• J'aime être traitée bestialement. Mais trop de punitions brutale m'épuise. Je ne suis pas comme la Princesse, qui supporte le fouet sans broncher ou presque. Je n'ai que deux arguments pour amadouer les femmes et les hommes ; mon cul et ma bouche.

    Là, j'ai carrément des bleus sur les fesses. Pour lui faire plaisir, je lui bouffe la chatte et je la fais jouir rapidement. Hassan entre dans la cuisine au moment où Fatima hurle son orgasme. Mon visage est n=barbouillé de la cyprine abondante de la black et je souris à mon bienfaiteur et protecteur. En se servant un thé, il dit à Fatima :

    « Alors? »

    Elle sourit, encore dans les nuages de son plaisir.

    « Elle est douée cette petite salope! »

    Tu parles que je suis douée.

    Hassan me prend contre lui et me caresse les fesses… Mmmhh, je ronronne!! Il entame une discussion avec Fatima, en Arabe, je comprends qu'il s'agit d'un truc avec la Princesse. Je suis appuyée contre lui et sa main glisse entre mes cuisses. Je les écarte un peu pour lui laisser le libre axés à mon intimité. Tout en discutant, il me caresse avec désinvolture, me pénétrant le cul ou la chatte et triturant mon clito. Je coule et ondule de plaisir. J'adore ça. Je commence à me tortiller et à gémir, sans qu'il y prête attention. Fatima dit tout à coup :

    « Qu'est-ce qu'elle a à se tortiller comme ça? »

    Hassan moqueur, retire sa main et dit :

    « C'est vrai qu'est-ce que tu as à te tortiller comme ça? »

    Je lui réponds d'un ton minaudeuse :

    « Tu le sais… Continue ç me tripoter, je t'en prie. »

    « Huuuum demende le mieux que ça ! »

    « Caressez-moi, Maître, je vous en prie, j'ai envie de jouir sous vos doigts ! »

    Il me montre son médius.

    « Avec celui-là? »

    « Oui s'il te plaît !!!! »

    Il rit de bon cœur de me voir ainsi suppliante.

    « Bon... Penche-toi en avant. »

    Je tends mes fesses et il enfonce son médius dans ma chatte.

    « OOOhhh!!! ouiiii, merci... Hassan que c'est bon !!!! »

    Ils continuent à discuter pendant que je suis doigtée et qu'Hassan m’amène à l'orgasme. 

    Même si ma condition est plutôt agréable, je pense toujours à m'évader et jouer la fille de l'air.

    Hassan me dit :

    « Je sors ce soir et je rentrerai tard. »

    Le fait qu'il ne me dise rien de plus, me contrarie. Mais c'est aussi peut-être la chance de m'évader. D'un autre côté, c'est très agréable quand il me caresse et je vais avoir du mal à le quitter. Mais ma place ici n'est que provisoire et je dois en profiter avant que le mois de location se termine.

    Je me couche seule avec mes pensée et mon médius bon consolateur et m'endors au lieu de tenter une évasion.

     

    Le lendemain, j'ai le sentiment, comme un deuxième sens, qu'il va se passer quelque chose. Quand j'arrive dans la cuisine Fatma me dit :

    « Assied-toi… on attend quelqu'un… ! »

    Sans doute les deux paysans de la dernière fois. Il y en a un qui veut me dresser. Ça me fait peur, ça m'excite et ça me rend honteuse à la fois d'avoir de tels sentiments. Rien que d'y penser je sens ma chatte s'humidifier. Je m'assois. On attend. Un homme que je n'ai jamais vu arrive. Je me lève et je dis poliment :

    « Bonjour. »

    Il me regarde durement et je dis vite :

    « Bonjour, Maître! »

    Il s'appelle Majid. Il embrasse Fatima et me dit sur un ton de réprimande :

    « Il a tardé le bonjour Maître ! »

    Je me mets à genoux, soumise et docile :

    « Pardon Maître… je... j'ai... »

    Il me coupe la parole :

    « On s'occupera de toi tout à l'heure, on attend quelqu'un! »

    Surprise, c'est la Princesse qui entre. Elle est entièrement nue.

    Fatima lui dit sur le ton d'une patronne :

    « Alors Djamilla? 2 h c'est 2 h, pas 2 h 10 ! On a failli attendre ! »

    « Pardon, Fatima. » Dit la Princesse.

    Moi je fais des yeux comme des soucoupes.!

    « C'est vrai ça ! Où as-tu as été élevée? Dans une étable?? » Dit Majid.

    La Princesse, baise la tête honteuse. Alors qu'un jeux curieux s'installe, je me demande qui suis-je dans cette fanfaronnade ? Je reste hébétée à regarder cette scéne hallucinante où une Princesse joue à l'esclave. Fatima, nous lance alors :

    « Allez au travail les pouffiasses ! »

    Majid se marre. Pouffiasses... Pour moi à la limite oui mais pour, mais la Princesse ??? Bon, les pouffiasses font la vaisselle pendant que Fatima et le paysan boivent du thé et mangent des pâtisseries. Djamilla fait tomber une assiette. Colère de Fatima qui l'engueule :

    « Espèce d'idiote tu ne peux pas faire attention?? »

    « Pardon, Maîtresse. »

    « Va chercher la cuillère, maladroite!! »

    Djamilla va chercher la cuillère en bois et la tend à Fatima.

    « Ta main! Doigts réunis ! »

    Elle frappe le bout des doigts avec le plat de la cuillère. Ouch!! Ca fait vachement mal. Cinq coups sur la droite, cinq coups sur la gauche. La Princesse, toute fiére quelle soit a les yeux pleins de larmes. Quand c'est fini, elle se secoue les mains. Le bout de ses doigts sont tout rouge.

    Fatima se met à lui crier dessus :

    « Non, mais qu'est ce que c'est ces manières, quand je daigne te punir, tu dois te mettre à genoux et me remercier, au lieu de secouer bêtement tes mains ! »

    Djamilla se met rapidement à genoux et demande humblement pardon.

    « Trop tard ! Tu vas recevoir une bonne fessée. Ca t’apprendra la politesse petite salope ! »

    Djamilla se dépêche  de se coucher sur les genoux de Fatima, comme une vulgaire esclave soumise.

    « Tu n'emploies pas la cuillère? » Demande majid.

    « Non, elles vont servir ce soir. Il ne faut pas qu'elles ai de marques ! »

    Oh putain!! On a une soirée?? Qu'est ce que ça va être ? Pourvu que ce soit elle, qui continue à tout prendre. Djamilla prend la position, les fesses surélevées, les mains à plat sur le sol. Elle est super excitante comme ça. La position accentue sa cambrure et ses fesses sont mises en valeur. Fatima les caresse, puis lève la main bien haut et l'abat sur les deux fesses. Je connais la force des claques de Fatima et je ne sais que trop bien l'effet que ça fait, mais je n'ai pas souvent l'occasion de voir comment ça se passe. Elle ne crie pas, ne supplie pas comme moi. C'est à peine si elle pousse un gémissement chaque fois que la main de Fatima aplatit ses fesses avec force. Sous les claques, son joli cul danse et prend une belle couleur pourpre. C'est... troublant, surtout à la pensée du nombre de fois où mon cul s'est donné comme ça, en spectacle. Après une vingtaine de solides claques, Fatima, s'arrête.

    « Regarde ! Ses fesses sont agitées de soubresauts. » Dit Majid.

    « Tu t'arrêtes, déjà? » Demande Majid.

    « Non, je me repose un peu ! » Dit Fatima.

    Djamilla fait la grimace et ses fesses se serrent :

    « Pitié, Maîtresse. »

    Majid intervient.

    « Elle m'a excité cette salope ! J'ai envie de me faire sucer par ces petites putes. »

    Fatima réfléchi en donnant une grande claque sur les fesses déjà bien martyrisées de la pauvre Princesse qui pousse un cri.

    « Qu'est ce que tu en penses Djamilla?? »

    « Oui Maîtresse je vais sucer Monsieur ! »

    Sans hésitation, le joli visage de la Princesse disparaît entre les cuisses du mâle. Fatima regarde et j'attends mon tour pour prendre le chibre de Majid dans la bouche. Il me demande :

    « Ça t'a plu de regarder ta Princesse me sucer aprés avoir reçu une fessée? »

    « Oui, Maître. »

    « Viens ici que je te baise la bouche ! »

    Il enfonce son sexe dans ma bouche jusqu'à ce que j'ai le nez dans ses poils. Puis il le ressort presque complètement et l'enfonce à nouveau.  Il baise ma bouche lentement à grands coups de reins. Au bout d'un moment, il se retire et me demande :

    « T'es quoi Michèle ? »

    « Un trou à bite à votre disposition, Maître. »

    « Tu te rends compte de l'honneur que je te fais de daigner mettre ma bite dans ta bouche?? »

    Ouch!! Il a les mots qui font mouche!!

    « Oui, Maître. Merci Maître. »

    « Tout à l'heure, aprés avoir éjaculé, je pisserai peut être dedans, ça te plairait?? »

    « Oui,  Maître! »

    Fatima est morte de rire de nous voir aussi humiliées et dociles.

    « Maintenant, je vais baiser la bouche de ta copine au cul rouge. »

    Majid se met au-dessus de sa bouche ouverte. Le gros sexe s'enfonce entre les lèvres délicates de Djamilla. Elle a fermé les yeux et semble apprécier. Il prend son temps. Pour le sexe, c'est un seigneur. Après lui avoir longuement baisé la bouche, il se retire et nous dit :

    « Maintenant, vous allez me sucer toutes les deux, petites putes. »

    On se met, a genoux entre ses cuisses, joue contre joue. Il plonge son sexe à tour de rôle dans nos bouches. Au bout d'un moment, il pousse un grognement en nous disant :

    « J'vais vous arroser!! »

    Il branle son sexe en frottant le gland sur nos lèvres et des saccades de foutre tiède viennent s'étaler sur nos visages et dans nos bouches. Quand il a fait sortir la dernière goutte en pressant son sexe, il nous dit :

    « Léchez-vous ! »

    Alors obéissantes, on s'embrasse et on lèche le sperme qu'on a sur le visage.

     

    Il se rhabille et Djamilla, cesse le jeu. Chacun reprend sa place. Elle me dit :

    « Viens on va se prendre une douche et plonger dans la piscine! »

    Djamilla me prend par la main et après une bonne douche, on plonge dans la piscine pour jouer les sirènes. A un moment, la Princesse se hisse sur le bord de la piscine. Je me met entre ses cuisses et lui suce le clito. Elle gémie de cambre et à un moment hurle sous mes caresses.

    Je continue à la lécher jusqu'à  ce qu'elle jouisse. Elle me presse mon visage contre sa chatte. Puis,elle me repousse et me dit :

    « Je t'achèterais bien, je vais en parler à la société de prêt ! »  

    Le lendemain, je m'acquitte de mes tâches auprès de la princesse du mieux que je peux, en montrant une soumission, qui est la seule façon que j'ai de lui montrer à quel point je lui suis dévouée. Elle a envie de me laissée mefaire maltraiter par sa salope de copine. Manifestement, elle n'en a rien à faire de mes états d'âme. C'est vrai aussi que ne suis qu'un jouet, une esclave. L’après-midi, alors que je suis avec Fatima, Hassan vient me dire :

    « Va rejoindre la Princesse à la piscine. »

    En m'approchant, je vois qu'il y a deux filles et un homme avec elle. À côté d'elle, il y a une jolie Arabe nue dans l'eau et sa meilleur amie.

     

    L'homme doit être l'équivalent d'Hassan chauffeur et garde du corps. Il n'est est pas mal physiquement, grand et costaud, évidemment.

    « Bonjour ! »

    « Bonjour Mimi ! » Dit Faiza

    La fille Arabe et le chauffeur ne disent rien.

    « Tu vois, Mimi, ça c'est mon esclave ! Tu aimerais être punie avec elle ?» Me dit Faiza, en montrant la fille. Je ne répond pas et baisse la tête en me disant ; mais qu'est-ce qu'elle a derniere la tête cette salope !.

    Djamilla intervient :

    « On t'a posé une question.. ! »

    « Je... j'obéis toujours Maîtresse. »

    « Non! Tu obéis de mauvaise grâce et tu fais la tête quand tu es contrariée ! » Dit Djamilla.

    Faiza m'ordonne :

    « Viens ici! »

    Je me mets à genoux devant elle.

    « Tu es beaucoup trop gâtée, ici. La Princesse te passe tout et tu as embobiné Hassan et Fatima! On va t'apprendre à obéir et sourire comme une esclave ! »

    Malgré mon angoisse, je fais un effort énorme et souris. La Princesse et elle discutent en arabe. Je ne comprends pas tout.

    « Tu participes comme elles, alors? » Demande Faiza à sa copine.

    « Oui Faiza. C'est mon côté maso certainement. Et j'y trouve tant de plaisir. Ca m’amène souvent à la jouissance. ». réponds Djamilla.

    Manifestement, Faiza ne partage pas les goûts de la Princesse, au contraire. Elle lui dit :

    « Ok ! Alors, déshabille toi et va te mettre avec les deux autres. On va s'amuser un peu ! »

    Djamilla obéit tout de suite et vient rapidement se mettre à côté de nous.

    Faiza demande au chauffeur :

    « Qu'est-ce que tu en penses? »

    « Puisqu'elle aime être soumise et que ça la fait jouir de jouer ce rôle d'esclave, elle n'a qu'à prendre la place d'Olivia. »

    En s'adressant à son esclave, Faiza dit :

    « Oui, tu as raison. Olivia ! Tu sera la Maîtresse de ces deux esclaves, ce soir ! »

    Olivia réponds : « Merci Maîtresse. » 

    Je suis contente d'être soumise avec ma Princesse mais j'ai peur des idées tordues de Faiza. Je fais la moue en pensant à ces choses. Mauvaise idée!! Très mauvaise idée!! Faiza le remarque..

    « Qu'est-ce que tu viens de faire? » Dit-elle.

    Elle n'attend pas ma réponse et demande à son esclave :

    « Olivia, tu t'en occupe, mais pas sur les fesses! Sur ses grosses loches ! Elle doit danser ce soir, ce sera amusant ses mamelles avec des traces !  Va chercher ce qu'il faut dans la voiture. »

    Elle revient avec une cravache souple. Aiiiiie! Elle fait siffler l'ustensile dans l'air, puis elle vient devant moi. Elle me prend par les cheveux et jette un coup d’œil à Faiza.

    « Tu vas voir la badine sur les seins, c'est très stimulant. » Me dit-elle en caressant mes tétons du bout de la badine. Elle lève la badine et frappe mes seins. Les coups se répercutent le long de ma colonne vertébrale. Elle sait y faire la salope. Elle frappe pour faire mal sans blesser. Je me mords les lèvres pour ne pas crier ou le moins fort possible. Elle me donne une dizaine de coups.

    Enfin, elle arrête et me dit :

    « Retourne à côté de Djamilla et la prochaine foi que tu fais la moue, c'est la Princesse qui mangera pour toi ! »

    Je baisse la tête et ne réponds rien.

    « Tu n'oublies pas quelque chose? » Me dit Olivia.

    « Quoi??? Ah oui. Merci Madame de m'avoir puni si bien ! » Et j'arrive à le dire en souriant. 

    « Il ne faudrait pas oublier Djamilla. Puisque la Princesse est maso profitons en ! » Dit Faiza.

    Je sais déjà que Djamilla va y avoir droit. Mais elle, elle joue simplement.

    Olivia essaye de jouer son rôle de Maîtresse le mieux possible. Elle dit à Djamilla :

    « Toi! Aux pieds!! Et pas en marchant, à 4 pattes, stupide salope ! »

    Djamilla va jusqu'à elle et attend docile comme une chienne domestique.

    « Tu ne penses pas que tu dois être punie?? »

    « Oui Maîtresse mais pourquoi ? »

    « Mais est ce qu'il faut une raison pour punir une esclave? »

    « Non, Maîtresse. »

    Comme prévu Djamilla subit le même traitement que moi. J'entends le sifflement de la badine, le coup mate sur ses seins et ses gémissements de douleur ou de plaisir.

    Je ferme les yeux, je pense à mon plan d'évasion.

    Faiza, Olivia et Farès le chauffeur, discutent entre eux. Faiza interrompt ma rêverie. Elle s'adresse sèchement à Olivia :

    « J'ai changé d'avis, retourne comme esclave avec les autre chiennes ! »

    Elle qui espérait sûrement une soirée avec ceux qui tiennent le manche du fouet! Elle n'apprécie pas le piquant de la situation! Faiza en s'étirant, se lève et dit à Farès :

    « Tu veilles à ce qu'elles s'apprêtent bien pour ce soir. Comme tu as le temps, amuse-toi avec elle si tu as envie. » 

    Farès nous regarde et dit :

    « Je ne sais pas ce que je vais faire avec elles ? Peut être les fouetter un peu pour les punir d'être des putes.... ou alors... ou alors... on monte et on s'amuse avec Hassan... Qu'est-ce que vous préférez? »

    On répond ensemble d'une même voix :

    « Oh oui Maître, on va s'amuser ! On va vous sucer ! On se pliera en quatre pour vous. ! »

    Il attend un moment puis il lâche :

    « Venez ici. Vous avez quelque chose d'excitant à me proposer? »

    On se précipite à ses pieds. Djamilla répond avant nous :

    « Je vous sucerai avec Olivia, pendant que Michèle vous léchera le cul, c'est une championne pour ça! »

    La garce! 

    « D'accord, ce que propose Djamilla me plaît. Je vais vous montrer ce qui va arriver, si vous ne filez pas droit. Tends tes fesses, Olivia ! »

    Elle lui présente ses fesses,et, paf, elle reçois une bonne dizaine de claques. Il tape... vigoureusement! Ses fesses deviennent cramoisies. Quand il a finit,elle le remercie de sa démonstration. Djamilla commente :

    « Olivia fait sa pute! »

    Farès lève la main.

    « Tu en veux une aussi? »

    « Pardon, Maître, mais on a tellement envie d'être votre chose. »

    Qui fait sa pute, maintenant? Mais on sait toutes que ce jeu ne va continuer que si Djamilla le décide. Quand on est dans la chambre, Hassan nous rejoint. Djamilla leurs dit :

    « Avant de vous lécher, vous devriez demander à Michèle de vous faire son numéro de chienne en chaleur ! »

    Je deviens toute rouge! Merde! C'est une... chose... très intime. Alors Djamilla cesse de faire l'esclave et helle sa copine :

    « Faiza, viens voir Mimi qui fait la pute! »

    Evidemment, elle accoure. Je me couche sur le dos, les cuisses écartées, bien offerte.

    « Maître, je vous aime et j'ai envie de faire l'amour avec vous. Je suis toute mouillée et j'ai tellement envie de vous sentir en moi. Je suis votre objet, votre vide couilles ! » 

    C'est vraiment gênant de dire ça, devant des spectateurs. Son gland est contre ma vulve... Il s'enfonce en moi... Mmmmmhhh, je gémis de plaisir. Je lève les jambes et croise les pieds sur ses reins pour qu'il pénètre au plus profond de moi. 

    « Oh Maître, c'est bon... je sens votre gland au fond de mon vagin. Hassan viens mettre ta queue dans ma bouche ! »

    Les deux hommes me baisent à grands coups de reins. Hassan, très joueur décide de me prendre la chatte en même temps que son amis.

    « Quand il y a de la place pour un, y en a pour deux ! » rigole-t-il.

    « Oooooh ouiiii!!! Féfoncez moi. Arrosez-moi de vos semences. Fécondez moi, Maîtres. Je deviendrai comme une vache laitière. Faites moi traire par un garçon de ferme brutal, qui me fouettera au moindre prétexte ou simplement pour distraire vos invités venus visiter votre étable. J'aurai un collier avec une cloche autour du cou et une étiquette avec mon numéro dans l'oreille. !!! »

    Damilla s'insurge :

    « C'est trop là!!! Tu délires ma pauvre !»

    Les deux hommes se lâchent alors ensemble inondant ma vulve déformée par leurs gros sexe.

     

     

    Ils se retirent. Les filles me regardent hébétées tant j'ai déliré. Je mets mon visage dans mes mains, c'est tellement... horriblement... gênant.

    Djamilla casse le silence :

    « Alors comme c'est ça ton fantasme ? Vache laitière??On la fera traire à la ferme dans l'étable !!!! » Dit-elle en me caressant les nichons. Ils rigolent tous. J'ai trop honte.

    J'essaie d'expliquer que c'est dans l'action, que j'ai dit ça.

    Djamilla me dit :

    « On s'en fout, Mimi! T'es une salope qui a envie de se faire traire et sucer tout ce qui passe ! » On va arranger ça! »

    Je la regarde effarée. Elle se fout de moi??? Mais je sais qu'avec elle tout est possible. Farès nous dit :

    « Allez préparez vous les petites putes! »

    On se coiffe et on se maquille. Puis, on nous installe dans une voiture. Après une heure de route, on entre dans une ville portuaire. Nous nous arrêtons devant un bar à matelots. Faiza, nous dit :

    « Ce soir vous faites le spectacle. Une bataille de fille dans la boue. Et le fouet sera aussi de la partie pour la perdante. »

    On entre dans le bouge et les clients sont ravis de nous voir. Il y a un ring rempli d'une sorte de melasse bizare et une scéne. Faiza nous annonce :

    « Vous allez chanter et danser pour commencer. »

     

     

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires de cet article


    Vous devez être connecté pour commenter