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  • Deux filles s’exhibent déjà sur la scène. Il y a des sifflements admiratifs et des applaudissements. Devant la scène, il y a un public avec beaucoup d'Arabes, mais aussi des Occidentaux et des Noirs. Il y a des femmes aussi. Peut-être, certains maris éprouvent-ils un délicieux frisson à livrer leurs épouses délicates et parfumées à des dockers aux mains calleuses ou à des marins en goguettes qui n'ont plus baisé depuis un mois. Le public est scotché par la performance des deux chanteuses et danseuses. Elles terminent nues et saluent sous les applaudissements.

    C'est à notre tour. La bataille dans la boue. Les spectateurs sont enthousiastes! Il y a des bravos, des cris. Le patron annonce :

    « Maintenant ces trois femelles, vont se mesurer dans une épreuve de fellation. »

    Trois homme sont désigné dans le publique et nous voilà à nous exhiber et à concourir à celle qui fera éjaculer son bonhomme la première. La perdante aura le droit à une séance de fouet.

    Dans l'affaire, c'est Djamila qui perd et moi, je suis la première à faire éjaculer Mon homme sous les applaudissements. Je prétexte un envie pressante pour m'éclipser pendant que la Princesse se fait attacher pour sa punition publique. J'entends les premier coups de fouet et les cris de Djamilla. Ils ne doivent pas y aller de main morte car d'habitude elle ne dit rien sous les et ça la fait même jouir. Je suis effrayée car je sais que je vais auss y passer juste pour le plaisir de ces vicelards. Je décide alors de profiter de l'occasion pour m'évader de cet enfer.

     

     

    Il fait très sombre dehors. j'escalade une palissade. À l'extérieur, je découvre un vélo dissimulé dans des broussailles. Je monte sur le vélo et je pédale nue vers la liberté. J'ai appris que le lendemain un Ferry arrive au port. J'essayerai d'embarquer en douce. Le tout, c'est de trouver quelque chose à me mettre sur les fesses d'ici demain. En attendant je dois me planquer, parce qu'on va me chercher et je crains les représailles.

    Je vais dans un coin des docks.

    J'aperçois une faible lueur. Je planque le vélo sous de vieux cartons et je m'approche. Soudain, j'entends une voix qui dit :

    « Qui est là?? ».  Au même moment, un chien au nez froid vient me renifler les fesses. Je distingue trois silhouettes éclairées par une lampe posée sur le sol.

    « Je vous en prie, mon ami m'a battue et je me suis enfuie. Je pourrais me cacher ici? »

    « S'il t'as battu c'est que tu le méritais !  T'as d'quoi payer ? »

    « Non, il a gardé toutes mes affaires. Je vous en prie, il est violent! Il me fait peur. Demain, j'ai des amis qui arrivent par le Ferry. Mais en attendant je voudrais juste un abri pour la nuit. »

    Un des mec avance et caresse mon sexe.

    « T'es mignonne... ! »

    « Je ferai ce que vous voudrez... »

    Ils rigolent.

    « Bob, notre chien, a l'air de bien t'aimer aussi. »

    Je ne suis pas rassurée par la tournure des choses.

    « Excusez moi, je vais chercher un autre coin. »

    Malheureusement, J'entends des voix que je reconnais.

    « On me recherche! »

    « Ok ! On te planque et tu t'occupes de Bob. »

    Sans réfléchir, ne voulant pas être reprise, Je prends la main qui m'est tendue. Je suis prête à tout pour la liberté. Les trois filles, Djamilla, son amie et Olivia, accompagnées d'Hassan hommes se dirigent vers l'endroit où nous sommes.

    « Il y a quelqu'un ici? »

    Les mecs se pointent avec Bob qui grogne méchament.

    « Oui, on est trois et le chien. »

    « Eh!! Tenez bien votre molosse ! On recherche une esclave. Elle est à poils ! »

    « Non, personne n'est venu ici. Sinon le chien aurait aboyé! Cassez vous ! Sinon on lâche le chien ! »

    « Bon ça va, ça va ! On part ! » Répond Djamilla. A son ton, je sens qu'elle est folle de rage. Ouf tirée d'affaire.

    Les trois hommes reviennent vers moi.

    « Merci... J'ai eu chaud ! »

    Ils rigolent.

    « Bon moi c'est Lou, lui c'est Dan, mon homme et son frère Doug. Ils sont tatoueurs et on va à une convention tatoo en Normandy. Et toi comment tu t'appelles? »

    « Michèle ! »

    Ils me présentent au chien.

    « Bob voici, Michèle, qui va être gentille avec toi! »

    Oh la la!! Dans quoi me suis-je encore embarquée ? Très g^née par ce chien qui arrête pas de me lécher les fesses, pour meubler, je demande :

    « C'est quoi comme race ? »

    « Un Boerbull, c'est une race de chiens créée par les fermiers boers en Afrique du Sud. Il peut être féroce avec les gens qu'il n'aime pas. Mais t’inquiète, Toi tu lui plais.... »

    « Il est énorme...Ecoutez, je... »

    Bob vient me donner une grosse lèche en travers de la figure. Oulah!! Quelle langue! Les trois hommes se délectent de me aisi nue entrain de me faire lécher par leur chien.

    « C'est pas la première fois que tu te fais lécher par un clebs ? »

    Je fais non de la tête, morte de honte.

    « Bon ! Bob ! Ca suffit va coucher ! Puisque t'a pas d'pognon, on va se payer en nature. Allez suces nous ! »

    Je n'ai pas d'autre solution et puis je ne pense qu'à ma liberté et la possibilité de les suivre pour rentrer en France et fuir mon esclavage. En plus sucer des queues, ça ne me pose pas de probléme.

    Mais bien sûr, ils ne se contentent pas d'une fellation. Ils me mettent à 4 patte et me voilà enfilé par la chatte et une bite dans la bouche pendant que le 3éme se masturbe en nous regardant. J'essaye d'accompagner leurs mouvements, mais il vont trop vite. Le troisième, se met derrière son ami et le sodomise pendant qu'il continue à me sauter. Je suis emportée par des vagues de plaisir. Je ne peux pas me retenir, je jouis... je jouis  en criant :

    « Oooohh... oui... c'est boooon!!! »

    C'est trop là. Je suis ballottée d'avant en arrière. Je sens son sexe qui se gonfle. "aaaaaaahhhhooooooiouuiii!!!!!!" Je sens des quantités de sperme se déverser en moi. C'est incroyablement intense. J'ai du mal à avaler et l'autre se lâche dans ma chatte pendant qu'il continue de se faire sodomiser.

     

    Il éjacule dans le cul de son copain et progressivement... tout se calme... « Alors heureuse, Michèle? »

    « Huuum oui trop bon !! Je vais pouvoir voyager avec vous ? »

    Ils rigolent. Décidément je dois être une comique. Mais ils sont coriaces et endurants mes trois mecs car ils bandent encore.

    « T'as l'air d'une savré chudasse toi ! Ta chatte et ton cul doivent avoir l'habitude de prendre plusieurs queues ! »

    Sans attendre, Je me retrouve avec une queue dans le cul et deux dans la chatte. Je veux hurler mais aucun son ne sort de ma bouche. Ils restent un instant immobiles et se mettent progressivement à me fourrer de plus en plus violemment. La tête me tourne et je suis à deux doigts de l'évanouissement. Heureusement il se vident rapidement en moi.

     

    « Bon c'est OK. Tu reste avec nous ! T'es vraiment trop bonne ! Maintenant, il faut dormir. Tu vas dormir avec Bob ! Demain, on te trouvera des fringues ! »

    « Bonne nuit, merci Messieurs ! » 

    La soirée dans le bouge, La baise avec ces trois lascars, mon cul et mon vagin distendu, la fuite tout ça...  Je m'endors, contre Bob.

    Le lendemain, je suis réveillée par les bruits du port. Je suis toujours allongée nue contre le chien qui a mis une patte sur moi. II doit penser que je suis sa femelle. Les mecs se sont réveillés. Doug me donne un jean, un tee-shirt. Je suis presque descente ainsi même si ma poitrine est libre et que je n'ai pas de culotte. À ce moment, Danny, qui est allé parler avec le gardien, revient et dit à Doug,
    « Michèle est recherchée... activement! »
    Aïe! Ce n'est certainement pas la Princesse. Mais plutôt la... Société, qui m'a envoyée chez elle. C'est surtout le temps de quitter l'Afrique que ça va être dangereux pour moi, après ça, ils auront d'autres chattes à fouetter. Au propre comme au figuré.
    « Bon, on va te protéger et te cacher. En France, on verra ce qu'on fait de toi ! Pour la douane, Il va falloir être très gentille.»

     

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  • J'aime être traitée bestialement. Mais trop de punitions brutale m'épuise. Je ne suis pas comme la Princesse, qui supporte le fouet sans broncher ou presque. Je n'ai que deux arguments pour amadouer les femmes et les hommes ; mon cul et ma bouche.

    Là, j'ai carrément des bleus sur les fesses. Pour lui faire plaisir, je lui bouffe la chatte et je la fais jouir rapidement. Hassan entre dans la cuisine au moment où Fatima hurle son orgasme. Mon visage est n=barbouillé de la cyprine abondante de la black et je souris à mon bienfaiteur et protecteur. En se servant un thé, il dit à Fatima :

    « Alors? »

    Elle sourit, encore dans les nuages de son plaisir.

    « Elle est douée cette petite salope! »

    Tu parles que je suis douée.

    Hassan me prend contre lui et me caresse les fesses… Mmmhh, je ronronne!! Il entame une discussion avec Fatima, en Arabe, je comprends qu'il s'agit d'un truc avec la Princesse. Je suis appuyée contre lui et sa main glisse entre mes cuisses. Je les écarte un peu pour lui laisser le libre axés à mon intimité. Tout en discutant, il me caresse avec désinvolture, me pénétrant le cul ou la chatte et triturant mon clito. Je coule et ondule de plaisir. J'adore ça. Je commence à me tortiller et à gémir, sans qu'il y prête attention. Fatima dit tout à coup :

    « Qu'est-ce qu'elle a à se tortiller comme ça? »

    Hassan moqueur, retire sa main et dit :

    « C'est vrai qu'est-ce que tu as à te tortiller comme ça? »

    Je lui réponds d'un ton minaudeuse :

    « Tu le sais… Continue ç me tripoter, je t'en prie. »

    « Huuuum demende le mieux que ça ! »

    « Caressez-moi, Maître, je vous en prie, j'ai envie de jouir sous vos doigts ! »

    Il me montre son médius.

    « Avec celui-là? »

    « Oui s'il te plaît !!!! »

    Il rit de bon cœur de me voir ainsi suppliante.

    « Bon... Penche-toi en avant. »

    Je tends mes fesses et il enfonce son médius dans ma chatte.

    « OOOhhh!!! ouiiii, merci... Hassan que c'est bon !!!! »

    Ils continuent à discuter pendant que je suis doigtée et qu'Hassan m’amène à l'orgasme. 

    Même si ma condition est plutôt agréable, je pense toujours à m'évader et jouer la fille de l'air.

    Hassan me dit :

    « Je sors ce soir et je rentrerai tard. »

    Le fait qu'il ne me dise rien de plus, me contrarie. Mais c'est aussi peut-être la chance de m'évader. D'un autre côté, c'est très agréable quand il me caresse et je vais avoir du mal à le quitter. Mais ma place ici n'est que provisoire et je dois en profiter avant que le mois de location se termine.

    Je me couche seule avec mes pensée et mon médius bon consolateur et m'endors au lieu de tenter une évasion.

     

    Le lendemain, j'ai le sentiment, comme un deuxième sens, qu'il va se passer quelque chose. Quand j'arrive dans la cuisine Fatma me dit :

    « Assied-toi… on attend quelqu'un… ! »

    Sans doute les deux paysans de la dernière fois. Il y en a un qui veut me dresser. Ça me fait peur, ça m'excite et ça me rend honteuse à la fois d'avoir de tels sentiments. Rien que d'y penser je sens ma chatte s'humidifier. Je m'assois. On attend. Un homme que je n'ai jamais vu arrive. Je me lève et je dis poliment :

    « Bonjour. »

    Il me regarde durement et je dis vite :

    « Bonjour, Maître! »

    Il s'appelle Majid. Il embrasse Fatima et me dit sur un ton de réprimande :

    « Il a tardé le bonjour Maître ! »

    Je me mets à genoux, soumise et docile :

    « Pardon Maître… je... j'ai... »

    Il me coupe la parole :

    « On s'occupera de toi tout à l'heure, on attend quelqu'un! »

    Surprise, c'est la Princesse qui entre. Elle est entièrement nue.

    Fatima lui dit sur le ton d'une patronne :

    « Alors Djamilla? 2 h c'est 2 h, pas 2 h 10 ! On a failli attendre ! »

    « Pardon, Fatima. » Dit la Princesse.

    Moi je fais des yeux comme des soucoupes.!

    « C'est vrai ça ! Où as-tu as été élevée? Dans une étable?? » Dit Majid.

    La Princesse, baise la tête honteuse. Alors qu'un jeux curieux s'installe, je me demande qui suis-je dans cette fanfaronnade ? Je reste hébétée à regarder cette scéne hallucinante où une Princesse joue à l'esclave. Fatima, nous lance alors :

    « Allez au travail les pouffiasses ! »

    Majid se marre. Pouffiasses... Pour moi à la limite oui mais pour, mais la Princesse ??? Bon, les pouffiasses font la vaisselle pendant que Fatima et le paysan boivent du thé et mangent des pâtisseries. Djamilla fait tomber une assiette. Colère de Fatima qui l'engueule :

    « Espèce d'idiote tu ne peux pas faire attention?? »

    « Pardon, Maîtresse. »

    « Va chercher la cuillère, maladroite!! »

    Djamilla va chercher la cuillère en bois et la tend à Fatima.

    « Ta main! Doigts réunis ! »

    Elle frappe le bout des doigts avec le plat de la cuillère. Ouch!! Ca fait vachement mal. Cinq coups sur la droite, cinq coups sur la gauche. La Princesse, toute fiére quelle soit a les yeux pleins de larmes. Quand c'est fini, elle se secoue les mains. Le bout de ses doigts sont tout rouge.

    Fatima se met à lui crier dessus :

    « Non, mais qu'est ce que c'est ces manières, quand je daigne te punir, tu dois te mettre à genoux et me remercier, au lieu de secouer bêtement tes mains ! »

    Djamilla se met rapidement à genoux et demande humblement pardon.

    « Trop tard ! Tu vas recevoir une bonne fessée. Ca t’apprendra la politesse petite salope ! »

    Djamilla se dépêche  de se coucher sur les genoux de Fatima, comme une vulgaire esclave soumise.

    « Tu n'emploies pas la cuillère? » Demande majid.

    « Non, elles vont servir ce soir. Il ne faut pas qu'elles ai de marques ! »

    Oh putain!! On a une soirée?? Qu'est ce que ça va être ? Pourvu que ce soit elle, qui continue à tout prendre. Djamilla prend la position, les fesses surélevées, les mains à plat sur le sol. Elle est super excitante comme ça. La position accentue sa cambrure et ses fesses sont mises en valeur. Fatima les caresse, puis lève la main bien haut et l'abat sur les deux fesses. Je connais la force des claques de Fatima et je ne sais que trop bien l'effet que ça fait, mais je n'ai pas souvent l'occasion de voir comment ça se passe. Elle ne crie pas, ne supplie pas comme moi. C'est à peine si elle pousse un gémissement chaque fois que la main de Fatima aplatit ses fesses avec force. Sous les claques, son joli cul danse et prend une belle couleur pourpre. C'est... troublant, surtout à la pensée du nombre de fois où mon cul s'est donné comme ça, en spectacle. Après une vingtaine de solides claques, Fatima, s'arrête.

    « Regarde ! Ses fesses sont agitées de soubresauts. » Dit Majid.

    « Tu t'arrêtes, déjà? » Demande Majid.

    « Non, je me repose un peu ! » Dit Fatima.

    Djamilla fait la grimace et ses fesses se serrent :

    « Pitié, Maîtresse. »

    Majid intervient.

    « Elle m'a excité cette salope ! J'ai envie de me faire sucer par ces petites putes. »

    Fatima réfléchi en donnant une grande claque sur les fesses déjà bien martyrisées de la pauvre Princesse qui pousse un cri.

    « Qu'est ce que tu en penses Djamilla?? »

    « Oui Maîtresse je vais sucer Monsieur ! »

    Sans hésitation, le joli visage de la Princesse disparaît entre les cuisses du mâle. Fatima regarde et j'attends mon tour pour prendre le chibre de Majid dans la bouche. Il me demande :

    « Ça t'a plu de regarder ta Princesse me sucer aprés avoir reçu une fessée? »

    « Oui, Maître. »

    « Viens ici que je te baise la bouche ! »

    Il enfonce son sexe dans ma bouche jusqu'à ce que j'ai le nez dans ses poils. Puis il le ressort presque complètement et l'enfonce à nouveau.  Il baise ma bouche lentement à grands coups de reins. Au bout d'un moment, il se retire et me demande :

    « T'es quoi Michèle ? »

    « Un trou à bite à votre disposition, Maître. »

    « Tu te rends compte de l'honneur que je te fais de daigner mettre ma bite dans ta bouche?? »

    Ouch!! Il a les mots qui font mouche!!

    « Oui, Maître. Merci Maître. »

    « Tout à l'heure, aprés avoir éjaculé, je pisserai peut être dedans, ça te plairait?? »

    « Oui,  Maître! »

    Fatima est morte de rire de nous voir aussi humiliées et dociles.

    « Maintenant, je vais baiser la bouche de ta copine au cul rouge. »

    Majid se met au-dessus de sa bouche ouverte. Le gros sexe s'enfonce entre les lèvres délicates de Djamilla. Elle a fermé les yeux et semble apprécier. Il prend son temps. Pour le sexe, c'est un seigneur. Après lui avoir longuement baisé la bouche, il se retire et nous dit :

    « Maintenant, vous allez me sucer toutes les deux, petites putes. »

    On se met, a genoux entre ses cuisses, joue contre joue. Il plonge son sexe à tour de rôle dans nos bouches. Au bout d'un moment, il pousse un grognement en nous disant :

    « J'vais vous arroser!! »

    Il branle son sexe en frottant le gland sur nos lèvres et des saccades de foutre tiède viennent s'étaler sur nos visages et dans nos bouches. Quand il a fait sortir la dernière goutte en pressant son sexe, il nous dit :

    « Léchez-vous ! »

    Alors obéissantes, on s'embrasse et on lèche le sperme qu'on a sur le visage.

     

    Il se rhabille et Djamilla, cesse le jeu. Chacun reprend sa place. Elle me dit :

    « Viens on va se prendre une douche et plonger dans la piscine! »

    Djamilla me prend par la main et après une bonne douche, on plonge dans la piscine pour jouer les sirènes. A un moment, la Princesse se hisse sur le bord de la piscine. Je me met entre ses cuisses et lui suce le clito. Elle gémie de cambre et à un moment hurle sous mes caresses.

    Je continue à la lécher jusqu'à  ce qu'elle jouisse. Elle me presse mon visage contre sa chatte. Puis,elle me repousse et me dit :

    « Je t'achèterais bien, je vais en parler à la société de prêt ! »  

    Le lendemain, je m'acquitte de mes tâches auprès de la princesse du mieux que je peux, en montrant une soumission, qui est la seule façon que j'ai de lui montrer à quel point je lui suis dévouée. Elle a envie de me laissée mefaire maltraiter par sa salope de copine. Manifestement, elle n'en a rien à faire de mes états d'âme. C'est vrai aussi que ne suis qu'un jouet, une esclave. L’après-midi, alors que je suis avec Fatima, Hassan vient me dire :

    « Va rejoindre la Princesse à la piscine. »

    En m'approchant, je vois qu'il y a deux filles et un homme avec elle. À côté d'elle, il y a une jolie Arabe nue dans l'eau et sa meilleur amie.

     

    L'homme doit être l'équivalent d'Hassan chauffeur et garde du corps. Il n'est est pas mal physiquement, grand et costaud, évidemment.

    « Bonjour ! »

    « Bonjour Mimi ! » Dit Faiza

    La fille Arabe et le chauffeur ne disent rien.

    « Tu vois, Mimi, ça c'est mon esclave ! Tu aimerais être punie avec elle ?» Me dit Faiza, en montrant la fille. Je ne répond pas et baisse la tête en me disant ; mais qu'est-ce qu'elle a derniere la tête cette salope !.

    Djamilla intervient :

    « On t'a posé une question.. ! »

    « Je... j'obéis toujours Maîtresse. »

    « Non! Tu obéis de mauvaise grâce et tu fais la tête quand tu es contrariée ! » Dit Djamilla.

    Faiza m'ordonne :

    « Viens ici! »

    Je me mets à genoux devant elle.

    « Tu es beaucoup trop gâtée, ici. La Princesse te passe tout et tu as embobiné Hassan et Fatima! On va t'apprendre à obéir et sourire comme une esclave ! »

    Malgré mon angoisse, je fais un effort énorme et souris. La Princesse et elle discutent en arabe. Je ne comprends pas tout.

    « Tu participes comme elles, alors? » Demande Faiza à sa copine.

    « Oui Faiza. C'est mon côté maso certainement. Et j'y trouve tant de plaisir. Ca m’amène souvent à la jouissance. ». réponds Djamilla.

    Manifestement, Faiza ne partage pas les goûts de la Princesse, au contraire. Elle lui dit :

    « Ok ! Alors, déshabille toi et va te mettre avec les deux autres. On va s'amuser un peu ! »

    Djamilla obéit tout de suite et vient rapidement se mettre à côté de nous.

    Faiza demande au chauffeur :

    « Qu'est-ce que tu en penses? »

    « Puisqu'elle aime être soumise et que ça la fait jouir de jouer ce rôle d'esclave, elle n'a qu'à prendre la place d'Olivia. »

    En s'adressant à son esclave, Faiza dit :

    « Oui, tu as raison. Olivia ! Tu sera la Maîtresse de ces deux esclaves, ce soir ! »

    Olivia réponds : « Merci Maîtresse. » 

    Je suis contente d'être soumise avec ma Princesse mais j'ai peur des idées tordues de Faiza. Je fais la moue en pensant à ces choses. Mauvaise idée!! Très mauvaise idée!! Faiza le remarque..

    « Qu'est-ce que tu viens de faire? » Dit-elle.

    Elle n'attend pas ma réponse et demande à son esclave :

    « Olivia, tu t'en occupe, mais pas sur les fesses! Sur ses grosses loches ! Elle doit danser ce soir, ce sera amusant ses mamelles avec des traces !  Va chercher ce qu'il faut dans la voiture. »

    Elle revient avec une cravache souple. Aiiiiie! Elle fait siffler l'ustensile dans l'air, puis elle vient devant moi. Elle me prend par les cheveux et jette un coup d’œil à Faiza.

    « Tu vas voir la badine sur les seins, c'est très stimulant. » Me dit-elle en caressant mes tétons du bout de la badine. Elle lève la badine et frappe mes seins. Les coups se répercutent le long de ma colonne vertébrale. Elle sait y faire la salope. Elle frappe pour faire mal sans blesser. Je me mords les lèvres pour ne pas crier ou le moins fort possible. Elle me donne une dizaine de coups.

    Enfin, elle arrête et me dit :

    « Retourne à côté de Djamilla et la prochaine foi que tu fais la moue, c'est la Princesse qui mangera pour toi ! »

    Je baisse la tête et ne réponds rien.

    « Tu n'oublies pas quelque chose? » Me dit Olivia.

    « Quoi??? Ah oui. Merci Madame de m'avoir puni si bien ! » Et j'arrive à le dire en souriant. 

    « Il ne faudrait pas oublier Djamilla. Puisque la Princesse est maso profitons en ! » Dit Faiza.

    Je sais déjà que Djamilla va y avoir droit. Mais elle, elle joue simplement.

    Olivia essaye de jouer son rôle de Maîtresse le mieux possible. Elle dit à Djamilla :

    « Toi! Aux pieds!! Et pas en marchant, à 4 pattes, stupide salope ! »

    Djamilla va jusqu'à elle et attend docile comme une chienne domestique.

    « Tu ne penses pas que tu dois être punie?? »

    « Oui Maîtresse mais pourquoi ? »

    « Mais est ce qu'il faut une raison pour punir une esclave? »

    « Non, Maîtresse. »

    Comme prévu Djamilla subit le même traitement que moi. J'entends le sifflement de la badine, le coup mate sur ses seins et ses gémissements de douleur ou de plaisir.

    Je ferme les yeux, je pense à mon plan d'évasion.

    Faiza, Olivia et Farès le chauffeur, discutent entre eux. Faiza interrompt ma rêverie. Elle s'adresse sèchement à Olivia :

    « J'ai changé d'avis, retourne comme esclave avec les autre chiennes ! »

    Elle qui espérait sûrement une soirée avec ceux qui tiennent le manche du fouet! Elle n'apprécie pas le piquant de la situation! Faiza en s'étirant, se lève et dit à Farès :

    « Tu veilles à ce qu'elles s'apprêtent bien pour ce soir. Comme tu as le temps, amuse-toi avec elle si tu as envie. » 

    Farès nous regarde et dit :

    « Je ne sais pas ce que je vais faire avec elles ? Peut être les fouetter un peu pour les punir d'être des putes.... ou alors... ou alors... on monte et on s'amuse avec Hassan... Qu'est-ce que vous préférez? »

    On répond ensemble d'une même voix :

    « Oh oui Maître, on va s'amuser ! On va vous sucer ! On se pliera en quatre pour vous. ! »

    Il attend un moment puis il lâche :

    « Venez ici. Vous avez quelque chose d'excitant à me proposer? »

    On se précipite à ses pieds. Djamilla répond avant nous :

    « Je vous sucerai avec Olivia, pendant que Michèle vous léchera le cul, c'est une championne pour ça! »

    La garce! 

    « D'accord, ce que propose Djamilla me plaît. Je vais vous montrer ce qui va arriver, si vous ne filez pas droit. Tends tes fesses, Olivia ! »

    Elle lui présente ses fesses,et, paf, elle reçois une bonne dizaine de claques. Il tape... vigoureusement! Ses fesses deviennent cramoisies. Quand il a finit,elle le remercie de sa démonstration. Djamilla commente :

    « Olivia fait sa pute! »

    Farès lève la main.

    « Tu en veux une aussi? »

    « Pardon, Maître, mais on a tellement envie d'être votre chose. »

    Qui fait sa pute, maintenant? Mais on sait toutes que ce jeu ne va continuer que si Djamilla le décide. Quand on est dans la chambre, Hassan nous rejoint. Djamilla leurs dit :

    « Avant de vous lécher, vous devriez demander à Michèle de vous faire son numéro de chienne en chaleur ! »

    Je deviens toute rouge! Merde! C'est une... chose... très intime. Alors Djamilla cesse de faire l'esclave et helle sa copine :

    « Faiza, viens voir Mimi qui fait la pute! »

    Evidemment, elle accoure. Je me couche sur le dos, les cuisses écartées, bien offerte.

    « Maître, je vous aime et j'ai envie de faire l'amour avec vous. Je suis toute mouillée et j'ai tellement envie de vous sentir en moi. Je suis votre objet, votre vide couilles ! » 

    C'est vraiment gênant de dire ça, devant des spectateurs. Son gland est contre ma vulve... Il s'enfonce en moi... Mmmmmhhh, je gémis de plaisir. Je lève les jambes et croise les pieds sur ses reins pour qu'il pénètre au plus profond de moi. 

    « Oh Maître, c'est bon... je sens votre gland au fond de mon vagin. Hassan viens mettre ta queue dans ma bouche ! »

    Les deux hommes me baisent à grands coups de reins. Hassan, très joueur décide de me prendre la chatte en même temps que son amis.

    « Quand il y a de la place pour un, y en a pour deux ! » rigole-t-il.

    « Oooooh ouiiii!!! Féfoncez moi. Arrosez-moi de vos semences. Fécondez moi, Maîtres. Je deviendrai comme une vache laitière. Faites moi traire par un garçon de ferme brutal, qui me fouettera au moindre prétexte ou simplement pour distraire vos invités venus visiter votre étable. J'aurai un collier avec une cloche autour du cou et une étiquette avec mon numéro dans l'oreille. !!! »

    Damilla s'insurge :

    « C'est trop là!!! Tu délires ma pauvre !»

    Les deux hommes se lâchent alors ensemble inondant ma vulve déformée par leurs gros sexe.

     

     

    Ils se retirent. Les filles me regardent hébétées tant j'ai déliré. Je mets mon visage dans mes mains, c'est tellement... horriblement... gênant.

    Djamilla casse le silence :

    « Alors comme c'est ça ton fantasme ? Vache laitière??On la fera traire à la ferme dans l'étable !!!! » Dit-elle en me caressant les nichons. Ils rigolent tous. J'ai trop honte.

    J'essaie d'expliquer que c'est dans l'action, que j'ai dit ça.

    Djamilla me dit :

    « On s'en fout, Mimi! T'es une salope qui a envie de se faire traire et sucer tout ce qui passe ! » On va arranger ça! »

    Je la regarde effarée. Elle se fout de moi??? Mais je sais qu'avec elle tout est possible. Farès nous dit :

    « Allez préparez vous les petites putes! »

    On se coiffe et on se maquille. Puis, on nous installe dans une voiture. Après une heure de route, on entre dans une ville portuaire. Nous nous arrêtons devant un bar à matelots. Faiza, nous dit :

    « Ce soir vous faites le spectacle. Une bataille de fille dans la boue. Et le fouet sera aussi de la partie pour la perdante. »

    On entre dans le bouge et les clients sont ravis de nous voir. Il y a un ring rempli d'une sorte de melasse bizare et une scéne. Faiza nous annonce :

    « Vous allez chanter et danser pour commencer. »

     

     

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