• Les dessous de Michèle 24

    J'ai tout faux. Il ne faut pas se tromper de rôle. C'est, hélas, ce que je viens de faire. Ce n'est pas mon rôle de cogner. Parce que les salopes avec lesquelles je me suis bagarrée, sont la fille et la nièce de quelqu'un de très, très important. La façon dont ces deux flics m'arrêtent me le confirme. En un instant, je suis menottée et ils me sortent en me relevant les bras dans le dos. Je dois marcher penchée en avant en gémissant. Ils me conduisent, dans une pièce sans fenêtres. Ils m'attachent par un poignet à un anneau dans le mur. Ils partent et ferment la lumière.

    Je passe la nuit là... dans le noir. Le lendemain matin, je suis nettement moins fraîche. Je donnerais n'importe quoi pour une douche. Les policiers viennent me détacher de mon mur, me remettent les menottes dans le dos. On repart dans la 4 X 4. Je demande sans grand espoir :

    « On va où, Monsieur, s'il vous plaît ? »

    Pas de réponse. Comme je n'ai pas dormi de la nuit, je m'endors, malgré la façon dont je suis attachée. Je suis réveillée quand on me tire de la voiture. La lumière du soleil m'éblouit. Les flics me poussent vers un grand bâtiment gris. Ils m'enlèvent les menottes et me conduisent devant une femme assise derrière un bureau. Elle ouvre un dossier.

    « Alors tu es ici... car tu as tapé sur.... » Elle lit et siffle.

    « Oulah!! Tu as fait fort là!! Bon... ici, c'est un complexe  disciplinaire. On va t'expliquer les bonnes manières. »

    Je lui dis :

    « Je vous jure, Madame, ces filles m'ont insultée sans raison... »

    « Oui, sans doute, hélas pour toi, tu aurais mieux fait de te bagarrer un Pit Bull... »

    Je lui demande :

    « Je devrai rester ici longtemps, Madame?? »

    « C'est les demoiselles que tu as cognées qui décideront. Bon séjour, chez nous, Michèle ! »

    Elle appelle un gardien, qui me conduit dans une grande salle où il y a des hommes en uniforme. Ce que je remarque, c'est un insigne doré épinglé sur leurs poitrines. Ça représente un fouet qui se déploie. Ils discutent en buvant de la bière. On me conduit dans un coin de la pièce où il y des femmes debout... Certaines, ont des traces de coups. Le chef nous regarde l'une après l'autre.

    « Joli petit lot... Bon... Vous allez me dire pourquoi vous êtes ici ! »

    Il le sait sûrement, puisqu'il a nos fiches, mais ça les amuse de l'entendre.

    Il lit :

    « Naomi L. »

    « C'est moi, Monsieur. » Dit une jolie black.

    « Va te mettre là! Et déshabille-toi ! »

    La fille n'hésite pas, et se met à poil. Elle a un beau corps, des seins en poires, un beau cul et son sexe est épilé.

    Le chef lui demande :

    « Tu es ici pourquoi?? »

    « Je... je  suis arrivée... 2 fois en retard au Club où je travaille et... j'ai été impolie avec un client. Puis insolente, avec le directeur. »

    « Bon, après un petit séjour ici, ça n'arrivera plus.  Tu vas te mettre à genoux sur ce bâton, les mains croisées sur la nuque. »

    En grimaçant, la jolie black s'agenouille. La position met en valeur sa jolie cambrure.

    Le chef continue.

    « Hani S. »

    Une jeune fille brune lève la main. Elle doit avoir à peine 18 ans. Elle est très timide, pas du tout comme la jolie black. Elle est menue et a des yeux bleus magnifiques.

    « Tu es Israélienne?? »

    « ...euh... ma mère est Israélienne, mon père est Anglais. »

    « Tu sais ce que tu dois faire ?! »

    Elle se déshabille, très gênée. Une fois nue, elle se met dans la position de la Venus pudique. Un  bras sur les seins, une main sur la chatte. Ça fait rire les gardes. 

    « Mains sur la tête ! »

    Elle a des seins tous mignons avec des bouts très pâles et une toison pubienne noire et bouclée. 

    Le chef lui dit :

    « Tu ne t'épiles pas? »

    La jeune fille rougit.

    « Ma mère ne veut pas, Monsieur. »

    « Pourquoi es-tu là? »

    « ... euh... ma mère m'a trouvée au... lit avec... une amie... On était nues... et on... on se... »

    Le chef fait signe au plus jeune qui prend un fouet à plusieurs lanières. Là, elle comprend que si elle ne raconte pas, ça va chauffer pour ses fesses. Elle se met à parler à toute vitesse.

    « C'est une amie, on avait bu et ... on avait pris une douche... et on était nues et on s'embrassait... partout! »

    Franc succès auprès des gardes!!

    Le chef demande :

    « Vous vous léchiez la chatte? »

    « ... Oui, Monsieur. »

    « T'es une salope de gouine, quoi... ! »

    « Je...  j'aime aussi les garçons.... »

    Rires des gardes. Le chef demande :

    « Tu es toujours vierge? »

    De plus en plus rouge, Hani ne répond pas.

    "Clac", elle prend un coup de fouet en travers des seins. Elle fait un bond en criant, "Aiiie". Elle continue en pleurnichant et en se frottant les seins.

    «  Oui, je suis vierge, Monsieur! »

    Le chef lui montre l'endroit où est agenouillée la Black.

    « Va te mettre là... à genoux ! »

    Elle a trois belles marques rouges des trois lanières du fouet. Elle va s'agenouiller et croise, les mains derrière la nuque.

    « Michèle ! »

    « C'est moi chef. »

    Un hochement de tête de sa part et je me déshabille.

     

     

     

    Ensuite, j'explique pourquoi je suis ici et mon numéro avec le magicien. Alors là, c'est le délire!! La suivante s'appelle Flore. Elle a la trentaine. Elle sait ce qu'elle doit faire, se déshabiller. Elle a la taille mince et des petits seins haut placés. Quand elle se retourne, je vois des marques sur ses fesses blanches, elle a été sévèrement fouettée, très récemment.

    Il raconte lui-même.

    « Flore est une pute. Sauf qu'elle, on ne lui glisse pas 500 dirhams entre les fesses pour se faire sucer! Dirigeante d'une société, elle a séduit un homme important pour lui voler des documents." Il se tourne vers elle, " En gros, tu es une pute et une voleuse?? »

    Tête baissée, elle répond :

    « Oui, Monsieur. »

    « Raconte ce que tu as fait en arrivant. »

    La fille rassemble son courage.

    « J'ai essayé de m'enfuir... je... j'ai insulté tout le monde. »

    Le chef secoue la tête.

    « Il a fallu la calmer. Explique comment. »

    « Vous avez appelé des gardes et... vous m'avez fait fouetter... et puis on m'a enfermée pour la nuit dans une toute petite cage. »

    « Bien... Tu vas venir à genoux devant moi et t'excuser pour le bordel que tu as fait hier. »

    La fille obéit, immédiatement. Le chef lui montre le fouet.

    « Fais ça bien, sinon... »

    Elle ouvre la braguette du Chef et en sort un braquemar énorme qu'elle se met à sucer avec... conviction jusqu'à ce qu'il éjacule et qu'elle avale en le remerçiant.

     

    Il reste six filles. J'écoute distraitement ce qu'elles disent. J'essaye de penser à autre chose qu'à mes épaules, mes genoux qui me font de plus en plus mal et la perspective du fouet. Comme c'est un bavard, le chef est parti pour un discours.

    « Alors, les filles,  on va  vous souhaiter la bienvenue à la manière du camp, c'est-à-dire en vous appliquant 10 coups de fouet Vous êtes ici pour être punies! Tout est fait pour vous rendre la vie la moins agréable possible. Cependant, une de nos priorités est de vous garder en bonne santé et de ne pas vous abîmer. Nous sommes donc des experts en punitions. Tous ceux qui portent cet insigne... Ont appris des techniques de punitions très efficaces. Nous sommes des experts!!! N'importe qui peut vous prendre par l'orifice qu'il souhaite ! Vous avez toutes compris?! »

    On fait un timide Oui.

    « Plus fort! Et on dit Oui Chef, sinon ce sera 20 coups de fouet! Vous avez compris?! »

    « OUI, CHEF!! »

    « Ici la plus grande faute est la désobéissance. Vous devez obéir immédiatement et sans discussion. Les gardes qui ont cet insigne sont vos maîtres absolus, à part respirer vous devrez leur demander l'autorisation pour tout le reste. Dans ce cas, vous vous mettrez à genoux et attendrez qu'il vous adresse la parole. Prêtes pour la correction de bienvenue??! »

    « Oui, Chef! »

    « Vous allez vous mettre là à quatre pattes pour recevoir 10 coups de fouet. Vous pouvez crier et bouger, mais vous "devez" rester à quatre pattes,  celle qui ne reste pas dans cette position sera attachée et en recevra 10 de plus. ALLEZ!! »

    Quand nos dix culs sont en rang devant eux, ils font des commentaires.

    Les fouets sifflent dans l'air et viennent claquer à peu près ensemble sur nos fesses. Deux cris aigus suivent de près le bruit des fouets.

    10  fois les fouets claquent et 10 fois on poussent des cris, ça, c'est admis, mais il y a en une qui supplie, ça ce n'est pas admis.  À celle qui a osé parler, le chef dit :

    « 10 de plus pour avoir parlé ! »

     

    La plus jeune, Hani, pousse des cris particulièrement aigus. Plus sensible, plus douillette... Heureusement, elle ne supplie pas. Enfin, on y est toutes passées. Je regarde les autres. Les marques rouges s'entrecroisent harmonieusement sur toute l'étendue de nos corps. Le chef nous dit : « Maintenant, vous devez remercier pour la correction. Mettez-vous à genoux devant nous, mains derrière le dos. »

    On se met vite à genoux, le visage relevé vers celui qui a tout pouvoir sur nous. Ils sortent leurs bites pour une fellation. Pour moi, embrasser ou sucer une bite, c'est une formalité. La jolie Black qui est à côté de moi, le fait tout aussi facilement.

    Par contre, Flore qui ne doit pas avoir l'habitude de de sucer à la demande, fait un réel effort pour prendre ce membre en bouche. La plus d’égouttée, c'est Hani. Ce n'est plus la mignonne chatte rose d'une copine qu'elle a sous le nez, mais la bite d'un gros mec. Elle hésite et finit par se prendre une bonne gifle et c'est les larmes aux yeux et une joue rouge, qu'elle prend le sexe en bouche.

     

    Ils ont bien observé la façon dont on réagissait. Moi, j'ai remercié humblement, le garde qui a promené son gland  sur mon visage et ma bouche, marquant son territoire. Toutes les filles ont été dociles sauf Hani et Flore qui ont déplu au Chef.

    « On va leur faire un petit dressage spécial pour leur apprendre à remercier mieux que ça ! Maintenant, on va vous dispatcher. Plus vite que ça ! Vous voulez quelques coups de fouet supplémentaires? »

    En quelques instants, on forme une belle rangée de filles soumises. Moi, je suis l'avant-dernière, seule, Hani est plus petite moi.

    « Quel service a besoin d'une fille? » Demande le chef.

    Un gros type lève la main.

    « Y'm'faudrait 2 salopes ! »

    « Ok, ben prends ça! » Dit-il en nous désignant Hani et moi.

    Putain! Pourquoi, j'ai frappé ces gamines, au lieu de leur obéir et d'aller pisser dehors. On suit le garde. Nous nous dirigeons vers une série de grands hangars.

     

    Le garde nous amène dans un grand atelier. Des femmes nues sont occupées à travailler. En approchant, je vois qu'elles sont occupées à éplucher des crevettes. Le garde va parler à une femme. La chef de groupe, sans aucun doute. Elle vient vers nous.

    « Bonjour les putes ! Vous êtes mignonne toutes les deux. On va bien s'amuser, ensemble. »

    S'il y a moyen de se faire bien voir de la chef, je ne demande que ça.

    Fatima, la chef, nous caresse les seins, les fesses... Hani joue un peu les vierges effarouchées, tandis que moi je m'offre complaisamment à sa main... indiscrète. Pendant que je me tortille un peu, avec deux de ses doigts dans ma chatte, elle nous explique :

    « Il y a un règlement long et compliqué, mais faites ce que je vous dis et tout ira bien... À l'atelier, vous obéirez aux ouvrières. Elles peuvent vous punir, si vous faites mal votre travail ou si elles en ont envie. Ça met une bonne ambiance!  Pour les punitions plus sévères, c'est ma nièce ou moi, qui nous en chargeons. »

    À l'idée de se faire punir par toutes celles qui en ont envie, Hani change un peu de couleur. Dernière formalité : puisque la mère d'Hani veut qu'elle reste vierge, il faut la museler. Fatima lui met une ceinture de chasteté.

    On nous écrit aussi sur les fesses :

    JE SUIS UNE PUTE SERVEZ VOUS

     

    On nous installe à côté d'une ouvrière. Elle est jeune et métissée, assez foncée de peau. Elle a l'insigne du fouet, donc elle peut nous punir à sa guise. Elle met la main sur mon épaule.

    « C'est tout ce que tu as fait depuis que tu es là, six crevettes épluchées?? »

    Elle m'attrape par les cheveux, me relève la tête et me dit les yeux dans les yeux :

    « A chaque crevette mal épluchée, tu recevras un coup de fouet ! Tu as compris ! Tu as 10 minutes pour éplucher 50 crevettes ! »

    Ma voisine me donne un coup de coude et me dit de regarder comment m'y prendre. J'essaye de faire la même chose et la crevette se déchire en deux... La peur de la punition et surtout ma maladresse... font que 10 minutes plus tard il y seulement qu'une trentaine de crevettes épluchées.

    Siafu arrive avec un méchant sourire.

    « J'ai jamais vu quelqu'un d'aussi nul que toi...! »

    Elle compte rapidement les crevettes épluchées.

    « Il en manque 19. Ça fait 19 coup de fouet ! Vas te mettre en position ! » Autour de nous les femmes continuent à travailler, tout en nous regardant du coin de l'œil.

    Siafu lance :

    « Pour les nouvelles, regardez, comment je traite les paresseuses. »

    Elle la lève la main armée du fouet et l'abat en plein milieu de mes fesses. Je crie, "Aaaiiiee!!". Ça fait un mal de chien!!! Elle tapote l'endroit qu'elle vient de frapper. Elle la lève à nouveau bien haut et frappe la base de mes fesses. Je fais un petit bond en avant. 19 fois le fouet s'abat sur mes fesses, mes cuisses et mes seins. J'ai le corps en feu. Enfin, elle s'arrête.

    « Voilà, tu vas te rasseoir sur ton banc ! »

    « Merci, Maîtresse et pardon pour ma maladresse. »

    J'ai la trouille à l'idée de sa prochaine inspection. Fatima qui trône en bout de la table, m'appelle.

    « Les crevettes, tu le fais exprès?? T'es maso salope ?! Tu veux te fazire encore corriger ?! » Me demande-t-elle.

    « NON... Maîtresse, je veux bien faire, je vous le jure...Mais je suis très maladroite ! Je ferai tout ce qu'on me demande,  mais éplucher, il faut me laisser le temps d'apprendre... »

    Elle me caresse les fesses, la chatte et les seins rêveusement, pendant un moment, puis me dit :

    « Suis-moi ! »

    Je la suis comme une bonne chienne soumise. On entre dans sa chambre.

    Là, elle se déshabille. Elle commence par m'embrasser. Puis, se couche sur le lit, jambe écartées. Je ferai tout, pour ne plus subir les coups de fouet. Alors, je lui fais un cuni d'enfer. La langue sur son clito, deux doigts dans sa chatte, je sors ma technique des grandes occasions. Là, j'ai une énorme motivation et je la fais jouir rapidement.

    Le soir, on dort à même le sol sur des paillasses. Hani par protection, se blottie contre moi. On arrive à se parler à l'oreille. Je lui dis que je ne comprends pas comment des parents peuvent envoyer leur fille dans cet affreux camp. Hani me dit :

    « Tout vient de ma mère qui est très sévère et prend plaisir à me punir. Quant à mon père, il est complètement dominé par elle. »

    Je suppose, qu'en plus, elle doit être jalouse de la beauté de sa fille. Le fait d’avoir surpris Hani au lit avec une copine a été le prétexte idéal pour punir la jeune fille. J'essaye de la consoler et on finit lèvres contre lèvres. Nos langues se cherchent. Nos salives se mélangent. Elle m'embrasse avec fougue.

    « Toi, tu préfères vraiment les filles ? »

    Sa bouche revient se poser sur la mienne et son baiser est un aveu. Et puis, on se fait des câlins silencieusement.

    Elle me dit :

    « L'idée de devoir embrasser un homme et de lui sucer la bite est la pire chose qu'on peut me demander. »

    « Ouais!!! Et bien t'es pas sortie de l'auberge, gamine! » 

    On passe la nuit l'une contre l'autre. Le lendemain matin, petit dèj'.

    Ici, c'est un peu différent. C'est un repas complet, tout ce qui est  nécessaire pour rester en forme. On mange à même le sol. Tout est passé dans un broyeur et transformé en une soupe épaisse. On reçoit chacune une espèce de grande gamelle remplie de cette bouillie. C'est franchement dégueulasse.

    Une nouvelle s'arrête de manger. Dès qu'un des gardes s'en aperçoit, il se dirige vers elle.

    « Ici, il faut manger tout ce qu'il y a dans l'assiette! Je vais rendre tout ça meilleur. » Dit le garde.

    Il sort son sexe. Lui enfonce dans la bouche et la baise par la bouche. Quand il est prêt à éjaculer, il sort de sa bouche et se lâche dans la gamelle.

    « Mange maintenant c'est assaisonné ! »

    La fille regarde incrédule, sa gamelle pleine de sperme.

    « Mange ou c'est le fouet !  Et, si tu vomis, tu mangeras ton vomi, par terre. Compris??! »

    Elle mange le plus vite qu'elle peut avec quelques hauts le cœur vite réprimés.

     

    Le repas des prisonnières est toujours un bon moment pour les gardes. Une occasion de s'amuser à nos dépens. Juter dans une gamelle est un classique, mais il y a aussi cracher dans la bouillie. Nous sommes donc entre nous, une bande de trouillardes, obéissant servilement aux gardes. Embrassant la main qui vient de nous fouetter ou les queues qui viennent de nous baiser. On obéit aux ordres les plus humiliants. Après ce petit déjeuner amusant pour les gardes, on va à l'atelier pour éplucher les crevettes. Moi, je suis exemptée. Je dois faire des corvées dans tout le camp avec d'autres prisonnières surveillées par des gardes qui nous stimule régulièrement par des coups de fouet. Le midi, après le repas, un garde vient dire à Hani qui est à côté de moi qu'elle a une visite. Elle est pleine d’espoir. Peut-être que ses parents vont-ils, la sortir de là. Mais le garde s'adresse à moi également.

    « Tu viens aussi ! »

    On le suit dans une grande pièce avec des chaînes qui pendent du plafond et des cages. Quand elle voit son père, Hani se précipite vers lui. Il la serre dans ses bras et l'embrasse. Ensuite, elle se tourne vers sa mère, qui la repousse et dit :

    « Tu ne crois quand même pas que tu vas m'embrasser après avoir léché les chattes de tes gouines de copines!! On va te faire changer de goûts ici. À coups de fouet... D'ailleurs, tu resteras jusqu'à ce que tu sois devenue normale et on commence ton dressage, aujourd'hui ! Ici, tu vas apprendre à aimer les hommes et à leurs obéir ! »

    Hani regarde son père avec des yeux suppliants, mais il regarde ailleurs, partagé entre divers sentiments, sa soumission à sa femme, l'amour qu'il porte à sa fille, mais aussi le fait que ce dressage lui permettra de réaliser ses fantasmes. Un garde montre le sol à Hani et lui intime de se mettre à genoux. Deux autres gardes viennent se mettre à côté de lui.

    Ils se déshabillent. Ils bandent tous les trois.

    Hani crie, "NOOOOOOON pas ça et ici devant vous!!!! Oh mon Dieu, la conne, c'est quand même pas la fin du monde de sucer des bites. Elle se débat en criant. Les spectateurs sont ravis, il y a de l'action. Ils la manipulent comme si elle était une poupée Barbie. Un des gardes, lui maintient la tête, un autre lui pince méchamment le bout des seins. Quand elle ouvre la bouche pour crier, une queue s'enfonce jusqu'à la garde dans sa bouche. Elle tousse, mais le garde lui baisse la bouche à fond jusqu'à ce qu'il se lâche au fond de sa gorge et qu'elle ait tout bu de son jus.

    Ensuite, ils couchent Hani sur le dos sur une table et lui relèvent les jambes. Un gros garde, qui a la clef, lui enlève sa ceinture de chasteté.

    Les gens se poussent pour venir regarder son minou sorti de sa cage.

    La mère dit :

    « On lui remettra dès qu'ils se seront soulagés, je ne veux pas qu'on me la baise! Utilisez seulement son cul et sa bouche !»

    Elle a prévu, un tube de vaseline. Le gros garde en met une bonne couche sur son médius, puis d'un mouvement lent et continu, sans faire attention aux cris d'Hani, son gros doigt pénètre dans son derrière et, à entendre ses cris, elle n'aime pas du tout. Le garde fait quelques allers-retours, avant de sortir son doigt. Le garde enfonce lentement son instrument et s'arrête quand il est à fond en elle. Le garde pousse encore et se met à la limer sans ménagement. Rires du public en voyant les grimace de la pauvre fille. Le garde lui donne des claques sur les fesses tout en la labourant. Un autre lui cloue le bec avec sa queue. Un premier spasme lui serre le ventre, suivi d'un autre. Elle grimace...Et puis... enfin, quel que soit son dégoût à l'idée de sucer des hommes, elle se rend à l'évidence qu'elle ne peut faire autrement. Elle secoue énergiquement la tête de haut en bas pour le plus grand bonheur de ses tortionnaires et du public.

     

     

    Elle dit péniblement :

    « Je vais obéir. »

    C'est quand même pas la mer à boire, après tout. Les filles ont ça dans leurs gênes, moi, en tout cas. Hani suce correctement, à part quelques soubresauts quand elle a un spasme plus violent. Le spectacle excite tout le monde. La personne qui apprécie le plus, c'est la mère! Ses yeux brillent en regardant sa fille se faire défoncer. L'obliger à faire des fellations à ces hommes, c'est vraiment le pied pour elle. Le premier garde jouit dans la bouche d'Hani en la maintenant bien par les cheveux pour être sûr qu'elle avale tout. Ça a l'air de passer plus facilement que la première fois. Dès que le premier garde se retire de sa bouche, celui qui l'encule vient éjaculer aussi dans la bouche et sur le visage de la pauvre soumise. Un deuxième prend la place libre dans son cul. Je suis surprise que ça se passe aussi bien. Hani suce et avale tout le sperme à nouveau. La mère fait signe à un garde, qui lui envoie un bon coup de fouet sur les fesses. Elle voulait, voir sa fille lécher et sucer un sexe en se faisant mettre par un autre mais en préservant sa virginité. Le père devrait être choqué de voir sa fille obligée de faire ça. Mais il ne perd pas une miette du spectacle. Même les gardes, qui sont blasés, c'est super excitant de voir une pucelle se conduire comme une pute de bas étage.

     

    Quand il jouit dans la bouche d'Hani, elle avale tout, en faisant la grimace, mais le sperme, elle commence à avoir l'habitude. Par contre, son cul lui fait mal. Sa mère veut que tout ce qu'elle avale reste dans son estomac. Voilà, trois fellations réussies pour Hani qui a tout avalé. L'autre se lâche dans son cul en gueulant comme un goret. Voyant que son corps réagit malgré elle, sa mère lui demande :

    « Ça, t'as plût?? »

    Elle répond d'une petite voix :

    « Oui, Maman. J'ai même joui. »

    Les spectateurs rigolent.

     Elle dit à son mari :

    « Ça te dirait de te faire sucer?? »

    Malgré les sentiments qu'il a pour sa fille, il est enchanté de cette proposition. Comme de toute façon, il fait tout ce que veut sa femme, il vient mettre son sexe en érection devant le visage d'Hani. Elle le prend en bouche. Se faire sucer par sa fille, en public, il n'avait jamais imaginé, même dans ses rêves les plus torrides, que ça arriverait. La bouche d'Hani va et vient le long de son sexe, sans le quitter des yeux. Mais il est trop excité. Il se cambre et envoie par saccades son sperme dans la bouche de sa fille. Elle avale docilement. Elle qui n'aimait pas les hommes, elle est servi. Moi, de voir tout ça, je mouille comme pas possible.

     

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