes des marques du fouet, elle restent sensibles. Parfois, en faisant le service, certain en profite pour me baiser.

     

    Quand ils on finit de manger, les restes sont mis à ma disposition dans une gamelle par terre. Je n'ai pas de couvert et je dois manger à 4 pattes. Quand j'ai tout mangé, la patronne du mess dit :

    « C'est bien. Va chercher une bouteille de raki et des dattes à la cuisine. »  

    Je me dépêche et reviens. Je sers l'alcool dans les petits verres, en faisant super-gaffe de ne pas renverser. La patronne boit avec quelques soldats en mangeant des dattes. Elle me dit :

    « Viens ici et met toi à genoux ! »

    Je me précipite. J'ai une idée de ce qu'elle va faire. Elle sort une demi datte mâchée et me la tend entre deux doigts. Je la prends avec la bouche et la mange. Ça plaît aux soldats qui font la même chose. Aprés m'avoir bien utilisé et pris encore quelques doses de sperme, on me ramène dans une sorte de geôle commune.

    Plusieurs filles sont là, nues comme moi. On est toutes là pour des affaires de drogues ou de prostitutions. Les quatre autres filles sont jolies, bien sûr, c'est pour ça qu'elles ont été choisies par ces soudards. Il y a deux Anglaises, une Italienne, une Métisse et une Black. La plus jeune a 18 ans et la plus âgée la trentaine. Nos tortionnaires adorent nous humilier et même si on obéit, ils nous punissent. Comme ils disent en rigolant, Si je ne sais pas pourquoi on te punit, toi tu le sais !

     

    Le matin, on se lève. On va à la douche. Ca fait du bien malgré le passage au jet d'eau. J'ai vraiment envie de faire pipi et je ne suis pas la seule à me tortiller. On sort à la queue leu leu vers l'extérieur du fort. C'est là qu'il y a une tranchée. Il y a déjà des soldats pantalons baissés la queue en main qui attendent le spectacle. On se met en rang et on se met à pisser devant les soldats qui rigolent de nous voir ainsi humiliées.

     

     Les spectateurs qui nos entourent sont de plus en plus intéressés. Il y a des sifflements et des bravos. J'en remarque un qui ne me quitte pas des yeux, c'est celui qui m'a fait parler des chiens. C'est très humiliant de faire ses besoins devant tant de spectateurs. À ma grande honte, je dois dire que,  je trouve très agréable de m'exhiber et être humiliée ainsi. Le grand type qui le premier jour m'a fait parler des chiens, vient m'embrasser. Personne ne bronche. Il a l'air de faire peur à tout le monde. Il me dit :

    « On s'verra ce soir ! »

    « Avec plaisir, chef. »

    Toute la journée, on est enchaînée, nues, et devons creuser des trous et en reboucher d'autres sous le soleil. Le tout sous les coups de fouet des gardes. Leurs grand plaisir est de nous humilier. Ils aiment nous fesser, nous baiser ou se faire sucer.

     

    A la pause seulement, on peut se soulager dans la cour, toujours devant des spectateurs qui nous encouragent. Je m'en fous, moi des voyeurs.

    Le midi, après le service au mess, la patronne nous fait une annonce laconique et surprenante.

    « Demain, Michèle ne sera pas fouettée ! »

    J'attends la suite avant de me réjouir. Elle continue :

    « Il va y avoir, journée porte ouverte ! Il y aura des invités et des attractions. Il a été décidé que les invités et les détenus mâles pourront se vider les couilles ! » Elle rigole comme une bossue de voir nos têtes.

    On se regarde en faisant la grimace. On va avoir une indigestion de sperme. Le soir, comme prévu, je passe la nuit à me faire sauter et a sucé le grand black qui a jeté son dévolu sur moi. Heureusement que j'ai l'habitude de prendre des grosses queues car la sienne est monstrueuse.

    Le lendemain matin, je suis explosée et anéantie par cette nuit de défonce. Mais on doit tout nettoyer pour les visites de l'après midi. À quatre pattes, on nettoie et si nous n'allons pas assez vite, on reçoit des coups de badines sur les fesses. Des visiteurs sont déjà là et s'amusent de nos positions et nos petits cris sous les coups. Le chef alors nous explique :

    « Nous allons montrer à nos invités que nous soignons bien nos détenus. Mesdemoiselles, voyez vous, les détenus dangereux qui sont derrière les barreaux ont les mains attachées. Alors mettez-vous à genoux devant eux et leurs des pipes ! »

    Il y a des cellules de chaque côté du couloir, des barreaux et des bites qui dépassent. On est saluées par des cris d'enthousiasme. Il ajoute :

    « Vous savez ce qui vous attend si vous ne faites pas ça bien. »

    Je m'agenouille devant un gros homme en uniforme orange et j'embrasse mollement son sexe. Un garde m'envoie un coup de badine à la base des fesses. Je crie,"Aiiiie!!",  et m'empresse de sucer la grosse queue qui m'est présentée.

    « Voilà ! Vous n'comprenez que les coups sur vos gros culs de putes ! »

     

    Il grogne des trucs en arabe. Rapidement, il m'inonde la bouche de saccades de sperme tiède. Sarah et Carolina doivent sucer moins bien que moi, parce que régulièrement, elles se font fustiger les fesses. Carolina est menacée d'une bonne dérouillée, si elle n'avale pas tout le sperme que son prisonnier est sur le point de lui déverser dans la bouche. Il y a des spectateurs qui arrivent. Le chef leur explique, qu'on est des putes prisonnières et que sucer, être baisée, c'est la seule chose qu'on sache faire. Il y a une trentaine de prisonniers dangereux à satisfaire et ça fait beaucoup. Sarah et moi, on n'est pas des oies blanches mais pour Carolina, c'est l'horreur. Elle se plaint et reçoit pas mal de coups de badine. On passe aux suivants. Carolina continue à sucer et à avaler tant bien que mal. Elle est zébrée de coups de badine. Moi, je prends un peu d'avance sur Sarah et j'arrive presque au bout de ma rangée. Les autres prisonniers m'encouragent :

    « Vas y la blonde, t'es la meilleure suceuse ! La plus salope ! T'aimes ça, la bite et le sperme sale chienne ! »

    Non! J'aime pas ça du tout!! Avaler une fois, c'est pas un soucis mais neuf décharges de sperme à avaler, je crois que je vais vomir!! J'arrive au dernier… Ouf! Je vais finir par déborder! Mon dernier est un grand type, l'air pas commode, genre tueur à gage. Je suis contente qu'il soit menotté. Le gardien ramasse un cylindre de billets de banque, américain, avec un mot.

    « Pas de problème. » Dit-il.

    « Présente ton cul Michèle ! Il veut t'enculer ! »

    Mais, pourquoi moi??? Bon, je plaque mes fesses contre les barreaux, les écartes et me cambre pour recevoir le gros chibre du tueur.

    « Bonjour Michèle, je vais t'éclater l'cul ! » Me dit-il dans un grand éclat de rire tout en poussant son nœud sur ma rondelle.

    Je grimace sous la poussée et son membre s'enfonce inexorablement dans mes entrailles.

    « Michèle t'as un cul d'enfer ! »

    Je suis une star chez les prisonniers dangereux!! Il me bourre avec force et dans un cris de bête, il se lâche dans mes fesses.

    Je me relève. J'ai mal au cul et j'ai un sale goût en bouche. J'ai du mal à digérer autant de sperme. Je regarde Carolina. Elle, c'est pire! Ses fesses et ses cuisses sont pleines de marques rouges. C'est sûrement la première fois qu'elle se retrouve aussi sale, marquée, souillée, humiliée.

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