• L'après-midi, Boby me demande de descendre au studio photo. Au moment où j'arrive, un Asiatique entre dans le magasin. Il doit avoir une trentaine d'années, grand, mince, bien habillé et très soigné.

    « Michèle, déshabille-toi. » Me demande Boby.

    Quand je suis nue, l'homme m'examine. Les seins, les fesses, le minou.

    Tout en me caressant les seins, il dit :

    « Il paraît que tu aimes sucer, te faire prendre par tout les trous et que aimes aussi être fouettée ? ! »

    « ... euh... oui, Monsieur... »

    Il s'adresse à Boby :

    « Vous en voulez combien ? »

    « 1000€. » dit Boby.

    « Non, mais ça va pas la tête ! J'suis pas une bête de foire ! »

    L'homme me regarde attentivement.

    « J'envisageais plutôt 500 €. »

    Boby vient près de moi, me prend par la taille et me fait me pencher en avant comme si j'allais être fessée.

    « Elle a un beau cul, regardez. Et ses nibards sont magnifiques ! »

    L'homme me pince le bout d'un sein.

    « Oui ! Je le conçois certe ! »

    Boby cherche un argument.

    « Elle est en parfait état et joui facilement. »

    « Je serais d'accord à 750 » Dit l'homme.

    Je devrais regarder sur ma fesse, pour voir s'il n'y a pas un gros cachet bleu, comme la viande qu'on vend à l'abattoir!!

    Le gars règle son achat et on part.

     

    Sa voiture, une Toyota 4X4 est garée devant. En fin d'après-midi, Ahn, me dit :

    « J'ai envie de te baiser avec mon fils, Michèle ! »

    Je me déshabille. Zaïm vient me renifler le cul... Puis, on se fait des bisous, suivi des préliminaires, genre ma langue, sa bite... enfin vous voyez... Tout normal quoi. Ça plait à Ahn. Au bout d'un moment, il se déshabille, se couche sur le dos et me dit :

    « Met toi sur moi en 69 ! »

    Bon, ok. Je me couche sur lui, ma chatte sur son visage.

    « Zaïm, Monte-la ! »

    Pas besoin de lui faire un dessin! Je sens son sexe gonflé le long de ma fente. Ahn le prend en main et l'enfonce en moi.

    « Huuum oui !!! »

    J'imagine les couilles de son fils sur le visage de mon partenaire. Avec Zaïm, pas besoin de participer activement, c'est lui qui donne le rythme et c'est un rythme très rapide...

    Quand son sexe gonfle en moi... c'est irrésistible! Je commence à jouir. Je sens son sperme envahir mon vagin qui s'offre à lui. Voilà, il a lâché son sperme au plus profond de moi. Quand il se retire, ça fait "PLOPP" comme un bouchon qui saute d'une bouteille de champagne. Zaïm est satisfait. Il m'a bien montée, il m'a fait gémir et jouir. Je me redresse et me retrouve assise sur le visage d'Ahn. Il me prend par les hanches et me déplace, de façon à avoir son nez dans mon cul et sa bouche sous ma chatte. C'est cool... Il absorbe quelques décilitres de sperme de Zaïm mélangé à mes secrétions de femelle. Zaïm, après avoir baisé, vient m'embrasser. Nos salives se mêlent, du coup on connaît les pensées l'un de l'autre. Il pense, "J'adore monter cette petite femelle soumise".  

    Quand Ahn s'est désaltéré à... ma source, il me donne une claque sur les fesses pour  que je me relève. Le lendemain, il me dit :

    « On va faire un super numéro avec toi. Mais je ne suis pas sûr que le numéro avec Zaïm soit vraiment au point. On devrait encore le faire à trois. »

    Moi, je suis partante. On remet le couvert avec Zaïm, ravi...Tout se passe comme la veille... Sauf qu'il met le sexe de Zaïm dans mon cul. Bref, après ça, on est fatigués et on fait la sieste. Le lendemain, je ne suis pas très à l'aise. Je range un peu, les hommes m'aident, mais bon, c'est toujours le bordel. À midi Nour arrive. Elle est plus jolie que sur l'affiche. Grande mince, beaucoup d'allure. Elle est vêtue d'un jean troué et d'un tee-shirt ACDC. Elle ressemble à Cléopâtre avec un petit nez, enfin c'est l'idée, que je me fais de Cléopâtre.

    Ils discutent boulot. Fatalement, elle leur dit :

    « Elle n'a rien foutu votre pétasse ? C'est le souk ici ! »

     

    « Si, le numéro avance très bien. Elle est super pour l'hypnose. Et on a répété avec Zaïm, ça se passe super bien aussi. »

    Elle s'adresse enfin à moi.

    « On ta donné la liste de choses à faire et t'as rien foutu. »

    Elle s'adresse aux hommes.

    « Vous vous rendez compte que cette salope est une esclave ! C'est marqué au fer rouge sur son cul et vous l'avez laissé faire ce qu'elle voulait. Ça promet, pour la faire obéir! »

    J’espère que les hommes vont me défendre. En fait, ils s'en vont en disant :

    « Bon on vous laisse, régler ça, entre filles! »

    Elle me regarde avec un œil noir.

    « Tu n'aimes pas trop travailler, on dirait... ! »

    « Si, Maîtresse, mais, je pensais que...que... »

    Elle me prend par le bras et on va dans une sorte d'appentis qui est contre la maison. Un toit en tôle ondulé et de solides poteaux.

    Elle prend de la corde et me dit :

    « Je vais te punir. Si tu résistes, ce sera beaucoup plus pénible. »

    « Pardon, Maîtresse ! »

    J'ai juste droit à un, "Ferme-la!!"

    Elle m'attache debout, les bras derrière le dos à un poteau.

    « Si je t'entends demander quelque chose, je viens et je te fouette, compris? »

    « Oui, Maîtresse! »

    « Tu vas voir comme c'est pénible de ne rien faire. »

    Il fait chaud... Il y a des mouches... J'ai vite mal aux épaules... Je sais que si j'appelle, ça va mal se passer... alors... je la ferme. Zaïm arrive... Il met un doigt sur sa bouche, "chuttt." Il me fait boire de l'eau... Dans l'obscurité du local, je sens animal qui frôle ma jambe. Je me mords les lèvres pour ne pas crier. Un long moment plus tard, Nour vient et me détacher. Je tombe à genoux dans le sable et je me masse les épaules en gémissant.

    « Tu as compris la leçon?? »

    « Oui, Maîtresse. »

    « Viens manger ! »

    Les hommes sont autour de la table. Ils évitent de me regarder. Je mange et je bois du thé. Personne ne parle. Quand on a fini, Nour me donne la liste des choses à faire. Les hommes m'aident à faire les travaux, visiblement ils veulent se racheter de leurs lâcheté. A la fin de la journée, je suis épuisée, mais tout est fait. Le soir, on répète le numéro. Nour, qui est en permanence nue, pose une jambe sur un des accoudoirs du fauteuil en osier, dévoilant sa chatte.

    « J'ai envie qu'on me lèche, ça vous dit les gars?? »

    « Tu fais une pipe en échange? », demande Zaïm.

    « Pour ça y a Michèle ! » Répond-elle.

    « T'es une salope ! Pour te lécher la chatte, y a Michèle aussi ! »

    « C'est vrai ! Montre-moi ce que tu sais faire. »

    Je me mets à genoux entre ses cuisses. J'embrasse, je lèche, je titille, je suce... Je plonge la langue dans son vagin, je suce et je mordille ses lèvres et je termine en faisant des ronds concentriques autour de son clito... Ses cuisses tressaillent, son bassin bascule et vient au-devant de ma langue... Elle me caresse la tête... et jouit sous ma bouche...

    Évidemment, ça excite les hommes. Zaïm me coince sur mon fauteuil. Il me baise, brutalement et rapidement. Ça dure quelques minutes et il jouit. Ahn vient à son tour mettre sa bite dans ma chatte. Il entre facilement. Le sperme de son fils a bien graisser mon conduit. En moins de 5 minutes il éjacule dans mon vagin. Et moi, je reste frustrée. Je n'ai pas joui et il mon utilisé comme un objet, comme une simple vide couilles.

    1 commentaire
  • L'après midi, le photographe me demande de passer au studio. Après une séance de photo banale, il me demande une fellation que je lui accorde de bon gré.

    « Tu me suce sans entrain Michèle. Tu fais ça mécaniquement sans amour ! Et je n'aime pas ça. »"

    « Mais je fais comme vous voulez ? »

    « Appliques toi mieux sinon tu auras droit à un traitement très spécial ! »

    Sale con. Je le suce et me fais baiser quand il veut et encore il est pas content.!! Je sens bien qu'il n'y a pas moyen de discuter. L'idée que je sois punie, l'excite, alors qu'il a déchargé dans ma bouche en couinant comme un porc.

     

    « Bon et bien on va passer à la vitesse supérieur OK ? »

    « Mais enfin ….. Qu'elle vitesse supérieur ? »

    « Viens par là ! »

    Il sort des cordes et me ficéle comme un roti. Il entoure mes seins qui gonfflent sous la pression de la corde. Une foi ficelée ainsi, il passe la corde dans une poulie et me suspend.

    « Bon, je vais faire de courses. Sois sage ! »

    Je proteste mais il quitte la pièce me laissant ainsi suspendue tel un morceau de viande. Le temps me paraît interminable. Mes membres s’ankylosent et mes seins me font mal. Un quart d'heure, une demie heure plus tard, je n'en sais trop rien, j'entends une porte qui s'ouvre. Ouf quel soulagement. Le voilà de retour pour me libérer.

    « Alors petite salope ! Tu suces mal Boby comme ça ? »

    Mais c'est qui ? C'est pas Boby. Un inconnu tourne autour de moi admirant le bondage de son ami. Il s'amuse à me faire balancer. Ca me fait un mal de chien.

    « Délivrez moi Monsieur S'il vous plaît ! Je ferais ce que vous voulez ! »

    « Je ne sais pas.... Tu me plaît bien comme ça !!! » Me répond-t-il moqueur.

    Il me fait mouronner encore quelques instant, jouissant de mon corps et de mes grimaces.

     

     

    Enfin, il me descend et m’enlève les cordes. Je tiens à peine debout. Les sang qui reviens dans mes seins me fait un mal de fou. Sans pudeur, je les masses devant cet inconnu qui doit être un pote à Boby. Il me regarde avec intérêt et me lance :

    « T'es une belle salope ! J'ai vu des vidéos de toi sur le net. Tu dis toujours oui et t'es bien obéissante. Toujours prête à te faire mettre par tous le trous ! À genoux, les mains croisées sur la nuque et suces moi pour commencer ! »

    Bon sang, mais je vais m'en prendre encore combien aujourd'hui. Mais comme à mon habitude, je suis docile et commence à sucer le copain de Boby. Là j'y met tout mon art. Je n'ai pas envie d'être à nouveau punie.

    La position pour le sucer est très pénible, surtout pour les épaules et le dos. Pénible et humiliante, car il n'hésite pas à faire des commentaires odieux sur moi. Au bout de dix minute ma mâchoire, mon dos, mes genoux me font mal. L'enfoiré est endurant. J’espère avec impatience qu'il se vide dans ma bouche.Enfin des grognement annonciateur de son éjaculation.Un premier jet me tape le fond de la gorge. Puis c'est presque un flot continue qui inonde ma langue et me remplissent la bouche.J'en reviens pas. Mais il est intarissable ce salop. J'arrive même pas à avaler tant il fourni du sperme crémeux et épais.

    « He bien on ne m'avait pas menti sur toi. T'es une bonne suceuse. Bon ! On va attendre le retour de Boby. En attendant tu va me servir de table basse. Met toi à 4 pattes prés du canapé ! »

    Je me rend à 4 pattes, comme une chienne docile, près du canapé et attends cet inconnu. Il va prendre un verre de sky et reviens s'assoir sur le canapé. Il pose le verre sur mon dos et se sert de mes reins comme repose pied. Il allume la télé et comble de la honte, je vois défiler des images ou je suis dans les positions les plus scabreuses.

    « Huuummm tu fais une belle table basse Michèle ! Et déguster un whisky en regardant tes exploit est un pur bonheur ! »

    Je lui réponds comme une idiote :

    « C'est dégueulasse ce que vous faite avec moi ! »

    « Quoi ? Tu te rebelles ? On verra ça avec boby tout à l'heure ! Pour l'instant ferme là pétasse ! »

    J'appréhende ce qui m'attend et il se marre de la situation dans laquelle je me trouve. C'est une position encore plus difficile à tenir, mais ça ne dure pas.

    Boby arrive. Je bouge et renverse le verre de sky sur mon dos.

    « Salut Boby ! Je joue avec Michèle pour lui trouver une utilité! Mais Elle est nulle. A part pour sucer des queues et se faire défoncer... Regarde elle vient de renverser mon verre ! »

    « Je peux te la confier demain, si tu as envie de jouer, car ce soir elle va dans une soirée spéciale ! » 

    Je pense sans m'exprimer ayant trop peur de représailles. C'est ça! Il ne se sent plus le Boby! Voilà qu'il me prête, comme si j'étais un objet qui n'a rien à dire...

    « Merci Boby, c'est fun!! Et ce soir, c'est possible de participer à cette soirée ? »"

    « Oui bien sûr ! Tu es le bienvenue ! C'est une idée sypa de l'avoir utilisé comme meuble.»

    Je commences à me demander si Boby ne se fait pas du fric en douce avec mon cul!

    « Oui je trouve ça original. Et puis avec un cul comme ça, on peut même l'utiliser comme porte cigare ! »

    Tout en me donnant une grande claque sur les fesses, il éclatent de rire tout les deux.

    « Ce soir c'est l'anniversaire de David et je compte l'offrir en paquet cadeau. Ça va être marrant et original. Michèle monte dans ce carton.»

    Ppppfff, voilà autre chose!

    « Quand on ouvrira le cadeau, tu te lèvera et embrassera celui qui sera devant toi. Tu as compris?? »

    « Oui, Monsieur! »

    Je serai une sorte de surprise. Je m'assieds, les genoux au menton et j'attends.Je suis transportée dans une sorte de camionnette et quelques temps après, je suis débarquée dans une salle. Au bout d'un moment, des hommes et des femmes arrivent. Ils parlent fort et rigolent bruyamment.

    J'ai chaud... C'est long, quand on est enfermée dans le noir. J'entends chanter, "Happy Birthday". On fait glisser le paquet candeau sur le sol. Et j'entends :

    « C'est ton cadeau, ouvre le ! »

    Bon, ça va être à moi! On soulève le couvercle. Je me relève maladroitement et j'embrasse le type qui est devant moi, en mettant les deux bras autour de son cou.

    Il y a des cris, des rires...

    « Chouette cadeau. On va tous jouer avec mon cadeau! Cadeau!! A quatre pattes!!» Dit David quand je décolle ma bouche de la sienne.

     

    David se met derrière moi et je sens son gros sexe, contre mon anus. Il me graisse l'anneau et crac il m'encule. Il s'est enfoncé en moi d'un coup jusqu'aux couilles. AAAIIEEE!!! Je la sens passer même si j'ai déjà eu beaucoup de visiteurs de ce côté-là. Il m'encule à grands coups de reins. Ses copains l'encouragent.

    « Vas y défonce là! Casse-lui le cul ! Élargis sa rondelle!! »

    Boby, baisse son pantalon, se met devant moi la queue bien tendue.

    « Suces Michèle ! »

    J'hésite... mais un coup de reins de celui qui m'encule, me pousse en avant. Je me retrouve la que au fond de la gorge. Franchement, c'est limite comme amusements. Je le suce ou plutôt il me baise la bouche et je me fait enculer en même temps. Aah!! Je suis tombé sur une chouette équipe!!

    « On lâche la sauce dans la salope, ensemble ? » Gueule David à Boby.

    Ils accélèrent le rythme, poussent des grognements.

    « Ouais, ouais, ça vient... ! Tu la sens bien dans ton cul salope? »

    Je ne réponds pas, car j'ai la bouche pleine. Les autres tapent dans leurs mains en rythme et les encouragent. La fête sera réussie, car ils déchargent ensemble, leurs spermes vont se mélanger quelque part en moi et c'est pas une image...

    Je n'en suis pas quitte. Il y en a un qui prend la place qui vient de se libérer derrière moi. Je suis bien lubrifiée et il entre comme s'il était chez lui. Le mec, dont c'est l'anniversaire vient s'asseoir devant moi et me montre sa bite.

    « Alors Michèle, tu ne nettoie pas ma bite le jour de mon anniversaire?? »

    Rires à nouveau collectif. Je prends son gros sexe qui se ramollit en bouche et le nettoie avec la langue. Il est content et sa bite ressort toute propre. Celui qui est dans mon cul, me baise à un bon rythme. Il envoie une main vers ma chatte et titille mon clito. Il sait y faire . Pendant qu'il continue à me pincer le clito, je ne contrôle plus rien et je jouis. Quelques-uns s'en aperçoivent et s'esclaffent.

    « Elle jouit la salope!! C'est une vraie chienne en chaleur cette pute ! »

    Après ça, il y en a d'autres qui me passent dessus. Je prends des bites et du sperme de tout les côtés. J'ai quand même droit à quelques bières et du gâteaux. C'est la moindre des choses quand on se fait enfiler par une bande de mecs. Franchement, les cadeaux, il vaut mieux les recevoir qu'en être un.

    Mes conduits on tellement de sperme que, dois-je préciser, les queues se succèdent sans forcer la pénétration. C'est comme s'il y avait écrit au néon rose au-dessus de mon cul et mon vagin, "Welcome, stranger!". A la fin de la soirée, inutile de dire que je suis rincée.

    « Tiens ! Prends ces billets ! Tu la bien mérité ! » Me dit un certain Manu.

    Je l'embrasse sur la bouche et il me caresse les fesses et les seins. Quand je pars, On m'envoient des baisers, font le signe "cœur" entre leurs mains ou on m’applaudit. Dés que je suis dans mon studio, je m'écroule sur le lit et m'endors sans même me laver. Le lendemain, j'ai du sperme séché partout et un drôle de goût dans la bouche. Mes orifices sont sensibles. Une bonne douche me fera du bien.

    aucun commentaire
  •  

     

    Quand j'étais en première année d’école de gestion. J'ai subi mon bizutage d’entrée.
    Dans notre école, la tradition voulait que toutes les filles subissent un bizutage de début d'année d’école. Pour cela chaque année, une journée était réservée aux bizuts.

    Le bizutage doit avoir un caractère érotique et humiliant tout en restant dans « l’acceptable ». 

    Un tirage au sort des épreuves pour chacune des filles se fait devant toutes les promo. 

    J’ai conservé les photos prises par les filles lors de ce bizutage. 

    Moi, j’ai tiré dans la corbeille le bizutage suivant : 

    Traverser entièrement nue la place centrale de la ville, sans courir, sans se cacher. 

    Je devais donc m’exécuter et j’avais pour témoin une dizaine de « Quatrième année » qui me suivaient à distance pour prendre les photos et vérifier que je ne triche pas. 

    Une fois arrivée en bus sur la place Centrale, j’enlevais rapidement mes vêtements, ne gardant avec moi que mon sac à main. Les filles récupéraient ma jupe ma culotte, mon chemisier, mon pull et mon soutien gorge. Je ne gardais que mes baskets et mes chaussettes car le sol était très froid.

    Je commençais à marcher sur la grande place. Il n’y avait pas grand monde et cela me permit de me mettre un peu en confiance. Les terrasses de café étaient encore vides. Mais je devais rejoindre la rue du commerce, et ce serait certainement beaucoup plus fréquenté.

     

     

    Effectivement, les commerces déjà ouverts attiraient du monde et je devenais de plus en plus angoissée d’avoir à me promener nue devant les autres.  Je marchais raide d’un pas régulier essayant de ne pas croiser de regards. Régulièrement, les filles prenaient des photos. Je sentais monter en moi une incroyable envie de me mettre à courir pour fuir et me cacher. Mais je devais dominer ma peur.

     



    Je passais devant une rame de tramway et je voyais les regards des passagers qui me regardaient de la tête aux pieds

    Pour ne rien vous cacher, me promener ainsi nue en pleine ville m’excitait une peu, car cela été très bizarre comme sensation. Je sentais monter une sorte d’excitation.

    aucun commentaire
  • Un mari offre sa salope soumise, livrée a domicile, dans le coffre de sa voiture. C'est une belle pute, prête a tout pour satisfaire son Maître. Ce jeu fait partie de ses fantasmes.
    Il la livre. Vous en disposez comme vous le souhaitez mais sous la surveillance du mari afin tout se passe bien.

    Elle est disponible pour, gangbang, bukkake et plus.

    Elle aime les grosses queues.

     

    aucun commentaire
  •  

    Comment une séance de BDSM m’a aidée à niquer mes complexes

    Le BDSM peut avoir des vertus inattendues. Comme... aider qui le pratique à accepter son corps et à envoyer valser ses complexes !

    Comment une séance de BDSM m’a aidée à niquer mes complexes

     

    J’ai fait un bon bout de chemin vers l’acceptation de mon corps tel qu’il est, avec ses parties que j’aime, et celles que j’aime moins. Je kiffe mes lèvres pleines et mes seins. Je complexe sur mes cuisses et mes fesses.

    Comment une séance de BDSM m’a aidée à niquer mes complexes

     

    Ça ne m’empêche pas de me mettre en mini-short, d’aller à la piscine ou de faire l’amour en pleine lumière. Je n’ai pas appris à tout aimer, mais j’ai appris à faire la paix avec tout. Par contre, ce que je n’avais pas imaginé, c’est qu’une séance de BDSM m’aiderait à me trouver plus belle. Dans mon cas, comme beaucoup de femmes, je suis du côté soumise de la force. Ce qui me fait décoller, c’est d’obéir, de m’abandonner et de prendre des baffes. Ca s’explique pas.

     

    J’ai expérimenté la sexualité BDSM il y a pas mal d’années maintenant, mais ça faisait un moment que je n’avais pas eu l’occasion de le pratiquer. Mes derniers partenaires ne mangeaient pas de ce pain-là et ça n’a aucun intérêt de recevoir une bonne fessée si ça ne fait pas kiffer la personne qui l’administre.

    Il se trouve qu’au gré de mes rencontres, je me suis retrouvée un samedi matin, en petite robe et nerveuse comme pas deux, à attendre un homme pour passer un week-end. En me renseignant à son sujet, j’avais appris qu’il était plutôt très dominant, et je lui avais fait comprendre que c’était loin de me déplaire. C’était parti pour deux jours de luxure avec des coups de fouet et autres humiliations. Au fond de moi, j’avais les mêmes craintes qu’avant chaque « première fois ». Si je ne lui plaisais pas ? Si mon corps le décevait ? Bon, je me doutais qu’il n’allait pas s’exclamer « Salope comment t'es canon ! » en me voyant nue. J'étais nerveuse. On n’y peut rien.

     

     

    Il est arrivé et j’ai très vite arrêté d’avoir peur, plutôt concentrée sur mon désir et mon amour sans bornes pour tout ce qui se passait. C’est un peu bizarre, de mon côté, le BDSM ; j’aime être soumise, mais j’ai toujours un genre de fierté qui se réveille. J’en ai envie, mais je lutte.

     

    Et c’est dans le lâcher-prise que se trouve le plaisir.

     

    Une fois les préliminaires bien entamés, mon partenaire de jeu s’est confortablement assis dans le canapé et m’a dit de me déshabiller. C’est une chose de se dévêtir à deux, dans l’urgence et l’appétit mutuel, en mode collé-serré ; c’en est une autre de se tenir debout, en pleine lumière, nue, face à un mec tout habillé. Qui ne fait que regarder.



     

    Au début, j’osais pas trop, je gardais les bras croisés sur ma poitrine et mon ventre, jusqu’à ce qu’il les place avec autorité le long de mon corps. J’étais un peu voûtée, un peu honteuse. Puis j’ai eu ce déclic, mon petit caractère de cochonne qui est remonté. J’ai levé le menton, planté mes yeux dans les siens, redressé les épaules, cambré les reins. J’étais nue et je n’avais ni honte, ni peur. Dans son regard, il se passait plein de choses.

     

    Déjà, c’était clair qu’il allait vite me faire regretter cet air de défi et qu’on allait voir comment je crânais après quelques morsures de cuir. Tout mon corps lui plaisait, comme une toile vierge, comme un terrain de jeu. Cette dynamique me donnait de la force. Bien sûr, j’allais douiller parce que j’en avais envie et ressortir de là en larmes, hors d’haleine, avec des zébrures plein le dos. Mais c’est moi, c’est mon corps, mon arme dans cette délicieuse bagarre.

    D’un coup, je n’ai plus eu honte de mon corps. Pourquoi regretter les courbes qui créaient un tel désir dans les yeux d’un mec que je désirais aussi ? En m’offrant, dans un jeu de soumission, à un regard aussi inquisiteur, j’ai vu que je plaisais. Alors, juste avant de sentir le fouet claquer sur ma peau, je me suis sentie fière et belle. Preuve qu’on peut l’être même à genoux devant un mec, tant qu’on vit ce qu’on aime, en accord avec soi-même.

     

    aucun commentaire