• Dans le métro part 1

    A l'occasion d'un séjour à Paris, j'ai pris le métro. Ce jour là, il faisait chaud et je n'étais vêtu que d'une robe légère avec juste un string dessous. La rame était bondée et je suis restée debout, coincée entre les voyageurs. Je dois dire que je n’apprécie que très modérément cette promiscuité obligée. Nous avions déjà effectué une bonne partie du trajet quand je sentis derrière moi une présence insistante. Je tourne la tête d'un air revêche pour voir mon frotteur. C'est un grand black imposant. J'en ai des frisson dans le dos.

     

    Depuis la station Clemenceau, un type s'etait pratiquement collé à moi. Je tentais tant bien que mal de ramener mes fesses en avant, mais le type suivait mon mouvement. Il m'enveloppe de sa stature. Je me sens toute petite. Son regard est plongé dans mon décolleté. A la station concorde, des personnes se rajoute à cette foule, ce qui augmenta la pression. Il ne quitte plus mon décolleté des yeux et s'approchant de mon oreille, il me murmure:
    « Tu as de belles mamelles salope ! »
    Je suis choquée, mais curieusement, je sens que mon corps réagi et ma minette s'humidifier.Ma culotte s'imbibe de ma cyprine. Je suis trempée. La tête me tourne et comme une idiote, je balbutie un vague remerciement en rougissant comme une gamine.
    « Merci,c'est gentil monsieur. »

    Après la station Châtelet-Les Halles, nous avons eu à faire face à un nouvel afflux de passagers. Nous étions de plus en plus serrés dans le wagon et je crois bien que l’inconnu en profitait pour venir se coller toujours plus contre moi. Son membre restait maintenant fiché entre mes fesses presque continuellement. J’avais l’impression de le sentir durcir contre mon cul. Sans doute enhardi par mon manque de réaction, l’homme laissa glisser ses mains sur mes hanches et releva l’arrière de ma robe. Je n’osais toujours rien dire et personne ne voyait rien tant nous étions comprimés. Je dois avouer que la situation commençait à passablement m’exciter. Par dessus mon épaule, il regarde mes seins libres sans vergogne Après quelques instants, d'une voix chaude il me susurre:
    « Avec ce rouge à lèvres tu dois faire de magnifiques galons de pompier! Je suis certain que t'es une suceuse de première.! »

    La situation est gênante. Je ne sais que faire mais en même temps malgré cette situation incongrue, mon corps régi. Je suis en nage, ma chatte détrempe le tissu de mon string. Je me sens comme l'agneau de la fable. Je vais me faire croquer par le loup et black de surcroît. Profitant de mon désarroi, il vient tout contre moi et passe sa main sous ma jupe. Elle remonte doucement et caresse mes cuisses. Je fonds de plaisir. Mes seins se gonflent. J'ai les yeux mi clos. Je décide de me laisser faire et devant ma docilité, il prend ça pour une invitation à aller plus haut et il ne se gène pas. Je tremble et mes jambes se dérobent. Je sens un doigt s'infiltrer sous mon string et prendre possession de mon petit minou en feu. Il me pénètre avec deux doigt. Je me mord les lévres pour ne pas crier. Je regarde autour de moi mais nous sommes si serrés que personne ne voit ce qui se passe. Il effectue quelques va et vient dans ma chatte trempée puis ressort pour agacer mon clitoris tendu comme une arbalète. Il agite à toute vitesse son majeur sur mon bouton d'amour. Son doigt revient dans ma fente poisseuse. Je crois bien que je vais jouir. Je suis sur le point d'éclater,quand il décide de tout stopper. Il retire son doigt et le remplace par sa grosse queue de black. D'un coup d'un sel il m'enfile sans que personne ne s'en rende compte. Je suis entrain de me faire baiser dans le métro aux heures de pointe par un inconnu et comme la pire des salope j'adore ça.

    En quelques va et viens, il se lâche en moi. J'ai cru que j'allais hurler de jouissance et mes jambes avaient du mal à me tenir.

    En se retirant, il me dit :

     

    « T'es trop bonne toi ! On va chez moi,c'est à côté? »

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