• Les dessous de Michèle 21

    Voilà le moment fatidique où je dois jouer de mes charmes pour amadouer les douaniers. Alors que j'arrive devant le guichet, je n'ai pas le temps de faire ouf qu'on me dirige vers un bureau où il y a une femme douanière. Un douanier reste en sécurité dans la pièce.

    « Enlève ton jean et ton tee-shirt ! » Me dit-elle

    Je me met nue sans broncher devant les deux douaniers.

    « Mais c'est qu'elle na pas de sous vêtement cette salope ! »

    Je baisse les yeux et je rougie. Les choses ne tournent pas rond. Il faut que j'arrive à me rattraper aux branches....

    «  Madame je ferais ce vous voudrez mais je veux prendre ce bateaux avec mes amis. »

    « Il va falloir alors être très gentille avec nous car tu n'as aucun papier il et tu es activement recherché par la société qui t'a acheté ! »

    Je ne sais plus quoi faire et je me lance. « Demandez moi ce que vous voulez ! »

    « J'y compte bien. Commence par sucer mon collégue ! »

    Le baraqué, sans attendre une réponse de ma part s'avance vers moi en sortant une queue énorme. J'ouvre grand les yeux en me demandant comment un tel monstre va pouvoir entrer dans ma petite bouche. Tout dans mes réflexions, il me prend les cheveux, m'oblige à me mettre à genoux et me force la bouche. J'en ai mal aux mâchoire tant il est énorme et pourtant des queues j'en ai pris des kilométres, mais là wahoooo ! La douaniére c'est assise sur le bureau et regarde avec intérêt son collègue qui me baise la bouche.

     

    La douanniére au bout d'un moment lui dit :

    « J'aimerai bien qu'elle me bouffe la chatte cette pute ! »

    L'homme retire sont monstre de ma bouche. Là je vois que la douanière c'est mise nue. Ses seins en poire sont un peu lourds. Elle des poils noirs, sur le pubis et sous les bras. Elle s'étend sur le dos et écarte les cuisses. Son collégue me pousse vers elle et sans résistance de ma part, je commence à la lécher et lui sucer le clito.

    « Tu as 10 minutes pour me faire jouir ! »
    Soudain, elle se redresse et dit à son collégue :

    « Prend la badine ! Ca va la stimuler ! »

    « J'ai mieux Aïda. J'ai ma matraque perso ! »

    Ni une ni deux le voilà sur ma rosette à pousser pour violer mon petit trou. Quand il s'enfonce, j'ai la sensation qu'il va m'exploser le cul. Je veux crier mais Aïda m'applique la bouche sur sa chatte. Je m'applique sur sa chatte pour être dans les temps, pendant que le monstre me laboure les entrailles.

    Ses cuisses tressaillent de plaisir et son bassin accompagne mes coups de langues. Elle mouille et gémi en se cambrant. Elle jouit en m'inondant abondamment le visage...Quelques coups de reins plus tard c'est au douanier de se lâcher dans mes fesses. Enfin quelle délivrance quand il se retire. J'ai les jambe flageolante. Un filet de sperme coule de mon cul.

     Elle dit :

    « 11 minutes, tu as perdu! Mais bon tu as été docile donc dégage avant que je change d'avis ! »

    «  Merci...Merci ! »

    Je renfile à toute vitesse mon fûte et mon tee-shirt et prends mes jambes à mon coup sans demander mon reste. Je rejoins mes compagnons. Bob, qui gambade autour de moi, vient me sentir le cul. Il comprend très vite que je me suis faite sauter. Dailleur une belle tâche du sperme qui continue de couler de mon cul mouille le jean. Mais bon cette foi-ci nous allons embarquer. L'attente est trop longue à mon goût. Il fait chaud. Le thé du matin se rappelle à mon bon souvenir. J'ai une méchante envie de faire pipi. Je m’écarte du groupe et essaye de trouver un coin derrière des voitures. Je baisse mon jean et je m'accroupis. Je suis juste occupées à ne pas éclabousser mes pieds quand j'entend une voix :

    « Eh!! Faut pas vous gêner!! »
    Oopps!!

    Je remonte vite mon jean. Un petit groupe de jeunes arrivent en contournant les voitures. Les quatre garçons se marrent de me voir remonter mon jeans à toute vitesse.

    « Vous savez, ça existe des toilettes, chez nous! Vous faites ça dans votre pays, pisser en public?? Ici c'est puni du fouet !»

    Un des jeune a justement en main un long fouet de dompteur . Je me dis que je vais jamais réussir à me sortir de ces bêtises. Ce fouet me fait vraiment peur. Je prie pour que se soit qu'une menace. Mais il se tient déjà à deux mètres et se met à tourner autour de moi. Il fait claquer quelques fois son fouet. Il le lève et dit à ses potes :

    « sur les nibards !? »

    « Oui oui !!! » Répondent-ils en cœur.

    Le fouet vient me mordre à cet endroit-là. Je crie, "Aaaiiie!!!".

    Un des mecs film l’exploit de son copain.

    « Continue !!! "Mollets, dos, fesses, seins whaiiii ! C'est bon ça !!!! »

    Je crie chaque fois et me tortille sous les coups. J'évite de crier pour ne pas attirer du monde. Je souffre le martyr. Il demande au cameraman :

    « T'as assez d'images? »

    « Encore quelques coups sur les fesses. »

    Aaah!!! Les salopards !.

    Il me dit :

    « Encore cinq... Mais gardes bien la position. »

    Je reçois 4 coups sur les fesses et le dernier entre les cuisses qui vient me frapper la chatte. La mèche du fouet ondule sur mon pubis.

    Je suis couverte de sueur et mon visage est plein de larmes. Le cameraman vient me filmer en gros plan.

    « Tu as compris la leçon? Tu seras moins exhib à l'avenir??? »

    Ils me laissent enfin et je m'empresse de rejoindre mes compagnons de route. Je ne leur racontes pas ma mésaventure de peur que ça leurs donne des idées. Quand je me déplace, j'ai l'impression que ma chatte a doublée de volume. Nous vogons vers la liberté. Mais pour moi ce n'est qu'une liberté conditionnelle car mes compagnons de route on prévu un spectacle dans les quartiers du commandant de bord pour payer le voyage. Y sont conviés quelques VIP. Il doit y voir une vingtaine de personnes. Ils me lancent sur la scène sous les applaudissements. Le commandant de bord discute avec le cameraman. Puis, Doug, une ceinture à la main, vient me voir. Je reste un peu hébétée sur cette scène et devant ces voyeurs.

    « Pas la peine de te faire un dessin, Michèle, si tu n'obéis, tu vas avoir du mal à t'asseoir. Commence par nous faire un joli strip-tease. »

    Une musique approprié commence.

    https://www.youtube.com/watch?v=wG6EytadXv0

     

    Murmures dans la foule au fur et à mesure que je dévoile mes charmes.

    L'un de mes trois compagnon de voyage, joue les M aître de cérémonie.

    « Couche-toi! Ecarte les jambes ! Voyez Messieurs Dames, cette chatte goutteuse est à votre disposition ! »

    Un spectateur lance :

    « Et on peut utiliser sa bouche ?! J'aimerais que plutôt qu'elle me suce ! »

    Il dit sa en exhibant une belle érection d'un engin d'au moins 25cm.

    « Pas de probléme Monsieur ! Les clients sont rois ! »

    L'homme s'approche. J'ai ses énormes couilles et sa grosse bite sous mes yeux.

    « Lèches mes couilles d'abord ! »

    Comme je ne réagis pas assez vite, Doug m'envoie un rappel avec un grand coup de ceinture sur les cuisses. "Aiiiiiii"

    « Sors bien ta langue qu'on la voit et met plus d'enthousiasme ! »

    Je me mets à lécher et sucer ses couilles.

    « Suce, maintenant! »

    Alors, j'y vais avec conviction, ma bouche va et vient avec quelques gorges profondes. Heureusement que j'adore sucer. Le V.I.P. pousse des grognements de satisfaction. Pour tout dire, je commence à prendre plaisir à sentir son sexe dans ma bouche. J'entends les spectateurs qui font des commentaires, genre :

    « C'est bon salope??  Quel avaleuse de bite cette pute !.....etc »

    Ben oui, c'est bon et ça finit de m'exciter vraiment. Le cameraman dit :

    « Maintenant, lèche-lui le cul ! »

    « Oui, bonne idée! » Disent les spectateurs.

    Ben, ils n'ont qu'à le faire, eux. Mais je me plie aux exigeances du public. 

    « Sors bien la langue ! » Dit le cameraman.

    Les spectateurs sont ravis. L'homme a l'air d'aimer ça, une langue dans le cul mais rapidement, il me dit :

    « Viens t'enculer sur ma queue salope ! »

    Il se met sur le dos et face au public, je met son nœud sur ma rosette et progressivement m'enfonce sa grosse hampe dans mon petit trou sous les sifflets, les injures et les applaidissements. Aaah, ça me plaît! Je m'accroupis et enfonce le gros sexe en moi. Il me remplit complètement. c'est bon, c'est trèèèès bon et en plus devant un public si chaud.

    J'accélère mes coups de reins et je sens qu'il grossit en moi. Il devient énorme. Je fais, "aaaahhhhoooouiiiii, c'est bbboooonnnnn!!!" Il  grogne et m'envoie des giclées de sperme avec une telle force et une telle quatité que ça déborde de mon cul. Le cameraman qui n'a pas arrêté de tourner autour de nous fait un gros plan de mon visage quand je jouis, puis quand je me relève et que du sperme sort de mon cul. On nous applaudit quand je nettoie le sexe de mon enculeur.

    Doug qui ne me laisse pas le temps de respirer lance :

    « A qui le tour ? Profitez elle est à vous gratuitement ! Madame, elle peur vous brouter le minou si vous voulez ! »

    Le commandant de bord en remet une couche :

    « Mes amis elle est à vous pour toute la traversée ! Alors profitez bien  d'elle ! »

    Eh, oh! Ça va pas la tête??

    « Doug ! Tu vas pas laisser faire ça ! »

    Pour toute réponse, il dit à ses deux acolytes :

    « Tenez là, on va lui rappeler ce qui arrive quand on dit non ! »

    Ses deux copains m'immobilisent de telle façon à être bien offerte aux coups et que les spectateurs ne perdent rien du spectacle que je leur offre. Il me donne cinq méchants coups de ceinture en visant, mes fesses, ma chatte, mes cuisses et terminant par mes seins. Ouch!!! Ça fait trop mal ; Je crie et supplie :

    « Aaaiiie!!! Oui, oui, oui, je ferais tout tout, aiaiiiie!!! »

    Il arrête. La foule est en délire. Les gars me lâchent les bras. Je me frotte les fesses, la chatte et les seins. Quel sale con !

     

    Ah, non, ça c'est les mâles, ils ne pensent qu'à utiliser les femelles qu'ils ont sous la main. Pensais-je, tout en suçant les gars et en avalant leur semences. Quand j'ai fini ma file, j'en ai sucé bien six ou sept. Je suis couverte de sperme malgré tout ce que j'ai avalé. Le cameraman a filmé les hommes qui étaient d'accord. Il dit :

    « T'as bien travaillé. T'as gagné ta travesée. Je suis très content des images. »

    Le photographe dit :

    « Moi aussi... Du shooting au top ! »

    Mes compagnons on l'air d'être satisfait aussi comme le chien qui me léché en remuant la queue. Bref tout le monde est content. J'ai fais plaisir à ceux qui m'ont utilisé et aux spectateurs...Heu moi aussi en fin de compte. Mais je me demande comment ces images vont être utilisées.

    Je demande à mes compagnons comme pour me rassurer :

    « C'était bien les mecs? »

    « Pas mal, pas mal.. et quand c'était moins bien, tu l'as senti. »

    Je frotte mes fesses et les seins sans répondre.

    Les mecs me disent :

    « Tu sais, il y a une récompense pour tout renseignement te concernant. Tu es activement recherchée. J'ai réussi à ce que le commandant garde ça pour lui. Mais il pourrait changer d'avis! Alors faudra être très gentille avec lui. En clair, estime-toi heureuse comme ça. »

    Le reste du trajet, je suis au petit soin avec le commandant, ne lui refusant rien. Notament un gang bang avec ses officiers.

    Enfin, arrivée à Marseille. Je suis libérée. J'embrasse mes compagnons de route et Doug me glisse un petit bout de papier roulé en boule entre les seins. Je verrai plus tard que se sont les coordonnées où je pourrais les joindre plus tard. Il est 6 h du matin et il ne fait pas chaud. Je frissonne dans ma petite robe en voile. Mes tétons sont dressés et dures.Ils pointent bien à travers le fin tissu. Il commence à y avoir de l'activité dans le port. Je vais vers un café qui a l'air ouvert. Le patron est surpris de me voir dans une tenue aussi minimaliste.

      

    Je lui raconte une histoire :

    « On m'a tout volé monsieur. Je dois me rendre au commisariat ce matin. Je n'ai plus d'argent. Pourriez-vous me donner un peu à boire et à manger, Monsieur ? Je pourrais faire la plonge ou servir vos clients....»

    Le patron est un Arabe d'un certain âge. Il me croit.

    « Non, assieds-toi, je vais te donner à manger et tu ma paiera en nature.... »

    Je lui fais un grand sourire.

    « Merci beaucoup Monsieur, vous êtes très gentil. »

    Il me donne quelques conseils :

    « Ne traîne pas trop sur le port, aussi peu vêtue. C'est un appel au viol ! »

    Des clients arrivent, des dockers, des ouvriers… Heureusement qu'il n'y a personne qui ait assisté au show de la veille.  Le patron raconte mon histoire, les gens compatissent. Le patron m'eméne dans l'arriére cuisine et me dit gentillement en sortant son sexe, :

    « Suces moi bien et on sera quitte pour le repas. »

    « Merci Monsieur ! »

    C'est de bon cœur que je m'atelle à la tâche. Avec tout mon art, en moins de 10 minute il se lâche dans ma bouche et je lui montre ostenssiblement que j'avale tout son jus. Il est ravis.

    « Reviens quand tu veux ma petite ! »

    Je m'approche d'une camionnette, avec deux black qui on l'air sympa. Je leur sors ma petite histoire et leurs demande s'il peuvent m’emmener vers le nord car je souhaite me rendre en Normandy. Le tout dit d'un ton suppliant.  

    « Bon, d'accord, j't'embarque. » Dit le grand black qui est au volant.

    Je m’installe entre les deux hommes et nous voilà parti. Nous roulons depuis une demie heure et parlons de choses et d'autre. En raison de ma tenue, ils me lorgnent régulièrement les seins et mes cuisses. Le chauffeur me fait un grand sourire et dit brutalement :

    « Tu suces petite? »

    Je suis un peu surprise mais bon, j'ai l'habitude.

    « Oui, M'sieur. »

    « Tu sais ce qu'il te reste à faire alors ! »

    Je sors une langue frétillante.

    « Oui, oui, M'sieur, je sais. »

    « On ne peut pas prendre d'auto-stoppeurs. Alors on prend le risque parce que tu es mignonne et… que tu suces. »

    Il rigolent tous les deux. Ils sont sympas. Le chauffeur me dit :

    « Moi c'est Smile et mon copain, c'est Diallo. Et toi ? »

    « Michèle. » 

    Diallo qui est à ma droite dit :

    « Alors, Michèle, t'es d'accord pour payer le prix de ton voyage ? »

    « Oui, bien sûr ! »

    Il sort de son jean un sexe énorme. Je prends son sexe en main, j'arrive à peine à faire le tour de la base. Je joue un peu et tire sur le prépuce. C'est toujours émouvant quand on découvre le gland d'un black. Je me penche et prends le bout du gland dans la bouche. Je le tète comme un petit veau tète sa mère. Il me caresse la tête. Le chauffeur nous regarde.

    Diallo gueule :

    « Fais gaffe!! »

    Il redresse le camion.

    « On devrait s'arrêter!! » Dit le chauffeur.

    Ma langue virevolte sur son sexe et téte cette grosse barre noire. Il aime beaucoup. Il me le dit :

    « Tu suces bien, mmmmhhhh... petite salope...de Blanche... ! »

    Ma bouche va et vient. Au bout d'un moment, je sens son sexe vibrer. Il n'est pas loin d'éjaculer. Ces énormes testicules doivent être pleins. Il gémit :

    « J'vais... tout lâcher dans... ta bouche!!!! Aaaaaaahhhh »

    Il se raidit contre le dossier et m'envoie des jets de sperme tiède et épais plein la bouche. J'avale tout comme d'habitude.

    « Bravo, t'es la reine des pipes, Michèle!! »

    Je lui souris. Ca fait toujours plaisir un compliment. Mais le chauffeur a aussi maintenant une folle envie de se faire sucer. Il s'arrête dans un parking. Il sort son sexe. Je me penche de l'autre côté et me trouve le nez devant la copie conforme de celui que je viens de sucer . Quand il jouit à son tour, j'avale tout bien entendu. Ils sont ravis d'avoir pris une salope comme moi.

    On repart. Ils mettent de la musique, on chante, on se marre. On roule toute la nuit. Au petit matin on s'arrête pour pisser. Je m'étire et leur dit :

    « J'aurais besoin de me rafraîchir. »

    Diallo répond :

    « Tu sens la salope et on aime ça ! »

    Oui, bon, j'aurais bien pris une douche quand même. Mais je ne vais pas les contrarier. j'ai très faim. On a juste mangé quelques biscuits. Si je dois les resucer, je préférerais avoir l'estomac plein d'autre chose que leur sperme. Vers 11 h, il gare le camion sur un parking où y a une cabane à frites.

    Le patron nous demande ce que l'on veut manger. Smile dit au patron :

    « Elle n'a pas d'argent. Mais cette petite fait des pipes de tonnerre ! »

    « Un repas contre une pipe, ça me va. Mais on paye d'abord ! »

    « Mais je peux manger d'abord, s'il vous plaît? »

    « D'accord, j'te fais crédit pour la pipe, ce sera le dessert! »

    Nouveaux rires. Pendant que je dévore mon repas, mes compagnons parlent avec les autres routiers de cargaison, d'auto-stoppeuses...J'entends Diallo leurs dire :

    « Ça ne m'étonne pas qu'elle ai faim. La seule chose qu'elle a dans l'estomac, c'est des biscuits et du sperme. »

    Gros rire général. Je m'en fous de ce qu'ils racontent sur moi. Je bouffe.

    Quand j'ai fini, le patron d'une voix tonitruante me dit :

    « L'addition, petite?? »

    Je le suis derrière le comptoir et c'est reparti pour un tour. Je suis nait pour ça. Etre au service de ces messieurs. Loin d'être à l'abri des regards, on est vu des clients mais pas de la route. Tout le monde s'approche pour admirer la vedette dans son grand numéro de fellation. Je me retrouve devant un sexe qui se balance, raide d'excitation. Il a un mouvement des reins impatient pour entrer dans ma bouche et pour la transformer en vagin. Je le fais un peu patienter, faisant buter son gland contre ma bouche fermée, frottant le bout mouillé contre mes lèvres.

    Bon, assez joué, j'ouvre la bouche pour qu'il puisse se faire plaisir dans ma bouche. Il va et vient et me l'enfonce à m’étouffer.

    « Mmmhhh c'est bon… c'est bon…Vous avez raison elle est bonne ! »

    Il accélère le mouvement et bientôt il va envoyer la sauce. Ouch!! Il a une grande contenance, les giclées de sperme jaillissent dans ma bouche comme dans un vagin. Les spectateurs sont super attentifs, alors j'avale bien tout. On me félicite. Smile dit :

    « Alors, c'est pas une super suceuse?? »

    « Championne du monde! » Dit le patron.

    Un des clients dit :

    « Maintenant à moi. Je te donnerai un peu d'argent. »

    Je fais la grimace. Son voisin intervient :

    « C'est pas comme ça qu'il faut parler à genre de salope! Vous allez voir!! »

    Là, je ne suis plus d'accord du tout!

    « Oh ! Y a des limites ! On va rien voir du tout! J'ai payé pour mon repas, point final!! »

    Alors sa voix claque.

    « C'est pas la marque de la "Whip Corp." sur ta fesse?? Tu as été vendue comme esclave?? T'es en cavale putain ! ICI!! AUX PIEDS!! »

    Oops!! Même en France, il faut que je tombe sur un mec qui connait ce truc là. J'ai été tellement bien dressée dans les cages du marchand d'esclaves, que instinctivement, j'obéis. C'est, comme si j'étais revenue au temps où on me dressait.

    « Tu veux être punie? »

    « Non... M'ssieur ! »

    Il sort sa bite.

    « Alors suces mais sans les main ! »

    Ils m'ont fait un lavage de cerveau dans les cages du marchand d'esclaves?? Je suis incapable de désobéir. A genoux, je croise les poignets sur mes reins et, la langue sortie, je lèche et je suce. Je m'applique. Je suce du mieux que je peux. Je salive sur son gland comme une chienne. Je vais donc boire le calice jusqu'à la lie. C'est pas faire une fellation qui me gêne, c'est ma soumission. Je sens qu'il va jouir. Il m'attrape par la nuque et me dit :

    « Je t'interdis d'avaler!! »

    Ma bouche se remplit de sperme. Quand il a tout éjaculé, il se retire et me laisse la bouche pleine de son immonde créme. J'ai fermé les yeux.

    Il me dit :

    « Regarde-moi salope! »

    Son visage est contre le mien. Il me regarde avec des yeux rempli de haine.

    « Tu peux avaler putain d'esclave!! »

    Je déglutis péniblement.

    « Qu'est ce qu'on dit?? »

    « Merci, M'ssieur ! »

     

    Celui qui voulait aussi se faire sucer en payant est heureusement, beaucoup plus sympa. Il éjacule rapidement. Je ne me sens pas bien, pas d'avoir sucé, mais du reste... Smile et Diallo ont l'air bien gêné d'une situation qu'ils trouvaient excitante au début. Smile vient me rejoindre et me prends dans ses bras.

    « Allez viens, je lui ai dis de se casser à ce gros con. Il fallait le dire si ça ne te plaisait pas. Oublie ça et on va boire un coup. Tu veux goûter l'alcool de figue?? »

    « Oui, c'est gentil... »

    Je lui souris. Le petit moment de honte est vite passé. On rejoint les autres. On boit le coup, offert par la maison. On dit au revoir au patron et aux deux autres routiers et on repart. On arrive le soir à Paris. Ils doivent continuer sur Lille. Avant de me déposer porte Dauphine, ils me donnent un peu d'argent et leurs adresses. Pour les remercier, je leur fait une dernière pipe et ils me baises. Je prends un pid pas possible. Après un orgasme qui me laisse flageolante, on se sépare à regret.

    Bon, maintenant, j'ai un peu d'argent mais toujours pas de papier. Il me faudrait un peu plus de fric. Je suis pas loin du bois de Boulogne. Il y a un boulot pas trop difficile pour une fille facile comme moi. Mais, il y a des risques de se faire contrôler par les flics. Tant pis, je risque le coup. Et puis au bois de Boulogne ça paye. Avec au mini 40 € la passe, si j'arrive à faire une dizaine de passe dans la nuit, j'aurais de quoi tenir une semaine.

    J'ai du sucés. Plus que je n'aurais cru. Quinze pipes à 40€, trois sodomie à 100€ et quatre baise à 70€. A la fin de la nuit je suis éreintée mais avec un beau pactole (1180€). En plus pas de patrouille de flics ; super. Je ne sais pas où dormir. Un travelo brésilien me propose de partager sa chambre pour la nuit, sympa. L'hôtel où il loge est crade, mais il y a un lit et un lavabo. C'est la première foi que je couche avec un travelo. On fait gentiment l'amour avant de s'endormir.

     

     

    Le lendemain, je vais acheter un jean, un tee-shirt et des sandales avec l'argent que j'ai gagné... honteusement. Je fais encore un peu la pute, l’appât du gain facile. Je me fais de l'argent. Il faut dire que je suis une bonne pute. Le soir, le patron de l'hôtel que j'ai trouvé dans la journée, me drague. Encore pour moi une bonne occasion de ne pas payer ma chambre. Je couche avec lui et il m'indique un endroit où je trouverai une carte d'identité. Le lendemain, je me rends là où il m'a dit. Le quartier est louche du côté de Barbés. Il y a très vite un homme qui vient me trouver.

    « Tu cherches quoi ici la blondasse? »

    « Je...heu... On m'a dit qu'ici je pouvais avoir une Carte d'identité Monsieur. »

    « Huuum... T'es pas une keuf salope ! »

    « Ho non Monsieur ! »

    « Ok... Suis moi ! »

    Je le suis. On monte dans une voiture. Il me donne le prix.

    « 500€, tu as ça sur toi ? »

    « Heu non pas là mais ça coûte la peau du cul ! »

    « Ba ! y a un moyen de s'arranger. Tu fais la mule pour nous et t'as tes papiers gratos ! Il s'agit de passer du shit dans un préservatifs que tu te met dans la chatte. »

    Alors... j'accepte... stupidement! 

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