• La ponygirl ou comment ménager sa monture

    Si vous nourrissez un goût fétichiste pour le cuir, que vous collectionnez les cravaches, aimez les ballades au grand air et les jeux de rôles sportifs, et, si domination et soumission sont les mots clef de votre sexualité, alors chaussez vos bottes cavalières et coiffez votre queue de cheval, vous avez peut-être l’étoffe d’une ponygirl.


    Se transformer en ponygirl, c’est pratiquer un jeu sexuel à mi-chemin entre le bondage, le SM et la pantomime équestre. Les ponygirls se transforment littéralement en montures, pour leur plaisir et celui de leur maître dresseur. En pleine nature, des attelages humains, se livrent ainsi à des séances de dressage et de promenade, ponctuées par des récompenses et des punitions administrées avec une plus ou moins forte connotation sexuelle. Cette pratique est la réalisation d’un fantasme de domination assez classique, qui a la particularité d’être excessivement sophistiquée et codifiée, faisant ainsi le bonheur des fétichistes et des amateurs de SM. Avec le goût croissant pour le fétichisme et le BDSM depuis 15 ans, les ponygirls, sont à la mode. C’est dans cet environnement, cette terre qui répand ses odeurs d’humus, d’écurie et d’effort, qu’entrent en action ces femelles pouliches. Ces créatures nous confient qu’elles deviennent vraiment une autre. Je ne suis plus une femme, je suis un animal. Ce n’est pas du déguisement, mais une totale transformation, physique et mentale.

     
    Les origines de cette activité sont diverses. Géographiquement, elles se fixeraient dans les terres anglo-saxonnes, tant propices à l’hippisme qu’aux dérives sexuelles. Historiquement, la ponygirl est héritière d’un imaginaire mythologique qui remonte à notre attachement atavique avec l’animal cheval, dont témoignent nos premiers jeux sur le mode « hue ! dada ». 


    Le goût des attelages humains va chercher aussi loin que cette ancestrale et féconde fantasmagorie au centre de laquelle le cheval incarne « la plus noble conquête de l'homme ». Ainsi à l’instar du centaure, du sagittaire et de l’amazone, Athéna, déesse de la guerre dans la mythologie grecque, est parfois associée à un cheval. Un de ses noms est d’ailleurs "femme-cheval".

     
    Cette paraphilie joue à la fois sur l’esthétique hippique, mimant le corps, se réappropriant la gestuelle et l’équipement du destrier, et sur la relation de soumission-domination qui unit le cheval et son dresseur, son jockey ou son cocher. 
    Précisons que les attelages humains peuvent être conduits autant par des femmes que par des hommes. Mais le ponyboy est moins représenté, question d’esthétique peut-être.

     

    Amazone, Ecurie humaine, Servitude, La Reine cravache, Dressage… autant de titres nés sous la plume d’écrivains et illustrateurs britanniques comme Eneg (Gene Bilbrew) ou John Willie, ou français usant de pseudonymes anglophones, tels Jim Galding, Alan Mc Clyde ou J. Van Styk. 

     
    Aujourd’hui la plus célèbre des ponygirls est sans doute Gwendoline. D’abord héroïne de la bande dessinée de John Willie, père spirituel du bondage dans les années 50, la jolie blonde surgit sur les écrans de cinéma en 1984, grâce à une adaptation de Just Jaeckin, réalisateur d’Emmanuelle. C’est en faisant des recherches pour son film qu’il découvre des planches de dessin représentant une course de chars humains que Jaeckin a l’idée de mettre en scène des pony girls dans le royaume souterrain de Yik-Yak, une cité féminine interdite dirigée par une reine (B. Lafont). « Ce char tiré par trois filles nues menait subitement vers le fantastique. C’est ce climat qui m’a fait accepter de tourner Gwendoline » raconte Jaeckin. La scène de la course menée par des amazones emplumées donne une bonne idée du matériel et des costumes indispensables aux attelages humains. 



    Être ou avoir une ponygirl nécessite de fait certains investissements. t: « On côtoie l'aristocratie du SM et même l'aristocratie tout court. L’harnachement, est le moment que je préfère. Le déclenchement du fantasme, le début de l’évasion.  
    L’équipement de base comprend, des pieds à la tête : 
    - Des botte équipées de sabots. 
    - Une selle ou un corset agrémenté de sangles qui auront soin d’encercler seins, fesses et pubis de manière aussi suggestive que contraignante. Mais la selle ne sert pas toujours, car on ne monte que rarement une ponygirl. 
    - Une queue de cheval, forcément. On choisira soit un modèle de plug anal terminé par une longue crinière, soit une postiche que l’on fixe au corset. 
    - Enfin, le harnais de tête auquel se fixe le mords, qui vient se loger entre les dents, permettant de guider la ponygirl et interdisant physiquement la parole. Un seul mot prononcé constitue une faute grave. L’autre intérêt du mors est de faire abondamment saliver, humiliation particulièrement appréciée des soumises et des maîtres. 
    Enfin, la ponygirl est prête. 


    Ne peuvent se réclamer de la vraie famille des ponygirls, les femelles en en appartement. C’est à l’air libre, frissonnant et suant à ciel ouvert, que l’on atteint le sommet de cet art, où la domination se mêle à l’exhibition. 
    Hormis le harnais, le corps de la ponygirl est toujours nu, offert à la vue et à la main qui récompense ou punit. Assis dans le sulky, le maître quant à lui est un voyeur actif, fier de son équidé et du joug qu’il exerce. Son autorité est indiscutable, alors parfois le fouet claque et mord la chair de l’indocile.

    J'avoue parfois faire la rebelle exprès, pour être punie mais aussi pour inverser le pouvoir. En Angleterre dans les clubs, on laisse en général ce genre d'opération à la discrétion de quelques grooms et palefreniers, souvent passionnés, qui traitent la ponygirl comme ils auraient traité une jument au paddock avant de la monter. 


    La relation entre la jument et son maître est basée sur la confiance. Entravée et réduite au silence, la femelle doit se sentir en sécurité pour obéir sereinement. Obéir c’est à dire ramper à quatre pattes, les reins cambrés, la taille creusée et la croupe offerte à l’œil et à la main du maître. Tendre tous ses muscles dans un formidable élan, et mettre en branle cette voiture, transpirer, souffler et baver… d’effort et mais encore d’excitation. Pour ces femmes qui, des heures durant, sont en position de soumission, seins, fesses et sexe en parade, orifices prisonniers et disponibles, la moindre pression sur les rênes circulant à travers le réseau de cuir du savant harnachement, transforme chaque mouvement en aiguillon de désir. 


    L
    es relations sexuelles ne sont jamais totalement exclues, mais elles ne constituent, en aucun cas, un préalable ou une condition. A partir du moment où le jeu commence, les femmes sont des ponygirls. Entre hommes, ils parlent de nous en décrivant notre anatomie avec des mots tels que croupe, gueule, mamelles, panse, etc. Un étranger peut lui flatter la croupe, le haut des cuisses, palper ses mamelles, mais cela s’arrêtera là.


    I
    l s‘agit avant tout d’une sexualité mise en scène, d’une forme d’exhibitionnisme très stylisée. Les ponygirls semblent précisément éprouver une fierté liée à leur corps, mais aussi à leur performance physique, qui en font une catégorie de soumises à part. Elles se sentent de fait moins esclaves qu’animales, entretenant un rapport mystérieusement complice avec leur partenaire. Je trouve cela très esthétique, très gracieux. J'aimerais faire partager ma passion au plus grand nombre, et trouver d’autres ponygirls pour composer un attelage multiple. 


    Cependant si certains adeptes de l’attelage humain se prennent très au sérieux, rien n’empêche quiconque d’expérimenter cette pratique avec le recul du second degré, dans le but ludique de varier les plaisirs de soumission ou de domination. A défaut de brider nos fantasmes, prenons la bride.  

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  • Jusqu'à présent, c'était les femmes qui attiraient Hani. Elle est toujours vierge. Un bonhomme annonce :

    «  j'ai le plaisir de vous présenter l'attraction suivante. Elle s'appelle Hani... on l'applaudit! »

    Hanni est habillée en écolière, jupe plissée bleue, chemisier blanc... Aux pieds, des chaussures noires et des chaussettes blanches montantes. Elle a aussi un cartable Hello Kitty dans le dos et un ours en peluche à la main.

    Le public applaudit. Moi je trouve ça ridicule.

    Le présentateur est comme Jacques Martin, à l'École des Fans dir :

    « Bonjour ma grande fille... Alors, ta maman nous a dit que tu n'as pas été sage, qu'est-ce que tu as fait? »

    « Je fait l'amour avec des copines Monsieur. »

    « C'est pas bien de faire ça. Tu es une fille, tu dois embrasser le zizis des garçons. »

    En disant ça, le présentateur sort sa bite du pantalon. Belle bête avec ses 25 cm.

    « Allez, suce-là ! »

    Hani se met à genoux et prend le morceau en bouche.

    « Tu fais ça très mal! Ta maman a raison de te punir. Elle pense que ton pucelage est peut-être la cause de tes mauvaises manières. Alors, aujourd'hui on va te dépuceler en public. Et après, tu seras normale. Ça te fait plaisir? »

    « Oui, Messieur. » Dit-elle penaude de peur d'être durement fouettée.

    « Tu vas d'abord, te mettre toute nue. »

    Murmures approbateurs des spectateurs. Hani enlève ses vêtements d'écolières. Des gens applaudissent. Le présentateur la prend par la main et le fait tourner pour que tout le monde voie bien. Il lui caresse les nichons, en disant :

    « Je vois que tes nichons sont à point. »

    Deux hommes amènent une table. Le présentateur prend Hani par la main, «Maintenant, tu vas te coucher sur  la table, bien écarter les jambes et montrer ta chatte à tout le monde. »

    Hani, docile, se met en position et écarte les lèvres de son sexe. La caméra fait un gros plan.

    « Nous allons tirer au sort celui qui aura l'honneur de dépuceler cette lesbienne ! »

    On lui apporte un seau à champagne, il y plonge la main dedans et en ressort un papier plié.

    « Mesdames, Messieurs, voici le gagnant... C'est le... N°38 !!! »

    Un grand jeune black lève la main et crie :

    « C'est moi! »

    Applaudissements. On entend, "Le veinard!!"

    Il se précipite sur la piste, avec son papier. Le présentateur l'amène devant Hani qui a toujours les jambes écartées et la chatte ouverte. Le gars sort une énorme queue et frotte le gland entre les lèvres du sexe d'Hani. Un cameraman monte sur la table pour mieux filmer. Les gens applaudissent...  Quelle belle bite. Il la tient par les hanches pour qu'elle ne recule pas et lentement, il enfonce son énorme sexe. Ouch!! Hani pousse un très beau cri!! "Aaaaaaaiiiiiiiiieeeeeeee" On voit nettement, sur les écrans géants, le sexe qui écartèle le vagin tout neuf.

    Voilà, il est dedans.

    « Mesdames et Messieurs, elle n'est plus vierge du tout!! »

    Rires,  applaudissements. La maintenant fermement, il la baise à grands coups de reins, en faisant bien entrer et sortir son sexe presque complètement, pour la caméra. Hani continue à crier et à gémir. Enfin, avec des grognements le black jouit en elle. Il se retire, range son engin et dit à Hani :

    « Donnes nous tes premières impressions... ! »

    Hani pleure comme une fontaine et bredouille :

     

    Le présentateur est satisfait. Il se tourne vers l'entrée des écuries et lance :

    « Au suivant! »

    Pour de la baise en série, il faut des hommes qui aiment ça. Des amateurs de gang bangs ou des poivrots qui s'en foutent. Le premier qui arrive donne un petit billet au présentateur qui le met dans le seau avec les papiers de la tombola.

    « Merci Monsieur ! » Dit-il.

    « Ca ne vous dérange pas de passer après moi? »

    « Au contraire ! Elle est graissée et ça glissera mieux. »

    On voit sur les écrans le mec mettre le bout de son sexe, contre le vagin qui déborde de sperme taché d'un peu de rose. Il frotte son gland dans le sperme avant de s'enfoncer en elle. Il la pénètre sans difficulté. Et ça glisse bien, il avait raison. Il fait une dizaine d'allers retours et jouit à son tour. Là elle est remplie Hani. Des mecs font la queue, pour niquer Hani. Ils donnent tous un petit billet ou quelques pièces. 

     

     

    Les spectateurs l'applaudissent. Sur les écrans, on voit le visage d'Hani en gros plan, il est aussi rouge tant elle a crié et pleuré. Sa chatte dégouline de sperme. Au bout d'une vingtaine de queues, le présentateur fait relever Hani qui tremble sur ses jambes et lui demande :

    « Alors, quelles sont tes impressions, ma grande ! »

    Tout en pleurant, elle répond :

    « Ça fait très maaaaal, Monsieur!! »

    Le présentateur s'adresse aux spectateurs :

    « Mesdames et Messieurs, vous avez entendu? Les queues ça fait maaaaal! »

    Rires...

    Il continue :

    « Tu vas t'excuser auprès de ces Monsieurs avec sincérité et humilité, pour avoir honoré ta chatte de lesbienne ! Sinon tu pourrais avoir dix coups de fouet ! »

    Elle va péniblement s'agenouiller devant ses fornicateurs et la peur du fouet lui fait trouver les mots qu'il faut.

    « Pardon, Messieurs, j'ai menti... J' adoré me faire défoncer par vos magnifiques queues. Pardon! »

    C'est d'autant plus humiliant à dire pour Hani, qu'elle n'a certainement pas menti. Le présentateur reprend la parole :

    « On va remettre cette salope en forme et elle reviendra dans une dizaine de minutes pour vous divertir ! »

    Un garde vient chercher Hani et l'entraîne vers les écuries en la tenant fermement.

    « Pour patienter, vous allez voir un numéro exceptionnel... Venus de Chine, voici  les "Yellooooows Biiiirds!!" »

    Musique chinoise. Des chinoises arrivent sur la piste toutes nues. Elles jonglent avec des balles, des quilles, des assiettes. Tout en jonglant, elles font des acrobaties. Sur les écrans, on a des vues en gros plan de leurs petites chattes, c'est mignon. À un moment, il y en a une qui manque la quille dorée qui devait lui arriver dans la main. Aussitôt un gros chinois qui était en bord de piste s'approche et lui applique quelques bons coups de fouet sur les cuisses et les fesses... Elle pousse des cris. Applaudissements des spectateurs, c'est leur truc ici, le fouet. Aussi douées que soient les petites chinoises, ce qu'elles doivent faire est tellement compliqué, que l'une après l'autre, elles font une erreur et reçoivent une ration de coups de fouet. Elles partent en se frottant les fesses sous les applaudissements des spectateurs.

    Le présentateur reprend :

    « Vous connaissiez Hani la pucelle, qui ne pensait qu'à bouffer la chatte de ses copines, voici... la nouvelle Hani la pute qui se fait mettre par n'importe quelle queues ! »

    Elle fait son entrée. Ils l'ont lavée, coiffée. Le présentateur lui demande :

    « Alors, prête à gagner un peu d'argent avec ton cul? »

    « Oui, Monsieur. »

    La pauvre Hani pour une première va se prendre un nombre de queues incroyable. Deux frères, se pointent pour une double pénétration.  Un couché sur le dos par terre, son sexe dans la chatte d'Hani couchée sur lui, et le frère qui la prend par derrière.

     

    La chatte et le cul d'Hani sont devenu... euh... un peu une poubelle à sperme. Les spectateurs apprécient et scandent :

    « un Bukake, un bukake, un bukake !!!! »

    Là, à ma grande stupeur, le présentateur m'appelle .

    « Michèle viens ici ! Tu va éponger la chatte et le cul de ta copine pendant qu'elle se fait asperger de sperme ! »

    Lécher et même sucer la chatte d'Hani, j'ai rien contre, mais pas pleine de sperme de ces chiens. Bon... obéissante comme toujours, enfin surtout quand je risque d'être punie, je vais me mettre à genoux et suce la chatte de la jeune pute. Le sperme, c'est quand même dégoûtant surtout en grande quantité. Un cameraman filme de très près pour vérifier que j'avale tout. Bon voilà, j'ai tout avalé et j'ai des hauts le cœur. Si ça pouvait être fini,. surtout pour Hani. Le présentateur s'adresse de nouveau à moi :

    « Tu aimes le sperme? »

    Que dois-je répondre? Que j'ai envie de dégueuler? Je réponds ce qu'il attend :

    « Oui, Monsieur ! »

    « Alors, tu vas être gâtée et ta copine aussi! Maintenant, vous allez assister à un "bukkake" Tous ceux qui ont été excités par le spectacle peuvent venir se branler et jouir sur elles. »

    On voit les hommes arriver. Le présentateur met un peu d'ordre.

    « Messieurs, 10 à la fois ! »

    On voit quatre ou cinq hommes venir se branler au-dessus de nos visages, comme des singes lubriques. Je murmure à Hani :

    « Ferme les yeux quand ils jouissent. »

    Oui, bon, une fille qui a un peu... roulé sa bosse, sait que du sperme dans l'œil, ça pique.  Un jet de sperme vient atterrir sur mes joues et mon nez. le pire serait de devoir tout avaler. Je sens aussi du sperme chaud sur mes nichons et ma chatte. Celui qui vient de lâcher sa cargaison, est remplacé par un autre. Les spectateurs aiment. Ils encouragent les gars. « Allez!! Arrosez les figures de ces putes... ! »

    Les derniers viennent... se vider les couilles. On a l'impression d'avoir pris un bain de blanc d'œuf. On dégouline de sperme, ça coule depuis nos visages et nos seins vers le bas du corps. On en a plein les cheveux, tu parles d'un shampoing. C'est dégoûtant!

     

    Les gardes se bouchent le nez quand on approche. L'un d'eux nous dit :

    « Vous puez les vides couilles ! Allez vous laver! »

    J'aide Hani à se laver et je lui dis :

    « Je suis vraiment désolée de ce qu'on t'a fait. Met ça dans les mauvais souvenirs, pense à l'avenir. Tu peux répéter à Fatima, ce que je vais te dire et je serai punie, mais on s'évadera à deux... Et on s'en sortira. »

    Elle me regarde et m'embrasse tendrement.

     

    Hani et moi on se lave l'une l'autre. Je passe doucement ma main pleine de mousse sur sa chatte rouge et gonflée...

    « Et les putes vous révez !!? Rincez-vous et sortez ! »

    On est emmené au dortoir pour un repos bien mérité, surtout pour Hani.

    Le lendemain, la journée commence dans la grande salle. Il y a du monde.

    Hani et moi, on fait le thé et le café et on sert tout le monde. Il y a généralement un ou deux amis de Fatima qui a besoin de nous sous la table.

    « Dis, Fatima ! On est super bien reçu, chez toi! Après m'être rempli le ventre, je me viderais bien les couilles! »

    L'hospitalité orientale, ce n'est pas un vain mot et Fatima nous montre d'un geste désinvolte.

    « Pas de problème, elles sont là pour ça. Laquelle veux-tu?? »

    Le gars nous observe.

    « Michèle me plait mieux ! » 

    Pendant qu'Hani un garde, son copain dit :

    « Je prendrais, bien la dépucelée ! »

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    À quatre pattes, on suce les bites. Quand le contenu de leurs couilles se retrouve dans notre estomac, on émerge de sous la table, avec parfois un peu de sperme autour de la bouche. Ensuite, on reçoit l'autorisation de déjeuner. Ce qui n'empêche que si l'un ou l'autre a envie de quelque chose, on a intérêt à "sauter"! Le soir, on se fait des câlins Hani et moi. On  profite de ces moments pour faire l'amour entre fille. C'est toujours moi qui le demande.

     

    J'embrasse sa chatte, puis la lèche enfonce ma langue dans son vagin, lape son clito. Elle m'a toujours donné des indications, genre "plus vite! plus bas! pas là, stupide, remonte!!' Elle se contrôle bien, ça dure longtemps... le temps pour moi d'être super excitée. Enfin, elle se cambre et jouit sans bruit. La nuit, je repense à tout ça et je me caresse encore... longuement, cette fois-ci. Le lendemain, comme tous les jours, on va réveiller Fatima. Elle me regarde et dit :

    « Donne moi ta main ! »

    Je lui tends... craintivement! Elle renifle mes doigts.

    « Mais, tu t'es masturbée? »

    « Oui Maîtresse. »

    Elle me regarde droit dans les yeux :

    « Tu dois me demander l'autorisation petite pute ! »

    Quand les amis de Fatima sont tous là, Fatima dit à la ronde :

    « Vous savez pourquoi Michèle a toujours l'air fatigué ? »

    Tout le monde me regarde.

    « Dis leurs Salope ! »

    Je la regarde avec les yeux suppliants... comme si ça pouvait marcher!

    « Je me... caresse... Plusieurs fois par jour... »

    Un garde dit :

    Une petite séance de fouet serait la bienvenue pour elle. Ni une ni deux, Je suis attachée et suppliciée sous les applaudissements.

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  • Il y a un petit moment de flottement, puis la mère dit à un garde :

    « Champagne pour tous ! »

    Je vais devant le comptoir où une serveuse débouche une bouteille et remplit des coupes. J'en prends une et je vais devant la mère. Les yeux baissés et je lui tends. Ma soumission lui plaît. Elle met un pied sur une chaise voisine, en me disant :

    « Pas besoin de te faire un dessin? »

    Je me mets à genoux et je commence par embrasser ses pieds, puis je remonte lentement jusqu'à sa chatte. Je suce les grandes lèvres au goût légèrement salé, plonge ma langue dans son vagin à la saveur acide, puis tourne le bout de la langue autour du clito. Pour le moment, elle ne réagit pas, elle boit. Elle a l'air d'avoir un fameux self contrôle. On va voir... car en cuni, je suis bonne. Ma langue investit toute sa chatte, ma bouche suce, mes mains caressent...Aaah... enfin, une de ses cuisses a un tressaillement... c'est le début... puis imperceptiblement son bassin vient au-devant de ma langue... Je pense : toi, toute dure que tu sois, je vais te faire grimper aux rideaux... C'est mal la connaître, car elle me prend par les cheveux et me redresse la tête.

    Elle me sourit.

    « Pas trop mal, petite pute! »

    Elle se penche et m'embrasse sur la bouche qui a le goût de sa chatte. Puis elle lâche mes cheveux, me repousse et me dit de dégager.

     

     

    Autour de nous, ça dégénère, les gens baisent et se font sucer par des prisonnières et par les serveuses. Ils boivent du champagne... Une serveuse qui a renversé un verre se fait fouetter et crie... Sa mère a un programme en tête et elle s'adresse à son mari.

    « John, encule ta gouine de fille ! »

    ... silence...

    « Tu as entendu, John, je veux que tu l'encules. »

    « ... non, là tu vas trop loin... Me faire sucer c'est une chose mais la sodomiser, c'est trop glauque ! »

    La mére qui ne se démonte pas lance :

    « Bon puisque tu ne veux pas l'enculer, c'est un garde qui le fera ! » 

    La sodomie a du bon. Sa fille reste pucelle et de ce côté-là pas de risques de grossesse. Sa mère veut que sa fille en bave. Alors elle choisie le garde qui a une queue monstrueuse pour élargir sa fille qui du coup écarquille les yeux de terreur en voyant le monstre. Le garde se fa it un plaisir de lui défoncer l'anus, sans écouter les plaintes de la pauvre fille.

     

    La réaction des spectateurs est mitigée, les prisonnières sont pleines d'appréhension. Une grosse femme, bourrée, rit de bon cœur. Le père ne regarde pas, mais là, il n'a plus l'air d'accord du tout. Les gardiens sont... comment dire?  Admiratifs. Ils n'ont jamais vu une prisonnière traitée comme ça, par sa mère. Une fois que le gardien a éjaculé dessus, la mère baille comme blasée.

    « Elle pue! Emmène-la dehors et lave-la ! »

    Hani se lève et suit le gardien en laissant derrière elle, une traînée de sperme qui coule de son cul.

    La mère m'appelle. Je me précipite de peur de recevoir des coups de cette mégère. Elle me dit :

    « On va faire un câlin. »

    Elle se lève et se déshabille. Un des gardes siffle d'admiration, elle lui sourit. C'est vrai qu'elle est appétissante. Elle a de beaux seins lourds.   

    Elle se rassied et je vais me mettre à nouveau à genoux entre ses cuisses.

    J'embrasse sa chatte, mais elle me redresse la tête.

    « Tu as soif? »

    Elle boit un peu de champagne m'embrasse en partageant le champagne qu'elle a dans la bouche. C'est délicieux. Trop de douceur m'inquiéte. Les gens autour de nous discutent ou baisent... On fouette une serveuse qui a renversé un verre sur un invité. Elle crie et supplie... ça fait, "claac" - "aïe!", "claac" -  "aïe! pitié...", "claac" - " aïe! je l'ai pas fait esprèèès!"... ça fait un bruit de fond, genre orgie du temps de Caligula.

    Hani revient. Elle est nue, mouillée et propre.

    « Debout ! » Me dit la mère. Mais qu'est-ce qu'elle me veut??? Elle me caresse une hanche, puis les fesses.

    « Ça t'a plu de voir ta copine se faire chahuter? »

    Chahuter!! Elle a de ces mots! Qu'est-ce que je peux répondre ? Elle glisse la main entre mes cuisses et  deux doigts dans ma chatte.

    « T'es toute mouillée, donc, ça t'a plu? »

    Là, je suis coincée, autant dire la vérité, si elle veut me punir, elle le fera de toute façon.

    « Je trouve cruel tout ce que vous l'avez obligé à faire. Mais en même temps, ça m'a excité. »

    Elle rigole et en me prenant par la main, elle m'entraîne vers un divan. On s'allonge à côté d'Hani et de son père. On est couchée face à face, ses seins s'appuient sur  les miens. Sa bouche prend la mienne, sa langue me viole la bouche. Elle descend, embrasse mes seins, suce les bouts, les mordille. Elle revient vers ma bouche. Sa main investit mon sexe avec un mélange de douceur et de brutalité qui me chavire.

    « Tu  aimes ça petite salope ! »

    « Ooooh oui !!!!!! »

    Tout mon corps vibre et s'offre à elle. Je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Elle sort la langue de ma bouche pour me regarder dans les yeux. Elle pince mon clito entre le pouce et l'index, je me tortille sous cette caresse. De l'autre main, elle me pince le bout d'un sein. Là, j'atteins le point de non-retour. Je hurle ma jouissance dans un orgasme fulgurant.

     

    Et puis, je redescends sur terre. Je suis apaisée, étourdie. Les gens sont venus me regarder prendre un méga pied.

    « Alors heureuse, petite pute? » Me demande la mère.

    « Oui. Merci, Madame ! »

    Voilà, c'est la fin des visites, pour les parents d'Hani. Ils se lèvent, toujours nus. La mère discute avec des gardes et des visiteurs qui ont apprécié son imagination. Ils se rhabillent, saluent tout le monde et s'en vont. Un garde nous ramène dans nos quartiers. Je sens bien qu'Hani m'en veux d'avoir joui avec sa maire. Il nous boucle dans une petite cellule. Hani s'assied par terre, les bras enserrant ses genoux.

    « Faut qu'on parle, Hani, écoute... »

    « Ferme-là!! Grosse salope !! »

    On s'endort là plein d'idées noires dans la tête. Fatima ne vient nous chercher que le lendemain matin pour aller directement dans l'atelier. Hani épluche des crevettes et moi je suis la femelle de qui veut bien se servir de moi. Fin d'après-midi, les ouvrières s'en vont. On va enfin se retrouver et j'espère pouvoir m'expliquer avec Hani. Mais un garde arrive et nous demande de venir avec lui. On sort du bâtiment. Dehors un sulki nous attend. On ouvre grands les yeux. Ici pour tirer ce n'est pas un cheval, mais une fille. On nous met des œillères, un mors dans la bouche attaché à des rennes pour être dirigées. On nous met également des grelots à la taille, aux chevilles et aux poignets et pincés aux tétons.

     

    Les gardes nous attache aux charettes. Ils s'assoient et, crie, "hue", en nous donnant un coup de fouet sur les fesses des pouliches que nous sommes devenues. Nous poussons un petit cri. La voiture démarre. Nous sommes stimulée régulièrement par des coups de fouet. Nos cris se mêlent aux tintements des grelots. C'est trop la honte. Nous sommes à l'extérieur de l'enceinte carcérale et nous entrons en ville. Il y a des hôtels, un casino, des boîtes de nuit. Un moment, je n'en peux plus, je ralentis. Pas le temps de souffler que le garde m'envoie un méchant coup de fouet sur les seins. Je crie, "Aaaaaiiiiiee" et je cours!! Dans le bruit des grelots, les halètements et les claquements du fouet, on arrive enfin.

    On est devant un genre de saloon. Il y a des poteaux pour attacher les ponygirls. Il y en a plusieurs. Toutes ont des marques sur les fesses. Les gardes nous détache et on entre dans le bouge. Il y a un grand comptoir, des tables et des chaises, un piano. Un écriteau donne les tarifs des consommations. En dessous, il y a écrit "Fellation gratuite pour toute consommation." C'est sûrement pour ça qu'on est là.

     

     

    Il y a un pianiste qui commence à jouer. La patronne du bouge nous explique :

    « Vous servez à boire et vous vous laissez peloter. Les pipes sont gratuites mais si un client veut vous baiser, il doit payer et monter dans une chambre à l'étage. Pour toi Hani c'est le tabouret à pipe.»

    Devant sa tête d'ahurie, la patronne l'entraîne vers le bar. Là, elle découvre une série de tabourets devant, normal... Sauf que... en face de chaque tabouret, il y a une ouverture et la tête d'une fille qui dépasse.

     

    Les premiers clients arrivent et je sers des verres. Ils me pelotent et rentrent leurs doigts où ils veulent. Ils viennent prendre une cuite bon marché et se faire sucer gratuitement. Que demande le peuple? Comme je circule, je vois mieux comment fonctionne le bar du fond, quand un client est assis sur son tabouret, la fille qui est devant lui, a sa bite dans la bouche.

    Chaque client a droit à une fellation gratuite. Il reçoit un bon  à l'entrée, qu'il doit remettre à un grand Black baraqué, qui surveille les filles. Si, un client n'est pas satisfait, il le lui dit et la fille reçoit aussitôt cinq coups de fouet sur les fesses. Ça piaille ferme dans le fond et ça amuse tout le monde. Après une heure, on change les filles. Celles qui ont fini ont l'estomac plein de sperme et les fesses pleines de marques. Les clients sont de plus en plus bourrés... et ils ont les mains de plus en plus baladeuses. Je me débrouille bien avec les clients. J'ai déjà fait ça. Surtout quand il s'agit de se faire tripoter la chatte avec les clients.

    Je renverse un verre alors qu'un client enfonce brutalement 3 doigts dans ma chatte trempée.... Ouch!! Madame l'a vu.

    « Espèce d'idiote, tu n'es pas capable de servir un verre sans renverser, je vais t'apprendre moi! Penche-toi et met tes mains sur cette chaise ! »

    Elle lève sa cravache et me frappe en travers des fesses. Pas de toute sa force, mais la cravache, ça fait tout de suite vraiment mal. Elle frappe tout en me grondant :  

    « ffwwiii" "aïïïïe" "tiens! Souillon! ffwwiii" " aïïïïe" Conasse de blonde!ffwwiii" "aïïïïe" J'vais t'apprendre, moi ! ffwwiii" "aïïïïe" "encore une maladresse et tu vas au comptoir faire de pipe à la chaine comme ta pute de gouine Hani! ffwwiii" "aïïïïe" Sucer des bites... Ca, tu sais le faire??? ffwwiii" "aïïïïe!!!!" "t'as compris, la leçon chiennasse?! »

    « Ooooouuuuuiiiiiii!!!!! Ma..madaaame ! »

     

    Les gens sont ravis bien sûr... J'ai les yeux pleins de larmes et les fesses brûlantes, mais ici, ça amuse tout le monde. Chaque client, à qui j'apporte un verre,  y va de son petit commentaire en passant la main sur mes fesses. Un vieux couple m'appelle. Ils veulent voir et tâter mes fesses. Bon, le client est roi... Ils suivent les marques du doigt.

    « Jolies fesses ! » Me dit la femme en me pinçant.

    L'homme me demande :

    « Tu t'appelles, Michèle ? »

    « Euh... oui Monsieur! »

    Je suis surprise qu'il connaisse mon nom.    

    « Je viens de me faire sucer par ta copine Hani. »

    Il n'est pas le seul, il y a sans arrêt un mec qui a sa bite dans la bouche d'Hani.

    « On aime le sexe et se faire sucer par ces filles, c'est top. Dès qu'elle a fini son heure de fellation et d'avalage de sperme, on va dans une chambre avec elle et toi. »

    C'est la fin de l'heure pour Hani, on remplace les filles.

    Elles vont se laver et Hani revient sans aucun enthousiasme. Le vieux lui dit :

    « Je tenais à te féliciter.Tu suces bien pour une gouine! »

    Là, elle devient toute rouge. Les gens de la table d'à côté se marrent.

    La vieille rajoute :

    « Avec ta copine, il paraît que vous êtes les reines du cuni. Je vais vous essayer toutes les deux. »

    À ce moment on entend des éclats de voix. Près du comptoir un homme engueule la patronne et ça se termine par une paire de gifles qu'elle n'essaye pas de parer. Il gueule :

    « J'vais t'montrer qu'elle est ta vraie place, salope ! »

    Elle pleurniche.

    « Je ne savais pas Maître, pardon. »

    « A poil putain ! »

    Tout le monde regarde. Cette belle rousse si fière et si arrogante, qui prend tant de plaisir à fouetter et à humilier son personnel, c'est à son tour d'y passer. Elle enlève sa robe à toute vitesse comme une vulgaire soumise. Elle est belle ; des seins en poires, une taille mince et des fesses rondes. Sa peau est très blanche, ce qui la fait paraître encore plus nue et plus vulnérable. Elle tremble en attendant la décision de son maître.

     

    La belle rousse est nue, elle attend qu'on décide de sa punition.

    Où est-elle, est la maîtresse qui prenait plaisir à humilier et a fouetter les serveuses??

    Comme les autres serveuses, je suis passionnée par ce qui se passe.

    L'homme lui montre le fond du saloon du doigt et la punition tombe.

    « Une heure à faire des pipes et à te remplir de sperme ! Ca va te remettre les idées en place! Et estime-toi heureuse, que je ne te fouette pas sur la place publique ! »

    « Merci Maître. »

    Elle se dirige tout de suite vers le bar à pipe, sous les regards des serveuses ravies, et des clients, goguenards. Les clients du comptoir du fond ont sorti leurs bites de la bouche des filles qui se trouvent devant eux. Il y a déjà une file pour se faire sucer par la patronne.

    J'assiste ravie au ballet des queues dans la bouche de la patronne soumise. Les éjaculations et les queues se suivent. Du sperme déborde de sa bouche et dégouline sur ses seins. Son rimmel coule sous l'effet de ces multiples queues qu'elle prend parfois violemment en gorges profonde.

    Le couple de vieux nous dit :

    « Maintenant, on va dans une chambre ! »

    Le vieux va parler au type qui a pris la place de la patronne. Il lui donne un billet pour la chambre. »

    Quand on passe près de lui, il nous prend par le bras Hani et moi. Il approche son visage des nôtres et dit :

    « Je veux que ces clients soient parfaitement satisfaits de vous deux, sinon vous allez passer un moment pas très agréable. »

    La chambre à l'arrière du bâtiment est affublée de deux lits en fer et de matériel de punition. Ils ont pris une bouteille de cognac. Ils boivent à la bouteille et nous en propose. Hani refuse, mais moi j'avale une bonne lampée pour me donner du courage. La vielle s'assoit sur le bord du lit et me fait signe d'approcher. Elle a une haleine qui sent l'alcool, tant mieux. Elle me caresse la chatte, me fait des compliments.

    « Tu as des belles fesses... Ooh, tu es toute mouillée... ça t'excite petite salope ! »

    Elle me plonge sa langue dans le cul en me disant :

    « On va d'abord regarder Hani avec mon mari. »

    Le pépé est couché sur le dos. Hani est couchée sur lui. Hani commence à être bien dressée. Elle a fermé les yeux et rend le baiser du vieux vicieux. Elle me semble encore plus belle, couchée sur le vieux. Ses fesses sont striées de marques rouges. Le pépé lui dit :

    « Suce-moi ma belle pute ! »

    Elle descend et lèche les téton du vieux. Puis elle va s'agenouiller

    entre ses jambes. La belle bouche d'Hani suçant cette bite m'excite.

     

     La grand-mère me dit :

    « Montre-moi ce que tu sais faire avec ta langue. »

    Elle prend un sein dans la main et me le tend. Je suce le bout. Faut que je fasse ça bien. Je prends des initiatives, je suce l'autre sein flasque. Je descends vers son ventre. Je m'arrête sur son nombril.  J'enfonce ma langue. Puis, j'arrive à sa chatte. J'embrasse toute cette chair molle et mouillée. Je suce les grandes lèvres, j'en ai plein la bouche. La grand-mère me caresse les cheveux.

    « Oui, ma jolie salope, lèche bien grand-maman... »

    Je suce son clitoris, c'est comme si je faisais une pipe à un mec monté fin. Elle m'arrête.

    « Couche-toi sur le dos, on va faire 69. »

    Elle se met à quatre pattes au-dessus de moi, le bout de ses seins flasques frôle mon ventre. J'ai le nez dans sa chatte. De son côté, elle me lèche goulûment la chatte. Elle geint de plaisir et moi aussi. Elle prend mon clito en bouche et le mordille. C'est bon!! Je suis sur le point de décoller.

    Pépé lance :

    « On change, ma chérie ! »

    La grand-mère répond :

    « D'accord, mon canard. »

    Ah putain!! Alors que j'étais sur le point de jouir. Elle me donne une claque sur les fesses.

    « Va t'occuper de grand papa! »

    J'étais tellement prête de jouir que, j'en ai mal au bas-ventre. Elle s'assoit dans le lit et Hani vient se mettre entre ses vieilles cuisses.

    Moi, je me fait enculer par pépé. Il a du répondant l'ancien. Il enfonce son sexe en moi. Ouch!! J'ai le feu au cul et ça fait du bien! D'autant qu'en levrette, je peux imaginer que c'est le prince charmant qui m'encule. Il n'est pas le premier et il ne manque pas de me le faire remarquer.

    « Dis donc, ton cul, c'est une bouche de métro ! On pourrait t'enculer à plusieurs!! »

    Il baise bien, le vieux, un bon rythme.

    Je jouis en même temps que lui. Il sort de mon cul qui dégouline de son sperme. Je suis apaisée. On se repose un peu. On entend régulièrement des cris qui viennent du saloon, une serveuse maladroite ou une suceuse pas assez appliquée... qui se fait corriger. On se rhabille et on retourne dans le bar, sans trop d'appréhension, certaines qu'ils sont très contents de nous. Hélas, on a oublié qu'ils étaient des pervers. On a passé plus d'une heure dans la chambre et quand on arrive dans le saloon, la belle rousse est rhabillée et a retrouvé toute son arrogance. Elle a les yeux un peu cernés, une heure a sucer des mecs et à avaler du sperme en se faisant fouetter, ça fatigue. Le gars qui l'a punie est toujours là, attablé avec deux hommes, une serveuse sur les genoux. La rousse demande aux grands-parents :

    « Satisfaits des filles? »

    « Pas vraiment...Il a fallu les menacer du fouet, pour qu'elles daignent mettre un peu de cœur à l'ouvrage. » Dit la grand-mère en nous regardant avec perversité.

    Quelle vieille garce!!! Le grand-père approuve.

    « Elles ne sont pas encore assez bien dressées ces gamines... »

    La rousse a un méchant sourire.

    « Je vais les faire attacher et les faire fouter durant une heure par les clients ! »

    « Très bonne idée ! » répondent-ils en cœur.

    Quand ils sont partis et comme, j'ai à nouveau la langue plus longue que la jugeote, je dis à la rousse :

    « Ils mentent, Madame, ils étaient très contents de nos services ! »

    Ouch!! Je prends une gifle magistrale sur la joue.

    « On t'a demandé ton avis?? »

    Quand apprendrai-je à la fermer???? Les clients font cercle autour de nous. La rousse va discuter avec le Black et ils reviennent avec des fouets. Ils nous attachent. Il lève leurs fouets ensemble et on reçoit des coups de lanières sur les cuisses, le dos, les seins et les mollets. On pousse des cris en levant les jambes l'une après l'autre, comme si on était sur une plaque brûlante. On danse, effectivement, accrochées à une poutre du plafond.

    « Ça leur fait du bien, un peu d'exercice! » Dit un client. Rires!

    Enfin, la rousse s'arrête, essoufflée. On a le corps couverts de marques rouges. On nous libère. Il est tard. C'est la fermeture du saloon. Dehors, il fait noir. La rousse demande à un client si il peut nous ramener.

    « Fais les courir avec la charrette! »

    Le gars ne nous harnache et nous voilà, épuisées, meurtries à tirer la charrette au trot.

    Le lendemain, les gardes rigolent en voyant les traces de fouet sur nos corps. Fatima a une nouvelle pour Hani.

    « Samedi, c'est ton dépucelage...devant tes parents en séance publique ! »

    Hani a une crise de larmes, je comprends ça... Ici tout est à craindre.

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