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  • Une petite coupe?

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  • Enfin Vendredi, je suis au magasin et j'attends le client qui m'a invitée à manger au Négresco. Henri est riche et je lui plais. Il m'a dit que je pouvais acheter ce que je voulais comme vêtements dans le magasin. Il me donne sa carte de crédit. Provocante, je vais voir la gérante.

    « Je suis cliente cette foi ! Alors ayez quelques égares envers moi....Madame ! Ce Monsieur m'offre tout ce que je veux ! »

    « OK, vas-y Lasie ! »

    Henri se pointe outré.

    « C'est ainsi que vous parlez à une cliente ? C'est honteux ! J'en parlerai à la direction ! »

    Toute péteuse, la salope s'excuse. De mon côté je souris et commence à choisir mes vêtements. Pour le « négresco », je choisis une robe noire moulante, qui met mes fesses et mes seins en valeurs. Iréne alias Perra m'apporte de jolis escarpins.Les filles me regardent, jalouses.

    Henri fait tout ce que je veux, exauce mes moindres caprices. Le repas au est très bon. Mais il y a un peu trop de serveurs autour de moi. Henri me fait une cour pressante. À la fin, du repas, je lui dis :

    « Tu n'as pas envie de m'ôter cette robe ? »

    « J'en créve d'envie ma chère ! Je vais réserver une chambre ici. » dit-il.

    La vue sur la baie de Nice est imprenable de la chambre. Henri jusqu'ici très gentleman, me saute dessus et m'arrache la robe. Je rigole comme une folle de le voir si pressant. La baise avec Henri est extraordinaire. Il est inventif et d'une endurance surprenante.

    Henri me dit :

    « Ca te dirais de me suivre dans mes périples à travers le monde ? »

    « Oui, mais je vais perdre mon travail si je pars comme ça… Et puis, tu ne me connais pas ! »

    « Ne t'inquiéte pas ma chèrie. Je te donne argent et carte de crédit. Tu n'aura aucun soucis d'argent ! »

    « En gros je serais une femme entretenue ? »

    « Oui, mais tu devra être entièrement dévouée ! »

    « Où voulez-vous que nous allions? »

    « Je dois me rendre à Djerba, puis à Tozeur pour affaire. Là, on est dans une oasis, en bordure du Sahara. »

    Voilà, je change de vie, Djerba, la mer, le soleil,un homme à mes petits soins, c'est cool. On fait beaucoup de shopping dans les souques. Il m baise quand il veut et où il veut. Comment pourrais-je lui refuser quoi que ce soit.

    On reste une semaine à Djerba puis nous partons pour Tozeur et le Sahara. Autour de la piscine, on a sympathisé avec des Français et on est un petit groupe à boire et à discuter. Vu la taille de mes maillots, je me fais pas mal draguer. Presque personne ne va sur la plage. La mer est assez agitée, mais elle me fait plus envie que la piscine pleine de chlore.

    La plage m'attire et Henri me suggère :

    « Je suis certain que tu aimerais te faire baiser par ces jeunes maghrébins. »

    Je ne lui réponds pas mais mon silence est un aveu. Je fais un signe au jeune gars qui me matte. Il se rapproche. Il est encore mieux de près. Il me jauge et me lance sûre de lui :

    « T'as pas peur de t'aventurer seule sur la plage dans cette tenue avec ton mec? »

    Hautaine, je lui réponds :

    « J'ai peur de rien. »

    « Alors, envie de sensations fortes ? on va se baigner? »

    « Avec plaisir! »

    Il me prend fermement par le bras et m'entraîne dans l'eau.…

    « Tu sais, le mieux ici c'est que tu vire ton maillot ! »Un excés de pudeur me fait dire :

    « T'es fou ! Il y a tes potes et en plus on nous observe de la piscine ! »

    Henri observe avec amusement mon embarrât. Alors, le ton de sa voix change et son regard devient dur.

    « vire ton maillot salope ! »

    Je regarde Henri avec un air de petite fille mais il me fait un signe voulant bien dire d'obeïr. Je l'enlève. Il tend la main, je lui donne et il jete les morceaux de tissus à la mer.

    « t'es pas mieux comme ça ? » »Oui mais mon maillot ??? »

    « T’inquiète, t'en aura pas besoin pour te faire sauter! »

    Il vient se mettre contre moi. Ses potes et Henri forment un cercle autour de nous. Je me colle à lui, son sexe dur contre mon ventre.

    « Qu'est-ce que tu veux salope de Française?? »

    « Ben… euh… je pensais… que… » Dis-je en bredouillant.

    « Allez demande la cochonne ! »

    « Baisez moi Monsieur ! »

    Je prends son sexe en main. Il me dit avec un grand sourire :

    « Les touriste Française sont vraiment trop salope ! Leurs lots ici c'est de rester à poil et de se faire démonter par mes potes ! »

    Voilà, les rôles sont distribués.

    « Avec moi et mes potes, les femmes doivent filer droit, sinon elles font connaissance avec les punitions berbères. »

    Henri semble très intéressé.

    « Qu'elles sont ces punitions ? »

    « Par exemple, on fouette en public la chienne avec une serviette mouillée… Bon c'est pas le tout, suce moi ! Pendant que mes potes te défonces ! »

    Devant ce spectacle, où je me fait baiser par chacun des bérbéres, je vois Henri qui se masturbe doucement. A tour de rôle, ils se déversent dans ma chatte, mon cul et ma bouche. Henri s'occupera de moi dans la chambre d'hôtel ensuite.

     

    Je quitte le monde sauvage de la plage, pour le monde civilisé de la piscine. Quand j'arrive à la piscine, je suis accueillie par quelques plaisanteries genre :

    « Alors Lasie, tu as perdu ton maillot ? Tu t'es faite élargir ??? »

    Henri ne dit rien, mais il sourit.

    « On a trouvé un guide ! »

    Tous en cœur :

    « Tu vas être épuisée à le payer en nature !!! »

    Le lendemain, notre guide et se présente à l'hotel. Au faite, hier nous n'avons pas eu le temps de faire les présentations.

    « Moi c'est Aziz ! »

    « Henri et moi Lasie ! »

    Les autres sont curieux et nous entourent pour connaître la teneur de nos visites. Aziz en profite pour raconter ses aventures dans le désert. Il s't s'amuse à faire peur aux filles avec des histoires de vipères cornues et de scorpions dans les bottes qu'on oublie de bien secouer le matin. Le soir, il nous emmène dans une sorte de night-club.

    Aziz me dit :

    « Tu viens danser ? »

    « Tu permets? », demande-t-il à Henri.

    « Oui, oui, bien sûr et plus si tu veux ! »

    Il me colle et je sens son sexe durci contre mon ventre. Je mouille. Henri nous regarde intéressé. Aziz me pelote sans vergogne.

    « T' es vraiment une chienne d'allumeuse toi ! »

    Aidée par les coupes de champagne, je lui réponds :

    « Tu sais, j'éteins aussi! »  

    On va dans un coin, où on est moins vu.

    « Montres moi alors salope ! »

    « Je suppose que je devrai écarter les cuisses et m'offrir? »

    « commences par me sucer ! »

    Je me met à genoux et entâme une savante fellation sous les yeux d'Henri et des amis qui nous ont accompagnés. Ils applaudissent au rythme de la musique. Il lève les yeux au ciel en secouant la tête et pousse un cri lors sa semence tapisse mes amidales. J'avale tout et on retourne à notre table. Je fais signe à un serveur.

    « Deux bouteilles de champagne ! »

    « Tu bois trop! » Me dit Aziz.

    « C'est les vacances… on s'amuse… et ça fait passer le goût du sperme ! »

    Les autres sont d'accord. Avec le champagne, j'ai une grosse envie de pipi. Je me lève, oulaah!! Je crois que j'ai un peu abusé des bulles. J'arrive aux toilettes… Oooops!! Elles sont toutes occupées. Ah là là…ça va pas le faire. Alors, je me précipite dans les toilettes hommes. Toutes sont occupés aussi. Alors, l'alcool aidant, sans pudeur aucune, je lève ma mini jupe, baisse ma culotte et m'assied sur un urinoir. Aaaaahhh!! Ça fait du bien. Les hommes qui sont là me regardent, très surpris.

     

    Je retourne à la table.

    « Elle a trop bu ta femme. Elle a été pisse dans les urinoirs et a provoqué un scandale cette conne et maintenant elle va être malade ! » Dit Aziz à Henri et nos amis. Henri se lève, les deux couples restent. Eux, ils trouvent ça marrant. Je donne ma culotte mouillé à Henri. Je suis bourrée, mais attentionnée. On rentre à pied. Je vomis en cours de route. Pour finir Aziz me porte sur son épaule comme à sac à patates. Arrivés à l'hôtel, il me remet sur mes pieds.

    « Ne nous fais pas honte dans l'hôtel. »

    « Hips...Ben oui, qu'est-ce qui croit... Hips...J'suis pas ivre morte, non plus...! »

    Il vient avec nous jusqu'à notre chambre. Je m'affale sur le lit. Les deux hommes discutent, du projet au Sahara. J'entends vaguement Aziz qui demande à Henri :

    « Tu veux vraiment que je vous serve de guide? »

    Alcoolisée, je réponds à sa place :

    « C'est moi qui...Hips...euh… je t'engage…Hips ! »

    Les deux homme éclatent de rire.

    « Bien Lasie ! Tu m'engages! Je vous guiderai. Mais je vais aussi apprendre à ta chienne les bonnes manières! »

    Je ne réponds rien à cet insolent. Henri lui, approuve totalement.

    Aziz me dit :

    « Je viens à dix heures demain pour parler du voyage. J'aurais aussi une petite explication avec toi Lasie ! »

    « Hips...Ah bon chouette! On baisera? Hips.... »

    Ils me foutent à poil et dans un demi coma alcoolisé, ils me baisent.

    Le lendemain, j'ai l'impression d'avoir un troupeau de bisons dans la tête. Dans le reste de mes vapeurs d'alcool, tout à coup, je repenses aux explications avec Aziz. Elles seront peut-être musclées. Je crois que j'ai un peu dépassé les bornes, hier. En déjeunant, je dis à Henri :

    « Je crois qu'on devrait prendre un autre guide. Jai un peu peur quand il a parlé "Je vais t'apprendre les bonnes manières" »

    Henri réponds :

    « Moi j'l'aime bien ce gars là. Je suis intrigué de voir comment il va te dresser ! »

    À dix heures, on toque à la porte. Henri fait entrer Aziz alors que je sors toute nue de la salle de bain et prise d'une angoisse, je lui lance :

    « Henri et moi avons décidé de pas faire cette excursion, donc, au revoir Aziz ! »

    Je penses bêtement qu'il n'a plus qu'à partir la queue entre les jambes, le Berbère!! Sauf qu'Henri me dit :

    « Tu te trompes, Lasie. On fait toujours cette excursion! »

    Aziz reprend :

    « Tu t'souviens ce que je t'ai dit, hier femelle? Je vais t'apprendre les bonnes manières! »

    « Vous n'avez pas... »     

    Il me coupe la parole.

    « Tu n'est qu'une chienne et nous les femelles en chaleur on leurs fait goûter à nos spécialités berbère ! Pour l'heure, la serviette mouillée ! »

    « Si t'ose me toucher, je porterai plainte et... »

    Cette fois-ci, c'est Henri qui me coupe :

    « Je ne crois pas vois-tu. Tu vas obeir au doigt et à l’œil ! Sinon, je coupe les vivre OK ! »

    Le salopard d'Henri. Il se dévoile en fait maintenant.

    Aziz dit à Henri :

    « Passe moi quelque chose pour la bâillonner. J'ai pas envie qu'elle ameute tout l'hôtel! »

    Henri lui passe un de mes string qu'Aziz m'enfonce dans la bouche. Il me tient les mains et dit à Henri :

    « On va l'attacher au lit ! »

    Je tente de me débattre mais il sont trop fort pour moi. Je me retrouve, jambes et bras en croix, attachée aux montants du lit. Aziz prend une serviette et va la mouiller dans la salle de bain. En donnant un petit coup de poignet, il fait claquer la serviette dans le vide. Il explique à Henri très studieux :

    « C'est le coup de poignet qui compte. »

    La démonstration commence à mes dépends. "ssshhhhhh", la serviette mouillée vient me frapper les fesses d'une hanche à l'autre. Mes cris sont étouffés par la culotte qui fait office de bâillon. Il me donne 10 coups puis propose à Henri d'essayer pour les 10 suivants. À chaque fois je fais "mmmmmmhhhhh" à travers la culotte. C'est vraiment très douloureux.

    Aziz vient enlever la culotte de ma bouche.

    Je gémis :

    « Assez, je vous en prie. »

    Sans écouter mes plaintes, il dit à Henri :

    « Tu vois c'est comme ça que ça doit être une femelle, les fesses bien rouges. »

    Henri vient me palper les fesses aussi. Le sale traître. Ils me détachent, Je n'ose pas bouger.

     

    « Tu peux t'lever. Maintenant, la partie remerciements et excuses, à genoux! Et sois convaincante, sinon tu en auras 20 de plus. »

    Ils sont assis sur le lit. Je me dépêche de m'agenouiller devant eux.

    « Je vous prie de m'excuser pour ma conduite d'hier et je vous remercie pour la leçon. »

    « A partir de maintenant, femelle, tu vas nous obéir ! »

    « J'obéirai, Monsieur. »

    Il se tourne vers Henri :

    « Voilà, c'est aussi simple que ça. Un bon dressage et on en fait ce qu'on veux ! »

     

    Le lendemain matin, mes fesses sont encore sensibles. La serviette mouillée, je vais essayer d'éviter ça. Tandis que je suis dans mes réflexions, on toque à la porte. C'est sûrement, Aziz. Je ne prends pas la peine d'enfiler un peignoir et je vais ouvrir nue. Ses premiers mots sont :

    «T'ouvres à poils, femelle?? Comment vont tes fesses? »

    « …euh… mieux qu'hier…Merci Monsieur. »

    « Arrête de prendre cet air de chienne battu ! Salut Henri ! Elle a été sage? » 

    « Oh que oui ! Tu sais parler aux femmes! Tu déjeunes avec nous? »

    « Volontiers. »

    Henri prend le téléphone et commande 3 petits déjeuners.

    Je demande à mes hommes :

    « Je peux m'habiller ? »

    Ils rigolent en me répondant :

    « T'as déjà vu une chienne avec des vêtements ! »

    Quand le garçon d'étage arrive avec le petit déjeuner, je suis nue sur le lit. Il nous salue, et parle en arabe avec Aziz. Ils se marrent. Il installe les plateaux sur la terrasse et le garçon d'étage attend.

    « Lasie, tu ne donnes pas de pourboire? » me dit Yazid.

    « …euh…oui… ! »,  je vais chercher mon sac à main.

    « J'préfère une pipe ! » Dit le serveur.

    J'écarquille les yeux et regarde implorante Henri et Aziz.

    Aziz me dit :

    « T'as pas entendu le garçon Lasie ? A moins que tu souhaites la serviette ? »

    Les trois hommes me regardent en souriant. Je me mets à genoux. Il sort son sexe déjà en érection. Tu parles d'un petit déjeuné... Je prends le sexe en bouche et je commence à le sucer. Le serveur pousse des grognements de satisfaction et dit un truc en arabe. Aziz rigole.

    « Il dit qu'il n'a jamais rencontré une pute qui suçait aussi bien que toi. »

    Pendant que je suce, ils parlent du projet de voyage vers la Sahara. Le serveur me caresse la tête. Malgré mes efforts, il est endurant le salopard. Je prends la base de ses couilles dans une main et serre doucement. Je sais que les tous les hommes aime ça. J'accélère le mouvement et enfin, il me lâche tout dans la bouche.

    Aziz me lance :

    « Tu n'oublies rien ? »

    « Merci Monsieur pour votre service ! »

    Il rigole et nous dit :

    « Bonne journée Messieurs et merci pour le pourboire ! »

    Je suis toujours à genoux, la bouche engluée de sperme. Je demande :

    « Puis-je vous rejoindre, j'ai faim ! »

    « Oui… tu peux déjeuner. »

    Je mange un morceau, pour chasser le goût que j'ai dans la bouche.

    La journée se passe agréablement. Aziz nous fait visiter des endroit plus idylliques les uns que les autres. Le soir, de retour dans la chambre, Aziz prend les choses en main.

    « Allez tout le monde à poil ! »

    Henri assis dans un fauteuil regarde Aziz me peloter. J'embrasse Aziz sur son torse, son ventre et commence à le sucer. Il dit à Henri sur le ton de la rigolade :

    « Ça t'dérange pas que j'baise ta femelle? J'vois que ça t'fait bander mon salop ! »

    « Forcément… oui… Défonces la cette pute! »

    On peut toujours compter sur Henri, pour des répliques qui font mouche.

    Aziz se couche sur le dos et je m’empale sur lui. c'est délicieux. Il écarte mes fesses et dit à Henri :

    « Viens l'enculer ! Il y a de la place pour deux dans ce garage à bite ! »

    Si je n'avais pas eu cette leçon avec la serviette mouillée, j'aurais sûrement râlé. Mais là, je la ferme. Henri pose son gland sur ma rosette et s'enfonce en moi jusqu'aux couilles.

    Ouch!! Deux à la fois, je les sens bien, là! Heureusement, j'ai déjà eu des visiteurs qui passaient par la porte de derrière.

    « On est bien dedans ! Merci Aziz ! »

    « De rien… une salope comme Lasie, faut la baiser à deux! »

    Après un bon quart d'heure de ce régime, ils jouissent presque ensembles.

    « Bien ! Ca c'est ce que j'apelle une bonne baise avec une grosse salope ! J'vais me coucher et vous dis à demain ! »

    Et Aziz s'éclipse nous laissant seul. Nous nous endormons rapidement.

    Le lendemain matin Aziz est là à 9 h. Henry commande le petit déjeuner et c'est un autre serveur… Oui bon, j'ai compris, une nouvelle queue à sucer en pourboire. Je m'affaire sur sa queue comme une pro. Mais là je suis surprise quand il jouit par l’abondance de son sperme et un peu de sperme déborde de ma bouche. Il y a une tache sur son pantalon. Aziz l'a vue bien sûr.

    « Excusez- moi Monsieur ! Votre sperme est si abondant. »

    « Ce n'est rien. Tu suces si bien ! » dit le garçon.

    « Je sais ! Oui, mais elle doit tout avaler ! »

    J'ouvre la bouche pour prouver que j'ai bien avalé le flot de sperme du serveur.

    « Henri va te punir, car je n'ai pas aimé que tu taches le pantalon du garçon. Demande à Henri de te claquer les seins ! »

    « Le cul oui mais pas les seins s'il vous plaît ! »

    « J'ne veux rien entendre OK ? »

    Je me mets à genoux :

    « Tu veux bien me donner ma punition sur les seins, Henri, s'il te plaît. »

    La situation semble lui plaire. Je met mes mains sur la tête et attends les première claques.

    « Prête femelle ? »"

    « Oui… mais je t'en prie, ne frappe pas trop fort ! »

    « Je crois que c'est une mauvaise réponse ! Tu préfères peut-être la serviette mouillée? »

    « Nooooon!!! »

    Il lève la main et elle vient claquer mon seins droit puis avec la gauche, le seins gauche. "Aaaiiiiii.....Aiiiieeee..... !!!!".

    « Vas-y, enchaîne… ! » Dit Aziz.

    Alors, il enchaîne. Les claques tombent à toute vitesse sur mes seins.

    Je crie, à chaque coup "Aaaaiiiiiiiiiii!!!"

    Je me mets à genoux.

    « Merci pour cette punition Henri ! »

    Il sort son sexe tout dur. Il est super excité. Je comprend bien sûr et me mets à le sucer. Il est si super excité et ça ne dure pas. Il jouit rapidement sur moi.

     

     

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