• Les dessous de Michèle 11

    Monsieur John ne veut qu'on utilise que sa bouche et la pauvre devra sucer et avaler tout le sperme de routiers qui mangeront chez Lili pendant 48 heures.

    Elle se plie à la tâche avec vaillance et je n'ai pas besoin de la corriger tant elle s'applique. Mais tant de queue à sucer lui fond mal à la machoire. Sa langue et ses lèvres sont endolorie et aprés une quinzaine de queues à avaler du sperme elle commence sérieusement à avoir la nausée.

    Son marathon de fellations se termine pour elle. John, son homme vient la rechecher et elle lui promet de ne jamais le tromper. Je reste seule avec Lili. Je suis épuisée aussi par se marathon de pipes et je m'endors tout contre Lili. Dans la nuit, je suis réveillée par une grosse envie de faire pipi. Il faut sortir et faire dans la nature. C'est marrant, je montre mes fesses à la lune, mais bon, un rien m'amuse.

    Le lendemain matin, Lili me réveille en me disant :

    « Viens dire bonjour à ma chatte! »

    Je m'installe entre ses jambes et passe ma langue entre ses lèvres. Elle réagit assez vite, ses cuisses tressaillent, son bassin bouge pour venir au devant de ma langue. Elle me caresse la tête, soupire. Je me concentre sur le clito de Lili. Je le lèche et le suce pour qu'elle jouisse.

    Les mouvements de son bassin s'accélèrent. Tout son corps se tend et elle jouit.

     

    Je vais ensuite aider Lili à préparer le petit déjeuner. Elle en profite pour m'annoncer :

    « Ah, oui, j'ai oublié de te dire un truc, je t'ai rachetée à Steph ! »

    « Mais heu enfin ?! J'suis pas une marchandise Madame ?! Et… euh… moi, je n'ai rien à dire?? »

    « Non. Et tu en as déjç trop dit ! Pour simplifier,: j'ai tous les droits sur toi ! Et toi aucuns. Tu es là au même titre qu'une chienne domestique. » 

    On termine de déjeuner. Je débarrasse et j'aide Lili à servir les premiers clients. Peu de temps avant midi, des jeunes loubards arrivent dans le resto. Je vais prendre leur commande et le chef me passe les mains au cul. En revenant avec leurs bières, celui qui semble être le chef demande à Lili :

     

    « Lili, tu m'a bien dis qu'on pouvait s'amuser avec ta serveuse ! »

    « Oui mais ça va vous faire 100 sacs les mecs ! »

    « Fais nous un pris merde ! »

    « Ok 50 sacs mais ne me l'abîmez pas ! »

    « Ca marche Lili on va bien s'marrer avec elle ! »

    «On va te donner une punition que tu mérites. »

    Ce gars doit avoir 18 ans à tout casser et une sale tronche de voyou.

    « Lasie, tu crois que tu vas recevoir une fessée? »

    « Je ne sais pas, Monsieur. »

    « Fout toi à poil salope ! »

    J'enlève mon jean et mon tee shirt et je me retrouve nue au milieu de la salle.

    Les jeunes s'assoient comme au spectacle. Le chef sort son couteau. Je frémie mais me rassure en me disant que Lili leurs a dit de ne pas m'esquinter. Il va couper des branche de coudrier et je devine rapidement qu'elle va être la teneur de la correction. El revient avec les branches et sans crier garde commence à me frapper avec. J'essaye de me protéger comme je le peux mais les coups pleuvent et n'epargnent aucune partie de mon corps. De me voir gesticuler sous les coups, fait rire les jeunes loubards qui encourage leur chef. 

    « J'f'rais c'que vous voudrez... Mais arrêtez.... J'obbééirai, Monsieur ! »

    « Je sais Lasie, mais c'est pas fini. On s'amuse trop bien avec toi ! »

    Il frappe une douzaine de fois, en prenant bien son temps.

    Ssssswwwiiitttccchhh, je crie…

    « Aaaaaiiiieee!!! »

    Il me prévient :

    « Les fesses.... attention! »

    Swwwitch « Aaaaaiiieiee!! »

    Le salopard, il m'a frappé les seins !

    "Swiiitch!!" "Aiiiieeee!!! pitié Monsieur !!!! »

    Je crie à chaque coup et j'ai le visage plein de larmes. Il s'arrête, enfin. Je n'ose pas bouger.

    « Vous croyez qu'ça suffit les mecs? »

    « Oo ooouuuiiii!!! J' vous jure que ça suffit… Monsieur !! »

    « Ta gueule petasse ! C'est pas à toi qu'j'cause ! »

    J'ai honte et je regarde les trois mecs qui rigolent. Ils ont sortis leurs sexes et le caressent en me regardant.

    « Maintenant occupes toi de mes potes ! »

    J'ai l'impression d'être offerte à tous et pas très cher de surcroit. Ils ont envie de jouer à évaluer ma valeur marchande.

    « Pour le prix qu'on rake, faut d'abord voir la marchandise! »

    Les loubards viennent me tâter les seins, la chatte, les fesses…

    « Ils sont énormes ses nibards! C'est pas vrai!! Elle doit faire un 95 E. »

    Rires de tous… Puis ça part dans tous les sens.

    « C'est pas des seins.... C'est des mamelles !! »

    « Une vrai vache laitiére cette salope !!! »

    « Ah ouais, pour sûre !!! Et son cul, elle a pas besoin de coussin pour s'asseoir! »

    « Ouai ! On doit être bien d'dans ! »

    Trop drôle les salops. Il vont m'humilier encore combien de temps ?

    « C'est le genre de fille qu'on baise contre un réverbère ou sur l'capot d'une caisse ! »

     

    « Léche nous la bite salope ! »

    Je suis devant ces deux queues dressées presque admirative.

    « Alors tu t'décides? »

    « Oui, oui !!!! »

    J'adore sucer et je m'empresse de les prendre dans ma bouche. Je passe de l'un à l'autre.

    « Vous n'aurez jamais eu des bites aussi nickel, les gars! », dit Yvan.

    Rires gras et appréciation des potes.

    « Elle aime ça la salope. C'est une putain de gourmande ! »

    Ils doivent avoir l'habitude de se partager les filles, car quand ils s'estiment assez pompé, il y en a un qui se couche sur le dos… Il me fait signe et je grimpe sur lui. J'enfonce son sexe en moi. Là, pas de problèmes. Il écarte mes fesses offrant mon cul à son copain.  

    « Doucement, doucement s'il vous plaît!! »

    Cause toujours. La racaille m'encule d'un coup de reins, jusqu'aux couilles…

    «  Aaaaiiiieee!!… ppppfffffff!!! »

    Heureusement que ma porte de derrière a déjà été utilisée. Je suis empalée des deux côtés. Un a sa bite dans ma chatte et l'autre dans mon cul. A mon corps défendant, ça finit par me faire de l'effet, c'est mécanique. J'accompagne d'un coup de reins, celui qui sort, puis celui qui entre.

    « Ça te plait, salope? Qu'est ce qui te plaît, dis le! »

    « Euh… Ca me plaît d'être baisé comme une chienne par les deux trous ! »

    A peine ai-je parlé que leur chef me fourre sa bite au fond de la gorge. Le public présent applaudit. J'offre un spectacle unique.

     

    Ils m'inondent ensemble. On reste un peu couché… essoufflés… et puis sans qu'on me le demande, je nettoie leurs queue avec ma bouche. Notre numéro a du exciter le public car ils jouissent rapidement. De retour dans le restaurant, Lili n'a pas l'air de beaucoup se soucier du traitement que je viens de recevoir. L'apés midi, la Bentley de John arrive et freine à notre hauteur.

    « Lasie, on t'a louée pour quelques heures avec ta copine ! »

    Il descend, va à l'arrière de la voiture, ouvre le coffre et dit :

    « Grimpez!! »

    « Dfans le coffre Monsieur ?! »

    « T'es une pute, non? Allez, monte dans le coffre! »

    Le coffre se referme. Il fait noir de chez noir là dedans. Qu'est ce qu'ils vont nous faire?

    J'ai la trouille. On s'arrête, enfin. Des portières claquent et le coffre s'ouvre.

     

     

    On entre dans une grange. Le gros type ouvre une bouteille de champagne et sert tout le monde, sauf nous, bien sûr. Les trois autres sont déjà bien bourrés. Ils s'installent dans les fauteuils, nous on est debout au milieu. Ils discutent et rigolent. Le gros raconte une histoire sensée être drôle.

    « C'est 2 putes dans un ascenseur, il y a en une qui dit, "Tiens ça sent le sperme tout à coup", l'autre réponds, "Oui sorry, j'ai fais un renvoi!". »

    Trop marrant....

    Je regarde autour de nous et je vois une camera sur la cheminée.

    Au bout d'un moment le gros nous dit :

    « Qu'est ce que vous attendez pour vous foutre à poils, »

    On se déshabille.

    « Servez nous à boire ! »

    Nous allons chercher une bouteille et les servons en se faisant copieusement peloter au passage.

    « Il serait temps de faire un régime Lasie! » me dit le maigre en me pinçant les fesses.

    On nous attache sur un chevalet.

    « On va les fouetter ensemble. Ca va être plus marrant ! »

    Il sort un martinet d'un sac.

    « Ça, ça fait mal, on va vous punir vilaines filles !!! »

    Le lève le martinet, et l'abat sur les fesses de Marie Charlotte. Elle se raidit mais ne dit rien. Pourtant dans cette position, une partie des lanières lui atterrissent sur la chatte. Alors que je la regarde, c'est à mon tour de recevoir un coup mais contrairement à ma copine, je hurle de douleur.

     

    Le gros attend un peu et nous dit :

    « Monsieur John, veut que vous soyez punies là où vous avez péché. »

    Il lève le martinet et frappe à tour de rôle, nos fesses et nos chattes. Là, entre nous deux, c'est un concert de gémissements et de cris.

    Nous recevons une bonne douzaine de cinglées. Le gros reprend un peu son souffle et lève le bras à nouveau, mais heureusement, Raf le chauffeur lui dit :

    « Ça suffit! Vous allez les abîmer. Il ner faut pas gâcher la marchandise ! »

    Le gros s'arrête. Nous poussons un long soupir de soulagement. Nos fesses et nos chattes, nous chauffent et sont couvertes de traces, dont certaines sont un peu boursouflées.

    Le gros s'éponge le front et va se servir un grand verre de vin rouge. John, le grand maigre, a sorti son sexe et se caresse.

    « Ca m'excite de voir vos vulves aussi rouge que celle d'une guenon! Venez nous sucer! »

    Docile, nous commençons à nous occuper des queues des deux salopards. Pendant ce temps, le gros picole tout en se faisant sucer. Le grand maigre, que je suce, jouit dans ma bouche.

    « A moi! » dit le gros. Marie charlotte n'a même pas le temps de dire ouf que dans un rêle de goret, il se vide dans la gorge de ma copine qui s'en étouffe. Ca les fait rire tout les deux.

     

     

    Le cul et la chatte en feu, Raf le chauffeur nous remporte au restaurant. Le lendemain, nos chattes sont encore sensibles et des traces des sévices subsistent. Lili nous dit au petit déjeuné :

    « Marie Charlotte va repartir avec Raf. Moi je viens de vendre la boutique et je t'ai revendu. »

    Je ne me sens pas très bien tout à coup. Mais, elle est dingue ! Pour une fois je suis décidée, je lui dis :

    « Je pars de mon côté! »

    « Tu fera ce qu'on te dit salope ! Faut être prudente, Lasie, un accident est si vite arrivé! »

     

     

    Je vois très bien ce qu'il veut dire. Pendant cette conversation, il y a un routier qui mange un sandwich, il nous dit :

    « La pute bosse pas sur le parking? »

    « Si bien sûr !!! qu'es-ce qui t'ferait plaisir !» dit Lily

    « Une pipe. »

    « C'est jour de braderie..... 20€ ! »

    Jusqu'au bout elle m'aura exploitée la salope de Lily. Mais bon, je dois être prudente avec Raf qui surveille. Je vais avec le routier, derrière la caravane, et à genoux, je lui fais une pipe pendant qu'il termine son sandwich. Il avale sa dernière bouchée, tandis que j'avale son sperme.

    « Bon appétit me dit-il alors qu'il déverse sa semence dans ma bouche. 

    Je lui dis :

    « Merci Monsieur ! Vous voulez bien dire à Lily que j'ai fait une bonne pipe. »

    Quand on retourne vers les autres, il lance dans la salle :

    « Cette petite pute suce comme une reine !!! »

    On dit au revoir à Lily et on monte dans la voiture avec Raf. Il nous conduit devant une grande propriété. On arrive devant des grilles. Un gardien nous accueille. On monte au premier étage où des gardes encadre une porte. Une grande blonde très sexy nous fait entrer dans un grand bureau. Marie Charlotte connaît l'homme qui est là. Elle me présente :

    « Bonjour Monsieur. Voilà Lasie ! »

    L'homme me tend une feuille et me dit d'un ton autoritaire :

    « Signez ! »

    Je signe.

    « Vous ne lisez même pas? Elle n'est pas un peu demeurée ta Lasie? » demande le russe à Marie Charlotte. Sans attendre de réponse, il s'adresse à moi.

    « Vous n'avez rien écouté de ce qu'on a dit? »

    « Euh… si… enfin, non, pas vraiment, mais maintenant je vais écouter… »

    « Non, on va changer de méthode. »

    Il décroche son téléphone et parle en russe. Raf arrive alors et je quitte la pièce avec lui. On descend un escalier vers la cave. On entre dans une cave.

    « A poil ! » L'ordre claque comme un coup de fouet.

    Docile, je me met nue devant le grand black. Quand c'est fait, il me met des menottes. Puis il attache les à une sorte de mousqueton fixé au plafond.

     

    « Toi, envie zig zig?? »

    « Oh oui Monsieur très, très envie. »

    N'importe quoi, pour qu'il ne me frappe plus!! Il me tient par les fesses d'une main, de l'autre il sort son sexe et me pénètre d'un coup. Le black me fait aller et venir sur son sexe simplement en me tenant par les fesses. Il me balade sur son sexe, comme si j'étais un sex toy. Enfin, il jouit en moi. Il me plaque d'un bras contre lui et de l'autre, détache la corde qui me maintenait sur la pointe des pieds.

    « Si toi pas écouter patron toi la nuit ici ! »

    « Je vais écouter Monsieur !!! »

    Du doigt, il me montre son sexe encore à moitié en érection. Je comprends très bien le message, ça veut dire :

    « Suce moi pour le nettoyer ! »

    Une foi nettoyé, il me reprend par les cheveux et on fait le chemin vers le 1er étage, en sens inverse. Même pas la reconnaissance de la bite assouvie et lavée, le mec. Quand on arrive dans le bureau, le patron me dit :

    « Vous croyez que vous allez être plus attentive? Vous êtes sale, vous avez les yeux rouge et du sperme qui coule le long des cuisses !  Allez attendre à côté, quelqu'un va venir! »     

    Arrive une blonde. Je suis nue. Elle va dans la salle de bain et me désigne la douche. Elle me savonne partout. Après, elle me sèche, me coiffe avec une queue de cheval, puis me maquille comme sa barbie.

     

    On retourne dans le bureau du patron

    La secrétaire et le garde n'ont pas l'air étonné que je sois nue.

    « Vous avez moins l'air d'une souillon. Demandez à mon fils de venir ! »

    Arrive un jeune type à l'air patibulaire. Il tourne autour de moi et me dit :

    « Penche-toi ! »

    Il m'enfonce brutalement un doigt dans le cul. Je pousse un petit cri contenu. Il passe à mes seins, les tripote, pince les bouts.

    « Elle a de grosses mamelles ! Une bonne vache laitiére."

    Monsieur Ruskov me regarde.

    « Qu'est ce que je vais faire de toi ? Je te vendrais bien dans le réseaux de traite des blanches ! Ah j'ai une idée… va attendre à côté. »  

    Me vendre, non mais il est cinglé, l'autre! Je retourne à côté et j'attends en ruminant des idées noire. Une métisse aux cheveux longs se pointe. Le patron lui parle et elle me dit :

    « Rhabille toi et viens avec moi ! »

     

    On sort de la maison, elle a une grosse moto. Elle me donne le casque qui est sur la selle.

    Les dessous de Michèle 11

     

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