•  « Alors, cette phytothérapie, ça t'a fait du bien? » Me demande 6 en se foutant de moi.

    « Pas vraiment Maîtresse ! »

    « Maintenant, on doit parler. John est mort. Je pense que c'est sa femme qui l'a fait descendre. »

    « Par qui? Par un tueur à gages, Maîtresse ? »

    « Je sais pas, mais tu m 'encombre pour dit au revoir au patriarche et on file à la gare. »  

    Je vais faire exactement ce que m'a dit 6 :

    « Ne pas faire la pute, chercher un mec bien et partir en vacances avec lui. »

    J'arrive à Nice, c'est une belle ville. L'hôtel, lui n'est pas terrible, mais je m'en fous… Je sors, je bois des bières, je me fais draguer. Le lendemain, je m'achète un nouveau jean et un chemisier, pour être présentable. Je rentre à l'hôtel, je me maquille, me coiffe et je vais me présenter dans des magasins de vêtements.

     

    Dans le trisiéme magasin, il y a beaucoup de clients. Les vendeuses sont toutes habillées de la même façon, une minijupe et un corsage décolleté. Ca me plaît bien. La gérante est une brune très sexy. Je lui explique que je cherche du travail.

    Elle me dit :

    « Physiquement, vous convenez, mais il faut voir ça avec Madame. »

     

    On va dans un bureau, où il y a blonde type bimbo.

    « Elle cherche du boulot. Je pense que physiquement elle pourrait convenir. »

    La patronne léve les yeux sur moi et d'un air dédaigneux :

    « Mouai pas trop mal ! »

     

    « Alors dis-moi tout sur toi, ma mignonne ! »

    Il va me falloir édulcorer mon parcours. Pute soumise, ça fait… mauvais genre.

    « Je m'appelle Lasie. Je viens de Normandy et j'aimerais rester sur la Côte. J'ai suivi des cours d'esthétique et de massage et j'ai déjà travaillé dans la vente de vêtements.

    « Bien, bien...Déshabille-toi! »

    « Aaah bon ? Vraiment ? »

    « Magnes, je n'ai pas que ça à faire ! »

    J'enlève mon jean et mon tee-shirt.

    « Tu ne mets pas de sous vêtement ? »

    « Euh…non, Madame, mais j'en mettrai si vous voulez. »

    Elle sourit.

    « Oui, ce serait mieux devant la clientèle! »

     

     

    Elle se lève de son fauteuil. Elle me met une main sur un sein. Ouch! Je suis une future vendeuse ou une esclave à vendre et elle une acheteuse vient tâter la marchandise?

    « Jolis seins ! »

    Elle me caresse les fesses…

    « Belle paires de fesses! Je te prends à l'essai ! Essaye une jupe et un top. Je les mets et virevolte devant elle, montrant mes fesses.

    « T'as pas l'air trop farouche, comme fille? C'est bien, les clients aiment ça. Tu commences demain.  ici, je veux que les filles obéissent. »

    Ça ne me changera pas beaucoup.

     

     

    Le lendemain, je suis à l'heure. J'enfile mon uniforme sexy. Je vais me présenter à la gérante et fais la connaissance des autres vendeuses.

    Je vends bien. C'est assez grisant avec les hommes qui me plaisent, d'être à genoux devant eux pour prendre les mesures. Il y a de jolies clientes qui essayent de la lingerie, j'aime bien aussi. Un soir, alors que j'avais flashé sur un chemisier, je décide de le piquer. Au moment où on va se changer dans les vestiaires, je le mets dans mon jean. Je repasse dans le magasin où la gérante discute avec un homme. Ils me regardent. Ooops! Mon estomac se serre. La gérante me dit :

    « Viens par là ! Je vais te montrer quelque chose! »

    « Désolée, Madame, ça pourrait attendre demain? Parce que j'ai… un

    rendez-vous important. »

    Elle me prend par le bras et me dit sèchement :

    « Quand je dis tu viens, tu viens ! »

    Je vais avec eux dans une pièce du fond. La gérante me dit :

    « Il y a une caméra dans les vestiaires. »

    Sur l'écran, je me vois voler le corsage. 

    « Enlève ton jean! » dit la gérante.

    « Appelle la police! », dit-elle, à l'homme.

    « Non Madame, je vous en prie… J'ai eu des ennuis avec la police. Je ferai ce que vous voudrez, mais pas la police! » 

    « Très bien on va chez la patronne, elle décidera! »

    On arrive chez la patronne, elle est déjà informée.

    « Voici, la petite voleuse! » Dit la gérante

    « Pardon, pardon, Madame, je voulais juste mettre ce corsage ce soir pour sortir, je l'aurais remis demain, je vous le jure. »

    « Je suis très déçue. Qu'est-ce que tu en penses? » Dit la patronne à la gérante.

    « Il faut appeler la police ou la punir sévèrement. »

    La gérante sort d'un tiroir un martinet. Qu'est-ce que ça fout dans un bureau, ça? Elle le tend à l'homme en me disant :

    « Ca, c'est pour punir les voleuses ! »

    « Déshabille-toi et montre tes fesses ! »

    Je ferme déjà les yeux et serre les fesses… mais elles me font attendre.

    « Cette cible-là, difficile de la manquer. » Dit l'homme en riant.

    « Je lui en donne combien? »

    « Vas-y, je te dirai ! »

    L'homme lève enfin, le bras et les trois lanières viennent s'aplatir en travers de mes fesses, "claaac!!", je fais un bond et je ne peux pas m'empêcher de crier, "aiiiiiiie". Il frappe vraiment fort!! "claaac" "aiiiiieeee" - "claaaac" aiiiiiee" -"claaac". "aaaiieieiie… assez… je vous en prie…."  

    Il frappe encore plus fort en disant :

    «Je crois que ça va te dégoûter de voler! »

    « Oui, je le juuuuurre"…"...claaaac….aiiiie… »

    20 fois les lanières s'abattent et s'entrecroisent sur mes fesses… Je pleure et je crie à chaque coup. Enfin… la patronne dit :

    « Tu peux arrêter… »

    La gérante rouspète :

    « Déjà? Vous êtes vraiment trop gentille, Madame. »

    La patronne réfléchit un instant et devant l'instance de l'homme et de la gérante, elle plie.

    « Oui, vous avez raison, encore dix! Mais pour le fun sur les seins ! »

    Je gémis :

    « Ooooohh non…pitié pas sur les seins ! J'ai compris la leçon ! »

    « Ben, si! » Dit le vigile.

    Au 30ème, il s'arrête…enfin. Je suis toujours mains sur la tête à sangloter. Mes fesses et mes seins me font terriblement mal.

    Elle range le martinet et il commente :

    « Agréable à punir cette peetite salope ! Tu voleras, encore? »

    « Nooon, je vous jure, Monsieur ! »

    Ils retournent au magasin. La patronne me laisse un peu les mains sur la tête en tournant autours de moi, puis me dit :

    « Il y aura la même punition dans une semaine si la gérante a à se plaindre de toi. Va te mettre à genoux, le nez qui touche le mur et réfléchi à ça! »

    Ooooh oui! Avec plaisir… du moment que c'est fini… Je me mets à genoux face à un mur.

     

     

    Elle me laisse un bon quart d'heure comme ça, puis elle me dit :

    « Viens ici ! »

    Je me relève et me tiens devant elle, la tête baissée les fesses et les seins rougis.

    « Je ne ferai plus de bêtises, Madame. » 

    « J'espère bien! De toute façon, il y a des caméras ici, aussi. La fessée et tes aveux sont filmés. »

    D'un geste de la main, elle me congédie. Évidemment, le lendemain tout le monde est informé de mon vol et aussi de la punition. Il y a des filles qui me snobent, et puis d'autres que ça fait marrer. Le soir, je suis invité par une des vendeuse chez elle.

    3J'ai parlé de toi à mon mari. Je lui ai dis que tu étais très jolie et… je danserai pour toi, si tu viens manger à la maison. Il m'a demandé de t'inviter. »

    Nos corvées finies, on retourne dans le magasin. Je ne suis pas extravertie, mais j'ai quand même un bon contact avec les gens. Le soir, j'accompagne Irène. On est accueilli par son mari, Diego. Présentations, bisous. Il n'est pas mal… On boit l'apéro, des Ricards, normal dans le Midi. Irène nous sert. Ça me rappelle des choses… mais ici, c'est elle qui est soumise, moi je suis invitée. Ca change. Ça me plait de voir la soumission d'Irène, elle obéit au doigt et à l'œil à son maître. Diego met la main sur ma cuisse… Moi, je suis toujours partante pour... un peu flirter avec un mec comme Diego…

    Je lui dis :

    « Je suis un peu gênée par rapport à Irène. »

    Il rigole :

    « On est un couple libre. »

    Je pose alors ma main sur la grosse bosse de son pantalon… Il fait un signe et dit :

    « Qu'est ce que tu attends, pour nous servir, Perra ! »

    « Tu l'appelles Perra? »

    « Oui c'est ma petite chienne ! »

    « Oh, c'est mignon ! »

    Il dit :

    « Fais la belle! »

    Elle se redresse, en position de "fais la belle", les bras un peu repliés, mains tendues, les yeux baissés.

    « Bone chienne, sers-nous, maintenant ! »

    Elle repart vers la cuisine et revient avec des plats

    « Un petit dessert ? »

    « Non merci, je dois maigrir ! »

    « Oh??? Pourquoi veux-tu maigrir? »

    « J'ai de trop grosses fesses… »

    Il me répond :

    « Montre! »

    « C'est gênant, on se connaît à peine! »

    « Allez, fais pas ta mijaurée. Je te donnerai mon avis sur ton cul! »

    Je me lève, descend mon jean et tend mes fesses vers lui.

    « Fais pas attention aux marques, c'était le fouet ou les flics. »

    « Mais, il est magnifique ton cul! »

    On va sur le divan.

    « On va se mettre à l'aise. » Me dit il.

    Perra fait son entrée. Voilée… avec des bracelets aux poignets et aux chevilles, dont certains ont des grelots qui tintent. Elle est nue. Elle vient devant nous, bras levés, et ondule sur la musique… La musique s'accélère, elle roule des hanches… se tourne balance ses fesses blanches en rythme… Ses figures deviennent rapidement très érotiques. Elle se couche, écarte les jambes, écarte son sexe entre deux doigts… Elle se tourne à nouveau, se penche, écarte les fesses avec les mains… les balancent…

    Franchement, elle danse très bien, tout ce qu'elle fait est gracieux et en rythme. Je suis bluffée.

    Avec désinvolture, Diego, joue avec les bouts de mes seins. Il me dit, en me faisant un clin d’œil :

    « Comment tu la trouves? »

    Pour une foi que je ne suis pas la soumise, j'en profite et d'un ton espiégle, je répond :

    « Pas mal. Mais elle a un peu l'air de faire ça comme une corvée, non? »

    Sa voix se fait dure.

    « Viens ici Perra, je vais te réveiller… ! »

    Perra fait de grands yeux au-dessus de son voile. Elle sait ce qui l'attend… Elle vient se coucher en travers du divan, donc sur moi qui suis sur Diego. J'ai ses fesses sous le nez, elles sont belles, je les caresse, elle frémit.

    « Enlève ta main, Lasie ! » Dit Diego. Il lève la sienne et frappe les fesses de Perra, ça fait comme un pétard qui explose. Elle fait un bond et geint. Ooops! Costaud, le mec, sa main et ses doigts s'impriment en rouge sur les fesses blanches. Et ça repart, il lui claque les fesses de haut et rapidement. Elle fait un bond sur moi à chaque fois, mais se remet vite en position, les fesses bien levées. Elles deviennent toutes rouges et elle gémit de plus en plus fort.

    « Danse maintenant et si ce n'est pas mieux… ce ne sera plus avec la main que je te fesserai ! »

    Perra courre remettre la musique au début revient se placer devant nous. La musique s'élève, elle se retourne pour nous montrer ses fesses très rouges.

    Je dis, "C'est beau ce cul rouge au milieu de ce son corps blanc…" 

    « Ouais… c'est mieux comme ça… et j'ai d'autres petits trucs quand elle ne danse pas bien ou qu'on a envie de s'amuser… »

    Perra ondule et balance ses fesses. Ces fesses sont rouges… c'est beau.

    Elle accentue bien tous ses mouvements, tend son sexe vers nous, balance les seins.

    Je dis à Diego :

    « C'est vrai que la fessée, la fait mieux danser! »  

    Cette danse langoureuse, la fessée de ma copine et le sexe de Diego qui grossi dans ma main, je mouille et commence à avoir très envie de sucer son mari. Je me retourne vers lui et je me mets à genoux entre ses cuisses. Il me prend le visage dans les mains et me dit : « Plus tard... d'abord, viens sur moi. » 

    Je me mets à califourchon et l'enfonce en moi… Que c'est bon de se faire pénétrer devant sa femme qui continue sa danse envoûtante. Il fait un signe à Perra, pour qu'elle vienne me lécher la chatte pendant que lui me bourre le coquillage. Cette grosse bite en moi et Perra qui me léche le clito

    « Ooooooh oui... je jouiiiis !!!! »   

    Ils forment un sacré duo tout les deux. Aprés avoir joui dans la bouche de sa femme, Diégo nous laisse pour se rendre au toilettes. Je m'attends toujours à ce qu'il change de ton avec moi. Je suis tellement habituée à être soumise que ça me fait drôle d'être de l'autre côté de la barriére. J'en suis même gênée. Diego me dit :

    « Tu veux dormir ici, ma belle, il est tard. »

    « Euh… oui merci…volontiers. »

    Dans la chambre, il n'y a qu'un lit.

    « …et Perra? »

    « Ben, sur la carpette, comme une chienne ! »

    Perra se couche en rond dans son panier… Oui bon, c'est vrai chacun à sa place.

    Je me couche avec son mari qui bien sûr me baise encore une foi avant de s'endormir la queue encore dans ma chatte. Le matin quand je me réveille, je sens un corps tout chaud contre le mien. Je le caresse, et en ouvrant les yeux, je découvre Perra lovée contre moi. Elle me sourit. Je dis pour rigoler :

    « Hé bien qu'est ce que tu fais dans le lit? »

    Elle pousse un petit gémissement… Je l'embrasse. C'est une gentille bête. Nous faisons divinement l'amour et jouissons ensemble.

     

    Mais nous devons nous rendre au magasin pour travailler. Dans la matinée, un client me fait du gringue. Il est déjà venu plusieurs fois et s'adresse toujours à moi. Manifestement, je lui plais beaucoup. Une chose me plaît chez lui. Il a l'air d'avoir de l'argent. Il m'a invitée à manger samedi soir et je peux choisir les vêtements que je veux dans le magasin. J'ai accepté, bien sûr. Un client arrive, pour un essayage d'un costume sur mesure. Il me veut moi… ben oui, lui aussi, ça fait râler les autres filles. Je suis à genoux à ses pieds, position équivoque s'il en est, pour ajuster son pantalon. Il avance un peu et j'ai le visage contre son bas-ventre. Je lève les yeux et il sort un billet de 50€. Comme ça ne me gêne pas de sucer, je dirais même que j'adore ça, Je baisse sa braguette, sort un sexe et ma langue commence à faire son travail sur le gland. Je le suce comme une vrai pute. Le Monsieur me caresse la joue. Je lui fais une gorge profonde. Ca lui plaît beaucoup et bientôt, il jouit dans ma bouche. J'avale ses jets de sperme et lui nettoie la queue.

     

    « Il y a moyen de se voir en dehors du magasin, jeune fille? » Me demande-t-il.

    « Oui, bien sûr, Monsieur. »

    « Ok et bien Lundi, on conviendra d'un rendez-vous. »

    A la fermeture du magasin, la gérante me fait signe de la suivre. Elle m'entraîne dans la pièce où il y les vidéo de surveillance du magasin.

    « Tu veux te voir sucer un client? »

    Merde ! Il y a même des cameras dans les cabines d'esseyage. Les tordus ! En plus le vigile doit se rincer l’œil l'enfoiré.

    « Je dois reconnaître que tu es douée pour sucer une bite, t'as du déjà faire la pute pour sucer si bien. Tu es vraiment douée pour vendre des vêtements et ton cul! »

    Elle appelle, Raymond, le vigile. En arrivant, il dit :

    « J'arrivais pas à en trouver une ! » Dit-il, en lui montrant une sandale en corde. Raymond s'assied et en tapotant ses cuisse, il me fait comprendre que je dois me mettre en travers de ses cuisses pour recevoir ma punition. L'autre salope sourit de me voir ainsi soumise et assiste au spectacle. Il baisse ma culotte jusqu'au genoux et siffle en disant :

    « Elle a un de ces culs cette petite salope! Je l'enculerais avec plaisir ! ».

    «  Et bien qu'est-ce que tu attends ? Encule là et fesse la en même temps ! »

    « Noooon Madame !!! »

    « Puisque tu fais des pipes si facilement, on va voir si tu te fais enculer de la même manière ! »

    Il bande déjà.

    « Assois-toi dessus ! » Me dit-il.

    Je me mets sur lui. Il pose son gland sur ma rosette etm'empale dessus en appyant sur mes épaule. Je ne peux m'empêcher de pousser un cri.

    « Bouge ton cul putain ! Ah oui !!! Comme ça ! Tu le bouges bien ton cul, salope!! »

    En quelques allées retour et il jouit en moi.

    J'ai pas le temps de récupérer que la gérante veut me fesser avec la sandale.

    « T'es vraiment qu'une pute ! Tu suces des inconnus et te fais enculer par le premier venu sans rien dire ! »

    Elle lève la sandale bien haut et claque mes fesses.

    Elle commence à me fesser tout en me grondant :

    « Non seulement tu voles ! ( Paf! Paf! Paf) mais en plus tu fais des passes dans le magasin! ( Paf! Paf! Paf!) et tu te fais enculer devant moi comme une grosse salope ! (paf paf paf) »

    Je la supplie :

    « Assez Madame, je vous en priiiiiiie !!!! »

    "Et en plus tu arrives presque tous les jours en retard!!" Paf! Paf! Paf! 

    Elle frappe à toute vitesse et ne s'arrête que, lorsque son bras est trop fatigué. Alors, elle remonte ma culotte et me redresse.

    « Tu peux rentrer chez toi maintenant ! »

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  • On roule une bonne heure. C'est grisant. Puis, on entre dans une casses de voitures. Au fond, il y a des caravanes. Décidément, je suis vouée aux caravanes. La jeune femme brune arrête la moto. On est dans un camp de manouches.

    « On va dire bonjour au chef ! Mets toi à poil, il aime les blondasse ! »

    Je me met nue et je la suis à travers le camp. Des gens la saluent, l'embrasse aussi. Moi on me pelote comme un bout de viande. On arrive devant une grande caravane. On entre. Elle embrasse un homme corpulent d'une cinquantaine d'années. Ils parlent dans une langue que je ne comprends pas.

    « Les amies de ma fille sont les bienvenues. » me dit le chef.

    « C'est pas une amie papa!  Roskof me l'a prêté pour la faire travailler et l'utiliser comme bon nous semble ! »

    On quitte le chef pour se rendre dans sa caravane. Elle se met nue et je découvre ses seins fermes, pointus avec des bouts très foncés. Sur son flanc, il y a un tatouage d'une tête de démon grimaçant et en dessous le chiffre 666, le chiffre du diable.

    «  C'est pour ça qu'on m'appelle 6 la diablesse ! »

    Elle s'assoit sur le lit.

    « Met toi à genoux devant moi ! Maintenant raconte moi, pourquoi tu t'es fait virer de chez les Ruskov? »

    Alors, je raconte mon histoire. De son pied, elle me caresse les seins.

    « C'est parce que je te caresse les nichons que tu bafouilles autant? » 

    Elle n'attend pas de réponse et commence à jouer avec le bout de mes seins comme si c'était des joysticks. Je me tortille un peu.

    « Pas bouger, la pute! » dit 6.

    Ouch! Je me remets droite. Maintenant, elle pince carrément mes tétons entre ses doigts, je commence à gémir. Elle abandonne le bouts de mes seins.

    « Bon, on jouera mieux ce soir ! Demain, je te ferai faire des corvées dans le camp, ça va nous changer d'avoir une gadji pour nous servir. Cet après midi on ira à l'entraînement. Tu apprendras à être une pony girl. »

    Après manger, on se rend dans une sorte de carrière pour chevaux. Une fille nous attend harnachée comme un cheval.

    « Je te présente Diane. Sa belle fille organise des courses de pony girls. Alors, les filles, prêtes à se dégourdir les jambes? »

    Elle me regarde en rigolant devant moi air ahuri.

    « Tu vas voir ! Pony girl c'est fun, mais, évidemment tout dépend de qui tient le manche du fouet ! Tu veux voir ce que ça donne?? »

    « Non merci, Maîtresse. »

    « Allez les juments, à 4 pattes ! »

    Les coups commencent à pleuvoir sur nos fesses. On a reçu 5 coups chacune.

     

    Le chef assiste au dressage.

    « 6, j'ai envie que la gadji me suce! » dit le chef.

    « Bien sûr! Quoi de plus normal!! »

    Je m'applique à le sucer pendant que Diane s'échauffe dans la carrière en tirant une charrette. Il me caresse la joue pendant que je le suce. Je m'applique à bien le sucer et son gland vient taper régulièrement le fond de ma gorge. J'accélère le mouvement et il arrive à jouir au fond de ma bouche. Quand j'ai fini, je me relève et je dis :

    « Merci chef, c'était très agréable de vous servir. »

     

     

    On nous met des mords. 6 fixe une lanière qu'elle ferme sur l'arrière de la tête. Je me mets déjà à baver. Diane a plus l'habitude d'avoir la bouche ainsi prise.En nous tenant par les mords, 6 nous amène devant un genre de sulky. La Maîtresse prend son fouet, s'assied derrière nous et dit :

    « Vous devez partir de la jambe droite et bien vous synchroniser. Aujourd'hui, on ne cherche pas la vitesse, mais à ce que vous soyez bien ensemble. Lasie aligne toi sur Diane! »

    On sort de l'écurie, je sens qu'on tire sur mon mors à gauche, je tourne à gauche.

    « Pas complètement à gauche, stupide animal! » Me crie La Maîtresse et je reçois un coup de fouet sur les fesses, "Aiiiie!!" 

    On oblique vers une grande piste de sable, comme dans un manège. Au début, ça va, c'est facile à tirer. J'essaye de copier ce que fait Diane, mais à un moment, je perds le rythme et…"fffwwwiiii", je prends un autre coup de fouet sur les fesses. "Aiiiie!!!" « Synchronise-toi salope!! » Crie 6.

    "Ffwwwiii ", le fouet claque à nouveau. "Aiiiiie!!!" Trois fois de suite, jusqu'à ce que je sois synchrone à nouveau.

    Plusieurs fois, elle nous fait arrêter et repartir. On fait ça, pendant une demi heure. Je suis en sueur et épuisée. Diane a plus l'habitude, elle a l'air un plus en forme. J'ai bien reçu 20 coups de fouets, mes fesses doivent être toutes rouges. Enfin, on rentre à l'écurie. La Maîtresse nous enlève les mors… ouf!!! C'est vraiment très désagréable, j'ai les coins de la bouche meurtris. Ensuite, comme Diane, je me mets à quatre pattes. La Maîtresse retire ma queue lentement. J'ai l'impression d'avoir couru le marathon.    

    « Alors,Lasie ! Ca t'a plu? »

    « ….euh...Oui merci, vous êtes une très bonne driveuse, Maîtresse. »   

    « Bien répondu, Lasie. Et toi Diane? »  

    « J'adore courir pour vous Maîtresse. »

    « Lasie, montre-moi ce que tu sais faire! » Elle me désigne sa chatte.

    Lécher, là je suis bonne, que ce soit un homme ou une femme. Elle manifeste son plaisir sans retenue et son plaisir me mouille le visage. Quand elle a joui et que j'ai bien nettoyé sa chatte, elle me dit :

    « Voilà t'es bonne pour deux choses, lécher des queues et des chatte et te faire sauter. »

    « Je te dépose chez la belle-fille de Diane, elle a envie de te connaître. Tu resteras jusqu'à l'entraînement de cet après-midi. »

    Elle me fait peur celle-là, à voir la façon dont elle a dressé Diane.

    « Tu n'as rien à craindre. A part quelques coups de fouet!! Elle veut être sûre que tu es tout à fait soumise, elle va jouer avec toi. »

    Arrivé chez la belle fille, celle-ci nous reçoit en me disant :

    « Il paraît que tu as besoin d'une petite leçon, pour t'apprendre à obéir sans discuter ? J'ai envie de te faire un petit traitement aux plantes ! »

    Elles rigolent toutes les deux.

    « À tout à l'heure, je reviens pour l'entraînement. »

    Dit 6.

    « Tu as déjà été punie avec des orties? »

    « Non, Maîtresse. »

    « Je vais te frotter les seins et les fesses ! Déshabille-toi ! »

    Quand je suis nue, je croise les poignets dans mon dos. Elle m'examine me tâte.

    Elle appelle Diane. Celle-ci arrive en courant, elle apporte un panier avec des orties fraîchement cueillies. Elle se met à me fouetter lentement les seins. Je ressens rapidement des démangeassions intenses, comme si des milliers de fourmis mordaient mes seins.

    Je geins etmurmure :

    « Je vous en supplie, Maîtresse... »

    « Tu dis quelque chose? » Demande-t-elle en accentuant la pression sur le bout de mes seins. J'ai tellement envie de mettre les mains sur mes seins, imaginant que ça calmerait les démangeaisons. Enfin, elle s'arrête. Elle passe ses doigts sur mes seins pour se rendre compte des petites boursouflures.

     

    « Maintenant on va faire quelque chose pour calmer les démangeaisons. »

    Aie!! Qu'est ce qu'elle va encore inventer. Je la regarde. Elle fait signe à Diane, qui sait de quoi il s'agit. Diane se met au-dessus de moi et se met à pisser, debout, sur mes seins. Les démangeaisons s'atténuent progressivement. J'ai de la pisse partout, mais ça me soulage. Quand Diane a fini, la belle fille pisse également sur moi. Quand elle a fini, elle me dit :

    « Alors? Ça calme vraiment les démangeaisons ? »

    « Oui merci, merci... Maîtresse? »

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  • Monsieur John ne veut qu'on utilise que sa bouche et la pauvre devra sucer et avaler tout le sperme de routiers qui mangeront chez Lili pendant 48 heures.

    Elle se plie à la tâche avec vaillance et je n'ai pas besoin de la corriger tant elle s'applique. Mais tant de queue à sucer lui fond mal à la machoire. Sa langue et ses lèvres sont endolorie et aprés une quinzaine de queues à avaler du sperme elle commence sérieusement à avoir la nausée.

    Son marathon de fellations se termine pour elle. John, son homme vient la rechecher et elle lui promet de ne jamais le tromper. Je reste seule avec Lili. Je suis épuisée aussi par se marathon de pipes et je m'endors tout contre Lili. Dans la nuit, je suis réveillée par une grosse envie de faire pipi. Il faut sortir et faire dans la nature. C'est marrant, je montre mes fesses à la lune, mais bon, un rien m'amuse.

    Le lendemain matin, Lili me réveille en me disant :

    « Viens dire bonjour à ma chatte! »

    Je m'installe entre ses jambes et passe ma langue entre ses lèvres. Elle réagit assez vite, ses cuisses tressaillent, son bassin bouge pour venir au devant de ma langue. Elle me caresse la tête, soupire. Je me concentre sur le clito de Lili. Je le lèche et le suce pour qu'elle jouisse.

    Les mouvements de son bassin s'accélèrent. Tout son corps se tend et elle jouit.

     

    Je vais ensuite aider Lili à préparer le petit déjeuner. Elle en profite pour m'annoncer :

    « Ah, oui, j'ai oublié de te dire un truc, je t'ai rachetée à Steph ! »

    « Mais heu enfin ?! J'suis pas une marchandise Madame ?! Et… euh… moi, je n'ai rien à dire?? »

    « Non. Et tu en as déjç trop dit ! Pour simplifier,: j'ai tous les droits sur toi ! Et toi aucuns. Tu es là au même titre qu'une chienne domestique. » 

    On termine de déjeuner. Je débarrasse et j'aide Lili à servir les premiers clients. Peu de temps avant midi, des jeunes loubards arrivent dans le resto. Je vais prendre leur commande et le chef me passe les mains au cul. En revenant avec leurs bières, celui qui semble être le chef demande à Lili :

     

    « Lili, tu m'a bien dis qu'on pouvait s'amuser avec ta serveuse ! »

    « Oui mais ça va vous faire 100 sacs les mecs ! »

    « Fais nous un pris merde ! »

    « Ok 50 sacs mais ne me l'abîmez pas ! »

    « Ca marche Lili on va bien s'marrer avec elle ! »

    «On va te donner une punition que tu mérites. »

    Ce gars doit avoir 18 ans à tout casser et une sale tronche de voyou.

    « Lasie, tu crois que tu vas recevoir une fessée? »

    « Je ne sais pas, Monsieur. »

    « Fout toi à poil salope ! »

    J'enlève mon jean et mon tee shirt et je me retrouve nue au milieu de la salle.

    Les jeunes s'assoient comme au spectacle. Le chef sort son couteau. Je frémie mais me rassure en me disant que Lili leurs a dit de ne pas m'esquinter. Il va couper des branche de coudrier et je devine rapidement qu'elle va être la teneur de la correction. El revient avec les branches et sans crier garde commence à me frapper avec. J'essaye de me protéger comme je le peux mais les coups pleuvent et n'epargnent aucune partie de mon corps. De me voir gesticuler sous les coups, fait rire les jeunes loubards qui encourage leur chef. 

    « J'f'rais c'que vous voudrez... Mais arrêtez.... J'obbééirai, Monsieur ! »

    « Je sais Lasie, mais c'est pas fini. On s'amuse trop bien avec toi ! »

    Il frappe une douzaine de fois, en prenant bien son temps.

    Ssssswwwiiitttccchhh, je crie…

    « Aaaaaiiiieee!!! »

    Il me prévient :

    « Les fesses.... attention! »

    Swwwitch « Aaaaaiiieiee!! »

    Le salopard, il m'a frappé les seins !

    "Swiiitch!!" "Aiiiieeee!!! pitié Monsieur !!!! »

    Je crie à chaque coup et j'ai le visage plein de larmes. Il s'arrête, enfin. Je n'ose pas bouger.

    « Vous croyez qu'ça suffit les mecs? »

    « Oo ooouuuiiii!!! J' vous jure que ça suffit… Monsieur !! »

    « Ta gueule petasse ! C'est pas à toi qu'j'cause ! »

    J'ai honte et je regarde les trois mecs qui rigolent. Ils ont sortis leurs sexes et le caressent en me regardant.

    « Maintenant occupes toi de mes potes ! »

    J'ai l'impression d'être offerte à tous et pas très cher de surcroit. Ils ont envie de jouer à évaluer ma valeur marchande.

    « Pour le prix qu'on rake, faut d'abord voir la marchandise! »

    Les loubards viennent me tâter les seins, la chatte, les fesses…

    « Ils sont énormes ses nibards! C'est pas vrai!! Elle doit faire un 95 E. »

    Rires de tous… Puis ça part dans tous les sens.

    « C'est pas des seins.... C'est des mamelles !! »

    « Une vrai vache laitiére cette salope !!! »

    « Ah ouais, pour sûre !!! Et son cul, elle a pas besoin de coussin pour s'asseoir! »

    « Ouai ! On doit être bien d'dans ! »

    Trop drôle les salops. Il vont m'humilier encore combien de temps ?

    « C'est le genre de fille qu'on baise contre un réverbère ou sur l'capot d'une caisse ! »

     

    « Léche nous la bite salope ! »

    Je suis devant ces deux queues dressées presque admirative.

    « Alors tu t'décides? »

    « Oui, oui !!!! »

    J'adore sucer et je m'empresse de les prendre dans ma bouche. Je passe de l'un à l'autre.

    « Vous n'aurez jamais eu des bites aussi nickel, les gars! », dit Yvan.

    Rires gras et appréciation des potes.

    « Elle aime ça la salope. C'est une putain de gourmande ! »

    Ils doivent avoir l'habitude de se partager les filles, car quand ils s'estiment assez pompé, il y en a un qui se couche sur le dos… Il me fait signe et je grimpe sur lui. J'enfonce son sexe en moi. Là, pas de problèmes. Il écarte mes fesses offrant mon cul à son copain.  

    « Doucement, doucement s'il vous plaît!! »

    Cause toujours. La racaille m'encule d'un coup de reins, jusqu'aux couilles…

    «  Aaaaiiiieee!!… ppppfffffff!!! »

    Heureusement que ma porte de derrière a déjà été utilisée. Je suis empalée des deux côtés. Un a sa bite dans ma chatte et l'autre dans mon cul. A mon corps défendant, ça finit par me faire de l'effet, c'est mécanique. J'accompagne d'un coup de reins, celui qui sort, puis celui qui entre.

    « Ça te plait, salope? Qu'est ce qui te plaît, dis le! »

    « Euh… Ca me plaît d'être baisé comme une chienne par les deux trous ! »

    A peine ai-je parlé que leur chef me fourre sa bite au fond de la gorge. Le public présent applaudit. J'offre un spectacle unique.

     

    Ils m'inondent ensemble. On reste un peu couché… essoufflés… et puis sans qu'on me le demande, je nettoie leurs queue avec ma bouche. Notre numéro a du exciter le public car ils jouissent rapidement. De retour dans le restaurant, Lili n'a pas l'air de beaucoup se soucier du traitement que je viens de recevoir. L'apés midi, la Bentley de John arrive et freine à notre hauteur.

    « Lasie, on t'a louée pour quelques heures avec ta copine ! »

    Il descend, va à l'arrière de la voiture, ouvre le coffre et dit :

    « Grimpez!! »

    « Dfans le coffre Monsieur ?! »

    « T'es une pute, non? Allez, monte dans le coffre! »

    Le coffre se referme. Il fait noir de chez noir là dedans. Qu'est ce qu'ils vont nous faire?

    J'ai la trouille. On s'arrête, enfin. Des portières claquent et le coffre s'ouvre.

     

     

    On entre dans une grange. Le gros type ouvre une bouteille de champagne et sert tout le monde, sauf nous, bien sûr. Les trois autres sont déjà bien bourrés. Ils s'installent dans les fauteuils, nous on est debout au milieu. Ils discutent et rigolent. Le gros raconte une histoire sensée être drôle.

    « C'est 2 putes dans un ascenseur, il y a en une qui dit, "Tiens ça sent le sperme tout à coup", l'autre réponds, "Oui sorry, j'ai fais un renvoi!". »

    Trop marrant....

    Je regarde autour de nous et je vois une camera sur la cheminée.

    Au bout d'un moment le gros nous dit :

    « Qu'est ce que vous attendez pour vous foutre à poils, »

    On se déshabille.

    « Servez nous à boire ! »

    Nous allons chercher une bouteille et les servons en se faisant copieusement peloter au passage.

    « Il serait temps de faire un régime Lasie! » me dit le maigre en me pinçant les fesses.

    On nous attache sur un chevalet.

    « On va les fouetter ensemble. Ca va être plus marrant ! »

    Il sort un martinet d'un sac.

    « Ça, ça fait mal, on va vous punir vilaines filles !!! »

    Le lève le martinet, et l'abat sur les fesses de Marie Charlotte. Elle se raidit mais ne dit rien. Pourtant dans cette position, une partie des lanières lui atterrissent sur la chatte. Alors que je la regarde, c'est à mon tour de recevoir un coup mais contrairement à ma copine, je hurle de douleur.

     

    Le gros attend un peu et nous dit :

    « Monsieur John, veut que vous soyez punies là où vous avez péché. »

    Il lève le martinet et frappe à tour de rôle, nos fesses et nos chattes. Là, entre nous deux, c'est un concert de gémissements et de cris.

    Nous recevons une bonne douzaine de cinglées. Le gros reprend un peu son souffle et lève le bras à nouveau, mais heureusement, Raf le chauffeur lui dit :

    « Ça suffit! Vous allez les abîmer. Il ner faut pas gâcher la marchandise ! »

    Le gros s'arrête. Nous poussons un long soupir de soulagement. Nos fesses et nos chattes, nous chauffent et sont couvertes de traces, dont certaines sont un peu boursouflées.

    Le gros s'éponge le front et va se servir un grand verre de vin rouge. John, le grand maigre, a sorti son sexe et se caresse.

    « Ca m'excite de voir vos vulves aussi rouge que celle d'une guenon! Venez nous sucer! »

    Docile, nous commençons à nous occuper des queues des deux salopards. Pendant ce temps, le gros picole tout en se faisant sucer. Le grand maigre, que je suce, jouit dans ma bouche.

    « A moi! » dit le gros. Marie charlotte n'a même pas le temps de dire ouf que dans un rêle de goret, il se vide dans la gorge de ma copine qui s'en étouffe. Ca les fait rire tout les deux.

     

     

    Le cul et la chatte en feu, Raf le chauffeur nous remporte au restaurant. Le lendemain, nos chattes sont encore sensibles et des traces des sévices subsistent. Lili nous dit au petit déjeuné :

    « Marie Charlotte va repartir avec Raf. Moi je viens de vendre la boutique et je t'ai revendu. »

    Je ne me sens pas très bien tout à coup. Mais, elle est dingue ! Pour une fois je suis décidée, je lui dis :

    « Je pars de mon côté! »

    « Tu fera ce qu'on te dit salope ! Faut être prudente, Lasie, un accident est si vite arrivé! »

     

     

    Je vois très bien ce qu'il veut dire. Pendant cette conversation, il y a un routier qui mange un sandwich, il nous dit :

    « La pute bosse pas sur le parking? »

    « Si bien sûr !!! qu'es-ce qui t'ferait plaisir !» dit Lily

    « Une pipe. »

    « C'est jour de braderie..... 20€ ! »

    Jusqu'au bout elle m'aura exploitée la salope de Lily. Mais bon, je dois être prudente avec Raf qui surveille. Je vais avec le routier, derrière la caravane, et à genoux, je lui fais une pipe pendant qu'il termine son sandwich. Il avale sa dernière bouchée, tandis que j'avale son sperme.

    « Bon appétit me dit-il alors qu'il déverse sa semence dans ma bouche. 

    Je lui dis :

    « Merci Monsieur ! Vous voulez bien dire à Lily que j'ai fait une bonne pipe. »

    Quand on retourne vers les autres, il lance dans la salle :

    « Cette petite pute suce comme une reine !!! »

    On dit au revoir à Lily et on monte dans la voiture avec Raf. Il nous conduit devant une grande propriété. On arrive devant des grilles. Un gardien nous accueille. On monte au premier étage où des gardes encadre une porte. Une grande blonde très sexy nous fait entrer dans un grand bureau. Marie Charlotte connaît l'homme qui est là. Elle me présente :

    « Bonjour Monsieur. Voilà Lasie ! »

    L'homme me tend une feuille et me dit d'un ton autoritaire :

    « Signez ! »

    Je signe.

    « Vous ne lisez même pas? Elle n'est pas un peu demeurée ta Lasie? » demande le russe à Marie Charlotte. Sans attendre de réponse, il s'adresse à moi.

    « Vous n'avez rien écouté de ce qu'on a dit? »

    « Euh… si… enfin, non, pas vraiment, mais maintenant je vais écouter… »

    « Non, on va changer de méthode. »

    Il décroche son téléphone et parle en russe. Raf arrive alors et je quitte la pièce avec lui. On descend un escalier vers la cave. On entre dans une cave.

    « A poil ! » L'ordre claque comme un coup de fouet.

    Docile, je me met nue devant le grand black. Quand c'est fait, il me met des menottes. Puis il attache les à une sorte de mousqueton fixé au plafond.

     

    « Toi, envie zig zig?? »

    « Oh oui Monsieur très, très envie. »

    N'importe quoi, pour qu'il ne me frappe plus!! Il me tient par les fesses d'une main, de l'autre il sort son sexe et me pénètre d'un coup. Le black me fait aller et venir sur son sexe simplement en me tenant par les fesses. Il me balade sur son sexe, comme si j'étais un sex toy. Enfin, il jouit en moi. Il me plaque d'un bras contre lui et de l'autre, détache la corde qui me maintenait sur la pointe des pieds.

    « Si toi pas écouter patron toi la nuit ici ! »

    « Je vais écouter Monsieur !!! »

    Du doigt, il me montre son sexe encore à moitié en érection. Je comprends très bien le message, ça veut dire :

    « Suce moi pour le nettoyer ! »

    Une foi nettoyé, il me reprend par les cheveux et on fait le chemin vers le 1er étage, en sens inverse. Même pas la reconnaissance de la bite assouvie et lavée, le mec. Quand on arrive dans le bureau, le patron me dit :

    « Vous croyez que vous allez être plus attentive? Vous êtes sale, vous avez les yeux rouge et du sperme qui coule le long des cuisses !  Allez attendre à côté, quelqu'un va venir! »     

    Arrive une blonde. Je suis nue. Elle va dans la salle de bain et me désigne la douche. Elle me savonne partout. Après, elle me sèche, me coiffe avec une queue de cheval, puis me maquille comme sa barbie.

     

    On retourne dans le bureau du patron

    La secrétaire et le garde n'ont pas l'air étonné que je sois nue.

    « Vous avez moins l'air d'une souillon. Demandez à mon fils de venir ! »

    Arrive un jeune type à l'air patibulaire. Il tourne autour de moi et me dit :

    « Penche-toi ! »

    Il m'enfonce brutalement un doigt dans le cul. Je pousse un petit cri contenu. Il passe à mes seins, les tripote, pince les bouts.

    « Elle a de grosses mamelles ! Une bonne vache laitiére."

    Monsieur Ruskov me regarde.

    « Qu'est ce que je vais faire de toi ? Je te vendrais bien dans le réseaux de traite des blanches ! Ah j'ai une idée… va attendre à côté. »  

    Me vendre, non mais il est cinglé, l'autre! Je retourne à côté et j'attends en ruminant des idées noire. Une métisse aux cheveux longs se pointe. Le patron lui parle et elle me dit :

    « Rhabille toi et viens avec moi ! »

     

    On sort de la maison, elle a une grosse moto. Elle me donne le casque qui est sur la selle.

    Les dessous de Michèle 11

     

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