• ((Suite du récit. Il ne s'agit que d'un pur fantasme)

    Mon dressage  PART 2

    Le lendemain soir, dans la tenue exigée par cet inconnu, alors que j'arrive dans le bas des escaliers à l'adresse indiquée, Le Maître me guette, caché dans un recoin. Je passe devant lui sans le voir et sonne à sa porte, fébrile. Tout à coup, un homme me colle brutalement contre la porte. Je pousse un cri de surprise, mais ne cherche pas à me débattre.

     

    « Ne bouge pas, salope ! »
    Moi qui voulais être secouée, ça commence à fond la caisse. L’inconnue me masque les yeux d'un foulard qu'il noue autour de ma tête. Il me pousse vers l'intérieur de l'appartement en me tenant par les hanches.

    Je reste figée attendant les ordres. Il me fait languir et je le sens tourner autour de moi pour certainement me détailler de son regard de vicieux. Les yeux bandées et nue sous ma petite robe, je suis très vulnérable et certainement très désirable pour cet homme.

    Je frisonne quand il pose ses mains sur mes épaules et me force à me mettre à genoux. Je sens une chose dure et humide qui se frotte sur ma joue. A l'odeur je devine qu'il s’agit de sa queue et aussitôt, ma bouche recherche sa hampe.

    Mon dressage  PART 2

    « Tututut, une bonne chienne doit réclamer avant d’avoir sa friandise. »
    « Est-ce que je peux vous sucer, maître ? »
    « Une bonne chienne ne parle pas, elle suce les boules de son maître avant d’avoir le droit à sa queue. »
    Aussitôt, je commence à sucer ses couilles. Je les lèches et il semble apprécier quand je les prends en bouche.

    Je trésaille quand il me dit :

     

    « J’ai envie de prendre ta gorge. Ouvre ta bouche en grand. »
    J’obéis.

    Il fait glisser sa ma queue entre mes lèvres bien ouvertes. Je les referme sur sa hampe et commence de petit va-et-vient avec ma bouche. Ma langue qui s’enroule autour de son gland. Je sais qu'il aimera car j'ai une belle expérience, mais ça ne lui suffit pas.

    Il m’attrape par les cheveux, et il s’enfonce brusquement au fond de ma gorge. J'essaye de me retirer, mais je suis bloquée par ses mains. Il me maintient quelques secondes dans cette position et relâche un instant la pression pour me laisser respirer.

    Puis il commence des allers-retours au fond de ma gorge. Ma salive coule sur mon menton. Quand il retire sa queue pour admirer son œuvre, un flot de salive coule de ma bouche, alors que j'essaye de reprendre ma respiration. Le salop ne me laisse pas de répit et je reprends ma gorge aussitôt.

    Mon dressage  PART 2

     

     

    « Tu vas avoir ta friandise petite chienne. Garde tout dans ta gueule ! »
    Il m'enfonce alors sa bite au plus profond de ma gorge pour y lâcher sa semence. J'essaye de déglutir difficilement et il se retire son affaire faite.

    « Montre » moi si tu as tout bien avalé ! Ouvre ta gueule ! »

     

    Il me parle comme à une chienne domestique. Mais c'est ce que je souhaite au fond de moi. Etre traité en chienne m'excite. Docile j'ouvre la bouche pour lui prouver que j'ai bien tout avalé.

    Mon dressage  PART 2

    « C'est bien, maintenant remercie moi. »
    « Merci Maître de m’avoir honoré de votre sperme. »

    « C'est bien tu es obéissante, on va peut-être pouvoir faire quelque chose de toi. Viens par ici à quatre pattes comme une chienne en aboyant ! »

    Mon dressage  PART 2

    Au milieu du salon, il passe derrière moi, et me retire le foulard.
    « Tu n'as pas honte de te livrer ainsi comme une petite pute devant un parfait inconnu? De t'exhiber comme une chienne en chaleur? »
    « Si Maître... »
    « Mais ça te plaît on dirait... »
    « Beaucoup Maître...Je suis trempée...Mais vous m'avez interdit de me toucher... »
    « Baisse les yeux salope ! »

    Mon dressage  PART 2

    « Au pied putain !-Viens-là.Tu apprendras que je n'aime pas la provocation délibérée ! Tu vas recevoir ta première punition !»
    Je m'approche timidement de lui. Il m'attrape par le bras et me fait tomber à plat ventre sur ses genoux.

     

    Après m'avoir fouillé le minou pour vérifier si je mouillais, il commence à m'asséner des claques sur les fesses. Je serre les dents et encaisses sans broncher. Il claque encore et encore, jusqu'à ce que mon cul devienne rouge. Sa main glisse de nouveau vers mon intimité et il me malaxe sans douceur ma chatte détrempée.

    « On dirait que tu aimes te faire corriger ! »
    « Oui maître. »

    « Tu vois la porte là-bas ? »

    « Oui Maître ! »

    « C'est ma chambre. Il y a quelque chose sur le lit pour toi, va le chercher et rapporte-le moi ! »

    Je me redresse et :

    « Non, pétasse ! Tu es une chienne, n'oublie pas ou je devrais te punir de nouveau. »

    Je m'arrête net comprenant que ma position est à 4 pattes.

     

    «  Décidément, je suis tombé sur une vrai salope ! »

    Mon dressage  PART 2

    Prise au jeu, je reviens un instant après avec, entre les dents, un collier de chienne et une laisse.

    « Bien, ma petite chienne veut faire une promenade? Tu veux faire tes besoin ? »
    Pour toute réponse, je lâche les ustensiles sur ses genoux, et pose ma tête sur ses cuisses, attendant les ordres.

    Mon dressage  PART 2

    « Remonte tes cheveux ! »
    Il me passe le collier autour du cou, et y attache la laisse. Il prend un martinet et se lève en m'ordonnant :

    « A quatre pattes ! Cambre ton cul ! »

     

    J'obéis et aplatis mon buste sur le sol pour bien tendre mes fesses. 

    « Écarte tes fesses Michèle ! »
    J’écartes mes lobes, et il enfonçai brusquement un doigt dans mon cul. Je trésaille légèrement mais garde la position.

    Il le tourne lentement, le sort, puis le rerentre. Il en ajoute un deuxième. Mon cul commence à s'assouplir.

    Mon dressage  PART 2

     

     

    Il retire ses doigt pour les remplacer par un gros plug queue de renard qu'il m'enfonce dans le fondement sans douceur. Je pousse un petit cri étouffé et fait une grimace. Puis il m'attache avec la laisse au bois de lit et m'entrave les poignets de menottes, derrière le dos. 

    « J'ai un dîner important ce soir. Je reviens dans deux heures!"

    Mon dressage  PART 2

    Je le regarde d'un air implorant mais d'un regard froid, il me colle un bâillon boule dans la bouche.

    Avant de partir, il me jette un dernier coup d’œil. Il semble satisfait de voir sa victime ainsi et me lance :

    « Toi qui voulait être chienne, tu es servie ! »

     

    Sur ces mots, il tourne les talons et me laisse seule avec  ma chatte dégoulinante.

    Je me retrouve seule dans le noir. Mon maître est parti depuis un temps qui me semble interminable. Je commence à être engourdie. J'ai envie qu'on me baise violemment. Je bave comme une grosse salope à cause du bâillon. Ma salive coule sur mes seins. Je me sens sale, humiliée. Mais je suis tellement excitée...

    Mon dressage  PART 2

     

     

    Je rêve du moment ou mon maître me prendra, me possédera enfin.

    Mon dressage  PART 2

     

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  • Après mon dépucelage, ma libido c'est décuplée.

    Mes aventures furent nombreuses et souvent chaudes.

    Je vais vous narrer un des fantasmes récurant qui me met dans tout mes états.

    (Ce texte n'est qu'un pur fantasme)et avec des aventures diverses.

    J'avais un appétit sexuel assez fort et en navigant sur le net, j'étais de plus en plus attirée par tout ce qui tournait autours de la soumission.

    Mon dressage Part 1

     

    Tout avait commencé par un simple échange sur internet où je me laissais à certaines confidences sur mes fantasmes.

     

    Un inconnu m'avait demandé:

    « Mais qu'attends-tu réellement d’un homme ?"

     

    « Qu’il me traite comme sa femelle, que je sois réduite à l’état d'une chienne domestique et de servir juste pour son bon plaisir. »

    Mon dressage Part 1

    « Autrement dit, tu aimes être soumise et te sentir traitée comme telle ? »
    « Oui, j’ai énormément d’envie sexuelles, mais ce qui m’excite encore plus c’est qu’on me les impose. J’aimerai pouvoir me sentir comme une chienne, une chienne docile. »

    Mon dressage Part 1

    « J’ai toujours adoré les animaux... »
    « Alors pourquoi ne pas m’adopter ? »

     

    « Hum…pourquoi pas…Mais tu es consciente que tout animal a besoin d’une période de dressage ? »

    Mon dressage Part 1

     

     

    « Je ferai tout ce que vous m’imposerez…Maître… »

    Mon corps fut immédiatement parcouru d’un frisson. La simple lecture de ce mot m’électrisa.
    « Entendu, alors je te donne une heure pour m’envoyer des photos de toi. Laisse libre court à ton imagination, sois provocante et impudique. »
    « Oui, maître. »
    21h15. Envoyer des phots à cet inconnus me fait flipper. Vais-je oser aller suffisamment loin et franchir ce pas ? Je fais quelques photos et une heure plus tard, je me lance.

    « Je suis là maître. »
    « Bien, tu es ponctuelle, c’est déjà un début. Envoie-moi tes photos. »

     

    J'envoie une première photo où je suis à 4 pattes par terre, jambe écartée et je cambre bien mes fesses.

    Mon dressage Part 1

    « Ca vous plaît maître ? »
    « Oui, pas mal!  Quand veux-tu commencer ton dressage ? »

    « Dès que vous le souhaitez, je suis à votre disposition. »
    « Très bien, alors demain 20h30. Je t’envoie l’adresse. Tu viens nue sous ta robe ! »

     

    « Bien Maître. »

    « Vas te coucher maintenant et pense à tout ce que tu vas pouvoir subir pendant ton dressage ! Alors bonne nuit, petite chienne. »
    « Merci Maître… »

     

    Toute la nuit je fais des rêves érotiques où je suis l'objet sexuel de qui veut m'utiliser.

    Mon dressage Part 1

     

     

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  • Ma mère devinant la fille qui se transformait décida de m'emmener chez le gynéco pour prendre la pilule. Il me fit mettre entièrement nue. J'étais très gênée d'être nue devant ce vieux. Il m'installa sur la table et commença par m'examiner les seins en les pétrissant. 

    Mon dépucelage Part 2

    « Ils sont magnifiques vos seins jeune fille ! Votre copain doit se faire plaisir avec ! »
    Mes tétons se mirent à durcir.

    Mon dépucelage Part 2

    Il sourit. Puis il passa à mon sexe.
    « Vous êtes toujours vierge, c'est bien. »
    Il m'expliqua la fonction du clitoris le tout en me masturbant délicieusement. Au bout de quelques instants il s'arrêta. Je fus déçue. 

    Mon dépucelage Part 2

    Il me dit :

     

    « Tu es normal, tes tétons durcissent, et tu mouilles sous les caresses, tout va bien. Rhabilles-toi ! »
    J'étais toute troublée et je sortis du cabinet la pilule en poche.

    Mon dépucelage Part 2

    Un jour que je partais faire des courses, je rencontrais Olivier. 
    « Salut tu es drôlement jolie, tu vas ou comme ça ? »
    « Je vais faire des courses » 
    « Si tu veux je t'emmène en voiture »
    L'occasion est trop belle pour ne pas accepter d'être avec lui.

    Mon dépucelage Part 2

    e sentais son regard sur mes cuisses, découvertes, car ma robe courte était remontée quand je m'étais assise. J'étais troublée.
    Il fit un détour, sortit de la ville, pour aller se garer, dans un coin reculé sous les bois. « Mais où vas-tu ? » dis-je très ingénue.
    «Personne ne va venir nous déranger ici qu'en penses tu ? »
    J'allais peu-être enfin connaître la joie d'être une vraie femme.
    Il me posa un baiser sur la bouche et répondis à ce baisé amoureusement.
    Sa main gauche me caressait, les cuisses, que j'écartais largement pour lui faire comprendre qu'il pouvait faire de moi ce qu'il voulait. Mon corps disait oui ! J'ai envie, je suis offerte et disponible.

    Sa main est venue se poser sur mon minou déjà bien humide. Il l'a caressé doucement, d'abord par-dessus la culotte, puis en dessous. Il me déshabilla entièrement, tout en me couvrant de baiser. Il s'arrêta longuement sur mes seins, et commença à descendre vers mon sexe.

    Mon dépucelage Part 2

    « Je suis vierge.»
    « Je vais faire attention et je vais te dépuceler en douceur. Tu n'y prendra que du plaisir. Suce moi comme tu sais si bien le faire. »
    Je m'exécutais avec bonheur mais me disais que je n'aillais pas être pénétrée une fois de plus. 

    Mon dépucelage Part 2

    « Pour une novice, tu es drôlement bonne ma cochonne. Arrêtes je ne veux pas jouir dans ta bouche, mais dans ta chatte et te dépuceler ! »
    « Merci ! Depuis le temps que j'attendais çà ! » J'étais quand même angoissée.
    Il m'allongea sur la banquette, les jambes bien écartées, me lécha et approcha son gland sur l'entrée de mon vagin. Je sentis le gland forcer délicatement mes grandes lèvres, puis un léger picotement.
    « oui continue !!! »
    Il s'enfonça délicatement dans mon ventre qui s'ouvrait à lui. Une fois au fond, il ne bougea plus, me fit un bisou, j'ouvris les yeux et lui rendit son baiser avec un sourire.
    J'étais enfin une femme. Des larmes coulaient sur mon visage mais pas de douleur, d'émotion immense.

    Il m'embrassa, et commença à bouger lentement, je me laissais aller, plus le baiser devenait fougueux. Maintenant je sentais ses couilles taper sur mes fesses. Nos langues et nos salives se mélangeaient. Il haletait sur moi. Je sentais mon plaisir monter. Je refermais mes jambes sur ses reins pour le sentir aller au plus profond de mon trou ouvert. Je gémissais en lui disant que c'était bon. Lui au bord de l'explosion, entre deux râle, me traitait de petite salope en chaleur. En entendant ses mots je fus encore plus excitée.

    Mon dépucelage Part 2

     

    « Je vais jouiiiiiir, vas y fort fort fooooooooooooort !!!!! »
    « Moi aussi je jouiiiiiiiiiiiii dans ton sexe en chaleur, petite pute ! »
    Dans mon délire je m'entendis lui répondre :

     

    « Oui je suis ta pute ! tu peux faire ce que tu veux de moiiiiiiiiiiiiiiiiii !!»

    Mon dépucelage Part 2

    Dans un dernier coup de rein, il se cambra et son sexe se raidit encore plus. Je sentis sa jouissance gicler en moi. Il était sur moi, nous ne bougions plus, nous reprenions nos esprits. Nous avions jouit ensembles. Il se souleva, me regarda, et se retira. je sentis son sperme qui coulait le long de ma raie.

    Mon dépucelage Part 2

    Il se mit à rire, et me dit :

     

    « Sors vite pour ne pas tacher les sièges. »
    Sans réfléchir, je suis sortie entièrement nue de la voiture. J'ai senti sa semence couler le long de mes jambes. Il a voulu que je m'essuie avec des mouchoirs, mais j'étais tellement heureuse d'être devenu une femme que j'ai refusé. j'ai voulu tout garder. 

     

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  • Le lendemain de ma première fellation, je reçois un sms où je suis invitée à une soirée entre amis chez mon initiateur. Je me dis, « ça y est ! Ce soir, c'est le grand soir!! »

    Certes je risque de me sentir gamine du haut de mes 14 ans, mais je pourrai peut-être, comme je le rêve devenir une femme cette fois ci. Qui sait? 
    Une nuit pour faire la fête! GENIAL! J'ai fait mon maximum pour me mettre en valeur et paraître plus que mon âge. Maquillage et mini-jupe avec un top dont le décolleté laisse largement deviner ma poitrine généreuse et le tour est joué!!

    Mon dépucelage

     

    Quand j'arrive, je suis surprise. On croirait que tout le lycée a été invité. Une main délicate se pose sur mon épaule, je me retourne et...je ne peux que sourire au brun ténébreux qui me regarde tendrement :
    « Ah tu as pu venir! ça me fait plaisir de te voir! » Quelle douceur dans sa voix, quel charme à travers ce regard...Je suis subjuguée, comme à chaque qu'il me parle! En effet, il a tout pour plaire: un regard troublant, un sourire envoûtant, et une queue...hummm! Aucune fille ne pourrait lui résister. Une image furtive de ma fellation d’hier me vient à l'esprit.

    Mon dépucelage

    Il m'invite à boire un verre de punch. Mes parents m'avait interdit de boire de l'alcool. Mais peu importe, je dois jouer dans la cour des grands, alors un verre ça ne me fera pas de mal et ça me donnera du courage pour la suite.Tout le monde se déhanche sur des rythmes entraînants, mais Olivier ne semble pas avoir envie de se joindre à eux. Il me propose d'aller faire un tour, dehors, sous les étoiles... Que c'est romantique! Je craque, je m'accroche à son bras et je le suis. Nous sortons de la maison où la musique nous assourdissait... Un peu de fraîcheur me fera du bien, je sens que l'alcool commence à me donner chaud.

     

    « On va faire un tour dans le parc ? »
    Et comment que je veux!!! Me retrouver seule avec lui... LE REVE!
    « Euh ouais... !» lui répondis-je en rougissant légèrement.

    Mon dépucelage

    Je sens le vent frais sur mon visage, et je frissonne. Il passe son bras autour de moi, et me tient par la taille. Je sens que je vais vivre quelque chose d'extraordinaire. Je lui vole un baiser. Ses lèvres viennent se coller au miennes. Nos langues se découvrent, se recherches.

    Mon dépucelage

    Je sens des papillons dans le bas de mon ventre et à nouveau une humidité envahir ma culotte. Il me murmure :

    « Allons sous le chêne ! »

     

    Nous y courons main dans la main. Arrivés, il s'allonge, j'hésite, et je l'imite. L'un à côté de l'autre, nous regardons les étoiles, nos doigts entrelacés. 
    « Ferme les yeux. Je vais te faire rêver.» me susurrât-il au creux de l'oreille.
    Je lui obéis, une boule de désir dans mon bas ventre. 

    Mon dépucelage

     

     

    Je sens ses mains parcourir mon visage, puis il passe délicatement ses doigts sur mes lèvres. Comme le ferait une adulte, je suce ses doigts. Ses mains aventureuses descendent et effleurent mes seins, découvre mon ventre, et m'ôte mon débardeur.
    « Ton corps est magnifique » me dit-il.

    Mon dépucelage

    Il m'enlève mon soutien-gorge. Mes mamelons se sont durcis par l'excitation. Il les lèche et les mordille. Je soupire doucement, il me demande de me laisser aller.

    Mon dépucelage

    Après avoir sensuellement caressé mes seins, il ouvre la fermeture éclair de ma jupe qu'il retire. Il regarde mon corps que je lui offre. Il passe ses doigts sur mon pubis. Il comprend mon émoi et me retire mon string. Il passe ses doigts entre mes lèvres déjà trempées, mon clitoris, gonflé par l'excitation.

    Mon dépucelage

    Sa bouche s'approche de ma fleur, et sa langue va à sa rencontre. Quel moment délicieux. Il m'offre de nouvelles caresses buccales. Il avale ma cyprine et je gémis de plaisir.

    Mon dépucelage

    J'ai de plus en plus chaud, et je sens comme une boule de désir prête à exploser dans mon ventre. Le plaisir monte en moi lentement. Il m'inonde et chamboule mes sens.
    Je ne maitrise plus rien. Je m'abandonne et me laisse envahir par cette vague de plaisir intense. Satisfait de lui, mon amant enlève son tee-shirt comme pour m'inviter à lui donner du plaisir à mon tour. Je ne sais pas comment faire, je me retrouve dans cette situation pour la seconde fois.Tant pis, je fonce, l'occasion ne se représentera pas de si tôt peut-être.! Je parcours son torse musclé de quelques baisers. Il soupire... Je l'embrasse passionnément tandis que mes doigts malhabiles déboutonnent son jean. Je lui enlève et retire son boxer. C'est la deuxième fois que je vois son pénis.

    Mon dépucelage

     

     e continue à lui caresser le torse pendant que mes lèvres déposent un baiser sur son gland. Je découvre son sexe, d'abord avec ma bouche, mes lèvres le parcourent de haut en bas et de bas en haut, elles s'écartent et ma langue effleure le bout de son membre. Visiblement cela lui plaît.

     

    Mon dépucelage

    J'accentue et j'accélère mes mouvements, sa respiration est de plus en plus forte, il gémit légèrement, ses cuisses se contractent. Le plaisir est au summum et je le laisse déverser son fluide dans ma bouche. Je n'en perds pas une goutte. Je remonte lentement vers lui, et lui offre un doux baiser. Il m'enlace, et caressent mes fesses.

    Mon dépucelage

    Je suis heureuse mais toujours pas dépucelée. 2 foi je l'avais sucé et j'avais avalé sa substance de mâle. Dans le car et lors de la fête qu'il organisait. J'y prenais plaisir d’ailleurs. Mais maintenant j'avais envie enfin d'être femme.

    Mon dépucelage

    Les regards des hommes se retournaient de plus en plus sur moi. Il devait émaner de ma personne une sensualité naissante. Je me caressais de plus en plus souvent en imaginant pleins de choses que je ne connaissais pas. Je me masturbais dans mon lit le soir, les cuisses ouvertes, je me caressais les seins, je me mettais un doigt, que je n'osais trop enfoncer de peur de me dépuceler moi-même. Dans mon bain, en cours, dans le bus, partout où je pouvais passer ma main dans ma culotte sans être vue. Cà tournait à l’obsession.

    Mon dépucelage

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • J'ai envie, pour un premier article, de vous raconter mes premiers émois avec un mec. 
    J'avais 14 ans. Entre filles nous fantasmions sur les mecs. Et souvent on se vantait de choses que l'on n'avait jamais faites, une futilité comme souvent.

    J'avis flashé sur un copain de lycée et j'espérais qu'il ferait le premier pas. Mais ce couillon a préféré se faire une de mes copines. J'étais dégoutée et du coup, j'étais à l'affût d'une occasion même éphémère histoire de me faire dépuceler et d'avoir ma première expérience avec un « mâle ».
    Je comptais bien mettre à profit une exhibition de mon groupe de majorettes, sur la côte pour essayer quelque chose.

    Premiers émois

     

    Le déplacement était long, plus de 8 heures de bus.
    L'occasion était trop belle et j'épérais bien me faire dépuceler pour me vanter de mon expérience avec les copines. J'avais remarqué un beau mec. Mais c'était un dragueur qui avait déjà déniaisé uelque filles du groupe. Il avait presque 10 ans de plus que moi et malgré mes formes déjà très intéressantes, il ne se préocupait pas de moi.

    Premiers émois

     
    A l'allée, il jouait aux cartes avec ses copains. Rien n'était perdu. Nous nous arrêtâmes pour nous restaurer et en fin de repas je m'arrangais pour passer à côté de lui et l'aborder avec un sujet bidon. C'était l'occasion de monter avec lui dans le bus et de ce fait de m'asseoir à ses côtés. À mon avis il n'était pas dupe de la situation. Nous avions choisi la banquette du fond qui était libre. Nous avons bavardé pendant un petit moment. la nuit était tombée et l'obscurité s'était installée dans le bus.  J'étais déçu par son manque d'initiative et feignant  de m'endormir, je profitais de l'occasion pour poser ma tête sur son épaule. Ce fût le déclic pour lui. Il mit son bras sur mon épaule et me déposa un baisé langoureux tout en remontant doucement sa main le long de mes cuisses nues. J'entrouvris ma bouche comme signe de consentement. Nos langues se mélangèrent.

    Premiers émois

     Sa main arriva à la fourchette de mes cuisses effleurant ma petite culotte. La situation fit monter très vite mon excitation. Son autre main descendit le long de mon cou pour s'arrêter sur un de mes seins. Il le prit fermement à pleine main, puis titilla le téton à travers mon chemisier. Je sentais ses doigts agiles faire des merveilles et le plaisir commençait à naître en moi. C'était délicieux et je sentais que je m'ouvrais et mouillais ma culotte. Son souffle s'accélérait.

    Premiers émois

    Tout en continuant de me masser doucement mon minou à travers ma culotte qui était trempée, il dégrafa mon soutien gorge et enleva facilement mon petit top pour libérer mes seins. Sa bouche s’égara dans mon coup puis sa langue experte fit des miracle sur mes tétons dréssés. Les bouts de mes seins devenaient hyper sensibles et  Il s'y prenait de façon admirabl Je sentais mon corps s'enflammer.

    Premiers émois

    J'allais enfin connaître le « mâle » et en plus un homme pas un gamin de mon âge. Malgré  la peur d'être surprise,  dans une situation plutôt scabreuse dans le bus mon excitation était déjà à son paroxysme et je ne pouvais m'empêcher de soupirer à chaque coup de langue savamment prodigués. Sa main entre mes cuisses s'activait plus nerveusement. Nos ébats avait déjà notablement remonté ma jupe et j'étais dans une posture indécente les cuisses écartées ouverte à la caresse. De son index il dessinait mon sillon à travers Le coton fin de ma culotte trempée de cyprine. Je sentais son doigt à l'entrée de mes grandes lèvres. Il continua à me caresser à travers la culotte un petit moment. Ma pauvre culotte était dans un état. Je ruisselais de plaisir. 

    Premiers émois

    Soudain sa main arrêta de malmener ma chatte à travers ma culotte. Il prit ma main dans la sienne et la guida jusqu'à sa braguette. Sa main était pouasseuse et témoignait, de mon excitation. J'entrepris fébrilement de dégrafer son pantalon. Il baissa légèrement son slip pour laisser sortir une barre de chair d'une taille qu'il m'a semblé monstrueuse. J'avais pour la première foi une vraie queue devant les yeux. Il prit ma main qu'il déposa sur son sexe. Je la pris délicatement entre mes doigts et entrepris de le décalotter doucement. Les lueurs des phares des voitures que l'on croisait laissaient entrevoir un gland luisant.

     

    Premiers émois


    J'entrepris de le masturber, ce que je n'avais jamais fait bien évidemment jusqu'à ce jour. Il semblait apprécier. Sa main prit ma nuque et attira mon visage vers sa verge. Je compris bien vite ce qu'il voulait. J'avais vu çà dans une revue d'adulte et je trouvais çà plutôt dégoûtant de se mettre un gros truc comme çà dans sa bouche. L'excitation aidant je trouvais ça, plus si sale que ça, voire même excitant. Je ne comptais pas rester devant cette queue comme une oie blanche. Je finissais l'approche et déposais mes lèvres sur le gland.

     

    Premiers émois

    Je décidais de le sucer un peu puis de le lécher. Il poussât alors sur ma tête pour l'introduire plus profond dans ma bouche. Je me retrouvais pour la première foi avec une queue complete en bouche. Sa main imprimait  le rythme des va-et-vient et la profondeur de la pénétration de son sexe dans ma bouche. Il allait maintenant profond et avait tendance à buter sur mon palet.

     

    Premiers émois

    Tout à coup je sentis des saubresauts dans sa queue et un raidissement de ses cuisses. J'eu un instant de panique à l'idée de sentir du sperme dans ma bouche et me redressais. C'est au moment de la sortie du sexe de ma bouche qu'une grosse giclée de sperme aspergea mon visage.

    Premiers émois

    Sa main me pris de nouveau fermement la nuque et me réintroduisit presque de force le sexe dans la bouche pour redémarrer les mouvements. Ils étaient plus vifs et sa bitte allait encore plus profond. Je sentais ses spasmes mais je ne pus rien faire d'autre que d'avaler les giclées de sperme. J'ai failli en vomir. Mais ne voulais pas passer pour une jeune pétasse.

     

    Premiers émois


    Il relâcha ensuite l'étreinte de ma nuque, ce qui annonçait la fin des ébats. Je me redressais, assez fière de mon résultat malgré le sperme qui ruisselait de mon visage. Je jetais de nouveau un œil dans le car, tout semblait calme.

     

    Premiers émois

    Tout ceci n'avait fait qu'entretenir mon excitation, ce qui n'échappa pas à mon partenaire. Il me demanda de m'adosser à cheval entre le fauteuil et la fenêtre de façon à bien être cachée. Je m'exécutais sans attendre. Il prit mes cuisses qu'il posa sur les siennes. Je sentais le sperme continuer sa descente entre mes seins sous l'effet de mes mouvements. Il Glissa ses mains entre mes cuisses de façon à les écarter et avoir le champ libre. Je coopérais bien évidemment à la réussite de l'opération. Il baissa ma culotte à mie cuisses. Il glissa son index à l'intérieur de ma fente pour y trouver mon petit bouton. Son doigt s'introduisait légèrement dans mes petites lèvres et ressortait titiller mon clitoris. Je ne me maîtrisais plus. Je gémissais de plaisir, totalement livrée à ses caresses. Il devint plus entreprenant et introduisit deux doigts dans ma fente ruisselante. Il entreprit un va-et-vient savoureux et j'entendais un bruit de sucions à chaque aller-retour. Il se mit à accélérer tout en profitant de sa main libre pour titiller de nouveau mon clitoris. Le plaisir décupla très vite et accentua aussi des gémissements. Un orgasme d'une violence jamais atteinte ne tarda pas à naître. Il était très violent et très prolongé car il continuait ses caresses. Je dus mettre ma main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Quand enfin mon volcan intérieur fut éteint j'étais toute mole et à demi somnolente ! Mes cris avaient réveillé quelques voyeurs qui me regardaient d'un sourire béat.

     

    Premiers émois


    Mon sexe battait encore tant il avait été sollicité. Je réajustais ma culotte et mon top sans oublier d'essuyer le reste de sperme sur mon visage, dans mon décolleté et sur ma main qui avait étouffé mes cris. J'avais même pas honte et même j'étais fier que certains m'ai vus.
    Nous avons terminé le voyage sans un mot, l'un contre l'autre. J'étais pour ma part fière d'être presque une femme car il ne m'avait pas encore dépucelée.

     

    Premiers émois


    L'accueil de quelques copines aux sourires révélateurs à la descente du bus me confirmait qu'elles avaient bien assistées à la scène. Je récupérais mes bagages, en restant impassible. Je rejoignis ensuite mes copines pour faire un bout de chemin ensemble. J'évitais astucieusement toutes questions sur le sujet pendant le trajet. Leurs regards en disaient très long. J'en soupçonnais certaines d'avoir peut-être oublié de dormir pendant le voyage retour.

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