• Premiers émois



    J'ai envie, pour un premier article, de vous raconter mes premiers émois avec un mec. 
    J'avais 14 ans. Entre filles nous fantasmions sur les mecs. Et souvent on se vantait de choses que l'on n'avait jamais faites, une futilité comme souvent.

    J'avis flashé sur un copain de lycée et j'espérais qu'il ferait le premier pas. Mais ce couillon a préféré se faire une de mes copines. J'étais dégoutée et du coup, j'étais à l'affût d'une occasion même éphémère histoire de me faire dépuceler et d'avoir ma première expérience avec un « mâle ».
    Je comptais bien mettre à profit une exhibition de mon groupe de majorettes, sur la côte pour essayer quelque chose.

    Premiers émois

     

    Le déplacement était long, plus de 8 heures de bus.
    L'occasion était trop belle et j'épérais bien me faire dépuceler pour me vanter de mon expérience avec les copines. J'avais remarqué un beau mec. Mais c'était un dragueur qui avait déjà déniaisé uelque filles du groupe. Il avait presque 10 ans de plus que moi et malgré mes formes déjà très intéressantes, il ne se préocupait pas de moi.

    Premiers émois

     
    A l'allée, il jouait aux cartes avec ses copains. Rien n'était perdu. Nous nous arrêtâmes pour nous restaurer et en fin de repas je m'arrangais pour passer à côté de lui et l'aborder avec un sujet bidon. C'était l'occasion de monter avec lui dans le bus et de ce fait de m'asseoir à ses côtés. À mon avis il n'était pas dupe de la situation. Nous avions choisi la banquette du fond qui était libre. Nous avons bavardé pendant un petit moment. la nuit était tombée et l'obscurité s'était installée dans le bus.  J'étais déçu par son manque d'initiative et feignant  de m'endormir, je profitais de l'occasion pour poser ma tête sur son épaule. Ce fût le déclic pour lui. Il mit son bras sur mon épaule et me déposa un baisé langoureux tout en remontant doucement sa main le long de mes cuisses nues. J'entrouvris ma bouche comme signe de consentement. Nos langues se mélangèrent.

    Premiers émois

     Sa main arriva à la fourchette de mes cuisses effleurant ma petite culotte. La situation fit monter très vite mon excitation. Son autre main descendit le long de mon cou pour s'arrêter sur un de mes seins. Il le prit fermement à pleine main, puis titilla le téton à travers mon chemisier. Je sentais ses doigts agiles faire des merveilles et le plaisir commençait à naître en moi. C'était délicieux et je sentais que je m'ouvrais et mouillais ma culotte. Son souffle s'accélérait.

    Premiers émois

    Tout en continuant de me masser doucement mon minou à travers ma culotte qui était trempée, il dégrafa mon soutien gorge et enleva facilement mon petit top pour libérer mes seins. Sa bouche s’égara dans mon coup puis sa langue experte fit des miracle sur mes tétons dréssés. Les bouts de mes seins devenaient hyper sensibles et  Il s'y prenait de façon admirabl Je sentais mon corps s'enflammer.

    Premiers émois

    J'allais enfin connaître le « mâle » et en plus un homme pas un gamin de mon âge. Malgré  la peur d'être surprise,  dans une situation plutôt scabreuse dans le bus mon excitation était déjà à son paroxysme et je ne pouvais m'empêcher de soupirer à chaque coup de langue savamment prodigués. Sa main entre mes cuisses s'activait plus nerveusement. Nos ébats avait déjà notablement remonté ma jupe et j'étais dans une posture indécente les cuisses écartées ouverte à la caresse. De son index il dessinait mon sillon à travers Le coton fin de ma culotte trempée de cyprine. Je sentais son doigt à l'entrée de mes grandes lèvres. Il continua à me caresser à travers la culotte un petit moment. Ma pauvre culotte était dans un état. Je ruisselais de plaisir. 

    Premiers émois

    Soudain sa main arrêta de malmener ma chatte à travers ma culotte. Il prit ma main dans la sienne et la guida jusqu'à sa braguette. Sa main était pouasseuse et témoignait, de mon excitation. J'entrepris fébrilement de dégrafer son pantalon. Il baissa légèrement son slip pour laisser sortir une barre de chair d'une taille qu'il m'a semblé monstrueuse. J'avais pour la première foi une vraie queue devant les yeux. Il prit ma main qu'il déposa sur son sexe. Je la pris délicatement entre mes doigts et entrepris de le décalotter doucement. Les lueurs des phares des voitures que l'on croisait laissaient entrevoir un gland luisant.

     

    Premiers émois


    J'entrepris de le masturber, ce que je n'avais jamais fait bien évidemment jusqu'à ce jour. Il semblait apprécier. Sa main prit ma nuque et attira mon visage vers sa verge. Je compris bien vite ce qu'il voulait. J'avais vu çà dans une revue d'adulte et je trouvais çà plutôt dégoûtant de se mettre un gros truc comme çà dans sa bouche. L'excitation aidant je trouvais ça, plus si sale que ça, voire même excitant. Je ne comptais pas rester devant cette queue comme une oie blanche. Je finissais l'approche et déposais mes lèvres sur le gland.

     

    Premiers émois

    Je décidais de le sucer un peu puis de le lécher. Il poussât alors sur ma tête pour l'introduire plus profond dans ma bouche. Je me retrouvais pour la première foi avec une queue complete en bouche. Sa main imprimait  le rythme des va-et-vient et la profondeur de la pénétration de son sexe dans ma bouche. Il allait maintenant profond et avait tendance à buter sur mon palet.

     

    Premiers émois

    Tout à coup je sentis des saubresauts dans sa queue et un raidissement de ses cuisses. J'eu un instant de panique à l'idée de sentir du sperme dans ma bouche et me redressais. C'est au moment de la sortie du sexe de ma bouche qu'une grosse giclée de sperme aspergea mon visage.

    Premiers émois

    Sa main me pris de nouveau fermement la nuque et me réintroduisit presque de force le sexe dans la bouche pour redémarrer les mouvements. Ils étaient plus vifs et sa bitte allait encore plus profond. Je sentais ses spasmes mais je ne pus rien faire d'autre que d'avaler les giclées de sperme. J'ai failli en vomir. Mais ne voulais pas passer pour une jeune pétasse.

     

    Premiers émois


    Il relâcha ensuite l'étreinte de ma nuque, ce qui annonçait la fin des ébats. Je me redressais, assez fière de mon résultat malgré le sperme qui ruisselait de mon visage. Je jetais de nouveau un œil dans le car, tout semblait calme.

     

    Premiers émois

    Tout ceci n'avait fait qu'entretenir mon excitation, ce qui n'échappa pas à mon partenaire. Il me demanda de m'adosser à cheval entre le fauteuil et la fenêtre de façon à bien être cachée. Je m'exécutais sans attendre. Il prit mes cuisses qu'il posa sur les siennes. Je sentais le sperme continuer sa descente entre mes seins sous l'effet de mes mouvements. Il Glissa ses mains entre mes cuisses de façon à les écarter et avoir le champ libre. Je coopérais bien évidemment à la réussite de l'opération. Il baissa ma culotte à mie cuisses. Il glissa son index à l'intérieur de ma fente pour y trouver mon petit bouton. Son doigt s'introduisait légèrement dans mes petites lèvres et ressortait titiller mon clitoris. Je ne me maîtrisais plus. Je gémissais de plaisir, totalement livrée à ses caresses. Il devint plus entreprenant et introduisit deux doigts dans ma fente ruisselante. Il entreprit un va-et-vient savoureux et j'entendais un bruit de sucions à chaque aller-retour. Il se mit à accélérer tout en profitant de sa main libre pour titiller de nouveau mon clitoris. Le plaisir décupla très vite et accentua aussi des gémissements. Un orgasme d'une violence jamais atteinte ne tarda pas à naître. Il était très violent et très prolongé car il continuait ses caresses. Je dus mettre ma main sur ma bouche pour étouffer mes gémissements. Quand enfin mon volcan intérieur fut éteint j'étais toute mole et à demi somnolente ! Mes cris avaient réveillé quelques voyeurs qui me regardaient d'un sourire béat.

     

    Premiers émois


    Mon sexe battait encore tant il avait été sollicité. Je réajustais ma culotte et mon top sans oublier d'essuyer le reste de sperme sur mon visage, dans mon décolleté et sur ma main qui avait étouffé mes cris. J'avais même pas honte et même j'étais fier que certains m'ai vus.
    Nous avons terminé le voyage sans un mot, l'un contre l'autre. J'étais pour ma part fière d'être presque une femme car il ne m'avait pas encore dépucelée.

     

    Premiers émois


    L'accueil de quelques copines aux sourires révélateurs à la descente du bus me confirmait qu'elles avaient bien assistées à la scène. Je récupérais mes bagages, en restant impassible. Je rejoignis ensuite mes copines pour faire un bout de chemin ensemble. J'évitais astucieusement toutes questions sur le sujet pendant le trajet. Leurs regards en disaient très long. J'en soupçonnais certaines d'avoir peut-être oublié de dormir pendant le voyage retour.

    Tags Tags : , , ,
  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter