20h30, je suis en avance. Je me déshabille, enfile mon plug queue de renard, met mon collier de chienne. Aussitôt, je me retrouve dans un état d'excitation extrême. Je me met à genoux les mains sur la tête et attends que mon Maître rentre. Il me verra ainsi dès qu'il poussera la porte. J'entends une clé dans la serrure.

Mon Maître apparaît dans l'encadrement de la porte. Il ne m'adresse pas un regard, passant devant moi comme si j'étais un meuble. Il vaque à ses occupations, puis s'approche de moi. Toujours sans un mot, il déboutonne son pantalon et me tend sa queue. Je penche la tête et lape ses couilles.
« C'est bien ! T'as retenu la leçon ! » Me dit-il en me flattant la tête comme à un animal.

"Puis-je vous sucer Maître?"

"Oui Michèle! Fas-toi plaisir!"

J'engloutis ensuite son sexe au plus profond de ma bouche et me met à le sucer avec toute mon expertise.

 Quand je le sens les soubresauts de son membre annonciateur d'une éjaculation imminente, il m'arrête d'un geste. Obéissante, je recule et attends. 

« Je vois que tu as fais des achats? »
« Oui Maître, j'ai pensé que cela vous ferai plaisir Maître. »

« Regardons ça...Hum, bonne initiative, tu apprends vite...Tu as payé en liquide? »
« Non Maître, enfin un peu.. C'est à dire que... Heu... Le vendeur c'est payé avec moi Maître. »

« Huuum ? Si je comprend bien, tu as payé de ton corps pour ça ? Je vois, tu ne recules devant rien Michèle. T'es vraiment qu'une chienne ! »

« Oui Maître, mais c'est parce que je veux que vous soyez fiers de moi...Maître. »
« Grosse salope ! Alors commence par me dire ce que tu mérites pour avoir sucé un homme sans ma permission? »

Je baisse la tête pour lui répondre :
« Le fouet, Maître..?. » Tout en tendant l'objet de mes futurs supplices.

« Combien de coups? »
« 5 me semble suffisant Maître. »
« Pauvre idiote ! Partons pour 10 alors. Redresse toi, face au mur en appui sur tes mains. Cambre ton cul ! »
J'obéis, bombant mes fesses en arrière. 
« Tu vas compter ! Si tu te trompe c'est 5 coups de plus ! »

Le martinet s'abat sur mes fesses. Je gémis :
« Un... ! »
Le deuxième coup me mordit la deuxième fesse.
« Deux... ! »
Le troisième fouetta mon entrejambe, je crie :

« Troooois! »
Lorsque mon maître a fini, j'ai les fesses rouges et marquées des lanières. Je sanglote mais il ne semble pas s'en émouvoir.

Le maître bande comme un âne. Il me saisit les cheveux et se met à me baiser la bouche. Après quelques vas et viens, il se lâche en grognant et en me traitant sac à foutre. J'avale toute sa semance et nettoie sa queue ramollissante.

Il m’entraîne ensuite dans sa chambre. Je découvre une cage pour chien. Il me fait entrer dedans. Résignée, j'y pénètre, soumise à ma condition. Il referme la cage avec un petit rire, et la recouvre d'un grand draps qui me plonge dans l'obscurité totale.

J'entends des bruits, des mouvements. Je ne suis plus seule avec mon Maître. C'est certain. Je sursaute quand je l'entends dire :
« En manque de queues petite salope? »
« Oui maître... ! »

Le drap tombe, et là...je suis dans une salle que je ne connaissais pas, et une vingtaine d'hommes nus me regardent avec envie. Que vont-ils faire de moi?! Mon maître me regarde avec un petit sourire en coin. Il ouvre la cage et accroche la laisse à mon collier. Il me traîne derrière lui comme son animal et m'arrête devant un des hommes, qui caresse un sexe épais et long.

« Suce ! »
Je n'ai pas besoin d'en savoir plus, je me mets à la tâche. Il me fait changer d'homme. Je n'ai plus la notion du temps, j'engloutis des bites à la chaîne. Certains s'amuse à écrire des horreurs sur mon corps. Ils me traitent comme une vide couilles en se se servant de ma bouche. Je ne sais plus combien de queue que j'ai sucé. Mais aucun ne c'est lâché dans ma bouche.

Mon maître tire sur ma laisse et me ramène au centre de la pièce, à genoux. Les hommes font cercle autour de moi et se masturbent. Le premier jet de foutre s'écrase sur ma joue. Les hommes jouissent rapidement, parfois à plusieurs en même temps. Des vagues de foutre s'écrasent sur mon visage, dans mes cheveux, sur mes lèvres et mes seins. Je dégouline de sperme.
« Bravo Michèle ! Tu viens de vider une dizaine de mâles."

Mon dieu...Je suis folle...Mais j'aime ça, ça me rend dingue. Mon maître congédie le groupe et s'approche de moi. Il me met à 4 pattes et mon cul est aussitôt investi par sa queue. Il me bourre comme une chienne. Mon maître pousse un râle, sors de mon cul et m'enfonce sa bite dans la gorge et dans ma bouche.
« Garde tout en bouche. »
Je n'avale pas. 
« Montre-moi ! »
Je lui montre ma bouche rempli de sa jouissance.
« C'est bien, brave chienne. Avale maintenant ! »
Je déglutis et je lui montre ma langue propre.
« Tu as été bien sage, tu as gagné le droit de te reposer, on sors ce soir... ! »