• Les jours passent et se ressemblent. Quand j'entre dans la cuisine. Martine, comme d'habitude, passe la main sous ma jupe pour vérifier que je n'ai pas de culotte et que mes fesses sont à sa disposition.

    « Martine j'ai envie de pisser ! »

    « Ok ! Vas pisser sur la pelouse et reviens vite ! »

    Je cours dans le jardin et je m'accroupis sur la pelouse.

    Pppppffff, ça fait du bien…. J'arrache une touffe d'herbe pour m'essuyer et retourne dans la cuisine. Arrive le facteur, très copain avec Martine. Il dit bonjour à Martine puis à Stéphanie. Il a dû me voir en arrivant car il me dit :

    « Tu pisses dans le jardin, comme les chiennes maintenant? Elles ont de drôles de jeux les patronnes ! »

    Mais bon, il n'est pas trop surpris car Martine lui a déjà parlé des partouzes qui se déroulent dans le manoir.

    « Tu comprends, Madame veut que j'éduque cette petite gourde. Elle veut qu'elle soit au même niveau que les chiens de garde. Alors quand elle est fait une connerie, je lui donne une fessée ou je la laisse pisser comme les chiennes devant tout le monde. Elle doit aussi se laisser faire par quiconque veut d'elle ! »

    Ah ça, ça l'intéresse. Il demande :

    « Sérieux???? Tu la fesses vraiment? Et si je veux, je peux me faire sucer ou la baiser comme je veux ? »

    « Bien sûr et pas qu'un peu ! »

    Stéphanie confirme :

    « Ah ça, pour ce qui est de lui faire passer les fesses au rouge, Martine est championne ! Et la salope a tout les trous ouvert pour tout les hommes. Une vrai vide couilles ! »

    Le facteur a une grosse envie d'assister à une fessée et me baiser. Je le vois réfléchir et afficher un sourire malsain.

    « J'veux voir çà ! Et je peux me faire sucer en même temps ? »

    Martine saute sur l'occasion. Elle adore me fesser et me voir en prendre plein la bouche. Elle crache dans sa main puis la tend au facteur.

    « Tope là! »

    « Viens ici Lasie !  Pipe et fessée de bon matin met la chienne de bon entrain ! »

    Tous rigolent de la blague sauf moi. Je vais encore manger. Vivement que j'ai assez d'argent pour me barrer de cette taule de tarés. Je sais que c'est inutile mais je dis quand même :

    « Mais j'ai rien fait Madame Martine! »

    « Tu obéis immédiatement ou je prends la cuillére en bois!! »

    Résignée, je me couche en vitesse sur ses genoux. Elle relève ma jupe.

    « Vingt d-ju! Le joli p'tit cul ! » dit le facteur.

    Martine lève la main et me fesse à grandes claques retentissantes. Pendant ce temps, le facteur a mis sa queue dans ma bouche et me prenant par les cheveux me baise la bouche. Stéphanie rigole et me dis :

    « Tu vas avoir du mal à t'assoir Lasie. Martine ne va s'arrêter que lorsque le facteur se sera lâché dans ta bouche ! »

    J'espère que c'est un éjaculateur précoce car ça peut durer longtemps cette histoire. Et ça dure, ça dure… A la fin je pleure et je la supplie d'arrêter.Mais la queue étouffe mes plaintes. Ils rigolent tous les trois. Le facteur éjacule enfin dans ma bouche et bien sûr je dois avaler.

    « Merci Monsieur le facteur d'avoir honoré ma bouche et merci Madame Martine pour cette fessée. »

    « Polie avec ça la petiote ! » dit le facteur.  

    Martine me relève, coince ma jupe sous ma ceinture et m'envoie au coin. Elle veut en mettre plein la vue au facteur.

    « J'vais avoir du mal à continuer ma tournée! » dit-il.

    « C'est la faute à Lasie ! » dit Stéphanie en riant.

    A ce moment, une sonnerie retenti.

    « Trois coups, ça veut dire Lasie chez Madame, et rapidementl!! » Explique-t-elle au facteur."  

    Je dis au revoir au facteur. Il en profite pour m'embrasser sur la bouche en me pelotant les fesses encore toutes chaudes de la fessée. Il aura de quoi raconter à ses copains à l'heure de l'apéro.

    « Allez grouille-toi ! » lance Martine.

    Je me dépêche de monter vers la chambre. Mais, quand j'arrive dans la chambre de Madame, elle est occupée à remplir un sac de voyage.

    « Je dois m'absenter d'urgence deux semaines. Je vous confis à Katia ! »

    « Oh, non, Madame, elle est... »

    Elle lève la main et m'envoie une bonne paire de gifles.

    « Pour vous apprendre à discuter ! »

    Ouch!! Je me frotte les joues. Celles là, je les ai bien cherchées. Non seulement, j'ai les fesses toutes rouges mais les joues aussi maintenant.

    «  Soyez bien obéissante avec Katia ! »

     J'arrive dans ma chambre, Katia est déjà là.   

    « Bonjour, Mademoiselle. »

    « A partir de maintenant, vous êtes à mon service. Alors tenez vous à carreau ! »

    Katia sort de son sac un short en jean, un tee-shirt et des baskets.

    « Met ça! » dit-elle.  

    Je me change.  

    « Allez, on y va! »

    J'ose demander :

    « On va où? »

    « Vous le verrez bien assez tôt ! »

    On quitte la maison rapidement. On prend un bus qui nous amène dans le Nord de la ville.

    Katia a l'air tendue, elle ne parle pas. Je ne comprends pas pourquoi on ne prend pas sa voiture. Que ce passe-t-il ? La voilà qui fait du stop. Habillés comme nous sommes, en short et nue dessous, on est super bonne.

    Un camion, s'arrêtent assez rapidement. Il nous fait un grand sourire et dit :

    « Deux jolies fleurs perdues sur le bord de la route ? J'vous monte où ! Nous demande-t-il.

    « Pa s tout de suite quand même ! » lui répond Katia en rigolant.

    On grimpe dans le camion et nous voilà parti. Katia discute avec lui. Moi je somnole. J'ai des raisons de ne pas trop l'aimer, mais je crois qu'elle jouait le rôle que Madame lui avait assigné. Je ne fais pas attention à ce qu'ils disent, sauf quand j'entends :

    « Si tu nous invites à manger ce midi, la petite te suce! »  

    Là, je suis réveillée.

    « Sérieux? » me demande le chauffeur.

    « Oui Monsieur... »

    « C'est d'accord ! » Dit-il d'un ton enjoué.

     Il va se garer non loin des autres camions sur le parking du resto routier. Katia reste sur le siège avant et Amed, le chauffeur, m'invite à passer derrière sur la couchette.

    « Déshabille-toi ! » me dit-il.

    Il me caresse les seins, me met un doigt dans la chatte et constate que je suis prête à accueillir un visiteur. Son sexe se dresse devant moi. Je le prends en bouche.

    Katia nous regarde et lui demande :

    « Elle suce bien? »

    « Comme une vraie pute! », dit-il.

    « Tu sais qu'elle se fait bien enculer aussi ! »

    Amed n'en croit pas ses oreille et moi non au passage.

    « Lasie, mets-toi à 4 pattes et laisse le te prendre le cul ! »

    Pffff... Je me mets à genoux, le front sur mes mains croisées et je tends mes fesses.  

    « Oh, elles sont toutes rouges! », dit-il.

    « Elle n'a pas été sage! » répond Katia.

    Je sens son sexe pousser sur ma rosette. Surtout ne pas me contracte, quand il va me pénétrer.

    « Allez Amed ! Encule cette chienne ! »

    Oooooouuuccchhhhhh!!! Son sexe m'empale et machinalement, je lui demande :

    « Doucement s'il vous plait Maître ! »

    Il me baise à grands coups de reins, ses couilles viennent claquer sur mes fesses. Je reste prudente dans la façon de m'offrir, car son sexe est un gros modèle. Katia s'en aperçoit et me dit :

    « Cambre toi mieux petite conne et participe! »

    Je réponds à ces coups de reins. Katia glisse sa main sous moi et me titille le clito. On monte ensemble, son sexe gonfle dans mon cul, tandis qu'un orgasme fulgurant monte en moi. Je sens son sexe m'inonder et je joui en même temps.

     

    On reste un peu en connexion, puis il se retire. Amed dit :

    « Vous avez des drôles d'amusements, les filles! »

    « Ça t'a plu? » demande Katia.

    « Ba oui forcément deux salopes comme vous ! »

    On se rhabille et on reprend nos places sur le siège avant. Je dis à Katia :

    « J'voudrais aller aux toilettes ! »

    « Pour pisser? » demande t-elle.

    « Non c'est le sperme qui me donne vraiment envie de faire la grosse commission ! »

    « Ben non! Ton Maître te fait l'honneur de jouir dans ton cul et toi tu voudrais l'expulser le plus vite possible? »

    Amed s'y met lui aussi et me dit en riant :

    «T'as qu'à serrer les fesses! »

    On arrive dans le resto routier. Nous ne sommes pas les moins regardé. Je regarde Katia avec des yeux suppliants.

    « Qu'est ce que vous avez à faire cette tête?", demande-t-elle agacée.

    Je mets une main sur mon ventre.

    « Je dois aller aux toilettes, je vous en prie… ! »

    Elle me fait un signe de tête… Ouf! J'y cours. Après avoir mangé, il nous donne son adresse à Paris.

    « Merci on passera sûrement te voir, dans le courant du mois prochain. »

    « Tu fais comment pour vivre ? » demande Amed à Katia.

    « j'ai Lasie. Je la loue et la fais travailler! »

    « Ça te plait de te faire utiliser comme ça ? » me demande Amed.

    Je fais un timide « Oui Maître. »

    Amed veut en savoir plus.

    « Tu lui fais vraiment faire ce que tu veux? »

    « Oui, elle m’obéis sans poser de question. Sinon c'est le fouet ! J'vais la faire travailler, genre, poser pour des photos de cul ou travailler dans un peep show. »

    « Oh putain cette idée me fait rebander, mes salopes ! » dit Amed.  

    Amed nous dépose à une sortie d'autoroute et nous refaisons du stop. Une voiture s'arrête.

    « On va à St Estéphe Monsieur ! »

    On arrive devant un château entouré de vignes.

    « On va faire les vendanges. Ici on ne viendra pas nous chercher! », dit Katia.

    Je comprend d'un coup que c'est elle et Madame qui sont recherchées. Derrière le château, on va se présenter au contremaître. Il prend nos noms, vérifie nos âges, c'est Katia qui a ma carte d'identité. Le contremaître appelle deux jeunes gars pour qu'ils nous fassent visiter. Ils sont sympas. Ce sont des étudiants comme pas mal de jeune qui sont ici. Les dortoirs ne sont pas luxueux mais ça nous convient. Peu de temps après, à 19 h, c'est le repas. Sympa aussi, il y a des jeunes qui viennent de tous les coins de France. Le vin est à volonté et l'ambiance décontractée. Le lendemain à 6 h, un réveil sonne. Toilette sommaire et commune.

    Petit déjeuner rapide et on attaque les vendanges.  

    C'est crevant. Je vois Katia qui discute avec le contremaître qui semble intéressé par ses propos.

    Le soir permet de décompresser, mais je ne pense qu'à une chose ; dormir.

    Elle me dit :

    « J'vais travailler dans les bureaux. Toi, tu fais ton boulot convenablement et je te dirai quand on repart. »

    Le lendemain, alors que je coupe mes grappes de raisin, soudain, je ressens une vive douleur au mamelon. J'ai coincé une guêpe entre mes seins et elle m'a piqué.

    « Saloperie!! j'ai été piqué ! » Un garçon accourt. Je lui montre sans pudeur l'endroit et le voilà qu'Il se met aussitôt à genoux et me suce le sein.

    "Oh! Merci de m'avoir sucée!", je lui dis et je l'embrasse à pleine bouche pour le remercier.

    Sa bouche sur mon téton m'a émue et lui aussi manifestement.  Après ça, il me demande à plusieurs reprises si ça va. On échange des regards chargés de messages. Ben oui, un garçon qui vous suce, ça crée des liens. Le soir, je lui dis :

    « Tu veux me rejoindre… ? »

    Une fois qu'on a éteint, il vient dans mon lit. Il se colle à moi. Sa peau contre la mienne c'est très excitant.

    « Fais ce que tu veux de moi ! »

    Il me fait l'amour tout doucement. Je me laisse faire. Je joui comme dans un rêve humide.

    On passe les deux nuits suivantes, ensemble. La nuit, on fait l'amour sans bruit pour ne pas réveiller nos voisins. Il me pénètre au plus profond. Mmmmm, c'est exquis. On joui, silencieusement, bouche contre bouche, mélangeant nos salives et nos humeurs intimes.

       

    Mon amant doit repartir et reste seule avec mon blues. Je n'ai plus la pêche et le contremaître, vient, lui même, m'engueuler. Le chef me prend fermement par les cheveux et m’emmène jusqu'au groupe de filles, ravies de me voir ainsi malmenée.

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  • Ce matin, Madame est dans son lit occupée à déjeuner. Moi, je suis sous les draps entre ses cuisses à lui bouffer la chatte comme tout les matins. J'entends la porte qui s'ouvre bruyamment. 

    « Oh, Katia, ma chérie quelle bonne surprise ! » dit Madame.

    Elles s'embrassent sur la bouche longuement. Madame me repousse, en disant :

    « Sortez de là, Lasie ! »

    « Bonjour, Mademoiselle. »

    « Tiens qui voilà! ça va les fesses Lasie? »

    « Oui, merci Mademoiselle. »

    « Elle lèche bien? » demande-t-elle.

    « En général, oui… mais je ne sais pas ce qu'elle a ces derniers jours, elle fait ça du bout des lèvres, sans envie. »

    Evidemment Katia en remet une couche.

    « Je crois que tu devrais être plus dure avec cette idiote! »

    Puis, s'adressant à moi :

    « Ce n'est pas votre avis Lasie? »

    « Certainement, Mademoiselle, mais je… »

    Elle me coupe la parole.

    « Vous avez besoin d'un peu de gymnastique et je suis sûre qu'après vous lécherez votre Maîtresse avec beaucoup plus de soin! Déshabillez-vousi!! »

    Les dessous de Michèle 6

    Quand c'est fait, elle me dit :

    «  Mettez vous en position pour faire des pompes. »

    Je me met en position et Katia se déshabille et rejoint sa tante dans le lit pour se faire des câlins. Au bout d'un quart d'heure, je commence à avoir vraiment mal aux épaules. Katia sort du lit et me dit :

    « Ecartez les jambes! »

    Elle vient placer son pied entre mes cuisses et me caresse la chatte avec le dessus de son pied.

    « Est-ce que vous vous masturbez souvent Lasie? »

    « …euh…oui...Mademoiselle. »

     

    Madame vient se mettre sur le bord du lit pour mieux voir. Katia continue à me masturber avec son pied. Je commence à mouiller. Elle enfonce son gros orteil dans mon vagin. J'ai un sursaut. Elle accélère le mouvement. Son orteil va et vient de plus en plus vite dans mon vagin. C'est trop… je jouis sur son pied en couinant.

    Les dessous de Michèle 6

     

    Madame lui dit :

    « Qu'est ce que tu es taquine toi! »

    Taquine, taquine!! Elle a des ces mots.

    « Regardez mon pied Lasie! Vous l'avez souillé avec votre bave vaginale. Nettoyez le avec votre langue comme une petite chienne ! »

    Ouuuuuf!! Mes épaules, mes bras, mon dos et mes reins me font vraiment mal. Je me précipite et lèche son pied mouillé de ma cyprine.

    Madame caresse les seins de Katia, en disant :

    « J'adore tes idées... Mais, on a assez joué avec cette bonniche. Je veux te remercier... »

     

    Katia lui sourit et Madame de file entre les cuisses de Katia. Moi je me rhabille et descends à la cuisine, laissant les deux salopes se gouiner entre elles.

    Les dessous de Michèle 6

    Arrivée dans la cuisine, je fais tomber par inadvertance une assiette. Pour mon malheur, je suis assez maladroite et nulle en cuisine. Un motif de plus pour la cuisinière et Stéphanie de me houspiller. Je suis sûre d'être punie à la grande joie du jardinier, de Stéphanie ou des gardes de la propriété qui ne marquent jamais mes punitions. Il y a toujours des spectateurs à ce moment là. Martine, la cuisinière, se sent le centre d'intérêt et elle adore ça. Sa punition préférée est de me donner la fessée. Alors, celle-ci m'empoigne, me couche sur ses genoux, culotte baissée et m'envoie une série de claques sonores sur les fesses du plat de la main. Martine me claque jusqu'à ce que mes fesses soient bien rouges et que je commence à pleurer et à la supplier.

    Les dessous de Michèle 6

    Elle me remet sur mes pieds en disant :

    « Tache au moyen de faire plus attention, sinon il y en a une autre qui t'attend ! »

    Ça met tout le monde de bonne humeur d'avoir vu mes fesses danser sous les claques et les spectateurs la félicite.

    « Bravo Martine, tu es la championne de la fessée ! »

     

    Tout est prétexte pour me chauffer les fesses. Les fessées sont rapides et douloureuses, mais après quelques heures les marques de ses doigts ont presque disparues. A tout prendre, j'aime encore mieux être fessée que subir d'autres punitions, plus vicieuse comme Stéphanie a le don de trouver. Comme par exemple quand je l'ai traité de connasse, entre les dents. Avec l'accord de Martine, J'ai été obligée de manger dans la gamelle des chiens.

    Les dessous de Michèle 6

     

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  • Le lendemain matin, Madame me dit :

    « Alors sucer le jardinier, ça a dû vous plaire? »

    Vu sa bonne humeur, je réponds la vérité.

    « Oh, non Madame, c'est un gros porc ! »

    Elle rigole et me répond :

    « Ce sont les gens de la campagne, ça! Mais ça ne semblait pas vous déplaire pourtant !»

     Du doigt, elle me désigne sa chatte. Alors je glisse mon visage contre sa chatte et ma langue remonte entre ses lèvres. 

     

     

     

    Pendant que je la lèche, elle dit :

    « J'ai décidé que vous allez donner un coup de main au jardinier. Vous lui plaisez. Je lui demanderai, s'il est content de vous. Tachez que ce soit le cas, sinon je pourrais ne plus être aussi gentille. Compris, Lasie? »

    « Voui M'dame. »

     Les jours suivants, je ne peux m'empêcher de penser à la fessée du samedi. La collaboration avec le jardinier se passe pas trop mal. Il profite de chaque instant pour me peloter les seins, ou me faire sucer son gros sguegue. Je le suce soigneusement et quand il joui, j'avale tout, comme une apprentie bien élevée.

    Je lui demande poliment :

    « Vous direz à Madame que tout s'est bien passé, s'il vous plait? »

    Il fait semblant d'hésiter. Il me caresse la joue en disant :

    « Je dirai à Madame que tu as 7/10 pour les travaux et 8/10 pour la pipe ! »

    « Merci, Monsieur. »

    Le reste de la semaine se passe sans trop de problèmes. Enfin, c'est samedi. Le matin je suis très stressée. La cousine et ses copains arrivent . En guise de bonjour, elle passe une main sous ma jupe pour me palper les fesses en disant :

    « Pas trop d'appréhension, Lasie? »

    Elle a un sourire angélique.

    « Tu as raison, car il y aura une surprise ! »

    Je fais la grimace.

    Une heure se passe. Je sers à boire. Ambiance très détendue, enfin pour eux. Moi j'ai des papillons qui virevolettent dans mon estomac.

    La cousine prend la parole :

    « Chers amis, une petite corvée. J'ai promis à ma tante de fesser cette salope de Lasie ! Je le ferais bien maintenant! »

    «Tous en cœur scandent :

    « Oui Oui La fessée la fessée !! »

    « Jean Luc, tu es prêt pour filmer? »

    QUOI!! On va tout filmer?? Et puis bon, au point où j'en suis... j'm'en fout.

    « Lasie, vous savez ce que vous devez faire, ce n'est pas votre première fessée! »

    Je remonte ma jupe, baisse ma culotte jusqu'aux chevilles. Les filles se marrent en me voyant si docile. Je me couche sur les cuisses de cette salope.

    « Attention, je commence. » dit la vicieuse. Elle m'envoie une bonne claque. Je geins un peu. Les claques se succèdent, je sens que mes fesses rougissent, le gars qui filme aura de belles images.

     

       

    Elle s'arrête, je crois que c'est fini, mais non elle souffle sur sa main.

    « Termine avec ça ! » lui dit une copine en lui tendant sa sandale.

    Elle se saisie de la sandale, lève le bras et "PAF!!" ça claque comme un pétard sur mes fesses.

    « Aaaaiiiie!!! », là, je crie vraiment.

    Cette pute tape plus vite et fort. Je crie à chaque coup et mon visage s'innonde de larmes. 

    Elle pose sa main sur mes fesses en me disant :

    « C'est pour avoir taché ma robe, tu retiendras la leçon? »

    Je geins en disant :

    « Oui, Mademoiselle, je vous le juuuure... ! »

    « Belle couleur de tomate... » dit une fille en me caressant les fesses. Tous les autres viennent me les palper. La cousine perverse me relâche. Je me lève étourdie. Mes jambes tremblent. J'ai les fesses en feu, les joues rouges et mouillées de larmes.

    « Si tu veux éviter que je continue, tu sais ce que tu dois faire ? » me dit-elle.

    Oui, je sais… Je me mets à genoux entre ses jambes et je dis en pleurnichant :

    « Merci pour la fessée, Mademoiselle. »

    « Ce fut un plaisir, Lasie ! A la prochaine maladresse, je serai moins gentille.» répondit-elle

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  • Punition méritée

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  • Je me rappelle des mots de Monsieur  "mon épouse aime mener son personnel à la baguette". Ce n'était pas une image.  En fait, Madame a vraiment tous les droits sur son personnel. Quand j'ai demandé à aller en ville, on m'a répondu :

    « Vous ne vous rappelez donc pas les termes du contrat Lasie ? En aucun cas vous ne devez sortir seule du domaine ! »

    Je voulais une discipline de vie en venant ici mais là, j'ai l'impression d'être prisonnière. Quand j'aurai gagné assez d'argent, je romprais ce contrat pour partir. Obéir, d'accord, mais à la moindre faute, Madame puni et elle n'y va pas de main morte. Hier midi, elle recevait pour l'anniversaire de sa peste de cousine. Nous étions deux pour servir les convives. A un moment, j'ai renversé un peu de sauce sur la robe de la cousine.

    « Espèce d'idiote!! J'ai plein de sauce sur ma robe. »

    Affolée, je lui présente me plates excuses.

    « Je vous demande pardon, Mademoiselle, je vais la nettoyer. »

    J'ai fais de mon mieux mais hélas, il restait une trace. Elle m'a tirée brutalement par les cheveux et en me regardant furieuse dans les yeux elle me lance :

    « Ca tu vas le payer, connasse!! »

     

     

    S'adressant à Madame, elle dit :

    « La tâche ne partira jamais et je me demande si cette gourde ne l'a pas fait exprès ! Elle mérite une punition chère cousine!! »

    « C'est aussi mon avis ma chérie. »

    Se retournant vers les invités, elle leurs demande :

    « Qu'en pensez-vous chers amis ? Que souhaitez-vous infliger à cette idiote !? »

    Morte de trouille, j'ai essayé de les amadouer.

    « Je ne l'ai pas fait exprès, je vous le jure, je laverai votre robe ! »

    C'était peine perdue. De toute façon, la seule chose qu'ils souhaitaient, c'était de s'amuser avec moi à mes dépends.

    Madame a tranché.

    « Lasie allez à la cuisine me chercher une cuillère en bois ! »

    Marthe la cuisinière qui avait tout entendu, m'a tendu la cuillère en disant :

    « Tu vas déguster, ma fille! »

    Madame a pris la cuillère.

    « Penchez-vous et relevez votre jupe Lasie ! »

    J'ai obéit et elle a frappé un premier coup sec en travers de mes fesses.

    « OUCH!! Ça fait très mal Madame ! »

    « Taisez-vous ! »

    Chaque invités est passeé me cingler les fesses. Le coup de semonce fût dpnné par sa salope de cousine qui vicieusement demandat :

    « Ecartez les cuisses que je vous claque la chatte ! »

    Là j'ai hurlé sous le coup mais ça les a fait tous rire.

     

    Mes fesses me brûlaient. Madame a dit :

    « Bon, on a autre chose à faire que punir une bonne maladroite, on va ouvrir les cadeaux ! Reprenez votre service, Lasie et, attention, à la prochaine maladresse, je serais moins gentille. »

    Gentille ? Gentille ?!!!! Elle en a de bonnes celle-là ! Si j'avais pas tant besoin de fric, je me barrerais de suite. Mais je dois tenir bon, le temps de me faire un petit pécule. Le reste de l'après midi c'est passé sans maladresse de ma part. Quand ils invités sont partis. Madame m'a appelée dans le salon. Qu'est ce qu'elle va encore me faire???

    « Lasie, quand je prends la peine de vous punir, c'est pour votre bien. Aussi, la moindre des choses serait de me remercier ! »

    Quoi? La remercier de m'avoir frappée aussi cruellement et devant ses invités ? Elle est folle ou quoi?? Jamais de la vie!

    « J'attends Lasie ! Ne me faite pas perdre mon précieux temps ! »

    Le ton est sec et j'ai tellement peur de recevoir une autre correction que je me plie à sa demande.

    «Je vous remercie de m'avoir punie, Madame, et je vous prie de m'excuser pour ma maladresse! »

    « C'est vraiment le minimum que vous puissiez faire! J'accepte vos excuses, surtout parce ça a amusé tout le monde de vous voir vos fesse rougir et vous voir vous trémousser et grimacer sous les coups. »

    Elle a relevé sa jupe, enlevé sa culotte et m'a dit :

    « Vous savez quoi faire ! »

    Je me suis mise à genoux, elle a caressé ma joue avec son pied. Je l'ai embrassé puis je suis remontée entre ses jambes. J'ai léché, sucé son sexe détrempé de mouille jusqu'à ce qu'elle jouisse.

     

     

    Le lendemain, Madame, arrive dans la cuisine pour discuter des menus de la semaine avec la cuisinière.

    « Pas de problèmes avec les filles? »

    « Stéphanie est très bien. Mais la nouvelle a eu des paroles déplacées avec le jardinier ! »

    Le rouge me monte aux joues et je baisse la tête et veux m'expliquer.

    « Mais…Madame...Il me met la main aux fesses, chaque fois qu'on se croise et quand je lui ai dit d'arrêter, il m'a répondu, "Toi tu vas me sucer la bite dans pas longtemps…" »

    « Et que lui avez vous répondu petite idiote? »

    « ... euh… Et bien... Je lui ai dit : dans tes rêves, bouffon! »

    Madame soupire.

    « César est un excellent jardinier et je lui donne le droit de faire de mes bonnes ce que bon lui semble ! Alors s'il vous mes la main aux fesses, vous le remerciez ! S'il vous demande une fellation, vous le faite et vous le remerciez ! S'il veut vous sauter ou vous sodomiser, vous le remerciez ! Compris Lasie ?! »

    La grosse cuisiniére en remet une couche et je serre les dents pour ne pas l'injurier et lui sauter dessus.

    « Elle est très polie avec vous, Madame, mais avec le jardinier, Stéphanie ou moi-même, elle peut être très désagréable. »

    Madame se retourne vers moi furieuse :

    « Petite chose insignifiante, savez-vous où vous vous situez dans la hiérarchie du personnel? »

    « En bas avec Stéphanie et le jardiner, Madame. »

    « Petite gourde ! Seriez vous idiote ? En dessous de vous, il n'y a plus personne. Même les chien ont plus de droits que vous ! Vous n'êtes rien ici ! Juste une chose qu'on utilise !  Vous vous êtes conduite comme une mal élevée. Je vais donc vous traitez, comme telle !  Stéphanie, allez me chercher le jardinier ! En attendant mettez-vous en position pour recevoir votre correction !»

    Les dessous de Michèle 4

    La cuisinière approuve.

    « Une bonne fessée lui fera du bien d'autant que notre ami a la main lourde! »

    Madame dit avec un rictus bizarre :

    « Et puis non ! Il sera plus plaisant de faire ça samedi après midi, il y aura ma cousine et sa bande de copains ! »

    « Votre cousine...et ses copains ??? Non je vous en supplie Madame !!! Je serais désormais avenante. »

    « Idiote, vous n'avez rien compris ! J'ai décidé, oui ! Samedi, en public et d'ici là, soyez trèèèèès gentille avec qui voudra vous utiliser Comris Lasie ? »

    Tout le monde rit, sauf moi. Elle ajoute :

    « Cet après midi on ira voir le jardinier et vous vous excuserez d'avoir été aussi désagréable. »

    L'après midi, alors que fait des corvées Madame arrive.

     

    « Prête pour les excuses, Lasie? »

    « Oui, Madame. »

    Dans le jardin, Madame et lui parlent plantes, fleurs, engrais, sans se préocuper de moi.

    Enfin, Madame se décide :

    « Lasie n'a pas été polie avec vous je crois. Elle veut vous faire ses excuses ! »

    L'homme se tourne vers moi en souriant et je m'exécute :

    « Je vous prie de m'excuser Monsieur. J'ai été très impolie avec vous. Je vous promet que ça n'arrivera plus. »

    Madame me regarde.

    « Pas très sincères vos excuses, mais bon, ça se réglera samedi ! »

    Mais le jardinier n'en reste pas là.

    « Madame, il me semble que vous lui aviez promis une pipe? Il ne faut pas la décevoir la petite ! »

    Je regarde Madame d'un air suppliant, mais elle dit sèchement :

    « Oui vous avez raison ! A genoux immédiatement! Mains dans le dos ! »

    Il ouvre son pantalon et son gros sexe vient dodeliner sous mon nez. Au secours!!!  Il engouffre sa grosse queue dans ma bouche. A chaque va et vient j'ai le nez dans ses poils et son gland au fond de la gorge. Qu'il jouisse vite… et que ça s'arrête.

     

     

     

    Tout à coup, elle dit :

    « Baisez la s'il vous plaît ! »

    On me met à 4 pattes, jupe retroussée et culotte baissée. Le jardinier s'agenouille derrière moi et se met à me labourer la chatte. Au moins, grâce à ça j'échapperai aux giclées de foutre dans la gorge. Il me baise en force, les mains agrippées à mes fesses. Les coups de reins s'accélèrent et bientôt, il jouit en poussant des grognements de gros goret. Hélas, les choses ne se terminent pas comme prévu pour moi, car il ressort de ma chatte et exige :

    « Nettoie ma queue salope ! »

    « Que devez-vous dire Lasie ? »

    « Merci Madame ! »

    « Pauvre gourde c'est à notre ami que tu dois ces remerciements ! »

    Oups... !

    « Merci Monsieur d'avoir honoré ma bouche et ma chatte de votre sexe. Et je m'excuse de vous avoir mal parlé Monsieur. »

     

     

     

     

     

     

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