• Ce matin, J'ai décidé d’aller ramasser des champignons en forêt. Je raffole des cèpes et des girolles. Je suis donc allé dans la foret de Cerisy à une quinzaine de kilomètres de chez moi. Je m'enfonce dans la foret en me frayant un chemin pour me rendre dans les endroits les moins fréquentés. Perdue au milieu de nul part, dans un endroit très isolé, j'entends des craquements derrière moi. Sans doute un cerf ou un sanglier, je me retourne et aperçois trois chasseurs qui se dirigent vers moi.

    « Bonjour !»

    Je suis un peu surprise car d’habitude je ne rencontre personne dans cet endroit perdu.
    « Bonjour ! Vous vous êtes perdu ? » répond le premier.
    « Non, non, je connais bien le coin. Je ramasse des champignons. Mais, ce n’est pas un coin pour la chasse, ici ?!! »
    « Vous ne devriez pas rester là, c’est dangereux … un coup de fusil c’est vite parti vous savez. »
    Humm, dubitative sur leurs réponse, je n'insiste pas. Ces trois hommes ne m'inspirent pas confiance. Je préfére m'éloigner rapidement, mais un autre relance la conversation.
    « La cueillette a été bonne, on dirait, c’est des cèpes ça ? »
    « Heu... Oui, il y en a pas mal ici. »
    «  Et vous n’avez pas peur d’aller dans les bois toute seule comme ça ? »
    « Non, pourquoi ? J’ai l’habitude, je connais bien cette forêt… »
    Je n'aime pas leurs questions et commence à me sentir mal à l’aise. Ces chasseurs me semblent alcoolisés et me dévisagent en me souriant bêtement.
    « Bon bah, bonne chasse alors, au revoir ! »
    «  Dis donc t'es pressée de nous quitter ? On va pas te manger ! »

    Le deuxième homme reprend :
    «  Pourtant elle est appétissante ! »

    Le troisième ajoute :

    « Regardez ses gros nichons ! »



    C'est vrai que mon top trop serré trahissait la grosseur de mes seins.
    Je panique et lâche mon panier pour m’enfuir. Mais, un premier homme, me retient fermement par le bras :
    « Hop là, où tu vas comme ça ? C’est pas poli de s’en aller en courant. Pour la peine, tu vas bien nous montrer tes grosses mamelles ? »
    «  Lâchez-moi, vous êtes bourrés, laissez-moi partir ! »
    «  Qu’est-ce t’en penses Rémi ? t’as pas envie de te rincer l’œil ? »
    Rémi, le plus gros des chasseurs, fait un signe de la tête pour acquiescer.

    « J'crois qu't’as pas trop le choix, cocotte ! Allez, déballes la marchandise ! » conclut Patrick, en maintenant mon bras derrière le dos.
    « Aïe, vous me faites mal, ordures, lâchez-moi je vous dis ! »
    «  Tu peux crier, salope, personne t’entend ici ! »
    Le troisième chasseur s'approche de moi et arrache des deux mains mon top. Mes seins opulents débordent de mon soutien-gorge et le fumier me l'enléve rapidement pour les libérer à leurs yeux de chasseurs excités.
    « C'est pas des seins ça ! Se sont des mamelles de vaches laitières ! Putain, ils sont carrément énormes, tes nichons espéce de putain ! » s’exclame le fameux Gilles.


    «  Elle m’a excité cette petite garce ! » poursuivit Rémi qui extirpe une grosse verge demie molle de son pantalon.
    Rémi commence à se masturber frénétiquement, et je ne peut m’empêcher de constater que cet homme plutôt laid et bedonnant possède un sexe vraiment monstrueux. A cet instant, je devrais crier de toutes ses forces, pleurer et me débattre violemment pour me libérer. Mais un sentiment d’excitation inhabituel monte brusquement en moi. Ma peur se transforme malgré moi en pulsion inavouable, honteuse. Comment puis-je éprouver du désir dans cette situation.
    Gilles soupèse mes gros seins puis plaque sa bouche sur un de mes mamelons. Patrick me maintient toujours me bloquant les bras dans le dos.
    « Je parie que t’ai une bonne baiseuse et que t'as une chatte de salope ! »

    Il glisse sans ménagement sa grosse main dans ma culotte. Je proteste en criant sans conviction :

    « Ca suffit, laissez-moi partir ! ».

    La main de Gilles de referme sur ma chatte et enfonce deux doigts dans mon intimité déjà humide malgré moi. Je laisse s’échapper un petit cri.
    « Je l'crois pas, elle mouille cette cochonne ! » s’exclama Gilles.
    « T’as envie de te faire baiser, petite pute ! » renchérit Patrick.
    Patrick demande à Gilles :

    « Maintient cette pute à ma place ! »

    Il me fait face, relève ma jupe et saisit ma culotte pour la baisser jusqu’aux genoux. Il sort ensuite un couteau de chasse et sectionna le slip d’un coup.
    « Écarte bien tes cuisses putain ! Montre nous ton garage à bite ! »

    Joignant le geste à la parole, Patrick ouvre fermement mes cuisses et prétrit énergiquement ma chatte qui se met à couler de mouille. Je suis de plus en plus excitée. Un désir brutal m'envahit.
    « On va l’attacher, se sera plus pratique ! » propose Gilles. Il défait sa ceinture puis me ligote les mains dans son dos à un arbre.


    « J'sens qu’on va bien s’amuser, avec une putain comme elle ! Elle t’excite, la bite du gros, pas vrai ? » continua Patrick.

    « J' suis sûr que t’en as jamais vu une aussi grosse salope ! T’as envie de la sucer, je parie ! Réponds grognasse ! »

    Dans un autre univers, je m'entends répondre :
    «  Oui, j'la veux dans ma bouche ! »

    Ma réponse laisse coït les trois chasseurs. Surpris que leur gibier soit si expressif et coopératif.
    «  Rémi, viens lui mettre ton engin dans la bouche puisqu'elle le réclame cette pute ! »
    Le gros homme ne se fait pas prier et approcha, son sexe tendu comme un gourdin. Gilles me met en bonne position et m'ouvre fermement les mâchoires pour que Rémi puisse bien enfourner son gros membre.


    «- Tiens, grosse salope, bouffe moi ça ! » cria Rémi qui n’en peut plus.

    Il lui enfonce sa queue jusqu’au fond de ma gorge au point que j'ai cru me mettre à vomir.
    «  Avale bien, tu vas t’en souvenir de ma grosse queue salope ! »  reprend-il.
    Rémi me tient la tête par les cheveux et me force à engloutir toute sa bite. Il me baise littéralement la bouche. Je manque de m’étouffer à chaque va-et-vient, mais l’idée de m’offrir aussi brutalement à ces individus me procure une sensation bizarre, dégradante mais intensément excitante. Il ne faut qu’une minute ou deux pour que Rémi éjacule bruyamment dans ma bouche déformée.

    « Tu dois être bonne à ramoner, ma cochonne, tu veux que j'te defonce la chatte ?! » s’exclame Patrick.
    «  Oui, fourre moi salopard ! J’ai envie d'me faire baiser ! »

    «  T’aimes te faire éclater la chatte, pas vrai ! T’es une grosse chienne en chaleur ! Hein putain ! »?
    «  Oui, j' suis une grosse salope qui aime se faire défoncer par des bonnes bites ! »
    Patrick ne tient plus en place. Son délire partagé par moi le rend fou d’excitation. Il m'allonge sur le tapis de feuilles et m'écarte les cuisses sans ménagement. Son membre dur comme du bois s'enfonça directement dans mon vagin offert. Je crie de plaisir au moment de la pénétration, excitée par ce dialogue pervers. Patrick repli mes cuisses sur mes seins et entreprend de me bourrer sauvagement. Je râle de bonheur tandis que Patrick me balance les pires obscénités. A la limite de la jouissance, il retire son sexe me balance sa purée sur les seins.

    Seul Gilles n’a pas encore joui. Il se branle en matant le spectacle.
    « Attends un peu ! J'va t'bourrer aussi salope ! Fais voir un peu ton trou de balle, grosse pute ! » En écartant mes deux globes à l’extrême.

    « C’est pas beau ça ?! » demande-t-il à ses copains.

    « Regardez-moi ce trou du cul qui demande qu’à se faire défoncer ! »
    « Non, pas par là ! »
    «  Fais pas ta mijaurée, t’as dû en prendre plus d’une dans ton gros fion ! »
    Gilles m'introduit ses doigts mouillés de ma cyprine dans l’anus. Puis il poussa fort son gland sur mon œillet forçant l’entrée difficilement.
    « Alors cochonne, comme ça, tu veux te faire sodomiser ? Tu vas être servie grosse salope, je vais bien t'éclater l'fion ! »
    Le sexe monstrueux de Gilles s’enfonce de moitié dans mon cul. Je crie de douleur. Surexcité, Gilles continue à me bourrer les fesses sans ménagement. Au bout de quelques minutes, ma souffrance laisse place à une excitation davantage mentale que physique. Gilles termina son travail en giclant une tonne de sperme sur mon anus dilaté.



    Il me laisse ainsi comme si de rien était. Je rentre à la maison les trous dégoulinant de sperme, et mes fringue déchirés. Seule le soir dans mon lit, j'éprouve d’abord un immense dégoût de ce qui m'est arrivé. Honteuse et salie, ses sentiments se transforment en excitation et je dois me caresser longuement avant de trouver le sommeil… 

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    Ce soir, en rentrant chez moi, je n’en mène pas large. J’ai honte de ce que j’ai fait au travail aujourd’hui et je n’ai qu’une seule crainte, c'est que mon homme s'en aperçoive. Quelques heures plus tôt, en début d’après-midi, j’ai sucé le nouveau DRH où je travaille.

    Oh, il n’a pas eu à me forcer beaucoup. J’ai craqué. Quand il m’a fait entrer dans son bureau, j’ai vite compris où il voulait en venir. Il était affalé dans son fauteuil de direction et m'a fait une proposition.

    « Michèle, fermez la porte et approchez ! »

    Il a saisi ma main qu’il a posée sur son entrejambe. C’est là que j’aurais dû réagir, tant que c’était encore possible, en retirant mes doigts de sa braguette. Mais je suis restée scotchée, impressionnée par la taille de son sexe qui enflait sous ma main.

    « Voilà, comme ça, doucement ! Maintenant… »

    Mes gestes précédaient ses paroles. J’avais déjà sorti la queue du patron de son slip et je faisais aller et venir mes doigts dessus. Je n’étais plus moi-même et je ne me rendais pas vraiment compte de ce que j’étais en train de faire, ni des risques que je prenais. Après l’avoir masturbé quelques instants, je me suis laissé tomber au sol et j’ai posé mes lèvres sur son bout. Il n’avait même pas eu besoin de demander que je le suce. Je me soumettais à ses désirs de mon plein gré, je les devançais et j’étais bien décidée à les combler.

    J’ai pris le gros membre entre mes lèvres après lui avoir donné quelques coups de langue sur la pointe et lapé avec délice les gouttes qui perlaient au bout. Vicieuse, j’ai regardé mon chef dans les yeux en enfournant son vit dans ma bouche. Il me souriait d’un air satisfait mais légèrement supérieur. Cela ajoutait encore à mon excitation.

     

    Pendant que je pompais le dard, ma main gauche s’est aventurée entre mes cuisses et je me suis touchée le minou. Je dégoulinais tellement j’étais troublée, ma mouille coulait sur mes cuisses.

    Le gland de mon patron me déformait les joues à chaque fois qu’il venait buter au fond de ma bouche. Je suffoquais presque, tellement je le prenais profondément. J’avais envie de lui faire plaisir. Ma main demeurée libre lui flattait les couilles. Elles semblaient serrées et dures comme de l’acier. Quand, sous l’effet de mes caresses buccales elles commencèrent à se vider, je les sentis exploser sous mes doigts.

    Je fus trop surprise par le jaillissement de foutre pour avoir le temps de me retirer. J’étais en train de boire littéralement le jus que la bite de mon patron. Celui-ci, renversé en arrière sur son siège de cuir savourait l’instant à sa juste valeur en étouffant ses gémissements dans son bras pour ne pas risquer d’alerter mes collègues qui se trouvaient seulement à quelques mètres de nous.

    Il eut la correction de me laisser me finir dans son bureau. Peu à peu la honte envahissait mon cerveau, mais je ne pouvais pas m’empêcher de me faire jouir jusqu’au bout. Je suis restée une petite minute affalée sur la moquette alors que mes doigts ressortaient de ma fente après l’orgasme.

     

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    Dans mes recherches à vouloir être offerte à des hommes dans des lieux publics, j’avais eu quelques contacts.

    Je mettais en ligne des histoires qui correspondaient à mes envies du moment, comme par exemple:

    MON MAÎTRE M’EMMÈNE AU SEX-SHOP

    Histoire d'un Maître et de moi faisant des achats au sex-shop, mon Maître m’obligeant de à sucer et à être prise par les clients.

    J'essayais de sélectionner des hommes avec suffisamment d’expériences pour me faire vivre un tel fantasme. La première personne était un homme qui possédait une soumise sous contrat, et avait déjà fait des plans dans lieux public comme des jardins publics, des aires d’autoroute, des cinémas pornos. Il avait envie de me dresser et de m'offrir à des hommes vicieux dans un donjon.Ensuite, il souhaitais me livrer à des groupes d’hommes pour que je sois une vraie chienne à bites.

    Le deuxième homme, offrait sa femme régulièrement dans des soirées privées et des clubs de la région. Celui-ci aimait les soumises de mon genre, et voulait me tester pour m’offrir directement dans un club bdsm. J’avoue que ces deux personnes m’avaient attiré par leurs projets et ce qu’ils voulaient faire de moi.  RDV fût pris avec l'un d'eux. Il voulait me faire une surprise. 

    « C’est là ! Nous allons au cinéma ! ça te plaît ? »

    « Euh oui... » lui répondis-je quelque peu stressée, j’avalais ma salive. Quand nous rentrons dans cette salle sombre, le film projetée sur la toile montre une femme se faisait baiser en levrette par un homme tout en en suçant un autre. 

    Les images de ce film étaient de qualité médiocre et le son un peu fort. Dans cette petite salle, il y avait un couple et quatre hommes seuls. Je m’assis rapidement et je mis une main sur le genou de mon Maître. Il sorti de sa poche une laisse et un collier qu'il accrocha à mon cou.

     

    Il n’était pas très discret, je pense que toute la salle nous regardait. Très rapidement, un homme vint s’asseoir à côté de nous. Mon Maître tira sur la laisse. Je compris le message. Je me mis  à quatre pattes et m’approche de l'inconnu. Je marchais tel une chienne domestique. L’homme était en train de déboutonner son pantalon. Je me glissais entre ses jambes. Il ne bandait pas encore. Je le pris dans les mains et le branlais. Je mis le sexe de cet inconnu dans ma bouche et j'ai commencé à le sucer. 



     

    Je faisais la parfaite salope. Je suçais l’homme avec gourmandise. Je sentis la présence d’un autre homme derrière moi. Il me caressait les fesses. Je gémissais de plaisir telle une véritable chienne en chaleur avec l’envie de me faire mettre. Je ne pû m’empêcher de me retourner et de prendre cette nouvelle bite dans ma bouche. 

    Quel beau sexe, très agréable à sucer. Pendant ce temps le premier que j’avais sucé, me prit d’un seul coup en me tenant les hanches. J’avais la chatte bien humide et bien chaude. Je gémissais de plaisir.

     

    Mon Maître m’observait et je sentais que cela lui faisait plaisir que je me fasse prendre par deux mecs devant lui. Bientôt le premier finit par jouir dans ma chatte. Un autre homme s’était approché et me présentait aussi son sexe. Je ne sais plus combien de fois je fis cette manœuvre mais je n’avais pas le temps de souffler. J’avais le cul bien chaud par les claques qu'ils me donnaient et la bouche bien remplie de foutre. 

    Je commençais à fatiguer, quand mon Maître se leva. Je le remerciais pour toutes ces queues. Je rassemblais mes affaires et il m'emmena aux toilettes afin de me rafraîchir le visage. Je commençais à souffler un peu. Arrivés aux toilettes, nous croisons un homme en train de se laver les mains.

     

    « Suces cet homme, chienne ! »

    L’homme se retourna face à moi à peine surpris. Il défit rapidement son pantalon. Je le suçais dans ces toilettes. Ca ne me faisait pas trop envie, mais, en bonne chienne soumise, je devais satisfaire mon Maître. Je suçais et j’étais là pour ça.  Encore une fois, un homme joui dans ma bouche et je dus avaler sa semence. Quelle pute je faisais.

    Ciné sex

     

    Nous sortons enfin du ciné. Mon Maître regarda son portable.

    « Voilà deux heures que nous sommes là ! Le temps a passé super vite... Tu as sucé sept mecs, ma salope ! »

    C’était la première fois que je me faisais autant de mecs à la foi. Je n’aurai jamais cru y arriver !  

    « Je suis fier de toi ! »

     

    J’étais contente de l’avoir satisfait, mais j’avais bien pris mon pied aussi.

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  • Alain voulait que j'aille chez une de ses connaissances pour me prostituer. Après quelques jours de réflexion, je l'apellais pour lui donner ma réponse.

    « C'est bon j'accepte!»

    « Tu accepte quoi ? »

    Un peut désarçonnée, je répète :

    « J'accepte ta proposition de ce matin ! »

    « Quelle proposition ? »

    « Et bien celle où je dois me rendre chez ton ami!! »

    « Je veux que tu me dise, oui j'accepte de me faire payer pour être baisée comme une pute et obéir sans la moindre objection de ma part ! »

    « hum....Oui oui j'accepte de me faire payer pour être baisée comme une pute et obéir sans la moindre objection de ma part !  »

     

    « Très bien ma jolie. Tu va mettre  la mini jupe noir  que je t'ai offerte pour qu'on voit bien ton cul quand tu marchera dans la rue. Juste tes bas résilles et sans culotte. Tu mettra un haut bien décolletée sans soutif. Cela sera d'un bel effet avec tes gros seins. Quand tu arrivera devant sa porte, tu te mettras à quatre pattes avant de frapper. Tu te présentera comme étant sa chienne pour ce soir. »

    Mon premier client

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